Véronique, une méchante de rêve

Il y a des rêves qui se mêlent de la chair comme d’autres voisinent le chaos, ainsi à peine le narrateur s’est-il laissé gagner par le sommeil que lui vient un rêve familier où il retrouve Véronique dans un rôle qui lui sied à merveille comme l’absence de vêtements sied à la nudité de son postérieur

Proposée le 25/04/2022 par Stegonosaur

Thème: Jeu érotique
Personnages: FH
Lieu: Inclassable
Type: Fantasme

Pas un rêve sans y retrouver Véronique et sans qu’elle y soit nue et pervertie. La pulpeuse petite blonde use depuis longtemps de ses charmes et pour ce faire elle n’économise ni ses mini-jupes ni ses poses lascives qu’elle propose tantôt assise jamais passive. Cette fois encore je m’endormais pris par mon rêve comme emmené par un courant irrépressible vers les eaux roses du songe. Celui-ci s’ouvrit comme une porte donnant sur de merveilleux paysages mêlant l’ambroisie des images aux élans souvent confus de la chair. Je ne me connaissais qu’un rêve et c’était celui où j’étais inspecteur de police. Il me plaisait ardemment de me lancer à la poursuite des criminelles sans avoir à supporter les risques aigus d’une véritable enquête. Si la trame de mon rêve demeurait plus ou moins à chaque fois identique, les personnages quant à eux variaient parfois avec cette restriction néanmoins qu’il y avait toujours une place de choix pour Véronique qui s’incrustait à jouer les mauvaises comme dans un film où lui serait attribué le mauvais rôle.

J’étais l’inspecteur et elle la coupable que je devais confondre et arrêter. J’adorais la fesser gentiment pour lui faire avouer ses crimes. Cette fois, Véronique m’avait attaché et s’apprêtait à ma mort.

J’appréhendais la douleur comme l’enfant son premier jour d’école. J’étais menotté tandis qu’elle était nue, complètement à poil et s’en repaissait. À sa gauche sur une table, un tas d’ustensiles visant à me faire passer l’envie de l’arrêter dont fort étrangement une pince à homard qu’elle s’empressa de saisir et de faire jouer autour de ses seins tendus. Elle dansait et dansait encore se frottant contre moi comme une déesse du tantrisme. Elle porta la pince à homard sur mon sexe en disant « ça fait peur hein ! » et elle partit d’un rire sonore. « Mais peut-être tu préfères ça… » ajouta-t-elle en posa cette fois son pied nu sur mon sexe et en jouant des orteils comme pour mieux le sentir… « Elle me dit alors « Si tu es sage je t’offre un cadeau, tu vois je sais être gentille… » Elle posa alors un de ses escarpins sur ma jambe et ajouta « il te plaît ? …», en même temps qu’elle se caressait avec la seconde chaussure, passant le petit talon sur le bout de ses seins tendus comme des melons et dessinant des arcs de jouissance.

« Mes collègues ne vont pas tarder à arriver », dis-je retrouvant un peu de consistance après tant d’émotions.

« Qu’ils se joignent à nous trésors » renchérit Véronique, triomphante, sortant une arme de son sac et abandonnant sa chaussure.

C’est à ce moment que les policiers entrèrent par surprise.

Véronique s’empressa de fuir.

« Elle s’est enfuie par derrière, elle est complètement nue, elle ne pourra pas aller loin » dis-je non sans tenter de réprimer une érection.

« Véronique rendez-vous ! » hurla la police.

« La nudité ne me désarme pas ! » leur cria la pulpeuse petite blonde tout en tirant un coup de feu : PAN !

Véronique s’empressa de monter nue comme un vers et les fesses à l’air dans un canot à moteur qu’elle fit rapidement démarrer tout en criant :

« Vous ne m’aurez jamais, moi Véronique, toute nue ! »

Je m’empressais avec un collègue de la prendre en chasse profitant d’un second canot.
De temps à autre Véronique se retournait pour distiller quelques balles à notre encontre et que nous nous empressions d’éviter. Heureusement elle visait comme ses pieds, qu’elle avait fort jolis d’ailleurs.

Elle arriva à un embranchement où la rivière proposait deux choix, dans l’empressement de sa fuite elle prit le mauvais chemin qui la conduisait vers les rapides, ces mêmes rapides aboutissant à une énorme et profonde chute d’eau au profil voisin des chutes Victoria, pour ne pas dire un copié-collé, et dont le grouillement se faisait entendre au loin. Comprenant très vite son erreur et voyant son chétif canot ballotté par les flots de plus en rapides Véronique poussait de petits jappements d’impuissance tandis que ses lourds seins bondissaient au rythme des flots agités. Voyant les chutes arriver son corps nu se cabra dans un spasme de terreur et la tronche effarée et les orteils écartés d’effroi, elle ne put réprimer un grand cri avant de disparaître dans le bouillonnement des flots comme tombant d’une falaise :

« HaAaAAA ! »

Arrêté sur la rive, nous avions assisté à tout au loin.

« Bon sang elle a disparu dans les chutes, quelle fin affreuse et toute nue en plus ! »

La fin coïncida comme souvent avec mon réveil. La matinée déjà bien avancée, je peinais à réduire mon érection quand soudain mon GSM sonna :

« Allô, salut, c’est Véro ! Comment ça va ? »


FIN

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