La nouvelle année, commence bien 2

Grégoire sort peu à peu du coma, il monte à l'étage et surprend sa femme et son amante en pleine action. Il rouspète un peu puis, retire ses vêtements. Il a la ferme intention de se venger. C'est Mathilde qui est choisie comme première cible.

Proposée le 13/01/2022 par valeriane

Thème: pratiques sexuelles
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

Mathilde bonne élève, fait exactement ce que lui a fait France. Elle la fait jouir de nombreuses fois. Les deux femmes restent étendues sur le lit, toute en papotant elles récupèrent des forces. Un bon moment après, les deux femmes sont de nouveau opérationnelles. France sort du tiroir de sa table de nuit un gode impressionnant, elle l'agite sous le nez de son amante qui reste baba à la vue de l'engin monstrueux.

-Nous allons nous régaler, vas-y, suce-le mouille-le bien !

Mathilde saisit l'engin de silicone, le suce et le tète comme une véritable verge. France la regarde faire en souriant. La coquine l'excite avec des paroles crues, rien d'en parler France à la vulve qui commence à se noyer. Elle pose sa main sur sa fente baveuse et presse les grandes lèvres. Sur le lit une grande tache humide se forme, France dit en la regardant :

-Putain, je mouille comme une grosse salope, fais-moi jouir mon amour !

Mathilde retire le gode de sa bouche et se met à le frotter sur la chatte dégoulinante de son amie impatiente. France, s'ouvre comme une fleur dès les premières lueurs de l'aube. Mathilde appuie l'engin, les grandes lèvres s'écartent et la monstrueuse bite factice s'enfonce lentement dans le conduit brulant. Pendant la pénétration, France grogne de plaisir, elle ouvre la bouche et laisse échapper un râle continu.

Mathilde enfonce le gode jusqu'à la garde puis, actionne la vibration. France se cabre, ses yeux s'ouvrent au maximum. Les vibrations, que Mathilde prend soin d'augmenter, rendent France Hystérique, elle s'agite sur le lit en grognant fortement. Son vagin distendu par le mandrin en vibration la rend incontrôlable. Elle dit des mots inaudibles, ne fini pas ses phrases. Elle se tortille comme une anguille. Mathilde tourne dans l'antre de la femme en furie l'engin veiné monstrueusement. À chaque rotation de la bite factice dans sa gaine distendue, France rue comme une bête enragée. Ses yeux révulsés lui donnent un air féroce. Elle halète fortement, ses cris sont impressionnants.

Mathilde la travaille sauvagement, le va-et vient qu'elle impose fait disjoncter France qui se cabre en hurlant. Ses jets de cyprines violents, étalonnent son amante, elle ressort l'engin et lui donne à sucer. Goulument la jouisseuse dévore le sexe factice, la coquine se fait une gorge profonde, elle manque d'étouffer tellement le gode énorme, lui obstrue la gorge. Soudain une voix se fait entendre, c'est Grégoire qui se trouve à l'entrée de la porte de la chambre. Il regarde les deux femmes, le bougre vacille sur ses jambes. Il dit avec difficultés :

- Oh j'ai deux salopes à la maison, qui prennent du bon temps et ne m'invitent même pas !

France recrache le gode, elle reste sans voix. Avec les nombreuses jouissances qu'elle a eues, sa mine est défaite ses yeux sont cernés.
Malgré son état d'ébriété, qui heureusement diminue, Grégoire répète plusieurs fois :

-Vous êtes vraiment deux sacrées salopes, jamais je n'aurais pensé, que toi France tu me cocufies avec une salope de ton genre, j'ai honte pour toi !

Mathilde se rebiffe en disant :

-Nous avons été amantes avant qu'elle te connaisse, donc ta morale tu peux te la mettre où je pense, avec moi au moins, elle prend un pied d'enfer !

Grégoire un peu vexé, serre les dents et dit entre souffle :

-Je vais te prouver que je suis à la hauteur, je vais vous baiser jusqu'à ce que vous demandiez grâce mes salopes !

Mathilde s'esclaffe et répond :

- Ah et tu vas commencer par qui ?

-Par toi, qui as une grande bouche de dévoreuse de queue !

Qu'il rétorque en souriant. Maladroitement, il retire ses vêtements, France regarde Mathilde et lui fait un clin d'œil. Elle lui écarte les jambes en souriant et dit un peu euphorique :

- Oh, ça va être ta fête mon amour !

Grégoire prend place sur le lit, il est face à Mathilde et dit ironiquement :

-Je suis sûr que tu mouilles déjà salope !

Il passe sa main dans entre les cuisses de Mathilde et dit en riant :

-Oh la vache, tu mouilles comme une fontaine, je vais tarir ton puits, d'abord je vais en sonder la profondeur !

Sans ménagement, il lui enfonce trois doigts dans la chatte et là lui fouille sauvagement, ses doigts rugueux, tournent dans l'antre en faisant des bruits de succions. France regarde en souriant, elle sait que si son mari s'occupe de son amie, elle ne va pas le regretter, car le coquin à une queue à vous déchirer les entrailles. Les doigts entrent et ressortent de la chatte en prenant de la vitesse. Mathilde ce tort sur la couche, elle geint en serrant les dents, elle regarde Grégoire en lui disant :

-Oh arrête salaud je vais jouir, putain ça vient !


Elle se cabre en poussant une série de :

-Oui, oui, oui !

Grégoire, place ses cinq doigts sur la chatte en ébullition et pousse, lentement toutes les phalanges disparaissent dans le conduit de chair. Mathilde s'agite, la jouissance approche à grands pas, elle s'ouvre davantage pour recevoir la main entièrement en elle. France écarquille les yeux, elle reste coite, elle regarde la vulve distendue à l'extrême, avalée la main de son amante. Le spectacle qu'elle voit provoque dans son corps comme une décharge électrique, elle plaque sa main sur sa chatte. Elle se triture les grandes lèvres en se faisant violence. Sa bouche est déformée par une moue affreuse

Mathilde se cambre fortement et se bloque. Son bassin ne touche plus le lit, elle grogne en serrant les dents et explose de jouissance. Grégoire en profite pour fermer le poing et de lui ramoner la chatte comme un véritable soudard. Sa main fermée fait des quarts de tours dans la chatte dilatée. Mathilde ne cesse de jouir, elle set en transe. Grégoire fier de lui dit en toisant les deux femmes :

-Ce n'est que le début mes salopes, chacune à votre tour vous allez être mon jouet, vous n'avez pas encore fini de jouir !

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