Le couvent 2

Surprise pas la mère supérieure pendant ses ébats, celle-ci attend avec impatience le père prieur pour éduquer plus sévèrement Lauren la voyeuse. Le jour arrive, le père arrive, la vieille lui parle de Lauren. Il demande qu'on lui amène.

Proposée le 14/07/2021 par michelle2

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Thème: Femme soumise
Personnages: FFH
Lieu: Inclassable
Type: Fantasme

Le jour qu'attendait La vieille mère est enfin arrivé, elle a un long entretien avec le père Ulrich. C'est un fort gaillard taillé à la hache, chaque fois qui vient au couvent, c’est pour profiter des nonnes en manquent de sexe. La mère lui parle de Lauren, le gredin sourit il va avoir de la viande fraiche à se mettre sous la dent.


On envoie chercher Lauren dans sa cellule, elle arrive arnachée dans sa grande robe qui lui arrive aux pieds, elle ressemble à une chemise de nuit de grand-mère. Ulrich regarde de bas en haut Lauren, ses yeux pétillent. Il s'adresse à Lauren :

-La mère supérieure me dit que tu as manqué à tes obligations, tu sais que cela mérite une sanction !

-Je sais mon père, je suis prête à assumer la sanction aussi cruelle soit? telle !

Ulrich fronce les sourcils et réplique :

-Aussi cruelle qu'elle soit ?

- Oui mon père j'ai fauté il est normal que je paie !

Ulrich regarde la mère supérieure, il lui fait un clin d'œil complice et répond :

-Parfait, retire tes guenilles !

Lauren se met nue, elle n'ose regarder Le père. C'est la vieille qui s'approche, elle soupèse les seins de Lauren, lui tâte les fesses et en regardant Ulrich réplique :

-La marchandise est bien ferme Ulrich, nous commençons par quoi ?

La mère appelle le père par son prénom, cela prouve la complicité qu'ils ont. La vieille tend au père un martinet, il demande à Lauren de se pencher en avant. Ulrich fait glisser les lanières de cuir sur le fessier de Lauren qui se crispe, il regarde la vieille et lui dit :

C'est dommage d'esquinter un si joli cul Géraldine, nous pouvons mieux faire n'est-pas !

La vieille répond par un signe de tête, Ulrich donne un violent coup de martinet sur les fesses rebondies de Lauren, elle pousse un cri de douleur. Le père jette le martinet et hoche la tête. Géraldine bascule Lauren sur une vieille table ternie par les ans. Elle commence à caresser les seins généreux de la jeune fille tout juste majeure. Elle les masse délicatement, les presse l'un contre l'autre, Lauren serre les dents, elle ne veut pas geindre de plaisir. Ses mamelons se dressent sous les doigts noueux de la vieille mère, malgré son âge la coquine sait comment si prendre. Elle roule entre ses doigts pleins d'arthrose, les bouts souples. Rapidement le miracle s'accomplit, les tétons durcissent en épaississant, petit à petit ils deviennent énormes.

Lauren ne peut plus retenir ses gémissements, elle se mord la main pour atténuer le son de sa voix. Ulrich regarde avec intérêt l'évolution de la dite punition, il commence à avoir des fourmillements dans la verge. Il retrousse sa soutane jusqu'à la taille, sa queue monstrueuse se dresse d'un coup, elle est noueuse comme un pied de vigne et a des dimensions hors normes. Le bougre la caresse en matant les mains de Géraldine s'affairer sur le corps laiteux de Lauren.

Géraldine passe à la vitesse supérieure, elle gobe un mamelon et le tète si brutalement, que Lauren se cabre en gémissant fortement. Ulrich et ravi de la réaction de la jeune demoiselle, il est sûr qu'elle ne simulera pas son plaisir. Géraldine s'acharne sur les tétons, Ulrich fait tomber sa soutane, il se lève et s'approche du duo. Il relève la robe de la vieille coquine, elle n'a pas de culotte, car elle sait comment cela fini en général. Ulrich frotte son gourdin contre les grandes lèvres vaginales, elles pendent usées d'avoir trop servi. La chatte est trempée de jus, Ulrich mouille son gland avec, avant d'enfoncer son monstre dans la grotte.

Géraldine pousse un râle rauque, habituée d'avoir ce monstre dans le corps, elle continue de sucer les bouts épais de Lauren. Ulrich démonte la mère supérieure avec violence. Entre chaque succion, elle pousse un grognement bestial. Elle sursaute à chaque coup de pilon du père baiseur. Soudain, elle se cabre délaisse Lauren et pousse un hurlement de jouissance. Elle tombe sur le sol, en se désaccouplant d'Ulrich. La queue d'Ulrich, luisante de cyprine balance sur son bas-ventre, il la prend avec deux mains et l'agite sous le nez de Lauren, qui ravale sa salive à la vu du monstre noueux. Il se penche et hume avec force les effluves odorantes qui s'échappent de la jeune chatte.

Il se redresse en souriant, ses doigts s'enfoncent dans la toison soyeuse et caressent doucement la fente humide. Un doigt pèse sur la chatte et s'enfonce dans la gaine. Lauren se cabre, l'intrus la fouille profondément. Lauren est rouge de honte, elle ferme les yeux pour ne pas croiser ceux du père prieur. Géraldine émerge, elle retire sa robe. Sa chatte est trempée, elle écarte les grandes lèvres et presse sa boule sensible. Ulrich retire son doigt de la vulve de Lauren et donne quelques coups de badine sur le clito gonflé de la mère supérieure. Les coups répétés, font jouir une nouvelle fois la vieille qui retombe sur le sol en tremblant de tous ses membres.

Ulrich jette son dévolu sur Lauren, il se penche et donne de nombreux coups de langue sur la fente. Il ouvre les grandes lèvres et titille la perle précieuse. Lauren frissonne, la tension monte dans son corps. Elle pousse un cri, qu'elle parvient à peine à étouffer en se mordant la main jusqu'au sang. Le Père vient de lui gober le clito et le suce par à-coup. C'est nouveau pour elle, elle défaille, c’est trop bon. Le coquin sent frémir Lauren, il lui mordille le bouton gonflé de désir. Il veut la soumettre à tous ses délires, le bougre est sur la bonne voie.


Lauren s'agite sur la table, la bouche d'Ulrich fait des miracles Lauren s'ouvre davantage pour profiter un maximum de la langue agile du père prieur. Soudainement, elle se tend comme un arc, la langue vient de s'enfoncer dans son vagin et le fouille sauvagement. Les râles de Lauren sont bruyants, sa chatte mouille de plus en plus, c'est un puits intarissable. Ulrich aspire le jus abondant qui noie la gaine, ses puissantes aspirations font grogner de plaisir la soumise consentante.


Le traitement qu'elle subit, porte ses fruits. Elle brame comme un cerf en rut. Elle se raidit et jouit terriblement fort. Ulrich fier de lui se redresse, il veut que sa queue soit au top, il l'offre à la bouche de Géraldine qui n'attendait que cela. Elle tète le gland comme un veau le fait avec le pis de sa mère. Le bougre rugit à chaque coup de langue sur son gland, le sang qui bat dans les veines de la hampe fait trembler le manche de chair à chaque pulsation du cœur. Enfin Ulrich repousse la suceuse et s'approche de Lauren.

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