Comme je vous l'ai déjà dit, ceci est le calvaire vécu par l'une de mes lectrices qui m'a autorisé à diffuser son histoire. Les filles: si vous avez affaire un jour à un tel individu, ne vous laissez pas faire et n'atez pas peur de demander à un gentil garçon de prendre votre défense, car il en existe!
Proposée le 29/06/2021 par mlkjhg39
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Femme dominée
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie
Humiliation ultime.
Ca ne lui suffisait plus. Il a tout fait pour m’humilier devant chaque membre de sa famille en me mettant dans des positions où je me retrouvais dénudée devant eux dans des contextes différents :
Avec son papa :
Axel m’avait envoyé un sms en disant qu’il voulait que je l’attende en l’absence de sa famille sur le canapé du salon, nue, à quatre pattes, avec ma chatte écartée.
Comme une chienne obéissante, je fis ce qu’il me demandait. J’attendis pas mal de temps
Quand la porte de l’entrée s’ouvrit, je tournai la tête et vis Axel avec un gros sourire…accompagné de son père, abasourdi par la scène.
Je me ruai vers la chambre cachant ma nudité. Imaginez un peu la situation dans la tête de mon beau-père à ce moment là… Son fils lui propose de l’accompagner pour faire les courses, il revient chez lui et voit sa belle-fille, complètement nue dans le salon qui attend qu’on l’enfile.
Quel est la première pensée qui vous vient à l’esprit ? Salope ? pute ? Cochonne ?
J’écoutai à la porte et entendis dire Axel :
-Bon, je crois que le devoir m’appelle, elle demande que ça !
Gêné, son père lui répondit :
-Je vous laisse à vos occupations.
Axel rentra dans la chambre, me cria dessus et me baffa en disant que je l’attendais pas cette fois ci sur son lit.
Obéissante de nouveau, je me mis à quatre pattes sur le lit et attendis qu’il se déshabille, il se mit derrière et me lâcha :
- Kriss, je t’ai dit de m’attendre avec ta chatte écartée, putain ! T’es vraiment trop conne ma parole. Je te demande un truc et t’es pas foutu de le faire, connasse !
Soumise, je fis ce qu’il me demandait de faire.
-J’aime mieux ça, chienne !
Il me pilonna encore une fois violemment, sachant que son père rodait aux alentours de la pièce, il commençait à râler bruyamment et à parler fort :
- OH T’AIMES ÇA HEIN ! JE TE MANQUAIS TROP ! SALOPE ! T’AIMES TROP LA BITE ! BONNE PUTE ! RAH RAH RAH !
Ses mots n’avaient plus d’impact sur moi, c’était devenu mon quotidien, une simple banalité mais j’avais honte que son père nous entende et Axel le savait.
A chaque baise, je ne parlais plus, j’étais devenu une vide couille pour lui. Intérieurement, j’étais morte.
Il me disait de commencer à pousser des cris de gémissements pour le stimuler et de nouveau, j’obéis.
Pour lui, mes cris n’étaient pas assez fort et il me tapait sur les cotés pour que je crie bien plus fort.
- AH AH AH AH « criais-je.
- OH C’EST BON ! T’AIME TROP LA BITE ! »
Après de nouvelles insultes, il finit par éjaculer dans mon vagin en hurlant. Avec son hurlement, c’était obligé que son père comprenne que c’était fini.
Cinq minutes après, le temps de retrouver son souffle, je pensai que mon humiliation était terminée. J’étais loin de me douter de la suite…
Axel me demanda d’aller m’excuser auprès de mon père pour le « vacarme » que j’avais fait et me dit mot par mot ce que je devais lui raconter.
Axel savait que j’allais lui obéir, on se rhabilla. Son père était sur son ordinateur à faire je ne sais quoi. Le dialogue se passa ainsi :
- Monsieur X…, je m’excuse que vous m’ayez vu comme ça….dans votre salon…nue…
- Ce n’est rien, Kriss. C’est oublié, j’ai rien vu.
On était tout les deux gênés par la situation. On n’osait même pas se regarder en face. Quel honte… Quand à Axel, il était tout content de mon humiliation, et me fusillait d’un regard qui signifiait : « Continue ».
-Et je m’excuse aussi…euh…c’est gênant…d’avoir poussé des cris de plaisir…quand on faisait l’amour.
- C’est rien, c’est normal à votre âge.
Axel me réprimanda :
- La prochaine fois, évite de m’attendre comme ça. Tu nous fous la honte à tous les trois. Je sais que t’aime le sexe mais il y a des limites. Maintenant, va te doucher, tu pues !
Rouge comme une pivoine, je me rendis vers la salle de bain, humiliée. Son père avait à présent une image d’une nymphomane qui beuglait à chaque coup de reins.
Avec sa belle mère :
Un soir alors que je dormais à côté d’Axel, il commença à me toucher. Silencieuse, je comprenais ce qu’il me voulait et me déshabillai naturellement.
Il me baisa et il m’éjacula sur le visage et une grande partie du corps, après qu’il eut fini son affaire, je me levai pour me rendre dans la salle de bain mais il m’ordonna :
- Non ! Va te laver dans l’autre salle de bain, je veux pas que tu salisses la mienne.
- Laisse-moi me laver stp, ça pue et ça va coller.
- Je m’en fous, casse-toi et va- à celle de la maison !
(On était dans le petit studio aménagé, il voulait que je me lave dans la salle de bain familial, je devais traverser le petit jardin)
Il serra les dents et me jeta des regards froids pour me montrer qu’il était sérieux.
C’est ainsi que je me retrouvai nue, couverte de sperme, dans le petit jardin familial.
Et là, stupeur, dans la maison, je croisai sa belle-maman vêtue d’un peignoir. Il était aux alentours de 22-23h, les enfants étaient couchés.
Quel était la probabilité que je croise une personne ? Elle me vit et me demanda :
-Mais…Kriss, qu’est que tu fais là complètement nue ?
Ne sachant pas quoi répondre, je lui répondis bêtement.
- Je trouvais plus mon peignoir.
- Pourquoi t’es pas allée dans votre salle de bain ?
- Il n’y avait plus d’eau chaude, mentis-je.
Je n’étais pas idiote et elle non plus. Elle avait compris que j’étais venu dans la salle de bain pour me nettoyer du sperme d’Axel. Je me rendis dans la salle bain et me nettoyai.
Après la fin de ma toilette, elle me demanda si ça allait et si j’avais besoin d’aide ?
Je lui rétorquai que non et elle me fit la remarque de mes bleus et des griffures au niveau du ventre et du dos.
Je lui ai de nouveau menti en disant que c’était le chat pour les griffures, rien de méchant. Pour les bleus, une chute pendant ma séance de sport.
Elle partit en avalant mes sonnettes, quant à moi, je rejoignis Axel qui dormait à poings fermés.
Avec son demi- frère :
Son frère rentrait dans l’âge de l’adolescence. Comme tout jeune, il s’intéressait aux filles, son corps changeait. Bref, vous voyez le topo.
Un jour, je l’aidais pour faire ses devoirs. Il était un garçon plutôt intelligent, timide et pudique. J’adorais autant son petit frère que sa petite sœur.
Pendant les exercices de mathématiques, Axel surgit dans la chambre et me demanda ce que je foutais. Lançant !
- Les maths, ça sert à que dalle…
Il fouilla dans les autres bouquins pour voir ce que révisait son demi-frère au collège, faisant un maximum de bruit. Je murmurai au petit frère de ne pas faire attention et de se concentrer sur les exercices.
On sentait de la gêne par la présence d’Axel qui s’exclama après quelques minutes:
-Voilà, ça c’est plus intéressant ! La reproduction de l’être humain !
Il prit le bouquin et le posa sur le livre de mathématique. Le chapitre avait pour nom : De la fécondation à la naissance (Je m’en souviens comme si c’était hier)
-C’est important la reproduction, ça c’est un cours éducatif et intéressant. Pas comme les maths. Au moins ça t’apprendra à gérer des meufs plus tard, n’est ce pas kriss ?
Gênée, je ne pouvais qu’accepter : «
- Oui, quand tu seras dans un âge ou tu auras des besoins à assouvir, que ce soit avec une femme ou même un homme.
Après une discussion gênante sur comment on fait les bébés, etc… Axel lâcha :
- Dis-moi, as-tu déjà vu une femme nue ?
Rouge comme une pivoine, il répondit :
- Non !
- Est-ce que t’aimerais en voir une en vrai ?
Il ne répondit même pas à la question.
- Bon, ça va changer aujourd’hui. Kriss, déshabille-toi !
Mon Dieu ! Avais-je bien entendue?
- T’es sourde ou quoi ? Allez déshabille-toi !
- Non Axel ! Tu ne peux pas me demander de me mettre nue devant ton petit frère !
- Déjà, c’est mon demi-frère, et je préfère qu’il voie une meuf à poil en vrai que sur des sites de cul, il pourra se vanter d’en avoir vu une. La théorie, c’est bien mais la pratique, c’est encore mieux. Maintenant, déshabille-toi, c’est la dernière fois que je te le demande !
Honteuse, j’enlevai mon t-shirt. Me retrouver en soutien-gorge devant son frère était horrible…
- T’attend quoi, Kriss ? Enlève tout ! Il doit voir comment est foutu une femme, j’ai pas envie d’un pédé sous mon toit. Et toi, t’as envie de la voir nue ?
- Ben euuuhhh, je sais pas…
- Tu vas changer d’avis vite fais, allez !
J’enlevai donc mon soutien-gorge devant les yeux de ce jeune ado. A la vue de cette belle et grosse paire seins, que pensait son petit frère ? Gêné ? excité ? Émerveillé ?
- Ça, c’est des seins. T’as vu comment ils sont gros et fermes ? Impossible d’être une grosse pédale quand t’as ça devant les yeux !
Son petit frère détourna les yeux mais Axel exclama :
- Regarde-les de plus près, ils vont pas te bouffer.
Il lui obéit et fixa mes seins mais il était tout aussi gêné que moi.
- Ça, c’est des tétons. C’est la partie la plus sensible. Tu peux t’amuser avec, ou bien les mordre. C’est ici aussi que le bébé peut boire le lait »
- Ok, je ne suis pas aussi ignare, rétorqua son frère.
- maintenant, touche-les, c’est très agréable.
- Non, j’ai pas envie.
- Fais pas la chochotte.
Il lui prit la main et la colla sur mon sein droit.
- Alors, t’as senti comment c’est doux et ferme. Tu peux aussi les caresser.
D’une main entre excitation et peur, son demi-frère commença à me tripoter le sein.
- Alors t’aimes ?
- Oui et t’as raison, c’est doux.
- Et toi Kriss, il pratique bien l’exercice ?
Je ne pouvais répondre que oui. Après quelques caresses à la va-vite, il retira sa main mais Axel ne voulait pas en rester là :
- Bon, comme tu sais, une femme et un homme sont différents. Chacun a des attributs sexuels, les garçons ont un pénis et les filles un vagin. Je suppose que t’as pas vu de vagin mais Kriss, va y remédier…
Je vous laisse deviner la suite… Je me dévêtis en élevant le bas devant eux.
Il montra ma vulve au jeune ado, en parlant des poils des femmes. N’ayant plus de poil, il expliqua que c’était meilleur pour faire l’amour, tout ça tout ça…
Il montrait à son frère aussi mes grandes lèvres expliquant que c’est par là qu’on faisait glisser sa bite et qu’on faisait les bébés.
Par la suite, le « cours » étant fini, Axel me demanda d’attendre dans sa chambre car il n’avait pas fini de discuter avec son frère. Je me rendis, nue, à sa chambre. Après dix bonnes minutes, il me rejoignit, me disant que tout ça l’avait excité et me baisa.
A suivre…
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