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La Flamande au Verger

A l'occasion d'une kermesse de village, Nick fait la connaissance d'une Flamande qui va bientôt se marier. Pourtant, c'est elle qui fait des avances à Nick. Ensemble, ils partent pour le pays flamand où ils se retrouvent dans un verger...

Proposée le 20/04/2021 par Bruno Pouperque

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: Forêt, campagne, nature
Type: Histoire vraie


Ce fut à la kermesse d’Oupeye au mois de mai que j’ai rencontré Lies Peumans. Ce samedi de mai, il faisait beau et assez chaud pour la saison. Il y avait beaucoup de monde dans les rues du village cet après-midi. À un moment donné, je voulais aller boire un verre. Il n’y avait que peu de choix, comme il n’y avait que deux cafés près de la kermesse. Leurs terrasses étaient occupées. Je me suis mis à la recherche d'un endroit où m’asseoir. Au café “Perte Totale”, j’ai eu de la chance. Il n’y avait aucune table de libre, mais deux filles étaient assises à l'une d’elles et il restait encore deux chaises inoccupées.

La Flamande au Verger
J'ai demandé si je pouvais m'asseoir avec elles. Elles n'avaient aucune objection.
C’étaient deux amies. L’une était d’Oupeye même, l’autre une Flamande. Je leur ai offert un verre. Elles n’en voulaient pas. J'étais beaucoup plus jeune que les deux, et elles ont dû penser que j'avais très peu d'argent à dépenser. Après une dizaine de minutes, la fille d’Oupeye est partie. Elle avait rendez-vous avec un gars au Cercle Saint-Hubert.
L'autre fille est restée avec moi. Nous avons commencé à discuter de choses de toutes sortes. Son français n’était pas mal, mais parfois elle devait “chercher après ses mots”, c'est comme ça qu’elle s’est excusée pour son manque de vocabulaire. Elle m'a dit qu'elle s'appelait Lies Peumans et qu'elle avait vingt-neuf ans.
Lies était assez costaude et avait une belle poitrine ronde, une taille peu prononcée, des hanches plutôt larges, de courtes jambes musclées avec des cuisses massives et un cul sexy plein, avec des fesses rondes. Sous ses cheveux de couleur poivre et sel, elle avait un visage rond avec une bouche sensuelle et des yeux bruns qui étaient cachés par de grandes lunettes solaires.


Soudain, Lies m'a demandé:


"Tu vas continuer à te promener ici encore longtemps?"


Sa question m'a surpris. En fait, mon intention était de rester à la kermesse toute l'après-midi et peut-être même le soir.


"Pourquoi veux-tu savoir?" ai-je demandé, un peu méfiant.


"Eh bien, je vais être honnête avec toi," a répondu Lies. "Peut-être que nous pouvons passer un bon moment ensemble."

“Comment? Que veux-tu dire?”

“Eh bien, nous pourrions une fois fermement pouper ensemble.”

J'ai été confus quand j'ai entendu cela. Pouper ensemble? C'était quelque chose de très sale, ai-je pensé. Les Hollandais utilisaient ce verbe pour “faire caca”, ça, je le savais.
Lies a ri en voyant mon visage consterné.

"Oh oui, tu ne comprends pas. En Flandre nous disons “poepen” pour “baiser”. Tu comprends maintenant?”

Je ne m’étais pas encore remis de ma surprise et j'ai demandé:

"Dis-moi, Lies, sais-tu que j'ai dix ans de moins que toi?"

"Qu'est-ce que ça veut dire?" dit-elle. "Ne me dis pas que tu n'as pas encore poupé de femmes à dix-neuf ans. Je ne suis pas vierge depuis longtemps non plus. Bientôt, fin juillet, je vais même me marier. Cela ne m'empêche pas de me sentir attirée par toi et je voudrais que tu me baises gentiment. Ton âge n'a pas d'importance pour moi. Ne prétends pas que tu n’es pas intéressé pour me pouper. Je ne te croirais pas, Bruno.”

J'étais excité et curieux de savoir ce que ce serait de baiser une fille de dix ans de plus que moi qui allait se marier dans deux mois.

"Très bien," dis-je, "nous allons comme tu dis “une fois fermement pouper ensemble”. Quand faisons-nous cela et où?"

"Mais tout de suite! Viens avec moi à Millen," a dit Lies. "Je connais un endroit où nous pouvons le faire sans être dérangés."

“A Millen? Au pays flamand? Tu es sûre? C’est quand même loin d’ici.” lui ai-je fait remarquer.

“Mais non, c’est tout près. Dans vingt minutes, au grand maximum une demi-heure, nous y serons.”

Lies avait une voiture, un ancien modèle de la Volkswagen Golf. En route pour Millen, elle ne gardait pas toujours les yeux sur la route. Elle a commencé à me toucher et à tâter entre mes jambes. Elle ne savait vraiment pas se retenir, elle était si excitée. Sans se gêner, elle a ouvert la fermeture éclair de mon pantalon et a commencé à masser ma bite.
Une fois à Millen, en face d'un garage, elle a pris une route étroite. Celle-ci nous a menés dans une zone de prairies et de plantations fruitières. Finalement, Lies a emprunté un chemin en terre qui traversait une petite plantation de pommiers. Elle m'a dit que ce verger appartenait à son oncle. Là, nous serions à l'aise et pourrions “pouper” sans être dérangés, car personne d'autre n'y venait que son oncle.

Au fond du verger, il y avait une sorte de remise. Lies savait que la clé se trouvait sous l'une des grandes pierres de marne entourant la cabane. Elle a ouvert la porte et a sorti un transat. Puis elle s'est déshabillée sans vergogne et m'a dit de faire de même. J'ai regardé son gros cul sexy et je n'ai pas demandé mieux.
Avant que je sois complètement déshabillé, Lies était déjà allongée sur le dos sur le transat, les jambes écartées. Elle avait un gros paquet de poils pubiens autour de sa chatte, mais ceux-ci n'étaient pas poivre et sel, mais roux.

En voyant ses lèvres génitales béer dans ses poils roux, je ne savais plus attendre et je me suis allongé sur Lies. J'ai commencé à l'embrasser et à la caresser, surtout ses nichons, pour la préparer à la baise. Cela n’a pas pris pas longtemps, car sa chatte était déjà trempée. Le jus sortant de son trou de baise perlait dans ses poils pubiens roux. Quand j'ai glissé ma queue raide dans sa chatte, elle a dit à mon oreille:

“Vas-y, mais retire-toi à temps. Je ne prends pas la pilule."

La baiser a été une expérience étrange pour moi. Cela n'a pas très bien marché au début. Elle avait un tel désir d’être sautée que sa chatte était grande ouverte. Il n'y avait que peu de tension sur ma queue à l'entrée de sa fente. Pour le reste, sa foune avait l'air creuse à l'intérieur. C'était comme si ma bite touchait à peine les parois de son vagin quand je montais et descendais en elle.
Mais cela n'a pas duré. Après quelques minutes, Lies a soulevé le bas de son corps. Avec des mouvements ondulants à l'intérieur de son vagin, elle a commencé à masser mon pénis. Je n'avais connu ça auparavant qu'avec une seule fille, Bria, une belle jeune noire qui était repartie à Haïti. La manière dont Lies massait ma queue dans sa chatte n’était pas aussi efficace que celle de Bria, mais ça a quand même très bien marché. Par conséquent, je ne savais même pas me retirer à temps et j'ai tiré mon sperme profondément dans la foufoune de Lies. Tout est allé trop vite, et bien sûr, Lies n'avait pas joui.

"Tu ne t’es pas gêné, tu n'as pas retiré ta bite à temps," m’a dit Lies avec un ton de reproche dans sa voix. “Tu n'as pensé qu'à toi-même. Non pas que je t’en blâme. C'était notre première fois. Tu es un jeune homme inexpérimenté et tu as du mal à contrôler ton orgasme, je comprends ça. Mais la prochaine fois, si nous venons encore ici, ça devra être différent. Je veux aussi prendre mon pied, tu dois le comprendre.”

"Tu as raison," dis-je. “Mais j'avais tellement envie de toi, et quand tu as massé mon gland dans ta foune, je ne savais plus me retenir. Excuse-moi."

La prochaine fois est venue rapidement. Nous sommes allés encore au verger de l'oncle de Lies. Il avait plu la nuit avant. Il faisait encore bruine. Des gouttes de pluie coulaient des branches des pommiers de la plantation.
Après être sortie de sa voiture, Lies n'a pas retiré le transat de l'abri de jardin. Elle ne voulait pas qu'il soit mouillé, car alors son oncle deviendrait peut-être méfiant. Elle a suggéré de nous allonger sous les arbres dans l'herbe sans nous déshabiller. Elle descendrait son slip jusque sur ses chevilles et je n'avais même pas besoin d'enlever mon pantalon. Elle retirerait mon pénis de ma braguette. Je pourrais la baiser comme ça.

Je ne pensais pas que ce soit une bonne idée et j’ai convaincu Lies que nos vêtements seraient mouillés et auraient des taches de boue sur eux. Comment pourrais-je expliquer ça chez moi?
Lies a compris mon inquiétude. Elle m'a fait asseoir sur la banquette arrière de sa voiture avec elle. Nous nous sommes embrassés pendant quinze minutes. Elle me laissait caresser tout son corps avec mes mains et surtout elle aimait que je joue avec ses tettes. Après un moment, elle a ouvert ma braguette, a sorti ma bite gonflée de mon pantalon et a commencé à la caresser et à lui faire de petits bisous. J'en ai été terriblement excité. À un moment donné, j'ai mis sa main sous sa jupe et j'ai voulu enlever sa culotte et m'allonger sur elle pour la baiser comme la première fois, mais Lies a retenu ma main et m'a repoussé:

"Pas aujourd'hui," a-t-elle dit. "Je ne prends pas la pilule, tu le sais. Pour te retirer à temps, je ne te fais plus confiance. Je ne veux pas tomber enceinte. J’attends juste de voir si j'aurai mes règles après que tu m'as poupée la dernière fois et que tu as lâché ton foutre dans mon vagin. Quoi qu'il en soit, pas aujourd’hui, mais tu pourras bientôt me pouper à nouveau comme tu l'aimes. Je m'en occuperai. Tu devras être patient. D'abord, c'est mon tour de le faire à ma façon."

À ma grande surprise, elle a enlevé sa jupe et l'a mise sous ses fesses. Puis elle a retiré sa culotte elle-même, a pris ma main et m'a fait sentir sa chatte. Elle a beaucoup mouillé et a insisté pour que je mette mes doigts dans sa “fouffe”, comme elle appelait sa chatte. Je l'ai fait, et en massant les parois de sa chatte de trois doigts, Lies a commencé à soupirer. Apparemment, elle n'était pas satisfaite de ce que je faisais. Elle a sorti mes doigts de sa fente, puis elle a fait quelque chose que je n'aurais jamais cru possible. Elle a sorti une grosse banane mûre de son sac, l’a poussée dans sa foufoune et l’a bougée violemment de haut en bas tout en continuant à stimuler son clitoris de son autre main. Elle n’a pas tardé à avoir un orgasme, court mais intense. Elle a crié à haute voix, mais parce que nous étions dans la voiture, dans une plantation loin de la route, j'étais le seul à l'entendre gueuler.
Quand elle était venue, Lies n'a pas remis la banane dans son sac à main. Elle l'a pelée et mangée. Elle m'a demandé si j’en voulais aussi un morceau. J’ai refusé et j'ai dit que je n'aimais pas les bananes.
Quand elle avait fini sa banane, Lies m'a demandé si je voulais qu'elle me masturbe, comme elle ne voulait pas que je la saute. J'étais tellement excité, prêt à exploser. J'ai donc accepté sa proposition. Lies a dit qu'elle ne pouvait pas le faire dans la voiture. Des traces de sperme... Son fiancé qu’elle allait épouser pourrait les voir et les trouver étranges ou suspectes.
Lies et moi sommes sortis de sa voiture. Elle m'a fait m'appuyer contre le flanc de la Volkswagen, a sorti ma bite de mon pantalon et l'a doucement massée de sa main après avoir craché un peu de sa salive sur mon gland gonflé. Moins de deux minutes après, j'ai giclé mon sperme dans l'herbe à mes pieds. Lies est allée chercher des mouchoirs Kleenex dans son sac à main et elle a soigneusement nettoyé ma bite ramollie et a séché sa foune aussi.
Immédiatement après, nous sommes repartis pour Liège. Lies m'a déposé à une centaine de mètres d’où j'habitais.

Après, j'ai réalisé que Lies avait d'étranges manières. La banane qu'elle avait mise dans sa chatte et qu'elle a encore mangée après son orgasme... Cela m'a dégoûté et aussi inspiré une certaine peur. Quel serait son prochain fantasme?

Je n'ai pas attendu ça. En attendant, il y avait d'autres filles avec qui je couchais. Je n'ai jamais revu Lies Peumans et elle ne m'a plus jamais recontacté. Elle s’est probablement mariée dans une robe de mariée blanche immaculée en juillet et est heureuse avec son mari qui la “poupe” probablement tous les jours…

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