Le couvent.

Lauren est envoyée au couvent pour parfaire son éducation, elle surprend la mère supérieure en pleine action avec une sœur et la commence un délire total

Proposée le 5/07/2021 par michelle2

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Thème: Femme soumise
Personnages: FF
Lieu: Inclassable
Type: Fantasme

Pour achever son éducation qui est déjà stricte, Les parents de Lauren l'envoient aux prieurés. C'est un couvent réputé, pour sa mère supérieure très sévère, elle s'appelle Géraldine. Lauren visite les lieux, accompagnée par une sœur. C'est un endroit sinistre, la pauvre fille, en attrape la chair de poule. Une fois le tour fait, la sœur lui montre sa cellule. Elle est composée d'un lit, d'une table qui serre de bureau, une chaise et d'une petite armoire pour ranger ses vêtements. Au mur une étagère avec seulement quelques livres.

Les repas se prennent dans un réfectoire ou seul les chuchotements sont tolérés. Après le repas, la douche est autorisée pour les pensionnaires. Lauren prend sa douche, puis rejoint sa cellule. Elle enfile sa longue robe de nuit et s'étend sur son lit avec un livre. Il est déjà tard, elle pose son livre et entre dans le lit. Soudain elle entend des cris. Elle se lève ouvre la porte et regarde dans le grand couloir, les bruits sembles provenir de chez la mère supérieure. Lauren s'approche à pas de loup et écoute en collant son oreille contre la porte. Elle entend les gémissements d'une personne que l'on torture. Elle tourne la clinche de la porte. Comme il est interdit de fermée à clé les portes des cellules. Lauren pousse doucement la porte.


Elle est stupéfaite, une sœur a genoux mains sur la tête entièrement nue reçois le martinet. Son dos est strié de marques sanguinolentes, à chaque coup que lui porte la mère supérieure, elle se raidit en poussant un cri. Enfin le calvaire se termine pour la sœur. La vieille lui ordonne de se lever et de s'étendre sur la table. La sœur obtempère et se place sur le ventre. La mère place sur les plaies de la suppliciée un baume réparateur. Doucement les doigts fins de la vieille, glissent sur la peau en étalant la crème adoucissante. Les mains s'attardent sur le fessier qui n'a pas était épargné. Les doigts passent de nombreuses fois entre les deux lobes charnus. Géraldine dit sans cesser d'investir le fessier :

-Sœur Lucie, dis que tu ne recommenceras pas ce que tu as fait, dis-le !

-Non ma mère, je ne recommencerais pas !

-Tu ne recommenceras pas quoi ? Apostrophe Géraldine.

- De, de me masturber ma mère ! Répond Lucie en béguant.

-Très bien, sinon tu sais de quoi je suis capable hein Lucie ?

Lucie ne répond pas, les doigts de Géraldine presse doucement sur le muscle rectal de la sœur, la coquine en teste la souplesse. Elle appuie plus fort, la première phalange disparait dans l'anus. La sœur se cabre, le doigt continu sa progression. Lucie souffle en s'ouvrant davantage. La mère la regarde et demande :

- Tu aimes ce que je te fais dit que tu en veux plus allez dit -le ?

Lucie pour ne pas déplaire à Géraldine, répond gênée :

- Oui j'en veux plus ma mère !

Le doigt s'agite dans le rectum, il tourne à l'intérieur. La vieille commence un va-et-vient d'enfer, elle ajoute un second intrus et accélère. Lucie commence à aimer le traitement que lui inflige Géraldine, doucement elle geint. Subitement la mère supérieure retire ses doigts et passe sa main sur la chatte de Lucie. Elle sursaute :

-Mais ma salope tu mouilles, mets-toi sur le dos et écartes bien tes cuisses, tu vas avoir ce que tu mérites !

Lucie prend la position demandée, elle écarte les jambes, elle commence à angoisser lorsque Géraldine reprend le martinet. Elle fait glisser les lanières de cuir sur la chatte. Lucie frissonne, la vieille donne un coup violent sur la fente. Lucie pousse un cri. Géraldine jette le martinet et caresse longuement la fente martyrisée, elle a atteint le clitoris avec une lanière, la boule de chair est rouge vif. Lauren est sur le pas de la porte, elle observe en écarquillant les yeux. Géraldine se fait plus douce, elle caresse doucement la boule meurtrie. Trois doigts s'enfoncent dans la gaine, Lucie soupire fortement. Le ramonage est intense, les râles de la soumise sont de plus en plus bruyants. Géraldine enfonce aussi trois dans le rectum de Lucie. La sœur prise par les deux trous, geint comme une forcenée. Le ramonage des orifices est intense, le sœur se cabre et jouit affreusement.


Géraldine délaisse Lucie, elle prend dans un tiroir un gode imposant. Elle regarde Lucie et lui dit :

À ton tour, travaille-moi bien avec ça, fais-moi mal !

Lucie descend de la table, Géraldine retire sa robe et s'allonge nue sur la table, elle dit en grognant :

-Vas-y défonce-moi, je suis trempée !

Lucie place le gode contre la chatte de la mère et l'enfonce doucement, celle-ci se cabre et dit :

-Plus fort, plus fort !

Lucie retire le gode et le replonge brutalement au plus profond du vagin.

- Oui, oui comme ça, c'est bon ramone-moi bien !

Le va-et-vient rapide fait couiner Géraldine de bonheur, ses râles sont monstrueux, elle se cambre et jouit en giclant abondamment. Malgré sa bouche déformée par un rictus elle hurle :

-Prends-moi par le cul vas-y, le cul le cul !

Sans hésiter Lucie enfonce l'engin de silicone jusqu'à la garde et pilonne sans relâche le cul de la vieille qui grogne de plaisir. La salope se cabre et jouit du cul en hurlant. Lauren n'en revient pas, elle encore vierge, se pose des questions sur le couvent. Lucie retire le monstre du cul de la mère, Géraldine se relève difficilement. Elle voit Lauren, la fusille du regard et elle lui dit toi tu ne perds rien pour attendre, demain le père prieur vient nous rendre visite comme chaque mardi, nous verrons avec lui ce que tu dois avoir comme punition.

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