Surprit de ne pas me voir rager, ma femme se donne à ses amants avec encore plus de fougue. Maintenant, il est temps de reprendre des forces. Ignorant volontairement mon cocufiage, je propose un petit encas pour recharger les accus.
Proposée le 30/10/2021 par jeane
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Thème: Couple, passion
Personnages: FHH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Après, avoir bien dilaté l'anus de ma voisine et mon voisin celui de ma femme, je propose un petit break pour reprendre des forces. Un petit encas pour recharger les accus fut le bien venu. Étonnée de ne pas me voir rager, ma femme, cherche à se faire pardonner de son adultère. Elle se blottit contre moi en ronronnant comme une chatte. Elle ignore ce que je lui réserve.
Rejoignons notre lieu des ébats, je demande au couple de voisins s'accoupler, sans rechigner, l'homme s'allonge sur le sol, sa femme l'enjambe et lui saisit la queue, elle la dirige vers sa vulve qui n'attend que d'être investit par une bonne verge. Lentement la coquine s'empale sur le pieu de son mari. Je la plaque contre le torse de son mari et me place juste derrière elle. Je lui crache sur l'anus et avec deux doigts, étale la salive sur sa rosette. J'y enfonce aisément trois doigts, je pense que la femme doit être prise souvent par le cul.
Je place mon membre contre son anus, m'accroche à elle et enfonce mon pal jusqu'à la garde. Ma femme regarde avec intérêt, la double pénétration que subit son amie, elle a les yeux grands ouverts, ils brillent d'envie. Le pilonnage en alternance fait couiner la voisine comme un animal. Les deux queues la défoncent sans relâche, rapidement elle entre en transe, elle s'agite sur les mats de chair qui la rendent accro à la jouissance. Elle gémit atrocement, en donnant des coups de reins. Soudainement elle pousse un râle terrible se colle à son mari et jouit son corps est secoué par de nombreux frissons. Je me retire rapidement du rectum brûlant. Nous les mâles nous ne devons pas jouir, car il faut assouvir le feu qui dévore ma salope de femme.
La salope attend avec impatience la place, enfin son amie descend de sa monture. Elle se caresse les orifices en poussant d'innombrables soupirs puis s'assied sur le canapé. Enfin ma vengeance ne va pas tarder, ma femme s'empale sur la queue de son amant, sans m'attendre elle monte et descend sur le pieu en grinçant les dents. Je me résous, j'attends qu'elle prenne son pied avant d'intervenir. Pendant, qu'elle chevauche son amant, je remarque que son anus est encore entrouvert. J'y enfonce deux doigts, elle se cabre. Je la ramone sauvagement, elle geint comme jamais elle ne l'a fait avec moi. Le voisin la plaque contre lui et me dit :
-Vas-y, encule-la bien à fond elle adore ça ta cochonne !
Je retire mes doigts et plante ma queue gorgée de sang au plus profond du rectum de ma salope. Prise par les deux trous, elle grommelle :
-Mon Dieu, c’est bon oh putain oui, oui !
La salope ne se retient plus, elle s’agite comme une forcenée. Je retire ma queue du cul en chaleur, je mets en action ma vengeance. Je fais glisser ma queue le long de celle du voisin et rejoint la sienne dans la chatte. Ma femme pousse un râle terrible les queues lui dilatent la gaine vaginale, comme elle ne l'a jamais été. Les coups de reins que nous lui donnons la rendent fébrile, le pilonnage est sévère. Elle grogne de plus en plus fort, maintenant elle s'agite frénétiquement sur les verges tendues. La salope prend son pied comme une bête en rut. Elle gicle sur le ventre de son amant, en râlant de plaisir, elle ne cesse de s'agiter. Le voisin rugit comme un fauve et lui remplit la chatte de son sperme épais. Ma queue lubrifier par le jus du voisin, coulisse facilement dans le puits intarissable de ma salope de femme. Je redouble mes coups de reins, je me cabre et déverse à mon tour ma semence. Nous la pilonnons encore un bon moment, nous voulons qu'elle jouisse encore. Moi, je veux la vider de son jus en la faisant jouir de nombreuses fois.
La coquine jouit encore, ses râles ressemblent à ceux d'une bête prise dans un piège. Je me retire de la chatte détrempée, plante sans ménagement ma queue gluante dans le cul de ma salope. Je donne quelques coups de reins pour la faire gémir comme une chienne puis, invite le voisin à me rejoindre dans le rectum. Il ne se le fait pas dire deux fois. Ma femme pousse un hurlement, lorsque la queue du voisin s'enfonce le long de la mienne dans sa gaine étroite. Distendue affreusement le rectum est douloureux. Je savoure ma vengeance en entendant ma femme répéter :
- Non, non, c’est trop gros, vous allez me déchirer ouah ça fait mal non, non !
La voisine se masturbe en ne perdant pas une image de la défonce, ses doigts agiles triturent férocement son clito qui est devenu énorme. De sa main libre elle se défonce l'anus. Ses râles sont bruyants.
Je ressors entièrement ma queue du cul de ma femme et la replonge sauvagement le plus loin possible. Elle pousse un cri presque inhumain. Elle s'accroche au voisin, en grimaçant, une moue déforme son visage d'ange. La vitesse des assauts augments, lentement la douleur s'estampe, ses gémissements de douleurs deviennent des gémissements de plaisir. Les queues qui lui labourent le rectum lui donnent un plaisir jusqu'ici inconnu d'elle. Elle commence à s’agiter, c'est elle maintenant qui donne des coups de reins pour donner la cadence. Moi qui croyais la punir, je dois avouer que je le suis trompé. Mais que cela ne tienne, je m'acharne dans son conduit comme un sauvage. La salope adore ça elle cri entre deux coups de reins :
- Oui, oui plus fort faites-moi mal, oh je vais jouir !
Le voisin et moi-même jouissons en même temps. Son rectum est rempli de notre semence visqueuse.
Elle se cambre comme un arc et explose, sa jouissance est terrible, elle serre les dents et gicle comme une fontaine. La voisine, la bascule sur le sol et enjambe son mari, elle s'enfonce sa queue dans l'anus et me demande de la prendre par la, aussi. Nos queues voyagent aisément bans l'anus habitué aux plus durs outrages. La coquine jouit rapidement, nous à nous, nous jouissons plus tardivement. Une fois libérées les femmes se jettent dans les bras l'une de l'autre, leur anus laisse échapper un filet blanchâtre visqueux. Les langues habiles des deux goulues, ont vite fait de nettoyées les œillets ridés. Je viens de comprendre que ma voisine et ma femme, sont de grosses salopes insatiables.
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Commentaires de l'histoire :
anonyme
Il faudrait une troisième partie, le voisin devrait être enculé. Il a une dette à rembourser...
Posté le 6/11/2021
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