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Le colonel soumis.

Cadre supérieur de l'armée je suis habitué à commander et surtout à être obéi. Mais à la maison je suis le jouet d'une femme dominatrice qui va, un soir me soumettre devant sa meilleure amie dans des postures, des attitudes, et des situations humiliantes.

Proposée le 20/05/2021 par Bamby26

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Thème: Homme soumis
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie


Je suis un cadre supérieur de l’armée habitué à commander et surtout à être obéi. Sauf à la maison où ma femme prit rapidement l’ascendant sur moi. Je n’en sus jamais la raison profonde, mais le fait est que lorsqu’elle ordonne, j’obéis ! Outre certaines tâches domestiques qu’elle me contraignait à accomplir, elle me soumettait dans ses plaisirs sexuels. Et gare à moi si je n’étais pas en état de la satisfaire ! Jusqu’alors tout se passait dans l’intimité et lorsque nous sortions ou recevions, Rose (ma femme) s’attachait à ne rien laisser paraitre de notre relation… particulière.
Un soir pourtant elle abandonna sa réserve :
— J’attends Annabelle ce soir. Quand elle sera là tu nous serviras l’apéritif sur la terrasse.
— Bien maitresse. (c’est ainsi qu’elle exigeait que je l’appelasse).
Annabelle (la meilleure amie de ma femme) arriva peu de temps après. Je servis les boissons puis, n’étant pas autorisé à rester, je me retirai, demeurant cependant à portée de voix.
— Michel ne trinque pas avec nous ? Demanda Annabelle.
— Non pas ce soir.
Comme elle marquait quelques signes de surprise, Rose expliqua.
— Est-ce que tu te souviens de ce dont je t’ai parlé une fois ?
— Quoi donc ?
— Qu’il n’avait pas droit à la parole à la maison.
— Ah, ça ? Oui, oui, je me souviens.
— Bon, et comme tu es ma meilleur amie tu as le droit de tout savoir.
— De tout savoir ?
— Oui, j’exige une soumission totale de la part de Michel.
— Ah bon, moi je croyais que tu plaisantais.
— Non. Mais si ça te gène…
— Oh, non, pas du tout. Et puis je suis curieuse.
Rose sourit puis elle m’appela :
— Viens ici.
Je courais jusqu’à la terrasse.
— Oui maitresse.
— J’ai décidé qu’Annabelle avait le droit de tout savoir. D’ailleurs, désormais tu l'appelleras madame.
— Bien maitresse.
— Vas nous chercher des glaçons !
Elle me frappa violemment les fesses puis s’adressant à Annabelle :
— Il a un beau cul tu ne trouves pas ?
Annabelle hésita à répondre et Rose l’encouragea :
— Allez, détends-toi, y’a pas de lézard. Alors son cul ?
— Heu… il a l’air pas mal.
— Mais t’en es pas sûre, c’est ça ?
Rose n’attendit pas la réponse pour m’ordonner.
— J’exige que tu viennes te présenter à Annabelle.
Je savais ce que cela signifiait : je devais me mettre à poil et venir m’agenouiller devant la meilleure amie de ma femme, les yeux baissés.
— Je te présente ma petite salope, déclara Rose. Puis elle m’ordonna :
— Baise lui les pieds.
Je m’exécutais puis Rose poursuivit :
— Debout ! Viens devant ta maitresse pour l’inspection.
Elle se ravisa, s’adressant à Annabelle :
— Tu veux peut-être le faire ? j’exige qu’il ait toujours la bite et l’anus parfaitement propres.
Elle me claqua les fesses.
— C’est Annabelle qui va contrôler.
Je me positionnais donc devant elle et à peine eut-elle décalotté mon gland que je me mis à bander. Rose se leva d’un bond.
— Qui t’as autorisé à bander, salope !
Elle m’attrapa les couilles et les pressa. La douleur redonna triste figure à ma queue.
— Alors, c’est propre ? demanda-t-elle à Annabelle.
— Oui.
— Parfait. Couche-toi à nos pieds m’ordonna-t-elle.
J’obéis puis après une demi-heure au cours de laquelle Rose relata à son amie quelques uns de mes déboires sexuels les plus humiliants, je sentis un poids sur la vessie. J’avais bu trop de bières avant de rentrer. Mais je n’avais pas eu le choix. Rose me l’avait ordonné. N’y tenant plus je demandais :
— Maitresse j’ai besoin d’aller aux toilettes.
— Tu iras quand je le déciderai.
Je patientais encore un quart d’heure puis revins à la charge
— Maitresse…
La réaction fut immédiate. Rose me donna un coup de pied pour m’obliger à me recoucher et me touchant au ventre, je libérai un peu d’urine. Rose explosa :
— Mais t’as vu ça ? Elle se pisse dessus cette chienne.
Elle passa la main sous son fauteuil pour saisir un fouet qu’elle abattit plusieurs fois sur mes fesses avant d’ordonner :
— Tu vas me lécher ça tout de suite.
Et elle m’encouragea de son fouet tandis que je nettoyais. Lorsque je terminais, j’avais les fesses en feu. Rose attrapa la bouteille de Whisky puis elle m’en versa une longue rasade dans la bouche.
— Ça va te désinfecter gros dégeulasse.
Puis elle plongea la main dans le grand sac à côté d’elle. Elle me fixa le collier et la laisse qu’elle venait d’en retirer et s’adressa à Annabelle :
— Tiens, tu peux l’emmener pisser si tu veux. Généralement il lève la patte contre le tilleul, là bas.
J’avançais, à quatre pattes vers l’arbre où, la jambe en l’air je me soulageai. Annabelle me raccompagna jusqu’à la terrasse où Rose me lia les mains avant d’indiquer un poteau où Annabelle put m’attacher.
— Annabelle, regarde s’il a les couilles gonflées, s’il te plait. Et toi salope, mets-toi en position pour qu’elle puisse voir.
Toujours à quatre pattes, j’écartais les jambes. Rose précisa à Annabelle :
— Mets-toi derrière lui et passe la main entre ses jambes. C’est la meilleur façon.
Annabelle me soupesa les couilles consciencieusement et Rose la questionna :
— Alors ?
— Elles sont plutôt lourdes.
— Tu as l’impression qu’elles sont pleines ?
— Oui, plutôt, elles me semblent même gonflées.
— Ok.
Annabelle revint vers son amie en demandant :
— C’était important pour ses bourses ?
— Oui parce que en prévision de cette soirée je lui ai interdit de se masturber depuis lundi. Alors je dois vérifier très fréquemment qu’il n’a pas désobéi.
— T’aurais pu voir comme ça s’il c’était masturbé ?
— Oui, bien sûr avec lui ça ne rate pas. Lorsqu’il a éjaculé ses testicules son flasques et légers.
— Ah ben non, là, je t’assure qu’il a les couilles bien fermes.
Elle fit une pause puis :
— Et heu…
— Quoi ?
Annabelle baissa la voix :
— Il a une bite drôlement épaisse.
— Elle te plait ?
— Ben faudrait être difficile.
— Et encore tu l’as pas bien vue. Attends, je vais le chercher.
Rose me détacha, me fit avancer à genoux puis lorsque je fus devant Annabelle elle me releva.
— Regarde ma belle.
Rose m’attrapa la queue, la fit grossir et Annabelle s’exclama :
— Ah ouais, quand même !
— Vas-y, n’hésite pas, touche-le, déclara Rose. D’ailleurs tu peux le toucher où tu veux et comme tu veux.
Annabelle ne se priva pas et lorsqu’elle retira la main je bandais comme un âne ! Rose soupira.
— Quand je vois sa bite dressée comme ça, ça m’excite comme une folle.
Sur ces mots elle glissa ses mains sous sa robe, retira sa culotte et me saisit la tête.
— Lèche-moi la moule salope !
Tandis que ma langue s’activait, Rose commentait :
— Il lèche bien l’animal. Il est capable de me faire partir plusieurs fois comme ça. Elle me caressa la tête et ajouta : d’ailleurs s’il veut avoir une chance de se faire sucer la bite il a pas le choix… Oh putain que c’est bon !
Lorsqu’elle eut joui, elle se retira et invita Annabelle à prendre sa place. Elle avait un clitoris plus gros et plus sensible ce qui me permit de la faire jouir rapidement. Lorsqu’elle retomba dans son fauteuil, Rose me flatta la croupe.
— C’est bien, tu es une bonne pute. Reste à quatre pattes.
Elle fouilla dans son sac et en ressortit un plug anal. Elle le tendit à Annabelle.
— Tu veux lui mettre ?
— Volontiers.
Annabelle sourit puis m’enfonça l’objet dans l’anus.
— Il va le garder longtemps ?
— Je n’ai pas encore décidé, mais parfois il le garde toute la nuit.
— Ah, ok et…
— Quoi ?
— Heu… Il accepte les godes ?
— Je ne lui demande pas son avis. Je le fais oui, mais ça ne m’apporte pas grand chose.
— Et…
— Quoi ? Aller, vas-y ! Tu vas quand même pas être gênée après tout ça ?
— Non t’as raison. Je me demandais si tu l’avais déjà fait prendre par un mec.
— Tu veux dire le faire enculer ?
— Oui, mais pas que. Il a déjà sucé une bite ?
— Non, je crois pas, mais t’as raison il faudra que j’organise ça parce que ça va pas être facile pour lui. Les trucs entre mecs ça le révulse.
— Ah ok.
Rose se mordit les lèvres.
— Mais t’as raison, c’est parce que ça va être difficile qu’elle sera obligée d’obéir cette salope. Oui je vais organiser ça. T’aimerais être là ?
— Ben…
— Quoi ?
— J’ai un copain qu’est bi. Si tu veux je l’appelle.
— François ?
— Oui.
Rose ne prit pas le temps de la réflexion.
— Chiche.
Quand à moi je commençais à paniquer. Annabelle raccrocha en précisant :
— Ils sera là dans une demi-heure.
— Parfait et t’as bien fait de tout lui dire. En attendant on pourrait s’offrir un petit spectacle, non ?
— Qu’est-ce que tu veux dire ?
— Attrape le par le collier et ramène-le ici.
Annabelle me déposa devant ma maitresse qui m’ordonna :
— Tu vas nous resservir à boire et après tu te branleras.
Je m’exécutais avec facilité, car m’astiquer devant Annabelle me procura beaucoup de plaisir. Au bout d’un moment Rose avança un verre dans lequel elle avait déposé un peu d’eau, près de ma bite.
— Ejacule là dedans.
Moins de deux minutes plus tard je déchargeais copieusement dans le récipient dont je dus avaler le contenu. Rose consulta sa montre.
— On a encore un moment pour une promenade.
Elle me tira à elle par la queue puis fixa une lanière autour de mes bourses. Elle s’adressa à Annabelle.
— Viens on va le promener.
Elle tendit la lanière à sa copine.
— Tiens. Il faut juste que tu tires un coup sec si tu sens qu’il a du mal à avancer.
— Mais ça va…
— Lui faire mal ? J’y compte bien. Tu sais, un homme il faut constamment le dresser. Elles se mirent à rire.

François arriva alors que nous finissions de faire le tour de la piscine. Annabelle désigna la lanière.
— J’enlève ce truc ? demanda-t-elle.
— Bien sûr que non on en aura peut être besoin s’il se montre récalcitrant.
François s’installa entre les deux filles et Annabelle demanda aussitôt :
— Il te plait ?
— Beaucoup.
Rose déclara :
— Parfait. Si ça te dérange pas j’aimerais que tu commences par l’enculer puis tu viendras dans sa bouche pour qu’il te finisse.
— Pas de problème. Il s’est déjà fait sodomiser ?
— Oui, assez souvent. Déclara Rose.
Annabelle lui donna un coup de pied et Rose lui intima, d'un geste, de se taire.
François se leva.
— T’as du lubrifiant ? demanda-t-il
— Pas besoin avec ces capotes.
Lorsqu’il fut assez loin, Annabelle murmura.
— T’es folle, François va le défoncer d’entrée après ce que tu as dit.
— Tant mieux !
Du coin de l’oeil je vis François s’approcher de moi puis je sentis ses mains sur ma croupe et je poussais un cri. J’avais l’impression qu’il m’avait déchiré l’anus. Mais la douleur ne dura pas et je commençais à apprivoiser les sensations… agréables ! Je n’en revenais pas : j’aimais ça ! Il me pilonna un long moment puis il se retira pour venir coller sa queue sur mes lèvres. Je détournai la tête. Dans la seconde je sentis la brûlure du fouet sur mes fesses.
— Ouvre la bouche, ordonna Rose, sinon je te jure que tu ne pourras pas t’asseoir pendant un mois.
Je n’obtempérai pas et François déclara :
— C’est pas grave.
Rose répliqua :
— Reste-là, elle va te sucer cette salope, je te le jure !
Puis elle se tourna vers Annabelle.
— Viens me remplacer. Fouette-le jusqu’à ce qu’il obéisse.
Annabelle frappait plus fort que Rose. J’avais mal mais ça n’était rien à côté de la pression que Rose exerça sur mes couilles en tirant sur la lanière.
— Suce-le, m’ordonna une nouvelle fois Rose ou je les prends à pleine main pour les écraser.
Je ne comprenais pas l’attitude de ma femme. D’habitude c’était un jeu. Mais là elle était différente, presque en colère. Et moi je ne voulais pas sucer cet homme. Pas après ce qu’il venait de faire. Rose répéta encore :
— Suce-le !
Et comme je n’ouvrais toujours pas la bouche elle me saisit les couilles dans la main droite :
— Je vais t’apprendre à obéir.
Elle serra tellement fort que je capitulais. J’ouvris la bouche et François glissa sa bite entre mes lèvres. J’étais écoeuré mais je suçais quand même car Rose ne m’avait pas lâché. Seule Annabelle avait cessé de me martyriser pour profiter du spectacle. François commença à gémir et Annabelle lança :
— Il ne va pas tarder à jouir.
Aussitôt Rose lâcha mes bourses pour me bloquer la tête puis elle lança à l’intention de François :
— Vas-y soulage-toi.
Il me baisa fougueusement pendant quelques secondes puis je sentis un jet puissant inonder ma bouche.
— Avale ! ordonna Rose.
J’obéis. Lorsque François se fut retiré Rose demanda à Annabelle :
— Tu veux bien aller le rattacher à son piquet ?
— Ok.
Lorsque je fus solidement enchainé, pieds et poings liés, Rose déclara :
— Je vais aller préparer quelques amuse gueule. On a bien mérité un peu de repos. Après dix minutes elle demanda à son amie :
— Annabelle, je vais te demander quelque chose mais je voudrais que tu me promettes de ne pas te mettre en colère si ça te choque.
— Dis toujours.
— J’aimerais que François me prenne devant lui. Je veux qu’il regarde sa femme se faire baiser. Je sais que ça va le rendre fou de jalousie.
— Tu crois ?
— Oh, oui !
— Je n’y vois pas d’inconvénient et je crois que François non plus.
— Je suis à vos ordres mesdames.

C’est ainsi que je vis ma femme se faire tripoter les mamelles avant d’être copieusement baisée sous mes yeux. Ce fus ce que j’eus de plus dur à endurer ce soir là. Ma femme adorée qui acceptait la queue d’un autre !
Comme j’avais rechigné à obéir, Rose décréta que je devais passer la nuit dehors, attaché à mon piquet. Elle me libéra au petit matin, et je me retrouvais quelques heures plus tard à distribuer mes ordres à mes subordonnés.

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Commentaires de l'histoire :

Anonyme
quelle belle soirée ...
Posté le 29/06/2024

Anonyme
Histoire vraie, pauvre mec , était t'il d'accord pour la sodo sinon ça s'appelle 1 viol. Drole de manière de traiter son mari , quand on aime son mari on ne le traite pas comme 1 moins que rien. Quand on est 1 domina on est sensé protégé son soumis ou sa soumise la la femme ne protège que dalle . En plus elle en est fière de laisser son mari dehors attaché à 1 piquet. Il y avait 1 accord non entre les 2 partis la l'accord est rompu , si il est rompu le mec se barre après pourquoi s'embeter la vie avec 1 gonzesse qui ne le respecte pas.
Posté le 21/05/2021


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