Auteur en quête d'action (préambule)

Tanya s'engage à décrire ses expériences sexuelles passées et à venir. Elle profite de quelques années sabbatiques pour relater ses aventures. Elle se met à écrire sans aucune pudeur et le plus réel que possible sans laisser de côté les détails les plus intimes de ses ébats. (partie 1)

Proposée le 16/04/2022 par Alexandra

Thème: pratiques sexuelles
Personnages: FHH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Roman

Je suis Tanya. Je viens d’avoir 42 ans et je suis célibataire depuis 6 mois. Je n’ai aucune intention de me remettre en couple. Une amie journaliste qui me connait bien m’a dernièrement demandé si je pouvais écrire un petit texte sur ma vie et mes expériences sexuelles à l’âge de 40 ans, ceci dans le cadre d’un article sur les pratiques sexuelles de femmes de mon âge. Cela m’a un peu étonnée mais comme mon intention était de prendre quelques années sabbatiques cela tombait à point. J’y ai beaucoup réfléchie puis j’accepta mais sans m’engagée d’une manière ou d’une autre. Je vais donc tenter de parler le plus ouvertement que possible et sans tabou de ma vie à ce jour, de mes expériences sexuelles et de mes fantasmes de femme.

La vie m’avait fait de nombreux cadeaux. Mais celui de la beauté est certainement le plus merveilleux de tous. A 42 ans, je me sentais bien, belle et indépendante. Je me retrouvais dans un corps bien proportionné d’une femme mure. On me donnait parfois la trentaine ce qui n’était pas sans me déplaire. J’avais conscience de me retrouver dans un corps somptueux, aux formes généreuses, fermes digne d’une déesse.

Comme bien d’autres femmes de mon âge, ma vie sexuelle était d’une normalité frôlant la banalité. Mes amours de jeunesse, la découvertes de ma sexualité et mes amants tout cela me laissait sur une faim. Je n’avais pas le sentiment d’avoir été comblée et même satisfaite. J’avais rencontré bien des hommes plus ou moins intentionnés qui promettaient monts et merveilles mais pour qui, enfin pour la plupart ne m’avait offert qu’une vie sexuelle , si je peux dire, à sens unique.

Qu’ai je du faire pour plaire à ces jeunes hommes? Combien de caresses, de branlettes , de fellations pour arriver plus que souvent à une seule et même fin: le plaisir et la jouissance de mon conjoint . Pas que je n’ai eu de plaisir, certains m’en ont donné, et beaucoup même. J’admets aussi avoir eu du plaisir à en donner , j’aimais beaucoup les voir prendre leur pied, de voir leur semence gicler sur mon corps, de sentir leur sperme chaud me pénétrer le corps. Mais toutes ces années m’ont laissées quelque peu insatisfaite. J’avais souvent l’impression que les avances de mes amants n’avaient qu’un seul but, pas celui de me porter au ciel mais de retourner le plaisir vers eux. Ces nombreux plaisirs à un sens m‘ont finalement ouvert les yeux et me rapprocher de mon propre corps . C’est à ce moment que j’ai découvert, bien tard il faut l’admettre, la masturbation, pour mon plaisir et uniquement pour le mien.

C’est ainsi qu’à force de faire jouir les autres, Je découvris ainsi le plaisir et peu à peu pris conscience de mon corps, de ses formes si attirantes. Je plaisais aux autres j’en étais certaine et cela me donna confiance en moi. Je cherchais de plus en plus le plaisir en me caressant, en découvrant de nouveaux points sensibles. Je me suis masturbée et masturbée en tournant dans ma tête des fantasmes inavoués: caresses multiples, de nombreuses mains se promenant sur ma peau, de belles grosses bites bien bandées qui me pénétraient de toutes parts. Bien sur que le corps des hommes m’attirait, J’aimais beaucoup caresser leur sexe, doucement et longtemps. J’adorais lorsque leur membres gonflaient au moindre toucher. Rien de tel pour exciter un homme que de lui caresser les mamelons, les lécher tendrement frôlant leur sexe sans vraiment y toucher. Tout dans la douceur et dans la simplicité. Mais rien de tel aussi que d’agripper d’une main ferme leur membre bien dur et d’une autre main glisser lentement vers les testicules puis d’un doigt inquisiteur leur caresser le petit trou sans toute fois y pénétrer. C’était une évidence, ils ne demandent que cela, une petite caresse, une fellation, un doigt dans le derrière et hop le jet de liquide chaud dans la figure ou dans la bouche ou même sur les seins. Mais il faut toujours être patiente, il faut prendre le temps La pénétration ne vient que longtemps après si toutefois le gars n’a pas déjà répandu son ardeur en éjaculant prématurément. J’en ai connu qui aimaient se faire prendre par derrière d’abord avec un doigt , une langue et puis plus tard avec un gode ceinture de silicone dur, harnaché à mes hanches afin que je puisse le pénétrer pendant que d’une main je les masturbait. Des fellations, j’en ai fait et refait, debout, assise, sur le comptoir du bar, dans la voiture dans des positions inimaginables, même accroupie sous un lits percé dont ne sortait qu’un membre bien bandé. J’ai ai vu des petits, des gros, des longs, des recourbés et des droits bien dressés.

Combien m’on demandé un troisième partenaire, soit homme soit femme pour explorer leurs fantasmes les plus cachés. Cela ne me tentait guère à l’époque, je ne pouvais imaginer me retrouver avec un homme et une femme au lit ou avec deux hommes… quoi que l’idée d’être caressée par deux hommes me donnait de petits frissons. Un qui me caresse les seins des deux mains et l’autre qui me lèche ou me pénètre. Ou en levrette un qui me pénètre et l’autre à qui je suce le membre bien raide. Un fantasme sans doute mais je n’aurais jamais cru que cela arriverait. Toujours est-il qu’un soir je me suis retrouver avec mon copain Marc et un des ses amis: Olivier après un diner bien arrosé. J’avais remarqué que l’ami en question me jetais des regards qui en disaient long sur ses intentions. Cela ne me laissait pas insensible. Mais ça ne pouvait aller plus loin avec Marc présent. J’écartais même l’idée de ma tête.

Quelle ne fut pas ma surprise lorsque Marc me proposa une expérience à trois. Je voyais bien que cela lui ferait très plaisir et, pourquoi pas je n’avais jamais fait cela, j’accepta avec hésitation. Me faire prendre par deux gars restait un de mes fantasmes les plus ardents. Petit à petit je me suis retrouvée toute nue, caressée de tous cotés. Je déboutonna la chemise de Marc et fit glisser son pantalon à ses pieds, son membre était raide comme le rock et ne demandait qu’à sortir de son slip. Je pouvais voir le gland qui sortait légèrement par le haut, doucement je tirais sur l’élastique et hop une belle queue bien raide s’en éjecta. Olivier qui me palpait les seins regardait avec grande attention l’érection de Marc. Des mains me palpaient partout et je l’avoue aujourd’hui ça n’avait rien de désagréable.


Nous étions au salon et cela se passa sur le fauteuil. Il y avait des mains, des langues partout, je me sentais comblée. Je donnais dans la fellation Marc en premier puis Olivier don’t le beau sexe s’était comme par magie éjecter du pantalon comme un ressort Puis tout à coup , entre une fellation et l’autre je vis mon copain prendre la bite de son ami dans la bouche. J’eu un frisson qui me parcouru tout le corps. Jamais au grand jamais je n’aurais pensé que Marc aurait pu faire cela. Il se retrouva allongé sur le fauteuil son ami se tenait debout les deux jambes entre sa tête et lui enfonçait le dard dans la bouche et moi de l’autre coté suçais Marc doucement. Ce n’est qu’en levant les yeux , son sexe bien enfoncé dans ma bouche que je vit cette grosse bite dans la bouche de mon copain. Je vis les joues de Marc gonfler par la pression du gros sexe qui entrait et ressortait de sa bouche.

Marc semblait vraiment adorer. Etait ce la première fois qu’il prenait plaisir avec un autre homme? A le voir aller il semblait très expérimenté. Il me jette un regard de travers, juste pour voir ma réaction. Je retirais doucement son sexe de ma bouche pour mieux voir ce qui se passait. Mes deux hommes se retrouvèrent en position 69 se donnant mutuellement une fellation. Ils se suçaient , se léchaient , les langues tournaient autour des glands qui s’enfonçaient dans leur bouches mutuelles et ressortaient pour s’y enfoncer à nouveau. Ils semblaient tous les deux être en extase. Cela me fit frissonner et je me mis à l’écart à regarder ces deux hommes en pleine activité, leur grosses bites gonflées à block entrer et sortir dans la bouche de l’autre.

Je me rendis compte que de voir mon homme sucer un autre homme me plaisait énormément, je ne manquais aucun moment de ces échanges Je me mis à me masturber en frottant doucement puis plus vivement mon clitoris. Je ne pris pas beaucoup de temps à jouir et me voyant, ils se levèrent, je m’étais assise dans un fauteuil et ils vinrent devant moi , debout, Marc pris le sexe d’Olivier et se mit à le masturber Marc approcha le sien de ma bouche pour que je puisse le prendre et le sucer. Puis à leur tour ils éclatèrent et je reçu des jets de sperme chaud.sur le corps et dans la bouche.

L’ami de mon copain revint de temps en temps. Il avait bien aimé ma présence dans ces ébats. Il était évident que ces deux la se fréquentaient depuis fort longtemps. Je ne m’en étais jamais rendu compte.

Bien que j’aimais bien être prises par deux hommes, je pris un intérêt soudain à observer leurs ébats. Il y avait toujours ces préambules de plus en plus longs, les attouchements discrets , des frôlements de mains de bras puis petit à petit n’y tenant plus les touchers devenaient de plus en plus fort. Je restais passive à observer ces attouchements sans toute fois intervenir. Debout au pied du fauteuil, mon copain déboutonnait sa chemise et son ami détachait le zip de son pantalon. Une belle bite en érection jaillissait soudain de sa prison. Olivier y pratiquait de petits attouchements et du bout de la langue il léchait le gland tendrement. Le pantalon tombait déjà au sol que d’une main ferme, l’ami s’emparait des testicules, les pelotant doucement. L’érection de mon copain n’ était que plus forte et vibrait parfois de plaisir. Les lèvres d’Olivier se refermaient sur le sexe gonflé, une belle fellation qui durait et durait. Je remarquais la qualité et l’expertise de ces caresses. Olivier connaissait bien les autres homme et appliquait des caresses qu’il aurait lui aimer avoir émanant de ses propres désirs. Marc ne manquait pas non plus de pratique.

Cela attisa ma curiosité, est ce qu’une femme pouvait me donner plus de plaisir qu’un homme? Je continuais à observer quand ce fut au tour de mon copain de faire jaillir l’organe de son ami. Ils savaient tous les deux que je regardais tout cela et j’imaginais que ça devait les exciter encore plus. Ces deux hommes savaient l’art de faire durer et jamais je n’avais connu d’autres hommes capables de rester aussi longtemps en érection.


.Je ne participais pas directement depuis peu mais cela ne m’empêchait pas de me caresser pendant les heures que durait leurs ébats. Parfois, mon rôle se contentait des les déshabiller un après l’autre et il m’arrivait de prendre la tige d’Olivier pour la foutre dans la bouche de Marc. J’adorait le voir sucer son copain. Il m’arrivait même de me lever et de venir les regarder de plus près. J’en profitais pour glisser un doit entre leurs fesses et caresser doucement très tendrement leur petit trou. Cela ne faisait que faire monter leur excitation et donner de la vivacité à leur organes déjà bien bandés. Mes deux hommes bondissaient de plaisir. J’adorait ainsi faire durer le plaisir puis j’aimais par dessus tout leur enfoncer un doigt dans le cul, aller et venir comme si je les possédait tous les deux.

Cette relation à trois dura assez longtemps et j’y ai pris mon pied très souvent.

Je croyais avoir connue bien des choses mais il restait tant d’autres à découvrir et ce n’est que plus tard que viendrait de nouveaux plaisir. IL était grand temps que j’explore des nouvelles avenues.

Je me préparais à partir pour mon année ou deux années sabbatiques. J’en profiterai pour écrire et décrire ainsi mes expériences vécues et celles à venir.

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