C'est l'été, il fait chaud.. impossible de dormir la nuit, alors une petite sieste d'après-midi, sous le ventilateur.. donna naissance à un rêve particulièrement torride..
Proposée le 2/01/2022 par PlumeSensuelle
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Thème: Masturbation
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Grosse canicule depuis quelques jours. Et impossible de fermer l'œil. La nuit est chaude, ma peau est luisante. Le ventilateur est cassé depuis une semaine..
C'est les vacances, heureusement.
Aujourd'hui, c'est particulièrement fatiguant. J'ai la force de ne rien faire, donc je décide de faire une petite sieste, sur le canapé du salon, pièce la plus " fraîche" de la maison.
Je me pose tranquillement sur le dos, les mains sur le ventre et je ferme mes yeux. Doucement, je commence à rêver. Je rêve que quelqu'un sonne à la porte. Je me lève, j'ouvre et.. Je vois le voisin Pablito, en jean et débardeur blanc. Il est tout transpirant. Il porte une caisse à outils dans sa main droite et dans la gauche un marteau. Je reste quelques secondes à le fixer, lui et sa peau matte, humide sous le soleil tropical de l'été argentin.
- Holà petite voisine, me dit-il avec son accent hispanique. Ton mari en partant au travail, m'a dit que le ventilo était hs.. Et vu la calor du moment, je me suis dit que je pouvais peut-être vous aider.
- Salut ! Oui oui, je veux bien. Il fait. Tellement.. Chaud.. Lui dis-je en descendant mon regard le long de son torse. Viens entre ! Tu veux boire quelque chose ?
- Non, c'est bon, dit-il en rentrant, bon montre moi la bête, je suppose que c'est le ventilo au fond de la pièce ?
- Oui oui ! Et je le suivis tout en regardant ses épaules musclées. Je ne pouvais pas détacher mon regard de son corps.. et j'avais encore plus chaud. Mais d'une autre chaleur...
Il se baissa pour être à la hauteur du ventilateur.. mon regard descendit vers ses fesses. Il avait une sacrée jolie paire de fesses.. bombée et musclée.
Il commença à chercher des outils pour démonter la machine, et moi je le regardais, tout en mordant mes lèvres.
Je partis vers la cuisine, cherchant un verre d'eau, lorsque je m'apprêtais à sortir, nous nous cognâmes l'un contre l'autre, et ainsi, renversant mon verre sur son torse. Oups.
Il rigola, et retira son débardeur. Il me montra son torse musclé, et ses abdos.. je le dévorais des yeux. Retour à la réalité et nos regards se sont échangés. Il souriait. Mon Dieu que j'avais envie de lui.
Je commençais à rougir. Je regardais l'heure.. dans 1h mon mari rentrerait à la maison. Il se rapprocha encore plus de moi.. je pouvais sentir le parfum de sa transpiration.
Hors de mon rêve, dans un inconscient, mes mains parcouraient mon corps, dans un début d'excitation.
Je le regardais, il me regarda et, il m'embrassa. Il comprit son erreur et il voulut remettre une certaine distance entre nous. Impossible, je me collai contre lui. Je l'embrassais fougueusement. Il posa ses mains sur mes hanches et me fit sauter. J'enroulais mes jambes autour de ses hanches, et je continuais de l'embrasser.
Il avança rapidement vers le plan de travail ou il me posa. Rapidement, il retira mon haut. Je me retrouvais seins nus face à lui. Il posa ses mains sur ma poitrine, et doucement, il malaxait mes seins. De mon côté, je défis sa braguette, et son bouton. Je fis glisser son pantalon vers ses genoux. Sa bouche alla sur mon cou, descendis vers ma poitrine. Ma main, caressait son sexe, dur par l'excitation.
En parallèle de mon rêve, ma main, se glissa dans ma culotte, et je commençais à me caresser.
Dans mon rêve, l'ambiance montait encore d'un grand, quand il retira ma culotte et présenta son sexe contre le mien. Mon sexe était trempé et ne demandait qu'une chose : d'être éteint par son pénis. Il frotta d'abord son gland contre mon clitoris. Je poussais un gémissement dans ses oreilles. Il m'embrassa, et me pénétra d'un seul coup. Il commençait des va-et-vient lents, et il accéléra au fur et mesure de mes cris. Nous étions là, en train de baiser sur mon plan de travail, avec mon mari qui allait rentrer, d'ici 30 minutes. J'étais chaude comme jamais. Il accéléra les coups, avec le jean et le caleçon sur pied.
Hors de mon rêve, je me masturbais.
La jouissance était proche, comme dans mon rêve.
Les coups de pénis en moi étaient profonds , rapides. Il commençait à gémir, je n'en pouvais plus. Je le sentais venir, ça m'excitait encore plus. Je collais ma bouche contre son oreille. Je le sentais respirer fortement. Et là, d'un coup, il s'arrêta, il me regarda dans les yeux. Repris ses coups, mais en me fixant. J'avais du mal a le regarder, car je me sentais venir. Il en pouvait plus non plus. Il me donna un coup, un second, et le troisième m'acheva. Il me remplit, et je hurlais de plaisir. Je pris mon pied comme jamais.
J'avais joui, en rêve et en réel. Un vrai bonheur. Dans mon rêve, nous rhabillâmes, et il partit juste après avoir fini sa réparation.
En réel, je m'étais réveillée en sueur, et encore plus fatiguée, mais tellement heureuse. Que c'était bon.
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