Pendant mes absents, je soupçonne ma femme de me tromper avec le couple de voisins. Comme je travaille souvent de nuit, la coquine peut en profiter. Il est tard, une panne générale me contraint à rentrer plutôt chez moi.
Proposée le 30/10/2021 par jeane
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Thème: Couple, passion
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Depuis un certain temps, je soupçonne ma femme de me tromper avec le couple de nos nouveaux voisins, je voyais bien qu'il y avait entre eux plus que de l'amitié. Ce soir, une panne générale me contraint de rentrer plutôt que d'habitude chez moi. J'entre et me dirige droit vers la cuisine pour me désaltère. Je savoure mon verre tranquillement, lorsque des bruits incongrus m'interpellent. Je tends l'oreille, ils proviennent du salon. Je m'avance en faisant une moue, la porte est entrebâillée, je la pousse doucement et là horreur, la femme de ma vie suce la verge énorme de mon voisin, pendant que sa femme lui broute la chatte.
Ma salope ne retient pas ses gémissements bruyants, je bous de rage, je veux faire irruption dans la pièce et ruer. Mais je me ravise, je veux voir comment ma femme prend du plaisir avec d'autres personnes. Mes yeux sont rivés sur le manche que ma femme semble adorer. Sa bouche monte et descend sur la hampe gorgée de sang, elle titille de nombreuses fois le gland qui me semble très gros. Le méat lâche quelques perles de rosée, que ma femme savoure en grognant. Sa langue passe sur ses lèvres avec délectations, elle empoigne le verge tendue et gobe avec avidité, le gland qui ressemble à un cèpe gascon.
La femme, lui dévore la vulve sans relâche. Sa langue monte et descend sur les grandes lèvres qui pendent légèrement. Elle s'insère dans le sillon et commence à taquiner le bouton d'amour. Ma salope se cramponne à la verge qu'elle suce, elle couine sous les coups de langues de la belle voisine. Moi, je souffle comme un bœuf, ma queue se dresse dans mon pantalon. Je suis estomaqué par la voracité de ma femme, sa langue glisse habilement sur la queue veinée, de notre voisin. Le bougre pousse des gémissements à chaque fois que sa langue atteint son gland. Soudain, ma femme se cabre en grognant comme un animal. La bouffeuse de minou, la fait jouir comme une damnée. Ma femme se tortille comme un ver, sous les assauts répétés de la langue habile de la voisine amante. Ma femme gourmande, ne cesse de savourer le gland monstrueux du voisin amant.
Son corps tremblant, est encore sous l'effet de la jouissance terrible qu'elle vient de subir. Moi, je transpire, la tension monte en moi, je presse ma queue pour atténuer l'effet excitant. Le voisin lui saisit les cheveux et tire fortement, il lui enfonce sa queue au fond du gosier, il pousse un râle d'enfer et lui remplit la bouche de son sperme crémeux. Il donne quelques coups de reins pour bien se vider. Ma femme déglutie avec délectation le sérum visqueux.
Le bougre retire sa queue de la bouche affamée et regarde ma femme d'un air satisfait. Il lui sourit, elle répond d'un même sourire. La voisine s'allonge sur le corps nu de ma femme et frotte sa chatte contre celle de ma jouisseuse. Les deux s'enlacent et se serrent en ondulant du bassin, les chattes sensibles commencent à suinter. Les grognements que poussent les deux femmes insatiables, ne laisse pas de marbre le voisin. Il s'approche et se masturbe en serrant les dents. Sa queue gluante laisse tombée quelques gouttes de semence, le coquin passe la paume de sa main sur son gland violacé. Il récupère quelles gouttelettes de jus visqueux et présente sa main à la bouche de ma femme qui, sans hésitation lèche la paume enduite du nectar des dieux.
Les deux femmes basculent l'une sur l'autre et trouvent la position adéquate. Les chattes se trouvent face à leur visage. Leurs doigts agiles, écartent les grandes lèvres afin que les bouches avides puissent se régaler des clitoris gonflés à l'extrême. Les deux assoiffées, se dévorent le clito avec rage. Les deux corps s'agitent sous les coups de langues voraces. Moi j'ai la queue qui me fait mal, je l'extirpe de mon pantalon et commence à me branler sans quitter des yeux le duo d'amantes. Le voisin caresse le dos de sa femme qui se cabre sous ce doux attouchement. J'entends les deux femmes geindre fortement. Leur croupe s'agite, de plus en plus nerveusement. Les râles bruyants résonnent dans la pièce.
Les deux amantes jouissent presque en même temps. Moi, je gicle sur le sol en grognant comme un animal. Le trio se retourne, ma femme ne sait ou se mettre, elle repousse son amante et tente de cacher sa nudité avec ses mains. J'entre dans la pièce, je suis encore sous l'émotion de la jouissance. Je me place derrière la voisine et frotte mon gland gluant sur sa vulve trempée. Je donne un coup de reins et enfonce mon engin jusqu'aux couilles dans la gaine en feu. Les trois sont abasourdis, ils n'osent pas protester. C'est sans un mot que je besogne allègrement ma voisine soumise. Rapidement elle commence à gémir de plaisir. Je la démonte comme un sauvage, ma queue coulisse en elle comme un piston dans son cylindre.
Je regarde le voisin et lui entre deux grognements :
- Qu'est que tu attends, baises ma femme elle ne demande que cela cette salope !
Le voisin écarquille les yeux, il me regarde surprit puis, s'avance vers ma femme, il se place entre ses cuisses et enfonce sa queue au plus profond du corps de ma femme. Ma femme pousse un long râle de satisfaction, elle s'accroche à lui et agite sa croupe pour profiter au maximum de la pénétration. C’est en cadence que nous pilonnons les deux femmes assoiffées de sexes. Soudain nous serrons les dents et jouissons presque tous les quatre en même temps. Ma femme ne cesse de geindre, le voisin retire sa queue de la chatte endiablée et la présente à l'anus. Ma femme se cambre, l'homme enfonce son mandrin d'un seul coup au plus profond de la gaine étroite. Le salaud l'encule comme un sauvage, ma femme s'agite sur la queue qui lui laboure le rectum.
Elle qui m'a toujours refusée son anus, le donne au voisin sans rechigner, en plus elle à l'air d'aimer ça la cochonne. Moi, je fais de même avec sa femme, la coquine est habituée d'être sodomisée, elle gémit comme une truie à chacun de mes coups de reins. La cadence est infernale, la sodomie dure un long moment, les femmes jouissent plusieurs fois sous nos assauts répétés. Une fois nos bourses vidées, nous retirons nos queues des trous qui restent béants. Dans la foulée je propose au voisin de prendre à tour de rôle nos femmes en double. Le coquin ravit, acquiesce d'un signe de tête.
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