Histoire Erotique

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Le séjour dans un gite, dérape

Une inconnue prend place à table à côté de ma femme Laure, pendant l'apéro, elle pose sa main sur la cuisse de laure et la glisse sous sa jupe, ma femme se cabre puis se fige. Elle n'ose faire aucun mouvement. Rapidement sa respiration s'accélère sous les caresses qui agacent sa chatte.

Proposée le 11/10/2021 par michelle2

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Thème: Couple, passion
Personnages: FFH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Fantasme


Ma femme Laure et moi nous avons loués une chambre dans un mas dans le sud de la France. Il y à plusieurs déjà plusieurs clients dans ce mas convivial non loin de la mer. Les repas se prennent en commun, une grande table avec des bancs et dressée à l'ombre des oliviers.

Nous prenons place, une femme s'assied à côté de ma femme, les deux se regardent puis, se font un large sourire. Nous prenons l'apéro tranquillement, les gens papotent entre eux. Soudain, ma femme se fige. La main de sa voisine, c’est posée sur sa cuisse et glisse doucement sous sa jupe. Ma femme surprise, regarde devant elle sans dire un mot. La main habile s'insère entre ses jambes et commence à caresser au travers de sa culotte sa vulve. La respiration de ma femme s'accélère, elle regarde que son assiette, de temps en temps, elle pousse un soupir.

Enfin le repas se termine, le regard des deux femmes se croisent, ma femme baisse les yeux de honte, mais ne dit pas un mot. Laure me prend par la main et m'emmène dans la chambre, elle me baisse le pantalon et le boxer, je ne sais pas ce qu'il lui prend, elle saisit mon membre et commence à me masturber. Rapidement le manche de chair très sollicité, prend du volume. Ma femme ouvre la bouche et sort sa langue, elle l'a fait glisser de multiples fois sur la hampe veineuse, je geins comme un animal en rut. Elle me suce les couilles, c'est la première fois que ma femme est si entreprenante elle d'habitude très prude. Sa bouche gobe le gland qu'elle a pris soin de décalotter. Sa bouche, fait des merveilles sur ma verge qui est secoué de nombreux spasmes. Je suis au bord de l'éjaculation.


Soudain ma femme retire sa culotte prend appuie sur le bord du lit, elle retrousse sa jupe et dit :

- Prends-moi, j'en ai trop envie mon amour !

Je place ma verge contre sa chatte, étrangement sa vulve est détrempée. Je donne un coup de reins et m'enfonce aisément jusqu'au tréfonds de ses entrailles. Je la démonte sauvagement, elle s'agite comme une forcenée sur ma verge plantée en elle. Elle s'arc-boute et pousse un grognement, elle jouit affreusement fort. Je ne tarde pas à la remplir de ma semence visqueuse. Sans dire un mot, elle fonce vers la salle de bain prend une douche rapide puis, réapparait. Je la trouve étrange, elle doit être dans une bulle, j'ai l'impression que quelque chose là taraude.

Je vais aussi prendre une douche. Laure et moi nous arpentons les rues de la ville voisine, bras dessus bras dessous nous léchons les vitrines. Je la regarde souvent, mais elle me semble absente. Je lui pose des questions, mais elle me répond qu'il n'y a rien, juste un peu de fatigue. La journée passe vite, après quelques essayages de vêtements, ma femme choisit une jupe ultra courte, il est vrai qu'ici le soleil et très présent. Maintenant, il est l'heure de rentrer. Nous arrivons juste pour le diner, nous montons dans notre chambre, je change de short, ma femme enfile sa nouvelle jupette. Enfin nous passons à table, nous sommes en bout de table.

La même femme s'assied près de Laure, elles échangent un long regard suivit d'un sourire. Pendant que je déguste mon apéritif, je vois ma femme se raidir. Sans que personne ne se doute de quelque chose, la femme vient de lui poser sa main sur la cuisse, que la jupette trop courte n'arrive pas à cacher. Ma femme ouvre doucement les jambes, la femme plaque sa main sur sa chatte. Vicieusement ma femme n'a pas de culotte, je la sens se cabrer légèrement sur le banc.


Moi, je sais qu'il se passe quelque chose, mais je n'ose intervenir. Le souffle de ma femme s'accélère, les doigts agiles frottent son bouton d'amour. Laure s'agite doucement elle ne veut pas se faire remarquer. Soudain elle se mord la main pour étouffer le cri de sa jouissance. La femme retire sa main et la porte à sa bouche, elle lèche un à un les doigts luisants de cyprine en regardant ma femme, droit dans les yeux. Je penche la tête et croise le regard de la femme qui enfonce un doigt dans sa bouche et le suce en me fixant du regard. J'écarquille les yeux, je les pose sur ma femme, elle est rouge comme une pivoine, elle pose sa main sur ma cuisse et la serre fortement, je grimace en serrant les dents. Je me pose la question, mais qu'est qui arrive à ma femme??


Sa main se place sur mon sexe, elle le triture comme jamais elle ne l'avait fait au par avant. La voisine s'écarte un peu, pour voir ce que ma femme fait. Elle passe sa langue sur ses lèvres et sourit en ne quittant pas la main de ma femme qui ne cesse de me tripoter. Je saisis la main de ma femme et la serre fortement, pour qu'elle cesse de m'exciter. Elle me lance un regard foudroyant, je ne reconnais plus ma Laure chérie. Les autres personnes rient et chantent même en chœur. Je suis soulagé que personne n'a rien remarquer. Le massage vigoureux sur ma verge par ma femme, fait que la coquine se dresse dans mon short, une bosse énorme déforme mon short. Ma femme s'évertue à faire décupler le volume de mon membre. La voisine se rince l'œil en ne cessant de se lécher les lèvres. L'inconnue, parle à l'oreille de ma femme. Laure lui fait un sourire et se déplace sur le banc.


La femme enjambe le banc et se place entre moi et Laure, elle retrousse la jupette de ma femme d'un geste rapide et plaque sa main sur la fine toise qui est trempée. Sans honte, elle fait glisser le zip de mon short et extirpe ma queue comprimée par le tissu. Je ne sais que faire. L'inconnue me masturbe énergiquement d'une main, de l'autre elle triture le clito de ma femme qui commence à geindre doucement. Je serre les dents la branleuse sait y faire, elle me presse le manche lorsqu'elle sent que je suis au bord de l'explosion. Laure bascule sa tête en arrière, sa poitrine se soulève à un rythme inhabituel son cœur bat la chamade. Elle se raidit en poussant un grognement. Heureusement personne ne prête attention à ce bruit incongru. Ses cuisses sont arrosées par la forte giclée qu'elle envoie. La femme accélère les pressions sur ma verge, je me cabre et envoie une giclée de sperme sur la main de la branleuse et sur le sol.

La femme donne un gros baiser à la commissure des lèvres de ma femme et lui parle à l'oreille. Laure se lève, me prend par la main puis, nous montons dans notre chambre suivit par l'inconnue. Nous échangeons les prénoms, la femme s'appelle Amandine, son mari Julien, cuve dans sa chambre la cuite qu'il a pris avec des amis.

La femme enlace Laure, elle se plaque contre son corps et ondule du bassin, je ne reconnais plus ma femme, elle se prête au jeu d'Amandine, je remarque qu'Amandine ne laisse pas ma femme indifférente. Les deux corps se frottent longuement, les deux femmes sont aux anges. Moi, je ne reste pas de bois, je retire mon short et mon boxer, ma queue gluante se dresse d'un coup, en oscillant sur mon bas ventre. Je la saisis et la caresse pour apaiser le feu qui brule en elle. Amandine jette un coup d'œil rapide sur mon mat tendu, elle à un sourire qui en dit long. Elle pose ses lèvres sur celle de ma femme qui ne fait aucune objection. Les langue se nouent comme deux reptiles qui cherchent à s'accoupler, les salives abondantes se mêlent copieusement.

J'ignorais ce penchant lesbien de ma femme, les deux femmes ne prêtent plus attention à moi, elles sont trop occupées de se dévorer la bouche. Ma verge devient douloureuse, le sang bas fortement dans grosses veines apparentes. Je saisis la jupette de ma femme et tire brusquement dessus, la fermeture cède, la jupe tombe sur le sol. Ma femme se démène pour se dégager du tissu. Le baiser cesse enfin, les deux femmes sont rayonnantes, lentement Amandine fait tomber ses habits, pendant que Laure retire son top. Les deux femmes sont entièrement nues. Elles s'enlacent à nouveau et bascule sur le lit, la bouche d'Amandine s'approche dangereusement de la toison soyeuse de Laure. Mécaniquement elle ouvre les jambes, la gourmande pose sa bouche sur les grandes lèvres et les aspire. Ma femme pousse un grognement terrible, elle s'ouvre davantage pour mieux s'offrir à son amante. Amandine suce avec délectation les lèvres vaginales de mon épouse qui geint comme elle ne l'a jamais fait. Soudain Amandine propose la tête bêche, car la coquine veux avoir aussi du plaisir, elle mouille affreusement. Elle enjambe ma femme et se penche sur la vulve en feu, Laure saisit Amandine par les hanches et plaque sa bouche sur la chatte dégoulinante de son amante. Les aspirations sont bruyantes, les coups de langue féroces, les clitoris sont gonflés au maximum.


Ma femme pousse des hum à chaque coup de langue qu'elle donne à Amandine. Soudain , Amandine se cambre fortement, pousse un hurlement et remplit la bouche de Laure de son jus suave. Ma femme n'en perd pas une miette, elle avale la décharge jusqu'à la dernière goutte. Dans sa jouissance monstrueuse, Amandine mord le clitoris de Laure qui se met à jouir à son tour. Les deux femmes grognent comme des bêtes blessées. Amandine fait mettre sur le ventre ma femme, elle lui caresse les fesses, passe ses doigts dans la raie et appuie plusieurs fois sur le muscle rectal. Laure couine de bonheur, moi je suis estomaqué par le comportement de ma femme qui en veut davantage.

Amandine écarte les lobes fessiers, crache sur l'anneau ridé et plaque sa bouche dessus. Ma femme se cabre en rugissant de plaisir, elle qui ne voulait jamais que je lui taquine l'anus, l'a la cochonne est servi. La langue agile d'Amandine glisse sur son œillet, elle appuie de nombreuses fois sur la petite porte. Lentement l'œillet s'ouvre et la pointe de la langue s'enfonce dans la gaine étroite. Ma femme gémit fortement elle ne peut retenir ses cris de plaisirs. Moi j'en peux plus, je me place derrière l'amante de ma femme et lui frotte mon glaive contre la fente qui ne cesse de suinter. Je la saisit par les hanches et donne un violent coup de reins ma queue tendue, s'enfonce jusqu'aux couilles dans le conduit en ébullition. Je ne retiens pas mes coups de boutoir, à chaque enfoncement de mon pieu dans son corps Amandine pousse des :

- Oui, oui !

Sa langue fouille chaque recoin de l'antre de l'enfer, ma femme delire, elle s'agite comme une hysterique sur le lit. Elle se cambbre et hurle en giclant de jouissance. Amandine retire son appendice lingual du rectum. Elle s'arc-boute pour que je la prenne totalement. Mes assauts sont violents, empalée jusqu'à la garde, Amandine s'agite comme une forcenée. Elle jouit en hurlant comme une bête prise dans un piege, le la pilonne encore un moment puis, me repand dans ses entrailles brulants, à chaque giclée de sperme elle grogne de plaisir. Ma femme halete sur les lit, Amandine me conseille de la sodomiser le plus brutamement possible; car elle sait que ma femme est une accro du sexe qui s'ignore.

Le prend place derriere ma femme, je frotte mon gland gluant contre son anus qui est secoué des spasmes violents. Le donne un coup de reins terrible ma femme pour un cri presque inhumain. Ma queue lui dilate le rectum pour la premiere fois. Je donne de violents coups de boutoir comme le conseille Amandine, ma femme à l'air de s'y faire, car la salope hurle de moins en moins fort. Je lui ramone l'intestin sauvagement, ma queue entre et ressort de plus en plus rapidement de son rectum qui maintenant s'adapte au diametre de ma verge. Me femme se cabre, c'est la premiere fois qu'elle jouit du cul. Elle ne cesse de répéter :

-Mon dieu, mon dieu, c'est trop bon, oh oui encore !

Je ne la ménage pas, je suis au bord de l'explosion, je me bloque et lui remplis les entrailles de ma semence épaisse. Je lui donne encore quelques coups de piston avant de me retirer du conduit anal que j'ai bien dilaté. Amandie saute sur ma queue gluante et s'evertue à nettoyer avec sa langue le jus visqueux qui la recouvre.

Enfin les deux femmes s'etendent côte à côte sur le lit, restent un moment inertes puis, s'enlacent. les deux femmes se tètent les mamelons mutuellement, les voila repartis pour une nouvelle séance de jouissance.


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Commentaires de l'histoire :

Puceau
J ai adoré la tournure, belle histoire et bonne baise
Posté le 20/10/2021

Anonyme
Texte merveilleux.
Posté le 15/10/2021


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