Histoire Erotique

Littérature adulte en ligne, histoires érotiques et récits coquins gratuits...

Un voyage thérapeutique

Jeanne est une jeune femme naïve que j'amenais à me faire quelques "gâteries" dans le but de me soulager d'un mal sournois qui me prit en conduisant. Sa sollicitude me poussa même à lui proposer un ramonage total.

Proposée le 15/05/2021 par Bamby26

Votre note pour cette histoire érotique
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.

Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Histoire vraie


Rien de ce que je vais vous raconter n’a été prémédité. Jeanne est une femme mariée, qui est restée très naïve malgré ses trente deux ans. Elle n’est pas particulièrement belle, mais je ne sais pourquoi, il m’est venu durant notre voyage, une véritable folie érotique.

Mais commençons par le début…

Je fus invité, un soir chez mes voisins de palier, Jeanne et Paul. Jeanne est une petite femme mince sans beaucoup de formes alors que Paul, son mari, est un grand gaillard tout en muscle. Un colosse d’acier qui, le matin même s’était fracturé la jambe en tombant d’un escabeau.
Je fus presque accueilli comme le messie. Tous deux connaissaient ma serviabilité et l’apéro surprise cachait une demande pressante. Ils devaient terminer de déménager leur ancien appartement le week end prochain et, compte-tenu de l’état de Paul, ils requéraient mon aide.
— Paul ne peut pas faire un si long voyage avec ses côtes fêlées, déclara Jeanne. Alors je suis désolée, tu devras faire le voyage avec moi.
— Je m’en remettrai répondis-je.
Bon, j’avais autre chose de prévu, mais je ne pouvais pas les laisser tomber.

Je récupérais la fourgonnette chez le loueur, de bonne heure, car nous avions plus de 500 kilomètres à parcourir. Compte tenu de la chaleur qui déjà, s’annonçait, j’avais opté pour un short et un t-shirt. Jeanne avait choisi une robe fleurie.

Durant les 100 premiers kilomètres nous discutâmes de choses et d’autres et elle ponctuait régulièrement ses phrases par :
— Je ne sais vraiment pas comment te remercier.
A la longue, je trouvais cela un peu agaçant puis soudain, (je ne saurais sans doute jamais pourquoi), je fus frappé par une idée folle. Ce que j’allais faire était dangereux car je risquais de compromettre notre relation amicale, voire de déclencher, à postériori, la colère de Paul. Toutefois, si tout se passait comme je l’espérais, le voyage serait des plus agréable.

Je décidais donc de « tâter le terrain » d’une manière sans équivoque en touchant innocemment mon entrejambe plusieurs fois d’affilée. Attentif à ses réactions, je vis que Jeanne suivait tous mes mouvements d’un oeil discret.
— Pardon, ça n’est pas très correct, dis-je, mais j’ai souvent mal aux bourses quand je conduis.
Jeanne, sans doute intimidée par la nature de mes propos, ne répondit pas. Je roulais encore un peu puis je m’arrêtais sur le bas côté.
— Qu’est-ce qui se passe, s’inquiéta-t-elle ?
— Il faut que j’enlève mon slip il me comprime trop.
Sur ces mots je descendis du van, le contournai, puis, veillant à ce qu’elle put me voir dans le rétroviseur, j’enlevai mon slip et remis mon short. Je redémarrais et entamait une nouvelle conversation.

Ce que j’espérais arriva bientôt : les trépidations de la voiture occasionnèrent un frottement dans mon short à l’endroit le plus sensible et l’érection ne tarda pas à gonfler le tissu. Je pris aussitôt une posture qui permit à Jeanne de mesurer l’ampleur de la chose, et ses regards, d'abord furtifs, devinrent bientôt insistants. Je la vis rougir et frotter ses mains sur sa robe. Je me trémoussais sur mon siège en grimaçant et Jeanne s’inquiéta :
— Ça ne va pas ?
— Pas trop. J’ai mal aux bourses.
Je guettais du coin de l’oeil ses réactions et il me sembla la voir encore rougir. J’en profitais pour glisser la main dans mon short et je lançais :
— Ça t’ennuies si je me masturbe en conduisant ?
Comme je m’y attendais elle ne répondis pas mais cela ne m’arrêta pas. Je me contorsionnais pour descendre mon short sur mes chevilles puis je saisis ma queue à pleine main. Jeanne se força à regarder loin devant et je la taquinais :
— Tu peux me regarder si tu veux, ça ne me dérange pas. Je suis obligé de le faire régulièrement. Je souffre d’une maladie rare qui fait que je produis trop de spermatozoïdes qui engorgent mes testicules et il faut que je les vide régulièrement.
Là, je me rendis compte que j’allais peut-être un peu loin. Mais Jeanne goba mon histoire. Ou alors elle fit semblant… Peut importait d’ailleurs et je commençais à me masturber doucement. Elle continuait à regarder droit devant mais je perçus quelques regards en coin. Soudain je fis mine d’avoir des difficultés à contrôler la trajectoire du van et je posais les deux mains sur le volant, tout en rectifiant un peu ma position afin que Jeanne put admirer ma bite que certaines femmes m’on fait la fierté de qualifier de « très volumineuse ». J’expliquai :
— La route n’est pas très bonne, j’ai besoin de mes deux mains pour tenir le volant.
Je laissais quelques secondes de silence puis ajoutais :
— Ça t’ennuierais de continuer ?
Je la sentis se crisper. Aie ! Je repris donc « la chose » en main tout en continuant de simuler des difficultés de trajectoire. Soudain je vis Jeanne se caler contre la portière. Elle me regarda un moment puis me conseilla de m’arrêter afin d’éviter un accident. Je répliquai aussitôt :
— Non, il vaut mieux que je me masturbes en roulant. C’est plus efficace. Les secousses facilitent les choses.
Je sentais qu’il fallait que je précise :
— Je suis désolé de t’imposer ce spectacle mais je t’assure que c’est la vérité. Tu peux le constater par toi-même. Aller,Touche-les n’aies pas peur.
Je ne pensais pas qu’elle le ferait, mais soudain elle avança la main et soupesa mes bourses.
— Alors, fis-je ?
— Oui, en effet, elles sont très grosses et elles sont comprimées entre tes cuisses.
— Et si je ne les purge pas régulièrement elles me font un mal de chien.
Je souris discrètement puis je fis un écart (volontaire) sur le bas côté. Jeanne réagit comme je l’espérais :
— Concentre-toi sur la route, je m’occupe du reste.
Elle referma sa main fine sur ma queue et commença à me masturber. Elle s’excusa :
— Ne m’en veux pas, mais je ne sais pas très bien faire. Je fais rarement ça avec Paul.
— C’est très bien, ne t’inquiète pas.
Sa masturbation lente était très agréable et je faillis éclater de rire lorsque je compris qu’elle prenait mon histoire de « purge » très au sérieux.
— Et tu dois les purger à quel fréquence ?
— A peu près toutes les heures.
— Et on roule depuis combien de temps ?
— Une heure trente.
— Déjà ? Et, t’as pas trop mal ?
— Un peu, mais je ne voulais pas t’embêter.
— Ça par exemple mais tu ne m’embêtes pas du tout, tu es tellement gentil de m’accompagner.
Elle continuait sa lente masturbation. Divin ! J’aurais pu m’en contenter. Mais non. Je voulais voir jusqu’où je pouvais aller. Je la laissais faire un moment puis je soupirais bruyamment.
— Ça va ? me demanda-t-elle
— Un peu mieux mais je crois que j’ai trop attendu.
— Qu’est-ce que tu veux dire ?
— J’ai trop attendu pour me masturber, et elles ne vont plus se vider complètement maintenant.
— Ah bon et c’est grave ?
— Un peu.
— Comment ça ?
— Et bien s’il y a trop de sperme qui stagne au fond des bourses, ça peut provoquer des inflammations et même, à la longue, provoquer un cancer des testicules.
Là, j’y allais un peu fort quand même ! Mais non… Ça passait…
— Un cancer ? Mais c’est grave ! Et qu’est-ce qu’il faut faire pour éviter ça ?
— Juste arriver à les vider complètement
— Oui ça j’ai compris, mais comment ?
— C’est gênant, continue comme ça, ça va peut-être aller.
— Ah, non, non, je ne veux pas que tu risques un cancer à cause de moi.
— A cause de toi ?
— Ben oui c’est pour moi que tu fais ce voyage.
Je m’amusais encore :
— C’est pas grave je t’assure.
— C’est pas grave mais ça peut le devenir. Dis-moi ce que je dois faire pour te purger à fond.
J’hésitais encore mais lorsqu’elle lança :
— Ça ne doit pas être évident avec une grosse queue comme la tienne.
Sur ces mots elle me palpa les bourses consciencieusement et déclara :
— Il me semble qu’elles sont plus dures que tout à l’heure.
— Oui c’est bien possible.
Je fis une grimace.
— Tu as mal ?
Je lui répondis dans un rire.
— J’ai l’impression qu’elles vont exploser.
Alors là, elle se fâcha. Elle lâcha ma bite et cria presque :
— Mais enfin, c’est pas possible Richard, pour l’amour du ciel dis-moi ce que je peux faire.
— Ça me gène, vraiment
— Ne fais pas l’idiot tu veux bien. On parle de ta santé, là !
Je ne pouvais pas reculer alors j’affirmai :
— Il faudrait me sucer pour pouvoir aspirer tout le jus.
— C’est à dire ?
Ne comprenait-elle vraiment pas ? Je lui mis les points sur les « i »
— Une pipe !
— Une ?…
— Désolé, c’est toi qui as voulu que je te dise.
— Oui, oui, bien sûr, mais…
— Mais ?
— Ça fait très longtemps et je ne sais pas si je sais encore faire. Il faudra m’aider.
Elle plongea la tête et je l’arrêtai.
— Doucement il faut d’abord réveiller la sève en me léchant le gland ça va lui permettre de monter plus facilement.
Elle n’allait quand même pas gober toutes ces conneries ? Si !
Alors là je dois dire qu’elle me lécha CONSCIENCIEUSEMENT ! Cela m’excita et me donna l’envie de m’amuser davantage. Quand s’apercevrait-elle que je me moquais… un peu. Je lui précisais :
— Il faut que tu gardes mes couilles dans la main, pour sentir si elles se dégorgent.
Elle releva la tête pour répondre :
— Oui, j’y pensais.
Oserai-je encore ? Oh oui ! Mais, là quand même elle va s’apercevoir… j’affirmais :
— Là elles commencent vraiment à me faire mal. Il va falloir que je fasse un petit travail mental
— Un travail mental ?
— Oui, enfin c’est plus un petit dialogue destiné à m’exciter pour que l’éjaculation soit maximum.
— Un dialogue mental ?
— Oui
— C’est pas plus efficace à haute voix ?
— Si.
— Alors ?
— Ben…
— Tu n’oses pas ?
— C’est gênant je ne pense pas que tu sois habituée à ce genre de vocabulaire.
— Peu importe, tu ne peux pas rester comme ça.
Je grimaçais encore.
— Tu vois ! Alors arrête avec tes simagrées.
— Je serai peut être vulgaire je te préviens.
— Je m’en remettrai.
Je voulais ménager le suspens.
— Ouais… Bon. Je vais commencer mentalement et puis on verra. Si tu ne sens pas mes couilles dégonfler, je parlerai à voix haute. J’espère que tu ne m’en voudras pas.
— Ne t’inquiète pas. Je sais que c’est pour ton bien.
Je posais la main sur sa tête pour l’inciter à reprendre ma bite entre ses lèvres. Elle s’appliquait, c’était bon. Elle releva la tête au bout d’un moment pour lancer :
— Je ne sais pas si je fais comme il faut. Je préfèrerais que tu me parles comme ça tu pourras me guider et puis je comprendrai mieux, à ta voix, si je fais bien. Et puis là…
Elle me palpa les bourses
— J’ai pas l’impression qu’elles commencent à dégonfler.
— Ok, alors je vais te guider. Je contrôlerai tes mouvements en t’appuyant sur la tête.
— Oui, je veux bien.
Elle donna de grands coups de langue sur mon gland.
— Doucement, doucement… Voilà… c’est bien… maintenant tête-le doucement.
Oh, ça c’était bon. Tellement bon que je dus me rabattre sur le bas côté pour éviter les ennuis.
— Serre encore un peu les lèvres… voilà c’est parfait…
Je fermai les yeux.
— Maintenant suce-la sur toute sa longueur…
Elle ne descendit qu’à moitié et je dus lui appuyer sur la nuque pour qu’elle la rentre tout entière.
— Allez ma cochonne enfonce-là bien.
Je sentis que le mot la fit frissonner. Tant mieux !
— C’est bien, allez maintenant tu pompes jusqu’à ce que je te dise d’arrêter… Allez, vas-y salope.
Ce nouveau qualificatif, loin de la vexer, lui mit du coeur à l’ouvrage. Je la complimentais.
— C’est bien. Si tu continues comme ça tu vas devenir une très bonne suceuse…
Elle n’oubliait pas de me peloter les couilles et ça c’était génial. Je l’encourageais du mieux que je pouvais :
— Oui, continue. Tu as l’air de la trouver bonne ma bite.
Ça n’était pas une question pourtant elle releva la tête quelques secondes pour répondre :
— Oui.
Et puisqu’elle voulait parler…
— Tu en as sucé beaucoup des grosses queues ?
— Non, juste celle de Paul. Une fois ou deux. Mais il aime pas ça. Et puis elle est petite la sienne.
— Alors c’est la première fois ?
— Oui.
— Alors profite et n’aies pas peur de te montrer salope.
Le qualificatif, une nouvelle fois, la galvanisa et elle se mit à pomper vigoureusement. Je la calmais en lui faisant téter mon gland. Puis je risquais un va-tout :
— Pour arriver à les vider complètement tu vas devoir aspirer à fond quand j’aurais commencé à éjaculer et pour pouvoir tout aspirer tu vas devoir avaler.
Aie ! Ça, ça risquait de coincer. Mais non, elle ne manifesta pas de désaccord. De toute façon, je serais vite fixé. Je précisais encore :
— Et puis il faudra bien masser les boules pour éviter les grumeaux.
Je souris. Pas longtemps car je déchargeai dans la seconde… copieusement. Et elle aspira et avala tout la coquine et me nettoya même le gland avant de relever la tête.
— Merci, fis-je. Je suis soulagé.
— T’as plus mal ?
— Plus du tout.
Elle se rassit correctement mais laissa un moment la main sur ma bite qui perdait de sa consistance. Puis elle la lâcha et lança :
— Je crois que je vais m’assoupir un peu, dis-moi avant que ça redevienne trop douloureux.
— Ok.
Elle se cala contre le dossier.
— C’est quand même pénible ce truc.
— Quel truc ?
— Ben ta maladie.
— Ma maladie ? … Ah oui, oui.
— Et y’a rien à faire en prévention ?
— En prévention ?
— Oui, peut-être qu’en urinant fréquemment…
J’éclatai de rire.
— Mais Jeanne, ça n’a rien à voir avec la vessie.
— Oui je sais mais je me disais que peut-être si tu avait la vessie vide, ça enlèverait du poids à cet endroit.
Elle le faisait exprès ou quoi ? Je précisais :
— Les testicules contiennent les spermatozoïdes qui sont produits par la prostate.
— Alors il faut peut-être masser la prostate ?
— Ah oui, c’est une idée, et tu sais comment on fait ?
— Ben non, je sais même pas où elle se trouve.
Aller un peu d’anatomie :
— Elle se trouve à l’arrière de la vessie et pour la masser il faut…
— Il faut ?
— Mettre un doigt dans l’anus.
— Ah d’accord. Si je comprends bien alors il n’y a que la branlette avant que ça soit trop tard. Sinon c’est la pipe, c’est ça ?
— Oui mais pas que la pipe.
— Qu’est-ce que tu veux dire ?
— Et bien si je tire un coup ça les vide aussi à fond.
— Ah bon, comment ça se fait ?
— Ça, j’en sais rien c’est physiologique je suppose.
— Ah, ok.
Elle ferma les yeux.

Quelques minutes passèrent puis, les yeux toujours clos elle demanda :
— Alors si tu me sautais ça te les viderait aussi bien que si je te suçais ?
— C’est ça.

Après dix minutes je pensais qu’elle s’était assoupie mais soudain elle posa la main sur ma cuisse.
— Ça m’a beaucoup plu de te la sucer mais tant qu’à faire, si je pouvais prendre mon pied.
Elle se tut puis cinq minutes plus tard ajouta :
— Je ne me suis jamais faite baiser par une bite énorme mais j’imagine facilement que ça ne doit pas être désagréable.
Là, je dois dire que le comportement de Jeanne me stupéfia. Il avait suffit d’une pipe pour qu’elle bousculât les barrières de ses tabous. Je voulus l’encourager à poursuivre dans ce sens en répondant :
— Je crois oui, surtout si l’on part sur un ramonage total.
Elle ouvrit les yeux et tourna la tête.
— Qu’est ce que tu veux dire ?
— Devant et derrière.
— Ah d’accord. Mais…
— Mais ?
Elle avança la main sur ma bite.
— Je suis vierge par derrière.
Je tournai la tête à mon tour.
— Sérieux ?
— Sérieux !

Je repris la route parfaitement revigoré par la perspective de ce qui allait arriver… dans un peu moins d’une heure… si bien qu’après la phase de récupération, je gardais la trique durant plus de vingt minutes, et pour être honnête, je crois que c’est la perspective de la dépuceler du cul qui fit le plus durcir mon pieu.

Après cinquante minutes de conduite silencieuse, j’avisais un chemin de terre que je suivis jusqu’à un bosquet d’arbres. Jeanne se réveilla à cet instant :
— On est où ?
— Dans un coin tranquille.
Je grimaçais.
— T’as mal ?
— Ça fait bientôt une heure.
Elle se redressa aussitôt.
— Oh oui, bien sûr.
Elle baissa les yeux et s’écria :
— Nom de non, elle me semble encore plus grosse que tout à l’heure !
— Oui, et elle me fait mal.
— Tes boules aussi ?
— Oui.
— Mais comment ça se fait ?
— Je sais pas.
— Je vais te faire une pipe et ça ira mieux.
Je grimaçais encore.
— Je crois que ça ne va pas suffire.
— Tu veux me baiser ?
— Je crois qu’il n’y a que ça qui me soulagerait vraiment.
— Ok.
Elle retira sa culotte et souleva sa robe
— Tu veux que je me mette comment ?
— A quatre pattes.
— Ok.
Soudain elle se retourna.
— Tu veux me prendre dans les fesses aussi ?
— Surtout.
— Pourquoi ?
— Parce que si tu ne l’as jamais fait tu dois être étroite.
— C’est mieux ?
— Ben, si les parois de ton anus appuient bien sur ma queue ça va faciliter la montée du sperme.
— D’accord, mais…
— Quoi ?
— Ben, elle est grosse quand même, tu vas me faire mal.
— N’aies pas peur, je lubrifierai bien.
— Tu as ce qu’il faut ?
— Je prendrai un peu de liquide de ta chatte. Tu n’auras qu’à bien te détendre.
— Oui, mais je sais pas trop comment faire pour me détendre.
— Bon, alors je vais commencer par te baiser dans la chatte et quand tu seras suffisamment excitée je pourrai t’enculer facilement.
Le verbe, que j’avais utilisé à dessein, la fit frissonner. Je souris. Puis j’en rajoutai :
— Sérieux, Paul ne t’as jamais enculée ?
Elle frissonna de nouveau avant de répondre.
— Non.
— Tu aimerais jouir comme ça ?
— C’est possible ?
— Bien sûr. Et si je te parle en même temps je crois que ça va aider.
— Si tu veux.
— Oui, je veux.
Je décidais soudain de changer de tactique. Je lui ôtais sa robe et aperçus ses petites fesses ferme.
— Tu as un joli cul.
— Merci.
Je frottais ma bite un moment puis je glissais la main. Elle était trempée.
— Tu es toute mouillée ma cochonne.
Elle rougit puis je lui soulevais une jambe et la pénétrais contre le capot de la fourgonnette. Elle était très étroite de la chatte et n’avait pas dû se faire sauter bien souvent. Cela ne l’empêcha pas de s’envoler rapidement vers l’orgasme. Je la laissais retomber un peu puis ordonnai :
— Aller, retourne-toi ma salope, que je t’encule.
Je n’eus pas besoin de l’aider. Elle trouva d’instinct la bonne position. J’appuyai mon gland sur son anus et je la sentis se raidir. Je glissai alors la main pour titiller son clitoris et elle repartit aussitôt. Je la laissais monter un peu dans les tours puis je forçais l’entrée. J’enfonçai complètement ma bite puis je marquai une pause. La pression des parois était délicieuse. Je commençais doucement à la limer. Puis de plus en plus fort. Puis je ressortais complètement pour m’enfoncer à nouveau d’un grand coup de reins. Elle aimait ça. Elle commença à bouger, s’accordant à mes coups de boutoir. Je taquinais son oreille :
— Je savais bien que tu aimerais avoir une grosse bite dans le cul alors je vais te défoncer et tu vas jouir.
Soudain je sentis qu’elle me palpait les couilles.
— Elles… Elles…Ahaaaaaa ! elles sont encore lourdes. Prends… Ahaaaa ! prends moi comme tu veux pour les vider…. Ahaaa ! fond. Ouiiiiiiii !
Elle m’excita dur par ses cris cette salope et je lui saisis les cheveux de la main gauche pour la faire se cambrer d’avantage puis je la plaquais fermement contre la carrosserie pour la pilonner sauvagement. Lorsque je sentis venir le premier jet je me retirai et hurlai :
— Ta bouche, vite !
Puis d’un mouvement ferme je la forçais à se courber et à enfourner ma queue.
— Aspire tout salope.
Je sentis les mouvements de succion. Elle s’appliquait ! Puis soudain elle jouit une seconde fois ce qui me glaça. Elle risquai de me mordre ! Heureusement il n’en fut rien. Je la laissais glisser au sol où elle prit quelques minutes pour récupérer ses esprits. Lorsqu’elle émergea elle demanda aussitôt :
— Ça va mieux ? Tu as pu les purger complètement ?
— C’est toi qui les a vidées je te rappelle.
Elle sourit. Puis je demandais :
— Alors cette première sodomie ?
Elle ne répondit pas et j’ajoutai :
— Il m’avait pourtant semblé que ça te plaisait.
Elle me regarda dans les yeux
— Oui, ça m’a plu mais j’ai l’impression d’être une grosse…
— Cochonne ?
— Oui.
— Tu peux même dire salope. Et c’est très bien. Et c’est par ce que tu as accepté de te laisser aller et de te montrer salope que ça a été si bon. Et puis tu sais il ne faut pas confondre la salope qui s’envoie en l’air et la salope qui fait le mal autour d’elle. Celle-la ne mérite que du mépris. En revanche la salope sexuelle que tu viens d’être mérite tout mon respect.
— C’est gentil de me dire ça.
— Je le pense sincèrement.
Je lui caressais le bout du nez.
— Et plus tu te feras enculer plus tu aimeras ça.
— Tu crois ?
— J’en suis sûr. Une fois que la sensibilité sera totalement développée tu jouiras facilement.
— Et c’est long à développer ?
— On a tout le voyage pour ça !

Histoire à suivre…

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


Laisser une note/commentaire (ou bien faire un signalement)

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Fermer définitivement L'activation des cookies et de javascript est nécessaire à son bon fonctionnement. Suite à des abus avec les notes, nous avons apporté quelques modifications à celui-ci pour plus de partialité envers les auteurs qui sont très sensibles à ce que vous pensez de leurs histoires érotiques.
La nouvelle version a pour but d'éviter au maximum les abus inhérents à la notation des récits coquins, et donc des auteurs (les votes multiples par exemple).
Il sera maintenant impossible de noter plus d'une fois la même histoire érotique.
Les notes attribuées à la volée pour un même auteur (qu'elles soient bonnes ou mauvaises) seront modérées.

Commentaires de l'histoire :

Micfou53
Super ! Quel style !
Posté le 20/05/2021

Qamour
belle histoire bandante
Posté le 16/05/2021


Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email


Histoires érotiques choisies :
Le voyage d'Ayana
voyage en Italie
LE VOYAGE EN TRAIN
Mon voyage à Paris
Retour de voyage