Entac doit délivrer sa promise et enfin après sa courte expérience avec les deux jumelles, complètement soumises à leur libérateur et à ses désirs, il va pouvoir vivre et fonder une nouvelle famille avec sa moitié.
Proposée le 11/04/2022 par mlkjhg39
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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Dans un lointain passé où la vie et la mort n’avaient que peu d’importance… 3
Il est particulièrement fier de l’entendre se plaindre et de prononcer son nom de plus en plus ardemment avant de crier librement quand il se répand sans retenue dans le fourreau toujours aussi serré après leur premier coït. Il halète, essoufflé.
C’est seulement en l’entraînant sur le flanc, la serrant dans ses bras comme un enfant, qu’il découvre son bas-ventre où la tache de sang séché est recouverte par du sang frais.
-Toi ? S’exclame-t-il surpris.
-Regretterais-tu d’avoir effacé le mal avec moi alors que tu l’as accordé à Enza?
-Non ! Je ne suis qu’un homme que ta sœur et toi avez conduit à la découverte de la femme et je vous en remercie.
Suite :
-Nous sommes tes femmes. Nous te donnerons nos forces aussi souvent que tu le désireras. Mais prends garde d’oublier…. Tu pourras nous chasser ou nous garder. Les enfants qui naîtront de nos corps seront issus de ta semence. Il faut maintenant que le sommeil répare ce que la joie des corps a épuisé.
Elle glisse une de ses mains sous la nuque d’Entac que le sommeil reprend brutalement, comme si ce qu’il vient de vivre n’est qu’un rêve, un interlude, et s’assoupit, comme à chaque fois précédemment. Vive comme l’éclair, elle quitte la couche et va s’étendre à coté de sa sœur, pleine elle aussi de la promesse d’un futur enfant.
Les jours suivant, ils suivent à la trace la caravane de Thépère dans l’espoir de libérer Xalla. Mais les jours passent et l’occasion ne se présente pas. La caravane arrive enfin en vue de la ville, Enza se dévoue pour retrouver Thépère pour lui tirer les vers du nez au péril de sa vie. Elle se glisse incognito dans les ruelles et rentre dans le palais de Thépère. Enza lui raconte qu’elle a réussi à fuir de l’emprise d’Entac mais que malheureusement ce ne fut pas le cas de sa pauvre sœur. En fidèle esclave, elle veut continuer à le servir et l’aider à prendre un bain pour se débarrasser de la poussière du dernier jour de marche. Thépère se laisse convaincre et entre dans son bain. Enza se débarrasse rapidement de son corsage et de son pagne. Nue, elle approche de la vasque, surveillant le regard qui pèse sur chaque secret de son corps. Elle entreprend aussitôt de nettoyer l’Olmèque. En un temps très court, il respire de plus en plus difficilement sous les caresses, grognant à chaque contact, tandis qu’elle s’ingénie à se tenir derrière lui, le provoquant de plus en plus audacieusement pour finir sur ses organes génitaux. Quand enfin elle tourne autour de lui pour s’emparer à deux mains du membre devenu énorme, il ne peut résister et son rauquement de bête n’est atténué que par sa volonté de ne pas alerter le voisinage. Sur l’eau s’étale très rapidement le trop-plein de sève et elle sort rapidement de la vasque, ruisselante, pour se frotter consciencieusement le ventre et la poitrine. Elle a réussi à lui soutirer les informations sur le sort de Xalla.
Soufflant comme un porc dans sa fange, il sort à son tour et se jetant vers la couche, le ventre en l’air, attend ce que lui prépare son esclave préférée.
Elle se revêt et murmure :
-Pour que tu retrouves ce que tu aimes, en mieux… Mais elle lui fait respirer une drogue qui le pousse aussitôt dans l’inconscience. Elle fouille ses affaires et trouve ce qu’elle est venu chercher, le lieu où a été conduit Xalla.
Elle court retrouver sa sœur et Entac pour les en informer et ils échafaudent un plan pour la délivrer.
Xalla est entre les mains des matrones du roi Olmèque. Elles la forcent à se dénuder pour être laver et ointe de musc puissants pour exciter encore plus la libido du Dieu vivant, puis elle est vêtue des plus beaux atours que l’on puisse trouvés dans ces temps reculés. Elle est conduite par des couloirs obscurs vers la couche du Maître par les prêtresses. C’est le moment que choisit Entac aidé des jumelles pour la soustraire aux matrones et aux prêtresses et s’échapper avec elle, ravie et soulagée de retrouver encore vivant son promis.
Après une étreinte rapide entre les jeunes amants, ils s’enfuient. Il leur faut pratiquement une semaine pour se retrouver dans un village de la vallée épargné par le tremblement de terre. Après avoir récupéré de leur fuite, ils ne peuvent plus attendre et vont voir le chef du village et le prêtre pour être unis devant leurs Dieux. Ils vont pouvoirs enfin sauter le pas et devenir mari et femme…
Xalla est plus prompte à se dévêtir. Ce n’est pas qu’Entac soit moins fiévreux qu’elle mais la parenthèse avec les jumelles le taraude et avant d’aller plus loin, il raconte tout à Xalla.
-Ne t’en fais pas mon amour, le rassure-t-elle, il y a longtemps que j’ai compris vu les regards qu’elles te portent et elles m’ont déjà tout raconté. Nos coutumes sont comme ça mais je serais jalouse si tu les préférerais à moi, ce qui n’est pas le cas. Laisse-moi faire…
Xalla lui retire ses habits et s’affaire sur la verge de son promis en une caresse douce avec succès. Elle se penche, touche le sexe du garçon qui entre aussitôt en érection, comme une sorte de ressort qui se détend ou une lame en acier qui se dresse en quelques instants, le dur épieu de chair est érigé fièrement. Elle s’agenouille devant lui et il perçoit l’impression puis le contact d’une bouche qui l’engloutit. Sa verge devient un simple jouet entre ses jambes nerveuses. Xalla démontre malgré son manque d’expériences des mâles en se livrant à une excitation des parties génitales masculines par des caresses buccales de très haut niveau qu’elle sait s’y prendre.
Marc se libère dans sa bouche mais elle sait si bien s’y prendre qu’il se répand encore avec un rauquement sur son visage en longues trainées blanchâtres.
Alors qu’elle s’est déjà relevée, elle glousse :
-Figure-toi que je préfère d’abord te soulager de ton trop-plein pour ne pas être transpercée. Je ne suis qu’une pauvre pucelle et tes « amantes » m’ont prévenue de tes prouesses répétées. Nous allons faire l’amour. Il faut que j’aie moi aussi un enfant de toi, l’héritier de ta lignée. Ne bouge pas. C’est une action qui me revient.
Complètement nue, elle observe le sexe d’Entac, sourcils légèrement froncés, comme pour évaluer sa taille, son diamètre, sa fermeté et lui avoue :
-Par tous les Dieux ! T’es drôlement membré tout de même ! J’ai déjà vu des hommes du village l’étendard dressé mais rarement avec une telle lance ! Tu iras doucement quand on sera collés, hein ! Je n’ai pas envie que tu me défonces avec cet engin là !
Entac bande avec tellement de force que c’en est douloureux. Elle lui fait les gros yeux.
-Ne t’avise pas d’éjaculer dans le vide ! Je veux un enfant de toi et après ce que tu as déjà versé, je ne veux plus rien gâcher! Le pénis que je vais plonger en moi brûlera une chair vierge.
Il ne tente pas de se dégager, elle l’invite d’un geste à s’étendre et, tandis qu’il repose sur le dos, Xalla reprend une lente fellation apte à redonner forme et vigueur au membre provisoirement fatigué à qui il ne faut pas longtemps pour être de nouveau en pleine forme
Xalla le fait s’étendre près du feu, se met à genoux au dessus de son bas-ventre, sans pour autant relâcher la verge conquérante puis, d’un mouvement coulé, elle se place sur lui et se pénètre elle-même avec un petit gémissement de plaisir. Il ferme les yeux de soulagement en entendant le petit cri de Xalla qui se déflore sur son dard.
Entac la serre un peu plus contre lui, accrochée des deux mains aux épaules de la fille. A plusieurs reprises, son ventre nu s’appuie contre celui de la fille et elle cesse brusquement de remuer, le regardant avec des yeux suppliants.
-Tout doux mon prince ! Je ne suis pas encore suffisamment habituée à l’assaut du mâle en rut, et toi tu es un vrai bouc !
Elle expulse l’intrus, se saisit de la verge d’une main et la guide à nouveau vers son vagin. Quand elle se pénètre. Elle frissonne lorsque la main de son amant vient effleurer la courte toison brune de son ventre.
Elle gémit en accentuant la pression contre lui, les yeux brillants, en crispant furtivement les doigts de sa main droite sur la dure barre de chair à moitié enfoncée dans son ventre. Elle tressaille violemment et esquisse un sourire quand quatre mains féminines viennent se mêler à leurs plaisirs. Les jumelles ont observé de loin la défloration de Xalla. Elles vont partager bientôt la grossesse et elles espèrent la naissance des enfants d’Entac qui seront élevés ensemble. Mais pour le moment, elles veulent partager le bonheur de ce jeune couple en les aidants à atteindre le plus de fois possible le nirvana des sens. Entac se répand enfin en elle. La nature n’a plus qu’à faire son œuvre et les quatre amants seront bientôt sept. Il faudra longtemps mais la tribu renaitra de ses cendres, si la montagne lui prête vie…
C’est ainsi que ce passait la vie en ces temps reculés dans ce pays lointain avant que les conquistadors espagnol ne viennent tout détruire…
Fin.
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