La nouvelle année commence bien. 1

Mathilde, vient de louper la correspondance de son train, elle doit trouver un hôtel, car le suivant n'est que le lendemain. Elle erre dans la ville faite du lèche-vitrine, lorsqu'une personne l'interpelle.

Proposée le 11/01/2022 par valeriane

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Thème: Couple, passion
Personnages: FF
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

Mathilde manque de chance, elle vient de louper la correspondance de son train, elle devait passer le réveillon de fin d'année dans sa famille. Pour elle c'est râpé, car le prochain train n'est que le lendemain. Pour cela elle doit passer la nuit dans cette ville qu'elle ne connait pas. Elle erre dans les rues, fait du lèche-vitrine tout en cherchant un hôtel pour la nuit.

Soudain une voix retentit et l'interpelle :

-Mathilde, coucou !

Surprise, elle se retourne, une femme accompagnée par un homme lui souri. Elle fronce les sourcils, cherche à deviner qui c'est, elle s'approche puis reste scotchée. Elle sursaute et s'esclaffe :

-France, c'est bien toi ?

La femme répond en lui souriant de plus belle :

-Oui, c'est moi, quel heureux hasard t'amène dans ma ville ?

Les deux femmes se jettent dans les bras l'une de l'autre, les embrassades sont interminables, elles ont les larmes aux yeux. France lui présente son mari Grégoire. Mathilde raconte sa mésaventure. France lui dit en arborant un large sourire :

- Ne cherche pas d'hôtel, tu viens passer le réveillon chez nous, plus on est de fous plus on rit !

-Oh, je ne veux pas m'incruster !

- Mais ma petite, tu vas être mise à contribution ne t'inquiète pas, tu vas m'aider pour le service et préparer les entrées !

Mathilde accepte, les trois ensemble, terminent les derniers achats et se rendent dans la maison que le couple possède. Pendant les préparatifs, les deux amies se remémorent leur enfance. Les deux ont flirté ensemble pendant le lycée, elles se sont promis mille choses, qu'elles n'ont jamais tenues bien-sûr. Leurs visages s'illuminent, il est vrai que les deux adolescentes s'aimaient sincèrement à cette époque. Mais les aléas de la vie les a séparés pendant de nombreuses années. Leurs yeux, pendant que les deux se remettent en tête leurs souvenirs, ne cessent de briller.

Il est déjà Vingt heures le premier coup de sonnette retentit, les premiers amis du couple arrivent. Ils sont suivis par quelques autres. Mathilde est présentée comme une star. La fête commence, la musique bat son plein, les danses se succèdent, des chansons paillardes sont fredonnées en chœur, quelques jeux détaillants ne sont pas oubliés. Les plats se suivent, ainsi que les verres. L'alcool est euphorique, ce n'est que gaité dans la maison. Les heures passent, l'aube pointe son nez. La maison se vide peu à peu. Il reste maintenant que, France, Mathilde et Grégoire qui est affalé dans un fauteuil et cuve son excès d'alcool, il ronfle comme une locomotive en dormant profondément.


Mathilde, après avoir débarrassée la table avec l'aide de son amie, s'assied sur une chaise pour respirer un peu, il faut dire que les deux femmes n'ont pas chômées, elles ont assuré le service. France passe derrière Mathilde et lui dépose quelques baisers bruyants sur les épaules. Elle la serre très fort en lui répétant :

- Eh bien heureusement qui tu étais là, car sans toi ma chérie, je ne sais pas si je n'en serais sortie merci !

Le visage de France, est très près de celui de Mathilde. France pose ses mains sur les épaules dénudées de son amie. Elle hume l'odeur que dégage sa peau, la coquine dépose un doux baiser très appuyé sur la joue de Mathilde qui pousse un soupir. Les mains moites de France glissent sur les épaules de Mathilde et les masse délicatement, Mathilde prend plaisir à ce doux massage. Elle ferme les yeux en ronronnant et dit :

- Tu as des doigts de fée, oh, c'est trop bon, encore un peu s'il te plait !

France enfonce ses doigts dans les muscles des épaules de son amie et comme une pro les travaille en profondeur. Mathilde ne peu retenir ses soupirs, elle souffle doucement. Mais comme tout a une fin, le massage aussi. Mathilde se lève de son siège et fait face à son amie les deux se souris et se jette dans les bras l'une de l'autre. Elles se serrent fortement en poussant de nombreux soupirs. La main de Mathilde, caresse le visage d'ange de son amie, les deux femmes ne se disent rien, ce sont leurs yeux qui parlent. Les deux amies sont très émues.

Les doigts fins de Mathilde glissent tendrement sur les lèvres entrouvertes de France et s'engagent lentement dans la faible ouverture. France se met à sucer minutieusement les intrus, sa langue passe entre les doigts, que Mathilde enfonce davantage dans sa bouche. Les femmes se regardent sans baisser les yeux. Le regard noir de France, fait frissonner Mathilde. Elle ressort ses doigts de la bouche de son amie et les promène à nouveau sur ses lèvres bien dessinées. France lui dit tendrement :

-Je crois, que mes sentiments pour toi, malgré tout ce temps, reprennent le dessus !

Mathilde lui sourit et approche son visage de celui de France, leurs souffles chauds se mêlent. Leurs lèvres se frôlent. L'envie est si forte que les lèvres finissent par se joindre. Les soupirs sont bruyants, le baiser dure longtemps. France détache ses lèvres et prend entre ses mains la tête de Mathilde en répétant :

-Oh, toi, toi tu me rends folle depuis que je t'ai revue !

Les lèvres se joignent à nouveau, les langues ondulent dans les bouches puis, se nouent comme deux reptiles qui cherchent à s'accoupler, les cœurs battent à se rompre. France prend l'initiative. Tout en embrassant son amour, elle lui caresse d'une main les seins, bien que protégés par les vêtements, se raffermissent sous la douce palpation. L'excitation monte dans les deux corps.
Soudain, elles sont interrompues par un ronflement plus fort que les autres. Grégoire vient de changer de position, il est très agité. Mais n'ouvre pas les yeux, il est dans un état comateux que seul le repos l'en n'en en sortira.

France prend la main de Mathilde et lui dit :

-Viens mon amour !

Mathilde la suit comme un automate, en lui tenant la main. Les deux femmes montent à l'étage et pénètrent dans une chambre. Lentement France effeuille son amie, un à un ses vêtements jonchent le plancher. Mathilde se retrouve nue devant son amie, elle est un peu honteuse. Bien que les deux femmes se sont deja misent nues l'une devant l'autre il y a de nombreuses années de cela, là, c'est autre chose. La gène s'installe, Mathilde moins audacieuse que France, rosit des joues, elle hésite de lui rendre la pareille. Mais France l'encourage :

- C'est à toi de me dévêtir mon amour !

Mathilde, timidement fait glisser le zip de la robe, elle pose ses mains les épaules menues et les passe sous les larges bretelles, progressivement elle en dégage les frêles épaules et fait tomber la robe, sur l'épais tapis qui longe le lit. Ses doigts mal habiles dégrafe le soutien-gorge et lui fait suivre le même chemin que la robe. Il ne reste sur le corps de France que sa culotte. France bascule lentement son amie sur le bord du lit et lui ouvre les jambes sans brusquerie. Elle s'agenouille face à elle et contemple un instant la vulve bien rasée. Elle avance ses mains. Ses longs doigts fins, glissent sur les grandes lèvres, rapidement Mathilde se met à mouiller.

La coquine sort de son écrin la perle précieuse, la roule doucement entre ses doigts. Mathilde se cabre en gémissant, les doigts se font plus brutaux, ils enserrent le clito et le branlent énergiquement. Mathilde se met à trembler, elle s'agrippe au bord du lit en geignant comme une bête. Là, France retrouve son amour d'antan, elle sourit. Elle s'active avec fermeté sur la boule qui ne cesse de grossir. Les jambes de Mathilde se mettent à trembler, elle ouvre de grands yeux, se cambre puis, pousse un cri terrible de jouissance. France, profite de ce moment pour plaquer sa bouche sur la perle et la gober. Elle suce et tète comme une forcenée la boule de chair. Mathilde jouit à nouveau, ses gémissements ressemblent à des plaintes de bêtes blessées. France avale tout se qu'elle peut puis, se redresse brusquement. Elle place une main sur son entrejambe, une grosse tache humide s'étend sur sa culotte.


Elle la retire rageusement et monte sur le lit. Elle est surexcitée, elle enjambe son amie et lui frotte sa chatte dégoulinante sur le visage elle la supplie :

- Bouffe-moi la chatte mon amour bouffe-moi !

La langue de Mathilde, s'insère entre les grandes lèvres et s'empare du bouton qui est prêt à exploser. Elle l'agace avec la pointe de sa langue, avant de l'aspirer. France grogne, elle agite son bassin, sa chatte coule à flot. La tension est trop forte, elle se tend comme un arc et jouit dans la bouche de la suceuse. Soudain, elle se met tête bêche sur son amie et c'est en cœur que les deux amantes se dévorent la chatte. Les clitos sont devenus larges et épais, les bouches avides les dévorent sans relâche. C'est dans un ensemble parfait que les deux amantes jouissent. France s'allonge sur son amie, les deux chattes sont l'une contre l'autre, les deux femmes ondulent pour se donner un plaisir extrême.


La bouche de France gobe à tour de rôle les mamelons épais de Mathilde et les suce goulument. Tout en tétant la coquine donne des coups de reins, sa chatte juteuse comme un fruit trop mûr, frappe celle de Mathilde avec violence. Les grandes lèvres se frottent entre chaque coup de reins. France agit comme si elle avait une verge et donne des coups comme pour pénétrer son amante. Mathilde râle de plaisir, dans le plus profond de son âme, elle est heureuse que c'est France qui mène la danse. Ses tétons sont devenus très sensibles, chaque aspiration lui arrache des grognements. Les corps s'agitent avec de plus en plus de frénésie. France pousse un cri et jouit sur la chatte qu'elle malmène. Mathilde s'accroche à elle est joui à son tour.


France demande à Mathilde de replier les jambes sur son ventre et de bien les maintenir écarter. France s'allonge en face d'elle et lui plaque sa bouche sur l'anus. Mathilde pousse un cri d'enfer, la langue de son amante tente de s'introduire dans son rectum. France est tenace, sa langue s'enfonce lentement dans l'étroit conduit et le fouille le plus loin possible. Mathilde défaille, elle subit pour la première fois une introduction linguale dans son anus. la sensation est terrible. Elle agite sa croupe en rugissant comme un fauve. En même temps qu'elle lui pénètre l'anus, elle lui enfonce ses pousses dans la chatte qui est devenue une vraie fournaise. Mathilde pousse des cris presque inhumains.

La coquine s'arc-boute et jouit du cul comme jamais. France et noyée par la cyprine de son amante qui s'agite comme une malade. Elle se redresse, place un oreiller et s'allonge dessus, maintenant c'est autour de Mathilde de la faire couiner de Plaisir. La coquine est à la bonne école avec France.


A suivre

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