C’est une relation particulière, une aventure sexuelle qui ferait rêver quiconque aimerai par un étonnant hasard vivre des heures d’une telle intensité. La vie quelques fois vous offre des moments d’éternité, sachez en profiter. C'est à vous, femmes, que je dédie ce texte.
Proposée le 22/02/2022 par maximilien7
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie
Lorsque ma mère travaillait de nuit, il était convenu que je dorme chez la couturière, notre voisine. Elles étaient amies depuis que le divorce avait été prononcé, par solidarité entre femmes sans doute, puis l’isolement aidant, des sentiments semblaient les consoler l’une et l’autre.
La solitude est une compagne cruelle, je le sais aujourd’hui, mais à l’époque, j’ignorais cela, évidemment, à treize ans on ne s’en soucie pas encore. On ignore aussi ce qui se passe derrière les portes closes, on ne connaît rien à l’amour non plu, on surprend quelques regards, des baisers sur la bouche et des joues qui rougissent quand par hasard au détour d’un escalier des mains s’aventures dans des paysages sybarites.
Tapis dans le noir d’un couloir, quelques fois, on ignorait ma présence j’entendais alors dans cet immeuble lugubre le bruissement d’une jupe qu’on remonte, une jambe qui se lève et une cuisse qui se découvre, mais aussi les soupirs furtifs qu’une main étouffe, le visage d’une femme qui, la tête rejetée en arrière expire, satisfaite, sans doute comblée par une caresse que je ne devinais pas encore.
Mais c’est elle..., la couturière, que j’aimais tant, elle avait un visage gracieux, des yeux de biche, et quand elle gratifiait mon visage d’une multitude de baisers, sa bouche était si douce. C’est un rituel qui ponctuait les soirées que nous passions ensemble, les repas étaient copieux, car elle savait recevoir. Je passais ainsi avec elle, des moments d’une incroyable tendresse. Puis elle me prenait par la main, et ce fut le cérémoniel de la douche qu’elle prenait après moi. Ma nudité devant ses yeux me faisait honte, mais rapidement, elle sut me faire oublier cette tare, car sans complexe, elle s’effeuillait avec cette élégance qu’elle savait avoir, alors, j’eus ma première érection que bien sûr, elle remarquait aussitôt.
Elle souriait alors, et je baissais les yeux quand sa main passait dans ma chevelure, puis lascive elle ceignait d’une main douce mes attributs et je fondais comme neige au soleil.
‘’ C’est bon n’est-ce pas ?‘’, disait-elle alors en baisant ma joue avec une merveilleuse tendresse.
Puis, un soir, vaincu par la fatigue elle s’est assoupie sur le canapé vieillissant. Je me rappelle de la chaleur torride de cette nuit-là. Le silence et sa douce respiration me sortirent de la torpeur dans laquelle j’avais sombré moi aussi. Maëva était là, si belle, couchée en chien de fusil et l’émotion me submergea. Sa tête, couronnée de sa belle chevelure noire, reposait sur son bras droit replié. Elle portait sa petite robe à fleurs aux couleurs vives des îles, on aurait dit une princesse maorie. Celle-ci ne retenait qu’avec peine sa poitrine lourde et ronde qui pointait le tissu avec arrogance. Sa main gauche se perdait là-bas entre ses cuisses, en suivant le revers du tissu rendu trop court par ses jambes repliées, et bien sûr, je cherchais à voir l’objet de ma curiosité.
Et là, il a suffi d’un bref mouvement pour découvrir médusé ce que je n’osais espérer, les frisotis noires d’une toison si joliment parée. Alors montait en moi, cette chaleur et cette envie de palper. Oh… ! Je l’aurai fait avec douceur, avec tendresse imaginant instamment que Maëva m’accorderait cette faveur, car je l’ai vu tant de fois dans son plus simple costume, que je n’y voyais aucune opposition.
Un léger gémissement émanait de ses lèvres entrouvertes, la couturière semblait rêver. Soudain, d’une main douce et furtive, frottant et caressant, allant et venant d’avant en arrière entre ses cuisses, elle oublia ma présence. Je devinais son rêve dans l’espoir évidemment d’y être compromis, car quelques fois, elle apparaîssait dans les miens lors de quelques émois nocturnes qui, je l’avoue, ne me surprennent plus.
Alors silencieux pour ne pas la réveiller, je me plus à contempler cette femme qui s’adonnait aux plaisirs charnels dans un crescendo sensuels dont je profitais honteusement par une érection que ma main ne contenait plus qu’à peine.
Qu’elle était belle dans cette attitude, s’infligeant inconsciemment une soumission, alors de mélodiques murmures émanèrent de ses lèvres humides. Doucement, elle allait et venait, glissant amoureusement dans cette gélivure sombre, et ses doigts se mirent à briller enrobé d’une pateline et abondante onction génésique, dont les traces luminescentes, déjà, devinrent apparentes.
Je voulus voir ce visage enjolivé et plaisant de plus près, tandis qu’elle gardait ses yeux clos, son corps se mis en mouvement alors à genoux, je la regardais rougir et j’écoutais ses murmures, puis enfin, je laissais ma main tremblante apaiser cette verge effervescente, et pour la première fois, au fil d’une masturbation appliquée, un orgasme me projeta au-delà des nuages.
Le corps ondoyait avec aisance, sa main massait le sexe et le bruissement fluide s’amplifiait, alors j’en fis autant, triturant ma verge comme jamais je ne l’avais fait. En somme, nous faisions l’amour, ce fut une merveilleuse découverte ! Quand soudain elle ouvrit les yeux, je me rappellerais toujours de son étonnement, sa réaction dépassa alors mon entente. Je fus happés avec douceur par une main câline, puis, sans un mot dire elle se dépouilla de ses vêtements et, bonheur des bonheurs, je fus enclavé dans ce corps bouillonnant, puis entouré par ses bras maternel, ses belles lèvres mordillaient et suçotaient la moindre parcelle de peau à sa disposition. Entièrement nu, je m’abandonnais contre elle et submergé par le parfum exaltant de ce corps de femme, je me laissais aller à ses conseils.
Elle avait ouvert ses cuisses, et ainsi compressé entre ces magnifiques globes de chair patinée, je glissais doucement vers le bas. Quand ma verge délicatement disparue dans la toison du pubis, elle trouva la douce ravine de son sexe que je sentis s’ouvrir. Puis…. le lépidoptère rose déployât ses ailes, et dans une sorte de ferveur, j’entrais en elle…..l’instant fut magique, alors je n’existais plus que par elle, par ses caresses et ses petits mots doux, par ce vagin chaud et accueillant que mon appendice révélait au plus profond de ce corps.
‘’ Viens, mon petit amour baise moi ! Oui comme ça…Doucement, oh ! Oui…. Doucement encore, encore… Oui viens !!’’
Ah ! Mon Dieu, quel bonheur de voir naître dans ses yeux mis clôt la jouissance alors ces quelques mots, susurrés à mon oreille, resteront à jamais gravé en mon âme.
Tandis qu’elle refermait ses bras sur moi, je restais dans ce cocon maternel qu’elle animait d’un léger mouvement du bassin, ses seins vinrent compresser les miens et ces coussins de chair rose furent d’une sensuelle tendresse. Lentement, elle me retournait, puis, ouvrant largement ses cuisses, son sexe vint s’empaler sur le phallus qui disparut dans ce corps et aussitôt le bassin se mit en mouvement. D’avant en arrière d’abord, puis en mouvement circulaire, Maëva dansait une ronde et de ses mains caressait les globes de ses seins, puis dans une escapade ses doigts se perdaient dans le pelage luisant, et je sus que se cachait là, la clef du bonheur féminin, alors, sauvagement et méthodiquement, nous gravîmes ensemble les marches de l’extase. J’aurais aimé m’éteindre dans le vagin de cette femme, afin de pouvoir y renaître sans fin.
Dans un cri, les semences furent éjaculées, alors la couturière expira profondément, et son magnifique sourire, accompagné de quelques mots tendres, me laissa une satisfaction sans borne. Il y a des secrets qu’on garde, par pudeur mais aussi par respect de celle qui ce jour béni de ma vie m’a offert ce qu’elle avait de plus précieux….’’.Son corps et son âme de femme’’.
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