La punition

Rémy surprend son grand frère et sa copine en pleine action. Si celui-ci ne c'est douté de rien, ce n'est pas le cas de celle-ci. Entre nymphomane et limite schizophrène, elle saura lui faire payer d'une façon peu orthodoxe. Il s'en sortira pas trop trop mal au final... Merci de laisser un commentaire pour m'encourager.

Proposée le 5/06/2021 par goelan

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Thème: Nympho, vicieuse
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman

Ce qui est bien avec un grand frère, c'est que je peux squatter son appartement un peu comme je le veux. Enfin normalement je dois le prévenir avant juste au cas où...

Il m'a donné un double de sa clé et j'en profite largement lorsque les parents se disputent encore et encore, à quand le divorce ? On sera tous tranquilles, surtout ma soeur jumelle et moi qui vivont encore à la maison.

En juin, on passera notre BAC. Ensuite je me casse faire une FAC loin d'ici et de ce trou pourri, de ce lycée à la con et de mes parents qui préfèrent s'engueuler que de s'occuper de nous.

Je n'ai pas beaucoup de lien avec ma soeur, c'est un joli canon et elle en profite. Blonde à forte poitrine, elle fait tourner les têtes, surtout avec ses tenues des plus provocantes. Elle change de copain comme de chemise et vu leur visage heureux lorsque je les croise, elle doit bien se les faire aussi.

Enfin bref, au moins chez mon frangin, plus vieux de 3 ans, je suis à l'aise, au calme, et j'ai même une chambre d'ami dans le cas où je veux dormir chez lui.

Donc, normalement je préviens avant de passer. Un petit coup de fil, un SMS, un message chat, bref, la logique et le respect quoi. Sauf qu'aujourd'hui  je pensais l'avoir fait surtout, mais je n'ai plus de forfait 4G et mon message n'est donc jamais parti.

A peine dans le couloir d'entrée que j'entends des gémissements, merde, il n'est pas seul. Il va me faire une tête au carré et surtout je n'aurai plus le droit de venir ici. J'attends, sur le qui-vive, le coeur battant, fixant le vide devant moi. Il semblerait qu'ils ne m'aient pas entendu, ouf, je peux me casser et revenir plus tard. 

Sauf que je suis un peu trop curieux. Mon frère a une super méga bonne copine. Une nana digne d'être un mannequin. Brune, le visage angélique, un petit nez retroussé, elle n'a pas de gros seins comme ma frangine, mais comme elle ne porte pas souvent de soutif, je matte régulièrement et discrètement ses tétons qui pointent à travers le tissu. Je me suis déjà branlé plusieurs fois en pensant à elle. Alors si je pouvais la voir à poil...

Je suis face à un dilemme, c'est tout de même mon frère et sa copine. Mais d'un autre côté...

Finalement je bande déjà rien qu'à entendre les grincements du lit et les gémissements. J'approche à pas de loup, m'arrêtant à chaque enjambée, épiant chaque bruit provenant de la chambre. Finalement j'arrive en vue de sa porte. Et oh joie, elle n'est pas complètement fermée !

Mon coeur bat la chamade, j'en ai même des sueurs froides. Je me cale contre le mur style ninja de bas étage. Je suis prêt à me jeter en arrière. Je fais attention à ne pas toucher la porte. J'avance ma tête vers l'entre-bâillement. J'ai hâte de voir Agathe, la copine de mon frère, toute nue, et...

Merde ! Ce que je vois n'est pas du tout ce à quoi je m'attendais. Certes, je peux enfin voir les petits seins d'Agathe pointer fièrement vers l'avant. Ils sont petits mais si mignons, mais c'est surtout le reste de la scène qui me cloue sur place.

Mon frère, putain mon frère se fait enculer ! 

Agathe est derrière lui, elle le caresse, le tiens par les hanches et fait aller et venir son bassin vers lui... Et il gémit de plaisir le salaud.

Merde, ce n'est pas possible

De là où je suis, je peux voir qu'Agathe est harnachée avec un faux sexe. Elle est toute nue sinon. Je peux l'admirer à souhait, mais de voir ce mandrin en plastique rose veiné comme une vrai bite rentrer et sortir du cul de mon frère, c'est, c'est impossible ! 

Lui c'est le genre de type qui fait tout le temps du sport, il est beau gosse et il se la pète, c'est le roi de la fête. Il est super gentil avec moi, moins avec ma soeur qu'il traite de pétasse. 

Il a toujours emballé de supers lots et là... 

Merde et encore merde. Je le vois d'où je suis. Sa queue tendue se balance sous lui à chaque coup qu'il reçoit dans le fondement.

Je ne peux plus rester là, j'ai le souffle court. J'admire une dernière fois le corps mince et sublime d'Agathe, faisant abstraction du plaisir qu'elle a à pistonner le cul de mon frère. Je recule doucement en évitant de faire du bruit afin de quitter l'appartement.

Dans les séries ou les films, il y a toujours un truc qui tombe pour que le protagoniste se fasse prendre. Mais heureusement ici, dans la vraie vie, j'ai réussi à sortir en fermant la poignée de la porte tout doucement. Je suis en sueur, j'ai le cœur battant, j'ai toujours la scène sous les yeux. Mon super frère se fait baiser le cul par sa nana ! Je n'y crois toujours pas...

Je ne sais pas quoi faire. Je suis comme un pauvre con dans la rue à marcher sans but. Je revois toujours la scène, moi qui me faisait une joie de dévorer des yeux Agathe... J'en ai eu pour mon argent. Depuis quand fait- il cela ? Est-ce que toutes ses copines lui ont bourré l'anus aussi ? L'a-t-il déjà fait avec un... homme ?

Je m'assois sur un banc. Où suis-je, dans un parc on dirait. Je n'ai même pas fait attention où j'allais. J'ai envie de le crier sur tous les toits ! 

Mon frère est comment on dit déjà, gay, non, bi, voilà mon frère est bi ! Bon au moins c'est une jolie fille qui lui défonce le cul, mais quand même. C'est dégoutant, pas lui, enfin merde, pas lui.

Je ne sais pas si je vais pouvoir revenir chez lui en pensant à ce qu'il a fait. Mais le temps finit par filer et je dois choisir entre squatter chez lui ou repartir à la maison dans le champ de bataille familial habituel. 

J'hésite et je fini par envoyer un SMS à mon frère, puisque je n'avais plus de 4G, espérant qu'il a terminé sa petite affaire.

Il me réponds assez rapidement, il me remercie de l'avoir prévenu, je peux venir sans soucis. Ben oui, 1h00 plus tôt tu faisais grincer le lit en te faisant... Ahhh, non pas ça.


Agathe est toujours là, toujours aussi belle, elle plaisante avec mon frère lorsque j'arrive dans la cuisine. Je fais comme si je n'étais pas au courant mais c'est dur. Pas trop le choix non plus. J'ai le rouge aux joues en la fixant, mon regard s'attarde sur son t-shirt, ses petits seins et plus bas...

J'ouvre aussitôt le frigo pour y piocher une boisson et me rafraîchir les idées.

- Cela ne va pas ? Me demande Agathe de sa jolie voix 

- Non, non, j'ai pris un coup de chaleur dehors, tu as vu la température ? Répondis-je 
Ce n'est pas moi qui ai chaud ici en fait. J'aurai dû revenir à la maison, je me sens mal.

- Et cela ne va pas aller en s'améliorant, une canicule est prévue dans les jours prochains.

- Alors et tes cours ? Me demande mon frangin.

- Je euh, je vais aller faire mes devoirs.

- Ok, ne loupe pas ton contrôle cette fois-ci ! Ajoute-t-il en mimant un paternel furieux
Léo, mon frangin, est super bon en tout. J'ai l'impression que tout est facile pour lui. Juste une impression car je sais qu'il se donne à fond pour tout, le sport, le travail, les nanas...

Je file dans la chambre d'ami et je me mets au travail.

J'ai du mal à me concentrer, je mets mes écouteurs, de la musique sympa et hop, en avant pour au moins 1h00 de taff.

Sauf qu'au bout d'une demi-heure, j'entends un toc toc à la porte.

Je pose mon casque et déballe un "entrez". Concentré j'en avais oublié les frasques de mon frère et sa copine, alors en la voyant arriver dans la chambre, je ne sais plus quoi faire.

- Tu as un instant ? Me demande-t-elle gentiment en remettant un boucle de ses beaux cheveux lisses derrière son oreille

- Euh, oui. Marmonnais-je inquiet, timide et presque angoissé.

- Léo est parti faire une course pour le dîner, je.. Hum, ce n'est pas facile, mais... 

Elle avait du mal à trouver ses mots, elle regardait son giron puis moi, elle tripotait ses mains. Que voulait-elle me dire ? Elle s'assit sur le bord du lit en face de moi. J'avais tourné ma chaise de bureau vers elle.

- Si je ne me trompe pas... Tu es venu sans t'annoncer tout à l'heure ? Enfin... plus tôt dans l'après-midi.

Son visage était tout rouge, elle me fixait avec des yeux interrogateurs et plein d'espérance qu'elle avait rêvé ma présence. Elle semblait plus jeune que je ne l'aurai cru ainsi. Pourtant elle avait 23 ans, le même âge que mon frère. 

Et merde ! Elle m'avait capté ! Pourtant j'avais eu l'impression d'avoir été assez subtil pour ne pas faire de bruit.

Sur le coup je n'ai pas su répondre, mais mon silence et mon air choqué suffit à prouver qu'elle n'avait pas tort.

- Je euh... Je suis reparti tout de suite. J'aurai du... m'annoncer mais je.. problème de téléphone.

Agathe semblait aussi mal à l'aise que moi sinon plus. Elle reprenait sa respiration, remettant ses idées en place, replaça sa mèche et tripota encore sa jupe.

- Tu n'as pas... Enfin... tu...

- Ah, ah, non, non, dis-je ! En brassant l'air de mes mains. J'ai entendu, oui. Et je.. J'ai réalisé que... Je n'aurais pas dû entrer sans prévenir. Je suis désolé. Je...

Agathe semblait encore plus mal à l'aise. Son front brillait de sueur. Etrangement ses tétons durcirent sous son t-shirt et je me mis à les fier, imaginant ses petits seins. J'eu un début de gaule.

- C'est pour cela qu'on préfère que tu préviennes. Réussit-elle à lancer

- Je suis désolé, je sais, c'est déjà gentil de m'accueillir, c'est chez vous et... Ce n'est pas honteux non plus. Vous, vous êtes des adultes, je ne suis pas ignare non plus et...
- Oui, répondit-elle avec un léger sourire teinté de gêne. Je n'ai pas l'habitude d'avoir un... public.

- Oh, non, non, t'en fais pas pour ça.J'étais encore plus rouge. Je niais avec des gestes des mains devant moi.

- Hum... Léo n'est pas au courant que tu... Enfin, que tu étais là. Je... J'ai vu... ton visage.. dans le miroir de la chambre. 

Si elle était rouge comme une pivoine, moi je devins blanc comme un ligne. J'eu froid dans le dos et mon cœur dû louper un battement.

- Je... Je suis désolé. Arrivais-je à articuler les yeux brillants.

J'étais au bord des larmes. J'avais honte de ce que j'avais fait, de jouer les voyeurs mais aussi de les avoir vu dans leur intimité, sans compter de l'avoir vu nue aussi.

Agathe me dévisageait ne sachant pas trop comment continuer la conversation.
- Ce que nous faisons dans notre... vie privée ne regarde que nous.

- Oui, oui, glapis-je rouge de honte. J'avais l'impression de me faire sermonner comme un gamin de 8 ans

- Tu as une copine ? Me demanda-t-elle à brûle pourpoint

- Euh, non, pas en ce moment.

- Tu as... déjà fait, enfin le sexe ?

Je devins encore plus rouge, mais pourquoi me demandait-elle cela ? C'était déjà pénible d'avouer ma faute. Je m'attendais presque à ce qu'elle me jette dehors.

- Oui, avec mon ex... Pourquoi ?

- Chacun à des goûts... précis. Tu comprends ? 

Etrangement, elle prenait de l'assurance, ne babeyait plus et me fixait droit dans les yeux. Elle se pencha en avant et repris.

- Ce que tu as vu là ne doit jamais, jamais, jamais sortir d'ici ? Tu comprends ? Ton frère à une certaine réputation à tenir et...

A ce moment-là, je rêvais de me cacher dans un trou de souris. Si Agathe avait paru mal à l'aise avant, ce changement de ton limite remontrance me foutait les jetons.

- Je le jure ! Glapis-je la coupant.

- Mais... Tu bandes ! S'écria-t-elle d'un air outré plein de surprise.

Je plaquais aussitôt mes mains sur mon entre-jambe. Elle vit que je fixais son décolleté et la naissance de sa poitrine. Elle se recula immédiatement.

- Dé... désolé ! Paniquai-je. 

J'aurai dû vraiment revenir à la maison, la situation ne tournait pas en ma faveur.

- En fait t'es un voyeur et un obsédé ! S'écria-t-elle en se levant, une pointe de colère dans la voix; comme si la situation tournait en sa faveur.

- Non, je t'assure, je n'ai jamais... avant ! C'est... mécanique.

Je n'en menais de moins en moins large. C'était horrible, en plus j'avais envie de pisser, le stresse sûrement.

- En fait ça t'a plu? Tu es excité de m'avoir voir toute nue ou... pour le reste ? Son ton était narquois et insultant.

- Non ! Glapis-je dans un croassement.

- Non, tu me trouves moche ou non cela ne t'as pas plu ?

- Je, euh, ce n'est pas cela !

- J'y crois pas, dit-elle en passant sa main dans les cheveux, je viens pour tenter de mettre les choses au point et je te retrouve en train de bander en me matant les seins, tu es pitoyable. 

- Je t'assure Agathe, ce n'est pas ce que tu crois !

- Ah oui ? Retire tes mains alors ? Je me suis peut-être trompée.

- Agathe, s'il te plait, j'ai du travail. Je ne dirai rien à personne, promis.

Elle s'approcha de moi, un air furieux sur le visage. Je reculais mon siège jusqu'à cogner le bureau.

Elle se pencha, dévoilant en même temps son décolleté et la naissance de ses seins. Elle prit mon poignet et le souleva. Le contact de ses doigts sur ma peau me fit frémir malgré la situation. J'avais du mal à respirer, je devais faire une montée de tension. 

- Et ça c'est quoi alors ? ajouta-t-elle, me fixant dans les yeux en pointant son autre main vers mon pantalon de toile.

- Agathe, s'il te plait... J'ai compris.

- Alors comme ça je te fais bander ? 

- Non, oui, non enfin, je...

Je ne la comprenais plus du tout, elle passait du coq à l'âne pour un rien. Furieuse deux secondes plus tôt, elle affichait maintenant un visage complice, limite vicelarde.

Contre toute attente, elle posa sa main sur ma bosse. Je sursautai serrant mes mains sur les accoudoirs.

- Il y a du matos là-dedans, ajouta-t-elle d'une voix basse en se penchant encore plus.

Je pouvais voir ses petits seins sans soutien-gorge maintenant. Je déglutis, mon sexe grossit encore.

- Alors comme ça, tu bandes en pensant à moi. Tu t'es déjà branlé en m'imaginant avec moi ?

Sa voix se fit mielleuse, chaude, suave. Je suffoquais, mais c'était qui cette espèce de dingue ?

Elle se mit doucement à genoux entre mes jambes, remettant encore une fois d'un geste presque érotique sa mèche de cheveux.

- Voyons voir, ce qu'il y a dedans. Souffla-t-elle en me fixant dans les yeux.

Ses mains tirèrent sur la fermeture éclair. J'étais tétanisé, j'entendais mes palpitations et la sueur perla sur mon front. J'étais incapable de bouger ou de la repousser.

- Hum ! Lança-t-elle d'un ton appréciateur en sortant mon sexe dur et long. Alors c'est l'effet que je te fais, intéressant.

- Agathe... Arrivais-je à articuler sans finir ma phrase

- Oui ?

- Léo... pourrait entrer et...

- Ne t'inquiète pas pour lui.

Sur ce, elle se pencha et engloutit mon sexe dans sa bouche et commença à me sucer tout en me branlant.

Putain, c'était à la fois divin et complètement ouf ! La copine de mon frère me taillait une pipe juste après m'avoir engueulé parce que je les avais espionné dans leurs ébats. C'était une vraie nymphomane, pas possible autrement. J'aurai dû la repousser, lui dire d'arrêter, ce n'était pas bien, c'était horrible, oui c'est cela horrible. Je serrai encore plus les accoudoirs de mon fauteuil sentant le plaisir monter. Jamais mon ex m'avait pompé ainsi.

Sa langue jouait avec mon gland, titillait mon méa, glissait sur ma tige. Elle m'avalait le sexe, le pompait puis le recrachait.

- Tu es mieux monté que ton frère, lâcha-t-elle entre deux succions.

Comment devrais-je prendre la nouvelle ?

Elle me sortit les bourses et joua aussi tout en continuant à me lécher.

- Tu aimes ? Me lança-t-elle en me fixant dans les yeux.

- Oui, répondis-je dans un souffle près à éjaculer.

Elle se releva soudain et me gifla. La douleur coupa ma monté de sperme et je criai de surprise.

- T'es un putain d'obsédé ! Me cria-t-elle à la figure. Tu laisses la copine de ton frangin te sucer et en plus tu aimes ça !

- Mais ça va pas ! Criais-je en me tenant la joue. J'en débandais presque. J'ai rien demandé !

- Ah oui et me mater les nichons ça tu sais le faire, ajouta-t-elle en retirant devant moi son t-shirt.

- Agathe ! M'écrais-je un soudain sursaut de raison et de lucidité me frappant soudainement.

- Quoi Agathe ? Tu as peur que ton frangin se pointe ? C'est cela ?

- Oui, non...rhabilles toi !

- Tu me trouves moche ? S'indigna-t-elle en se massant les seins. 

Mon sexe regrossit aussitôt, ce qu'elle ne manqua pas de voir. Putain, c'était une folle cette nana. Si Léo se pointait à ce moment-là !

- Agathe, arrête, je... je vais rentrer chez moi.

- Toi pas un geste ! Fit-elle en mettant son pied sur mon entre-jambe. Alors, réponds, suis-je moche ou désirable ?

- Agathe, couinais-je car sa chaussure me faisait mal, je t'en pris. Oui tu es belle...

Elle retira son pied sa colère revenant au galop.

- Tu n'es qu'un obsédé, c'est bien ce que je pensais.

Elle passa ses mains sous sa jupe et se tortilla. Soudain je la vis faire glisser sa culotte en dentelle. 

- Agathe ! Criais-je encore en tentant de me lever pour quitter cet appartement de fou.

- Qui t'a donné la permission de te lever ! Hurla-t-elle en se jetant sur moi, ses deux mains agrippant mes épaules. J'avais son visage à quelques centimètres du mien et les yeux ronds, des douleurs dans les épaules tellement elle me serrait que je glapis au lieu de répondre. J'étais la piètre image d'un homme à ce moment-là.

Doucement, comme dans un rêve, elle passa ses jambes de chaque côté des miennes et s'assis finalement sur moi. Je sentais sur ma queue aplatie ses lèvres chaudes et humides. Ma respiration s'intensifia, je sentais une chaleur envahir mon visage et mes oreilles. Puis elle commença à se frotter sur mon sexe tout en me caressant les épaules et le cou.

- Tu as une belle bite. Me susurra-t-elle au creux de l'oreille. 

- Merci, murmurais-je.

J'étais complètement excité par la situation, mais une peur palpable me rongeait le coeur. La copine de mon frère était à la fois une vraie salope mais aussi une dégénérée mentale.

- Tu aimes ce que te fait Agathe ?

Et voilà qu'elle parlait à la troisième personne.

Je n'eu pas le temps de répondre, je sentis son souffle sur mes lèvres qu'elle posa ensuite sur les miennes, sa langue dardant entre mes dents dans la foulée.

Tout en m'embrassant, elle se souleva doucement, passa sa main sous elle, attrapa mon sexe, le fit aller et venir le long de ses lèvres trempée et finalement, le pointa à l'ouverture de son vagin.

- Tu veux me baiser ? Me demanda-t-elle à brûle-pourpoint.

Que répondre ? Vu l'animal, oui ou non ne changerait rien, je pourrai me reprendre une claque, lui faire l'amour ou au contraire la voir furibonde m'insulter en claquant la porte.
Le mieux était de ne pas répondre et de la fixer d'un air niais et embarrassé. Ce qui ne fut pas difficile.

Soudain mon sexe fut avalé par un fourreau torride, humide et serré. Je laissais échapper un râle de bonheur. Elle m'attrapa le visage à deux mains et me parla en articulant chaque mot.

- Quand ton frère apprendra que tu me l'as mise dedans, il va te tuer !

- Agathe, non, gémis-je, je n'ai pas voulu, c'est...

Elle se mit à bouger sur mon sexe tendu. Tout mon coeur était en feu, pourtant mon ventre était rongé par la peur, j'épiais le moindre bruit venant de l'appartement.


Elle me gifla à nouveau, mais quelle malade ! Comment mon frère pouvait-il vivre avec un pareille folle.

- Alors c'est de ma faute maintenant si tu me baises ? C'est ça ? Ce n'est pas moi qui est venu nous épier pendant que nous faisions l'amour ton frère et moi, ce n'est pas moi qui bande dès qu'il aperçoit mes seins. Tiens, serres-les, prends-les dans tes mains, je sais que tu en meurs d'envie !

Sur ce, elle m'empoigna les mains et les plaqua sur sa poitrine. Je sentais ses tétons durs dans la paume de mes mains, la texture de sa poitrine et la chaleur de ses petits seins. Dans un autre lieu et un autre temps, j'aurai pu apprécier grandement, mais à cet instant, je me sentais pris au piège dans la toile d'une araignée mangeuse d'homme.

Mon siège craquais à chacun de ses mouvements, il n'était pas vraiment fait pour soutenir deux personnes, encore plus avec une folle qui s'empalait sur moi comme une furie, la tête rejetée en arrière, râlant de plaisir me forçant à lui caresser la poitrine.
Soudain elle gémit si fort que je crû que les voisins entendaient comme s'ils étaient juste à côté. Elle ne bougea plus, affalée contre mon épaule.

- Putain, ta bite est vraiment bonne.

Elle se redressa, me fixant comme si elle se réveillait d'un rêve et aussitôt son visage changea du tout au tout.

- Qu'est-ce qu'on vient de faire là ? Merde, si Léo arrive il a me tuer. Elle semblait réellement affolée

- Agathe, gémis-je. Il faut que tu te rhabilles... Il pourrait arriver n'importe quand.

- Mais tu n'as pas joui toi. Répondit-elle comme si c'était une évidence.

- Ce... ce n'est pas grave, pars, s'il te plait.

- Tu veux vraiment que je m'en aille, me répondit-elle d'un air malheureuse

Elle m'embrassa à nouveau, tendrement maintenant, me caressant la nuque et les cheveux. Puis elle me prit ma tignasse et la tira en arrière, tirant ma tête douloureusement par le même mouvement.

- Tu es un bon petit chien. Murmura-t-elle. Et comme tous les jeunes chiots, je vais devoir te dresser, tu comprends n'est-ce pas ? C'est pour ton bien. Tout comme j'ai dressé ton frère...

- Agathe, j'ai mal !

Je tentais de la repousser et en même temps je sentais ma bite être compressée dedans. Elle serrait ses muscles et imperceptiblement elle bougeait de haut en bas, presque rien, mais entre ce massage de l'intérieur et ça, ma bite était au comble, pas moi.

- Lèches mes seins, cria-t-elle en plaquant ma tête contre sa poitrine. Oui c'est bien, oh oui, c'est bon. 

Elle se remit à remuer sur moi pendant que je lui suçais ses tétons et ses seins. Quelle malade mentale. Plus jamais je mettrais les pieds ici, enfin tant que Léo serait avec cette folle.

Mon plaisir montait rapidement malgré la situation des plus embarrassante, enfin pour moi. Mon siège grinçait de plus en plus et soudain j'explosais, arrosant son vagin de mon sperme. 

Cela sembla la réveiller car elle me repoussa contre le dossier.

- C'est pas vrai ! Tu viens d'éjaculer sans préservatif ! Et si je tombais enceinte ?

J'ouvris de grands yeux, mais c'était quoi son problème ? C'est pas moi qui avait demandé à me faire baiser par elle.

- Je plaisante, me sourit-elle. Je prends la pilule. Je t'ai fais peur, hein ? Allez, sur ce, on va pas rester comme ça, imagines que Léo se ramène ? Je lui explique comment que son petit frère vient d'éjaculer en moi ?

- Je... 

- Tu ne sais pas parler ou quoi ? Enfin, réponds, prends des décisions, tu es un homme ou pas ?

Elle me secoua toujours planté sur mon sexe.

Je la repoussais, doucement au cas où, mais elle ne bougea pas. Elle se calma et me caressa la joue encore endolorie de ses deux claques.

- Tu as beau avoir une belle bite, tu es peut-être encore trop jeune pour jouer avec. Allez, faut que j'y aille.

Elle se souleva doucement, mon sexe gluant de mouille et de sperme glissa de son vagin. Mais elle ne bougea pas plus.

- Tu attends quoi ? Demandais-je comme un con.

- Je ne peux pas me présenter avec ça dedans ! Il pourrait me tuer.

Les jambes écartées au-dessus de moi elle attendit que le sperme coule de son vagin. Je le sentis s'étaler sur ma bite et mes vêtements. 

- Agathe ! M'écriais-je

- Quoi ? Répondit-elle sur la défensive. Tu préfères lécher ?

Sur ce, elle se redressa, souleva sa jupe et m'attrapant par la nuque tout en s'avançant au maximum contre moi m'ordonna de lécher.

- Lèches, nettoie, vas-y ! Cria-t-elle assez fort pour que tout le monde puisse entendre, enfin si Léo était par hasard rentré de course.

- Agathe moins fort, marmonnais-je le visage plaqué contre son sexe gluant.

- Alors lèches-moi si tu veux que je la ferme !

Elle se frotta sur mon visage, me faisant un masque de mon sperme et de sa mouille. Elle me claqua l'arrière de la tête pour me menacer. Je finis par sortir ma langue et lui lécher son sexe, évitant son vagin englué de mon sperme.

Son clitoris était gros, je le sentais sous sa carapace, je jouais avec pour tenter de la faire jouir et qu'elle me fiche la paix.  Elle se tortilla contre moi, se frottant encore, s'abreuvant de mots érotiques, gémissant. Ma langue dérapa sur ses lèvres et je goûtais contre mon gré à ma semence. Mais quelle folle !

Le soucis c'est que j'étais aussi excité par tout cela et ma queue reprit de la vigueur. Je ne bandais pas comme tout à l'heure mais mes hormones faisaient la fête.

Enfin, elle poussa un nouveau râle et se dégagea du fauteuil haletant et en sueur.

- Quelle tuerie ! Déclara-t-elle  J'ai hâte que tu recommences. Sur ce je vais prendre une douche, tu en as mis plein partout espèce de petit cochon.

Elle quitta la pièce en me tirant la langue emportant ses affaires avec. 

Avais-je rêvé ? Ou plutôt cauchemardé ? C'était quoi cette folle ? Mon frère avait-il était pris aussi dans son piège ? Ou alors était-il comme elle ?

Elle venait de me baiser, de m'encourager, de me crier dessus, de m'accuser, de me traiter d'obsédé, de voyeur et d'autres choses encore. Et elle se barrait me laissant la bite à l'air, salle et trop content de m'avoir fait jouir ?

Je me réajustais et courais dans la cuisine pour passer mon visage sous l'eau et le nettoyer au savon liquide. Putain, quelle folle !

Dans quelle merde je me trouvais. Avoir été témoin de leur extase sexuelle était un fait, mais là j'avais fait l'amour avec la copine de mon frère. Ok, c'était elle, dans un grand moment de folie furieuse, qui s'était servi de moi, je ne voyais pas d'autres mots, mais quand même. Oui elle m'excitait, mais c'était impossible que je reste ici plus longtemps. Une fois débarbouillé comme je le pouvais, je filais dans "ma" chambre pour faire mon sac, trouver une excuse et repartir à la maison.

Sauf que Léo arriva avant même que je n'applique mon plan. Il avait les bras plein et me demanda mon aide pour ramener les courses dans la cuisine. J'étais penaud, honteux, je sentais son regard sur moi comme s'il savait.

- Où est Agathe ?

- Elle... Elle se douche ! Répondis-je d'une petite voix

- A cette heure-ci ? 

- Que veux-tu... les femmes !

- A qui le dis-tu...

Que voulait dire cette réponse ? En bavait-il avec Agathe ? Où était-ce une généralité ? 
- Tu es tout mouillé

J'en avais mis partout, t-shirt, pantalon, même au sol.

- Désolé, j'ai... vraiment trop chaud et la salle de bain est prise. Je vais nettoyer, ensuite... je vais rentrer... j'ai oublié un cahier à la maison.

- Quoi ? Non, fais pas ça, j'ai acheté plein de bouffe exprès pour toi.

Comment lui dire que sa petite amie et moi avions... J'évitais son regard à la fois coupable et honteux. J'en voulais à cette nymphomane complètement folle. Mais que faisait-il avec ?

- Tu ne vas pas partir si vite ? Lança une voix féminine arrivant dans la pièce

- C'est quoi cette tenue, s'exclama Léo, mon frère est là quand même.

Agathe n'avait que pour toute tenue une serviette nouée autour d'elle. Ignorant la remarque, elle alla piocher une canette de soda dans le frigo.

- Ne t'inquiète pas pour ton petit frère, et de toutes manières je ne reste pas longtemps ici, j'ai vraiment trop chaud dans la salle de bain. Et toi Rémy, ne t'en vas pas si vite, c'est rare de t'avoir au dîner, et je suis sûr qu'il y a un bon dessert.

Je rougis et m'éclipsais dans ma chambre. Putain, elle était complètement timbrée cette meuf. Je pourrai partir, mais cela fâcherai mon frère, c'était certain. Mais d'un autre côté... Rester ici avec elle ! Et c'était quoi cette histoire de dessert ? Encore un sous-entendu à double sens ? 

J'en profitais pour me changer. Je n'avais pas grand chose en stock mais tout mieux qu'un pantalon mouillé taché de sperme. Et en plus je devais terminer mes devoirs, quelle galère. 

J'eu toutes les peines du monde à travailler, je sursautais au moindre bruit dans la pièce d'à côté. La peur au ventre je craignais à tous instants que cette folle annonce à Léo que nous avions couché ensemble, que je les avais vu faire des cochonneries impensables, que je l'avais allumé pendant son absence, etc.

Léo avait vraiment fait des frais pour me faire plaisir. Un menu chinois qui sentait bon et franchement, contre toute attente, tout se passa très bien comme si rien ne s'était passé. Agathe jouait la petite amie amoureuse et fidèle, m'ignorant quasi tout le temps. Elle devrait faire du cinéma, elle serait primée !

Le dessert, acheté aussi, n'avait rien de lubrique du tout. J'avais refusé la bière chinoise me cantonnant à de l'eau et sobre, je les quittais pour m'enfermer dans la chambre d'ami. J'aurai mieux fait de ne jamais venir aujourd'hui, c'était certain !

J'eu du mal à m'endormir, surtout que des bruits venant de la pièce d'en face me firent frémir ! Mon frère et Agathe devaient se déchaîner. D'habitude, ils ne faisaient pas l'amour lorsque j'étais là, mais j'étais certain que cette folle le faisait exprès, d'ailleurs j'entendis des "chutttt" à plusieurs reprises.

C'était décidé, plus jamais je viendrais dormir chez lui, quitte à affronter mes parents et leurs disputes continuelles.

Sauf qu'en pleine nuit, alors que je dormais profondément, va savoir comment, une main se posa sur ma bouche. Je sursautais et criais, mais la main empêcha le son de sortir.

- Tais-toi imbécile ! Souffla Agathe. Il pourrait entendre !

- Qu'est-ce que tu fiches ici. Glapis-je terrorisé, me reculant dans le lit.

Elle y monta à son tour, comme une chatte... en chaleur ?

- J'ai trop envie de toi mon poussin.

- Ça va pas ?   Il n'en est pas question, chuchotais-je en remontant la couette sur moi.

- Tu me déçois beaucoup tu sais, déjà tout à l'heure tu voulais nous quitter...

- Je n'ai rien demandé ...

- Allons, allons, ce n'est pas ce que j'ai senti pourtant...

Elle se rapprocha de moi à quatre pattes comme une chatte. Elle ne portait qu'une nuisette en dentelle que je pouvais apercevoir grâce à la lumière du radio réveil.

- Je te l'ai dit, il faut que je t'éduque, tu vas aimer, tu verras.

Je voulu me lever mais elle se jeta sur moi en riant, comme si ce jeu était normal et que nous n'étions que tous les deux ici.

- Arrêtes, glapis-je, il va nous entendre !

- C'est à toi de faire moins de bruit alors.

Elle passa sa main sous la couette caressant ma cuisse nue, je ne portais qu'un bas de pyjashort. Malgré la situation, mon sexe grossit rapidement. Entre sa présence et sa main sur moi. Je repliais mes jambes sur moi pour l'empêcher d'atteindre mon sexe.

- J'espère que tu es en forme, murmura-t-elle en se collant à moi. Elle posa ses lèvres chaudes sur les miennes, souffla sur ma bouche puis m'embrassa. Sa langue était furieuse, elle me bouffait la bouche agrippant ma tête comme si j'allais m'échapper.

Putain quelle folle ! Une vraie nymphomane. Je fixais ma porte fermée, et si Leo se réveillait ? Son autre main me caressait et repoussa la couette pour mieux sentir ma peau. Elle lâcha ma bouche, je repris mon souffle mais sa langue me lécha le cou, les oreilles, le torse, les tétons. J'étais chaud bouillant même si je savais que ce que je faisais était une pure connerie.

Elle écarta mes genoux doucement et ses mains agrippèrent mon sexe à travers mon pyajshort.

- Ah ! Ah ! se réjouit-elle. Petit coquin... Tu bandes.

- Il ne faut pas ! Soufflais-je sans défense. C'était un peu tard pour la repousser.

- Tu es sûr ? 

Elle tira sur l'élastique faisant sortir ma bite comme un diable de sa boite. Elle me branla doucement tout en continuant à me lécher de partout.

Plus sa bouche descendait vers mon ventre, plus j'avais chaud de partout, j'anticipais l'arrivée de ses lèvres sur mon sexe, sa bouche autour de mon gland, la pire à venir.
Pourtant elle n'en fit rien, me frustrant au passage. Elle me retira mon short et préféra me caresser le bite et les couilles plutôt que de me sucer.

Agathe se redressa et retira sa chemise de nuit, elle commença à se caresser devant moi, tirant sur ses seins et ses tétons tout dur, elle m'offrait un vrai spectacle érotique qui accentua ma trique si c'était possible.

A genoux, le buste droit, elle finit par se caresser l'entre-jambe et se branler devant moi en gémissant doucement, se mordant la lèvre pour ne pas crier. Mais quelle folle ! Je ne pouvais renier qu'elle était superbe, un corps fin et musclé, une petite poitrine que j'avais envie de sucer et caresser, mais aussi de la baiser, malgré le risque.
Soudain, elle se pencha en avant et goba mon sexe avec tellement de surprise que je laissais échapper un cri. Mon regard fixa la porte avec crainte. 

Agathe une main entre ses cuisses continuait de se masser, j'entendais le bruit gluant de ses doigts sur sa chatte humide, ce qui m'excitait encore plus, et de l'autre, elle me caressait le bite et les couilles. Sa bouche était sublime, elle me pompait de haut en bas à un rythme fou.

Elle me lâcha la bite avant que le plaisir ne monte de trop, me fixa dans les yeux puis arrachant sa main de son entrejambe, elle la glissa sous mes couilles.

- Laisse-toi faire, sinon je crie !

Hein ? Quoi ? Que voulait-elle dire ?

Je sentis ses doigts humides descendre sous mes bourses et s'insinuer dans la raie de mes fesses. J'étais assis sur mon derrière, les jambes écartées, elle avait un joli accès à mon cul de cette manière.

- Non, pas là ! Glapis-je en voulant serrer mes cuisses.

- Chuttt, siffla-t-elle en atteignant mon anus que je serrai.

- Je t'en prie, pas ça !

Pour toute réponse, elle se remit à me pomper, me caresser et son doigt gluant de mouille joua avec ma rosette. 

Je plaçais mes mains sur sa tête pour la repousser, mais elle ne bougea pas d'un pouce. Au contraire, elle me mordit légèrement ma bite toujours tendue.

Elle finit par pousser son doigt dans mon petit trou tout doucement. J'avais beau serrer mes muscles, elle ne renonça pas et comme son doigt était fin et humide, rien ne l'empêcha de me pénétrer.

Elle se redressa contre moi, toujours un doigt dans mes fesses, puis elle m'embrassa tout en me branlant.

- Tous les mêmes les garçons, murmura-t-elle ensuite à mon oreille. 

Elle fit tourner son doigt et gratta l'intérieur de mon rectum. Je me serrai et grognais.

- Enlèves ton doigt, s'il te plait. 

- Tu es si chaud, si excité, ta bite ne ment pas, tu aimes ça mon poussin, je dois
t'apprendre, tu vas aimer cela, tu verras.

- Agathe, cela me gêne...

- C'est le prix à payer mon chou pour nous avoir épiés. Feula-t-elle à mon oreille. Tu es le seul responsable de ce qui t'arrive.

- Je suis désolé, implorais-je, je ne le referais plus.

Pour toute réponse elle se mit à faire bouger son doigt dans mon fondement de plus en plus vite, le poussant le plus possible en moi, le tournant, gratouillant l'intérieur et enfin me pistonnant. Pour éviter que je me plaigne, elle me bouffa la bouche tout en contiuant à me branler.

- Punaise, tu es toujours aussi dur ? Cela t'excite, avoue !

- Agathe, Léo pourrait se réveiller, il faut que tu parles.

- Il dort comme un loire ton grand frère, pas d'inquiétude. Et j'en n'ai pas terminé avec toi mon mignon.

Elle retira son doigt si vite qu'elle me fit mal. Elle tira sur mes jambes et passa au-dessus de moi pour se planter sur mon sexe.

- Et ça tu aimes ? 

Mais quelle folle ! Oh qui que j'aimais, je n'avais eu qu'une copine sérieuse, cela avait duré 6 mois et avec du sexe timide et sans grande prétention. Deux puceaux se découvrant avec le peur de se faire capter par les parents.

Ici, rien à voir ! Agathe savait y faire malgré son côté pervers, SM et complètement dingo. Je n'avais jamais bandé autant, aussi dur et aussi fort. Elle se trémoussait sur moi lascivement. Frottant ses seins sur mon torse, remuant sa croupe, faisant glisser ma queue dans son vagin chaud bouillant.

- Alors petit vicieux, je te sens en moi, fais pas l'innocent, tu aimes comment Agathe s'occupe de toi. Marmonna-t-elle dans mon cou affalée sur moi pendant qu'elle prenait les choses en main.

Putain oui que c'était bon, mais j'allais pas lui dire quand même. 

- Je fais le gros lot là, les deux frangins pour le même prix. 

Ce genre de remarque, elle aurait pu la garder pour elle, style ça casse l'ambiance directe.

Je poussais sur ses épaules pour me dégager.

- Agathe, Léo va se réveiller, on fait trop de bruit, retournes dans ta chambre s'il te plait...

- La nuit n'est pas finie..

Elle n'avait pas l'air de vouloir s'en aller. Il fallait que je la fasse partir, mais deux choses m'en empêchaient. D'une part elle pourrait faire une esclandre, vu son caractère c'était plus que possible, et d'autre part, putain oui c'était un super coup ! Mais merde, je baisais la copine de mon frangin quand même...

Elle se retira aussi vite qu'elle m'avait sauté dessus. Je ne sais comment, l'habitude ou un 6ème sens, mais elle sentait lorsque mon plaisir arrivait au galop et elle ne voulait sûrement pas que j'éjacule.

- Mets-toi sur le ventre, faut que je t'encule maintenant !

- Mais ça va pas ! M'écriais-je. Il n'en est pas question !

J'avais parlé un peu trop fort, voire-même crié. Agathe se tourna vers la porte comme si elle avait entendu quelque chose. Merde, Léo ! S'il nous trouvait à poil tous les deux il allait me décapiter. Les secondes passèrent et rien ne se produisit.

- Mettons les choses au point mon mignon, ajouta-t-elle en remettant sa mèche de cheveux derrière son oreille. Plus tu feras de bruit, plus il a des chances de se réveiller.
- Mais j'ai pas envie que tu... Je suis pas un homo moi ! Chuchotais-je la queue devenant molle sous la pression, en me rasseyant.

- Cela n'a rien à voir enfin ! Alors les mecs vous pouvez bourrez le culs des filles sans remord mais nous, dès qu'on parle de vous toucher le petit trou, c'est tout de suite sale et dégoutant !

- Mais j'ai jamais fais ça moi !

- Tu es trop mignon, et surtout très naïf. Si tu savais le nombre de mecs qui ont eu une relation sodomite seul, avec leur copine ou même un mec, tu tomberais des nues ! Mais jamais ils vont s'en venter ces machos ! 

- Mais même, j'ai pas envie...

- Ton frère disait pareil au début, tu l'as bien vu non ? Il a l'air d'une pédale pour autant ? C'est même lui qui réclame maintenant. Cela ne l'empêche pas de marcher ni de faire le beau devant tout le monde.

Elle était vraiment folle ! J'avais beau me rebiffer, elle trouvait toujours un argument, et plus on parlait, plus Léo pouvait se réveiller. Mais il n'était pas question que je me laisse faire.
- Agathe, je suis vraiment désolé de vous avoir vu faire ça, oui je n'aurai pas du, mais...
Avant que je puisse continuer, elle me sauta à nouveau dessus. Je retombais en arrière. Elle s'assis sur mon ventre frottant son sexe sur ma queue molle, elle appuya sur mes épaules puis se coucha sur moi.

- Rémy, c'est juste une fois, ensuite je te laisse tranquille, je ne viendrais plus t'embêter la nuit comme ça. Vois plutôt cela comme une punition... Pour ce que tu as fait. Tu as espionné notre intimité, tu m'as vu toute nu, tu n'aurais jamais du faire cela...

Ma queue reprenait du service sous ses massages savant, faire l'amour avec elle était déjà plus que limite, bon oui disons que j'avais dépassé la limite depuis longtemps, mais de là à accepter sa demande...

Elle avait tout prévu en venant ici cette nuit la salope. Changeant de plan comme de chemise, elle se retrouvait à nouveau entre mes cuisses ouvertes, me titillant la queue du bout de la langue, ses doigts furetant entre mes fesses plus bas. Elle avait glissé un oreiller sous mes hanches pour mieux parvenir à ses fins.

Bon, allez un doigt dans le fion, elle me l'avait déjà fait, ça n'allait pas me tuer. Surtout que sa putain de bouche me m'était dans tous mes états. On ne m'avait jamais léché ni les bourses ni le cul. Relevant mes jambes, Agathe se mit en devoir de me le faire découvrir. J'avais trop la honte, mais qu'est-ce qui me prenait de me laisser faire ? Sa petite langue titillait la base de mon sexe, remontait jusqu'à mon gland, glissait sur mes bourses puis léchait mon petit trou et ainsi de suite. 

Etait-ce répugnant ? Dans l'absolu oui car ce n'était pas du tout dans mes habitudes ni mes désirs. Mais dans les faits, les sensations n'étaient pas désagréables.

- Ne bouge pas, déclara-t-elle en se levant me laissant ainsi en plan.

Elle sortit du lit et ramassa un truc par terre. Merde c'était quoi ça ? Dans la lumière du radio-réveil, je vis qu'elle avait ramené son mandrin et qu'elle était en train de se le mettre.

- Attends, je pensais que c'était juste un doigt !

- C'était juste l'apéro...

Le lit craqua lorsqu'elle revint me retrouver son sexe en plastique tendu devant elle.

- Finalement, ça va pas le faire, dis-je avec forte appréhension

- Tu préfères la fessée ? C'est sur que là ton frère va les entendre les claques...

- Merde Agathe, tu déconnes là...

- Laisses toi faire...

Elle se remit en position écartant mes jambes et cracha vulgairement dans sa main pour lubrifier son engin.

Dans la même journée, j'avais vu mon frère subir le même sort, lui avait l'air d'apprécier cela. Jamais je n'aurai cru que cette nympho malade du ciboulot et adultère de surcroit, pointe sa queue en résine entre mes fesses.

- C'est trop gros, gémis-je

- Chuttt, tu risque de réveiller Léo

Elle se mit à me caresser le ventre puis la bite pour me détendre et lovant son gland en plastique sur mon anus lubrifié de salive, elle poussa dessus.

- Cela fait mal, grognais-je en plaquant mes mains sur elle par réflexe. 

Je resserrai mon anus pour empêcher l'intrus de rentrer.

- C'est presque fini, chuchota-t-elle en poussant de tout son poids.

- Ahhh, lâchais-je en sentant mon cul s'ouvrir et son god m'empaler.

Elle plaqua une main sur ma bouche.

- Chut ! Tu fais trop de bruit. J'adore dépuceler des petits cul tu sais.

J'en avais les larmes aux yeux, c'était si honteux et aussi douloureux.

Les secondes passèrent, puis les minutes. Le matelas grinçait, Agathe entre mes jambes prenait son pied en m'enculant. Le mandrin de plastique me chauffait l'anus. A force de persévérance elle l'avait planté bien profond et elle m'enculait à grands coups de bassin maintenant.

- Tu la sent hein ? Tu la sent en toi ? Ce que j'aimerai avoir un bite aussi...

Elle parlait toute seule faisant son office et prenant son pied visiblement. Pour ma part ce que j'en ressentais ? Et bien pas grand chose, j'étais plutôt mortifié, honteux et humilié. Je n'étais même pas majeur et la copine de mon frère me bourrait le cul !

Mais ce que je ne comprenais pas, c'est que je bandais toujours aussi dur. J'en profitais tout de même pour lui peloter les seins, la caresser et répondre à ses baisers.

- Ca chauffe, gémis-je, arrêtes.

Contre toute attente, elle se retira en sueur et soufflante comme un phoque. Sa poitrine se soulevait soutenue par mes mains. Elle replaça une de ses mèches collante de sueur et m'embrassa.

- Retournes-toi maintenant

- Non, soufflais-je, ça fait mal.

- T'inquiète, je vais arranger cela !

Elle se leva à nouveau, sa pine en résine se balançant sous la lumière blafarde du radio-réveil. J'avais pris ça dans le cul moi ? Putain, ce n'était pas possible. Pourtant j'avais l'impression de le sentir encore.

Elle ramassa un truc par terre et revint me trouver.

- Désolé, je ne le trouvais plus tout à l'heure, allez, retourne toi

Son ton était sans réplique. Elle me frappa la cuisse me montrant pas geste de lui donner mon cul.

En levrette, elle m'écarta les fesses et appliqua un gel frais et gluant qui me fit du bien. Elle enfonça un doigt puis deux et me burina le cul ajoutant encore du gel.

- Cela ira mieux comme ça.

- Agathe, on n'est pas obligé.

Pour toute réponse, elle fit glisser sa bite en plastique d'un coup jusqu'à la garde. Je criais de surprise dans mon oreiller.

- Tu vois, ça glisse tout seul.

Pour prouver ses dires, je subis le même sort que mon frère quelques heures plus tôt. Moi qui en avait été mortifié de le voir comme ça, la belle et folle nympho Agathe me faisait subir la même chose.

En effet, avec le gel ses allez et venus entre mes fesses ne provoquaient pas les mêmes sensations. Mais de là à dire que j'adorai ça...

Elle passa sa main sous moi et commença à me branler. Sa langue titilla mes lobes d'oreilles et elle me susurrait des mots doux, grossiers ou pleines de promesses de plaisir.

A nouveau sans attendre, elle vida mon cul de sa pine en plastique et me claqua les fesses.

- Putain, baises moi maintenant, mets là moi ou tu veux.

Elle se mit en levrette à côté de moi et sans demander mon reste, je me plaçais derrière elle pour me défouler à grands coups de reins. Je finis par éjaculer au fond de son vagin, tendu, mes mains accrochées à ses fesses.

Elle quitta ma chambre aussi vite qu'elle était venue ans un mot, sans un merci ou un désolé. Elle avait eu ce qu'elle voulait et puis voilà. Elle était complètement dingue cette nana ! Pourtant je crois que je devenais accro. Deux baises dans la même journée, c'était plus que je ne l'avais fait depuis des mois. J'étais plutôt timide alors pour draguer, j'étais plutôt à la traîne comparé à mon frère. Mais les conditions de la miss pour faire tremper mon biscuit n'était pas des plus reluisantes

En sueur, avec aucune envie de dormir, je me repassais la scène avec elle tout en me tâtant le cul du bout des doigts. Il était irrité et gras, boursouflé aussi et ni sec, ni ridé comme d'habitude. Non pas que je me touche le cul d'habitude, mais qui ne l'a pas déjà inspecté lors d'une douche ou d'un bain ?

Allait-il redevenir normal ? Ou rester comme cela? Je n'avais jamais pris le cul d'une fille, encore moins d'un mec, alors comment comparer ?

Etrangement, en repensant au corps d'Agathe, ma queue reprit du volume et cherchant mon paquet de mouchoir en papier, je me mis à me branler, comme souvent, mais cette fois-ci en repensant à la copine de mon frère. Tout en oblitérant ses mauvais côtés...

Avec les années, le souvenir de ce qui c'était passé changea. Je ne garde que les bons côtés et le plaisir que j'ai eu avec elle. Si sur le coup j'ai trouvé lé comportement d'Agathe complètement fou, comme dans un rêve, ou un cauchemar érotique, ensuite nous n'avons plus jamais fait l'amour. Même si je la regardais encore avec envie. 

Sa relation avec moi fut tout à fait normale à partir de cette nuit là. Mon frère est toujours avec, d'ailleurs elle a eu deux enfants avec lui. Font-ils encore des facéties aussi lubriques ? Ce n'est pas mon problème en fin de compte. Et Agathe m'a bien appris une chose, c'est de me mêler de ce qui me regarde. Si mon frère aime se faire enculer, tant mieux pour lui. Si Agathe le trompe, et bien qu'il se débrouille avec.
Je n'ai plus jamais dormi chez lui. Mes parents ont fini par se séparer ce qui soulagea tout le monde. Je suis parti faire mes études à l'université, j'ai eu ma chambre d'étudiant et j'ai rencontré une fille assez mignonne qui n'a rien à voir avec Agathe. 

Bref, maintenant je vis une vie plutôt classique. J'ai un travail, une copine, un appart mais lorsque je repense à cette nuit avec Agathe j'ai toujours la trique... Je n'ai jamais retenté d'expérience anale, enfin sur moi quoi, car avec ma petite-amie, on a tout tenté tout en restant dans le soft et étrangement vu son âge, elle était encore vierge lors de notre première fois. On s'aime, on aime faire l'amour et profiter de la vie, mais c'est une autre histoire... 

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