Juliette, est une femme très timide voir très prude. Elle loue avec son mari Paul un mobile-home dans un camping au bord de la mer. Au bout d'un certain temps, ils sympathisent avec un autre couple de voisins. Paul les invite pour l'apéro.
Proposée le 28/02/2022 par lounabelle
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: extra-conjugal
Personnages: Groupes
Lieu: Vacances, voyages
Type: Fantasme
Cela fait quelques jours, que Paul et sa femme Juliette, sont en vacances dans un mobil-home au bord de la mer. Ils sympathisent avec un couple voisin, que Paul invite pour l'apéro. Elle Morgane, est une femme grande avec de belles formes. Lui Richard, est un homme costaud aux allures de bucheron. Son torse impressionnant, est couvert de tatouages.
Les quatre se retrouvent sous un pin parasol, autour d'une petite table. Il fait très chaud, les femmes portes des tenues estivales. Les hommes sont en short le torse nu. la voisine porte un genre de marcel très large, lorsque qu'elle se penche, on aperçoit sa poitrine généreuse. Son short en jeans extrêmement court, laisse voir une partie de ses lobes fessiers. Juliette un peu plus réservée, porte une jupe légère qui lui arrive juste des dessus des genoux. Un top lui enserre les seins, sans laisser voir une once de peau.
Paul serre les boissons, Juliette les toasts. Les quatre parlent de tout et de rien, les verres se suivent, l'ambiante est détendue. Les histoires fusent, les rires bruyants se font entendre. La conversation dérape un peu, le sexe est abordé très franchement par les voisins et Paul. Les trois en parlent comme s'ils se connaissaient depuis de longues dates. Morgane rit à gorge déployée, Juliette elle, rougit.
Extrêmement prude sur le sujet, elle semble gênée. Lorsqu'on s'adresse à elle, elle baisse la tête en rougissant. Les verres se remplissent à nouveau. Morgane parle de ses relations passées sans aucune retenue, elle avoue aimer aussi bien les femmes que les hommes et, quelques fois elle en reçoit chez elle avec son mari, pour des délires monstrueux. Paul se lèche les babines en regardant intensément Morgane.
Juliette la regarde en écarquillant les yeux, elle ose lui demander :
- les femmes aussi, mais pourquoi ?
Morgane sans se démonter, répond :
-Parce que les femmes, sont plus douces, moins brutales que les mâles et, elles connaissent nos points hétérogènes comme personne !
Morgane éclate de rire et avale son verre d'un trait. Juliette reste béate en regardant la femme. Le regard des femmes s'accroche, leurs yeux se mettent à briller. Juliette perturbée par le regard intense de Morgane, lève son verre et propose de trinquer. Les amusent gueules défilent en grand nombre, les verres aussi. Les quatre commencent à ressentir les effets euphoriques de l'alcool. Soudainement Juliette sursaute, le pied dénudé de Morgane se pose sur le sien. Juliette le regarde hagard, semble tétanisée. Le pied monte le long de son mollet et, s'avance sans brusquerie entre ses cuisses. Juliette ne peut réagir, son corps se met à trembler doucement. Le pied s'approche de l'entrejambe dangereusement. Juliette serre les cuisses, mais le pied et déjà contre sa vulve. Les orteils appuient sur sa fente protégée que par le fin tissu de sa culotte.
Les deux hommes ne remarquent rien, ils papotent comme de vieux copains. L'audace de Morgane surprend Juliette qui, n'arrive pas à articuler un mot. Les doigts de pieds téméraires, pianotent sur ses grandes lèvres vaginales de Juliette, qui reste sans réactions. Un petit filet de cyprine s'échappe de son vagin et s'étend sur le devant de sa culotte. Le corps de Juliette est secouée de frissons. Les deux femmes se regardent intensément, Morgane appuie plus fort sur les lèvres qui ne cessent de suinter. Juliette ferme les yeux et pousse un soupir qu'elle étouffe en se mordant le poignet.
Paul et Richard reprennent une rasade, en radotant comme de vieilles femmes. Paul sans le faire exprès fait tomber sur le sol un toast. Il se penche pour le ramasser, il reste figé parce qu'il voit sous la table. Il se relève, regarde les deux femmes avec un intérêt certain. Il regarde Richard en faisant une moue, qui se doute de quelque chose. Il se penche à son tour et se relève en souriant, il met sur ses lèvres son index et fait chut. Paul ravale sa salive, sa femme a toujours les yeux fermés, elle geint doucement en appuyant son poignet sur sa bouche. Sa chatte est trempée, ainsi que sa culotte. Elle se cabre et émet un bruit étouffé de jouissance. Morgane qui ne l'a pas quittée une seconde des yeux, retire son pied. Juliette ouvre les yeux, ils sont embrumés de larmes. Les deux femmes se regardent, Juliette est rouge comme une pivoine. Morgane se lève et passe derrière Juliette, elle lui pose les mains sur les épaules, les masse délicatement puis, lui murmure à l'oreille :
- J'ai envie de toi, tu me plais, tu dois être un volcan qui s'ignore !
La provocatrice, en profite pour lui donner un petit baiser sur la nuque. Juliette honteuse, se lève et se dirige vers le mobil home. Morgane lui emboite le pas, Juliette se place face à l'évier, Morgane se trouve derrière elle, sans aucune gêne, elle lui relève la jupe, l'enlace et lui plaque une main sur son intimité. La culotte de Juliette est trempée, Morgane appuie fortement dessus, le tissu s'enfonce légèrement dans le vagin humide. Juliette se cabre et se retourne brusquement, elle veut repousser la femme intrépide. Morgane ne lui en laisse pas le temps. La coquine pose ses lèvres sur les siennes et, lui force la bouche avec sa langue. Juliette, fébrile tente de se débattre.
Morgane retire sa langue de crainte d'une morsure. Elle regarde longuement Juliette dans les yeux puis, repasse à l'attaque, sa bouche affamée se pose sur le cou de sa proie et y donne de nombreux baisers, suivi de petites lèches humides. Morgane fait descendre une main sur le bas-ventre de Juliette et, lui triture les grandes lèvres à travers la culotte qui s'humidifie davantage. La bouche vorace de l'entreprenante voisine, se pose sur ses lèvres pour la seconde fois.
Juliette veut dire quelque chose, elle entrouvre la bouche. Mais la langue agile s'enfonce rapidement dans sa cavité buccale et, se noue à la sienne. Les doigts pressent les grandes lèvres que la culotte ne peut protéger. Juliette pousse de nombreux soupirs, Morgane envoie un flot de salive dans la bouche de Juliette qui, on ne sait pour quelle raison, l'avale. Les doigts se font plus pressants, ils glissent sous la culotte et taquinent la fente qui ne peut retenir son jus. Juliette commence à geindre, elle accepte les baisers brulants de son amante. Les deux femmes basculent sur le sol, elles sont toujours dans les bras l'une de l'autre.
Les baisers qu'elles échangent, sont d'une intensité mémorable. Juliette grogne sous les baisers fougueux de son amante. Enfin les lèvres se séparent. Les deux femmes se regardent, Juliette tremble, elle est très émue elle arrive juste à dire :
- Mais qu'est qui m'arrive, mon Dieu comme j'ai honte, je deviens une catin !
Morgane lui répond avec douceur :
-Mais non ma chérie, tu n'es pas une catin, nous avons besoin l'une de l'autre, nos corps sont en ébullitions !
Décoince-toi, donne-toi à fond !
Juliette tend sa main tremblante vers le visage de Morgane, elle le caresse, ses doigts glissent sur les lèvres charnues de la femme qui, l'a désir, elle les lui les gobe un à un. Elle les suce en regardant Juliette droit dans les yeux. Le regard noir profond de son amante, rend Juliette fébrile, elle retire ses doigts et enlace Morgane pour l'embrasser, les souffles chauds se mêlent, les lèvres se joignent pour un long baiser. Elle arrive à lui dire entre deux baisers :
-Oh toi, toi tu me rends folle !
Les baisers cessent, Morgane retrousse la jupe de Juliette et, lui descend lentement la culotte. Juliette ferme les yeux, un peu honteuse de ce qu'elle fait, mais se tortille pour faciliter le travail de Morgane. Morgane se place entre les cuisses de Juliette, hume avec force les effluves odorantes qui s'échappent du puits d'amour. Sa langue monte et descend sur la fente très humide, cherche entre les grandes lèvres la perle magique. La trouve et, la titille avec la pointe de sa langue. Juliette pousse des râles de bête, elle s'ouvre comme une fleur sous la rosée du matin. La langue experte la fait délirer de plaisir, elle appuie sur la tête de son amante pour qu'elle ne se dérobe pas.
Le clitoris de Juliette a doublé de volume, Morgane s'acharne dessus, elle l'aspire et le suce avidement. C'en est trop pour Juliette, qui se cambre fortement et jouit en hurlant de plaisir. Morgane délaisse le puits intarissable et, remonte le top au-dessus des seins de sa proie. Les seins magnifiques apparaissent, les bouts sont déjà dressés au centre des taches brunes. Les doigts agiles les saisissent et les roule longuement, Morgane prend un malin plaisir de les étirer, elle aime entendre gémir Juliette. Elle pose sa bouche sur les mamelons et les suce à tour de rôle. Les succions successives font grogner Juliette de bonheur. Pendant qu'elle tète, une de ses mains se place sur sa vulve détrempée. Ses doigts s'emparent du clitoris et le branle doucement. Juliette s'agite, elle râle comme jamais. La tension est telle qu'elle jouit à nouveau, en grognant comme un fauve.
Morgane retire ses vêtements, Juliette fait de même. Les deux femmes s'enlacent sur le sol. Les chattes chaudes comme de la braise se frottent l'une contre l'autre, les cyprines se mélangent. Morgane change de position, elle enjambe Juliette et se place tête bêche.
Les deux femmes se lèchent la chatte en grognant comme bêtes en ruts. La tension est au maximum, les deux amantes jouissent presque en même temps, les visages sont recouverts de cyprine. Les deux femmes sont heureuses, elles replongent leur tête entre leurs cuisses et, respectivement, se remettent à se dévorer la chatte.
Les hommes inquiets de ne par revoir réapparaître les deux femmes, entrent dans le mobil home. Paul ne reconnait plus sa femme, elle, si réservée d'habitude, voir très pudique se donne sans retenue à une femme. Les deux hommes se regardent, foncent les sourcils et d'un commun accord retire leur short. Ils regardent les deux amants qui ne cessent de se dévorer sans leur prêter attention. Les queues se dresses, les deux voyeurs se masturbent. Richard, arrive à faire lâcher prise à sa femme, il prend place entre les cuisses de Juliette qui chaude comme de la lave, ne le repousse pas. Il frotte son gland contre la chatte baveuse et, l'enfonce d'un coup jusqu'à la garde. Juliette pousse un long râle. Elle agite son bassin, en se cramponnant à Richard. Le bougre commence une défonce mémorable.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.
Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.
Commentaires de l'histoire :
Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email