Histoire Erotique

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Insolence

Ça ne devait être qu'une après-midi tranquille à regarder quelque chose ensemble. Mais il a fallu que tu fasses la maline...

Proposée le 16/04/2021 par Ron

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


On est allongé, tous les deux, sur le lit. On regarde une série quelconque, sur laquelle on ne se concentre pas vraiment, parce qu'on sait très bien, toi comme moi, que c'est pas vraiment ce dont on a envie cet après-midi. On attend juste la bonne occasion, le bon signal, pour s'assurer qu'on est bien d'accord. Il est enfin donné lorsqu'une jolie fille passe sur l'écran. Elle est plutôt sexy, et comme d'habitude, je te passe malgré moi une main sur la cuise pour te rassurer, bien que j'essaie depuis un certain temps de me débarrasser de ce réflexe idiot. Tu souris, et mutine, tu me signifie que ce n'est pas la peine. Je te réponds que je le sais, mais que c'est plus fort que moi.

Ton sourire s'élargit et ta main va se perdre sur ma cuisse, cette fois, pour très vite remonter sous mon caleçon. Tu t'amuses de sentir un début d'érection gonfler mon sexe, à la fois à cause de notre échange et de ta caresse. Je te sens joueuse, et je me sais joueur. J'ai envie de te mettre à l'épreuve de tes promesses. Sans grande conviction, mais vivement, je tape ta main du dos de la mienne pour te chasser de la zone dangereuse.
Qu'est ce que tu crois faire ? Tu penses avoir le droit de te moquer de moi comme ça ?

Mon ton se veut à la fois dur et tendre. Je ne veux pas rentrer dans ce jeu-là sans ton assentiment.
Mais je vois l'étincelle dans ton regard et je sens qu'on va bien s'amuser, tous les deux. Tu te renfrognes juste assez pour signifier que tu n'es pas dupe.
Pardon, Maître. J'ai été insolente.
Tu attaques fort. Je pensais devoir faire monter la pression plus longuement que ça. Mais soit. Si tu veux jouer, on va jouer. Je me lève brusquement. Alors que je me dirige vers la porte, je t'ordonne de ranger l'ordinateur. En quelques pas, je vais mettre le verrou en place, même si personne n'est là ; on ne sait jamais. Je me retourne, et tu t'es exécutée, avec l'attitude d'une servante prise en faute. Tu portes une petite robe légère, avec des boutons. Je pourrais croire que tu as choisi de t'habiller comme ça en sachant pertinemment ce qui allait arriver. Et ça m'excite terriblement.

Tu es maintenant à genoux sur le lit, et tu me regardes. Le temps se suspend quelques secondes. Je te souris juste le temps de décider à quelle sauce je vais te manger.
Lève toi. Viens ici.
Un tourbillon d'images de toi, et de ce que j'ai envie de te faire parasite mes pensées. Il faut que je me contrôle si je veux que ce moment soit aussi bon pour toi que pour moi. Mais c'est pas facile. Ton regard vient se perdre sur mon érection, qui tend déjà mon caleçon, et tu ne peux t'empêcher de sourire. Très bien, voilà déjà ma première décision qui s'impose à moi. Sans rien dire, je vais vers le tiroir. Je ne te regarde pas, je ne te touche pas, bien que tu sentes tout mon corps tendu vers toi. C'est aussi cruel pour moi que pour toi.. Et je me saisis prestement du bandeau qui t'empêchera de me voir. Alors que je te le mets sur les yeux, je te murmure à l'oreille.
Ça t'évitera de te moquer de moi.

Je le place depuis ton dos. Tu sens mon souffle dans ta nuque, et je crois bien que ma queue t'a déjà effleuré le bas du dos, malgré mes efforts. Ton souffle se raccourcit déjà, et je te sens tressaillir au moindre de mes contacts. Mais bientôt, lorsque je me suis assuré que tu ne voyais plus rien, je me retire. Ton corps entier crie ta confusion, malgré tes efforts pour paraître soumise. Sois rassurée, je ne te laisserais pas longtemps seule. J'ai trop envie de toi pour ça.
Je fais courir ma main de ton épaule à ta nuque, délicatement. Je caresse ton dos, m'arrêtant à la lisière de tes fesses. Je fais plutôt le tour vers ta hanche. J'agrippe le tissu de ta robe, et je la remonte doucement, centimètres par centimètres. Je veux juste voir tes fesses, pour l'instant, pas les toucher. Mais tu sais que ça viendra.
Je passe devant toi après avoir fait retomber le tissu dans un délicat courant d'air sur tes cuisses. Je dépose un baiser dans ton cou, du bout des lèvres. Puis un autre, un peu plus bas. Et encore un autre, et un autre, jusqu'à arriver entre tes seins. Je grogne comme si j'étais insatisfait. En limitant au maximum le contact, je défais le premier bouton. Puis je dépose un dernier baiser sous sa position initiale, du bout des lèvres. Je me permets même un tout petit coup de langue, soufflant doucement sur la petite trace d'humidité que j'ai laissé sur ta peau.

Je te laisse seule quelques secondes. Je glisse alors ma main dans tes cheveux, à l'arrière de ton crâne. Je tire doucement ta tête en arrière, et tu soupires. Je te fais taire par un baiser. Tes mains veulent me toucher, mais je refuse par un petit cliquètement répété de la langue. Tu t'exécutes à regret. Je sens qu'il va falloir sévir pour t'aider à mieux te contrôler. Mais pour le moment, je te laisse une chance. Nous nous embrassons passionnément quelques secondes de plus. J'aurais toujours du mal à totalement m'abandonner à ce rôle dominateur, je chéris trop notre complicité. Mais je me rappelle à l'ordre et me rappelle que tu as voulu jouer.
Alors jouons.

Je me retire de nouveau, et ta bouche suit la mienne, comme aimantée. Je souris, et toi aussi. J'émets un son amusé alors que je te vois si abandonnée à mes ordres.
Enlève ta culotte.
J'en ai envie. Et tu as envie de me faire plaisir. Tu t’exécutes, bien que je te sente encore un peu confuse par cette consigne soudaine. Ton sous-vêtement glisse sur tes jambes jusqu'au sol, et je peux en voir l'humidité d'ici. Tu aimes ça, et je ressens une petite fierté à l'idée de parvenir à te faire tant d'effet. Tu l'écartes d'un petit coup de pied tandis que je repasse discrètement derrière toi. Si discrètement que tu sursautes alors que je fais soudain glisser mes ongles le long de la peau de ta cuisse, m'arrêtant encore une fois tout juste avant tes fesses. Mais je sens que je ne tiendrais pas longtemps le rythme de la torture sans me nourrir un peu de toi.

Alors je repasse devant toi, et alors que je dépose encore bon nombre de baisers tendres sur ta peau disponible, je défais précipitamment les boutons de l'avant de ta robe.
Mais tu essaies encore de saisir mes épaules, de me caresser, toi aussi.
C'est inacceptable. Je recule brutalement.
Non.
Je retourne vers le tiroir, et j'en tire les menottes. Je retire les derniers boutons de ta robe, et elle tombe au sol, inutile. Tu es nue. Magnifique. Fière autant que soumise. Et follement bandante.
Les mains dans le dos.
Mon ordre se veut aussi ferme que joueur et tendre. L'équilibre est compliqué à maintenir, et j'ai encore un peu peur, mais tu t'exécutes avec un sourire qui me fait fondre. Tes deux mains dans ton dos, je t'empêche enfin de me toucher.

Je te saisis pas les hanches et me colle à toi, ma queue tombant au niveau de tes mains par un heureux hasard dont tu profites rapidement. Je t'embrasse dans le cou avant de te murmurer à l'oreille.
Je t'aime.
Moi aussi je t'aime, tu me réponds dans un souffle, avec ce sourire dans la voix que j'aime voir autant qu'entendre.
Je te tourne doucement autour. Tu frémis un peu à cause du froid. Ou de l'excitation, j'aimerais à le croire. Je t'admire.
T'es belle.
Je te caresse, du bout des doigts, un peu partout, le temps d'une demi-seconde à chaque fois. Je n'arrive pas vraiment à me résoudre à te punir de ton insolence autrement que par la torture douce ; en te privant de moi plutôt qu'en t'en donnant trop. Et pourtant mon érection me fait mal. Elle me supplie de déjà te prendre par derrière, sur le lit ou contre l'armoire. J'ai envie de te baiser, mais je me contiens, de le faire comme de te le dire. Tu le sais très bien, de toute façon.

Mais il est temps de passer aux choses sérieuses, je crois. Alors je me saisis de toi par derrière. Ma queue se cale entre tes fesses, je presse mon bassin contre le tien en saisissant tes seins à pleines mains. Ta tête bascule en arrière, instinctivement, avec un gémissement de plaisir. C'est plus fort que toi, ton cul se cambre vers moi. Je te mords la base du cou en laissant échapper un râle de plaisir. Mes doigts jouent avec tes mamelons, je les pince, les fais rouler entre mon pouce et mon index, je les tire, au gré de tes soupirs de plaisir. J'embrasse ta peau avec passion, tout en faisant encore jouer mon sexe contre toi. Et aussi soudainement, je te repousse encore.
Mais alors que tu crois devoir attendre encore un peu avant que j'agisse encore, je reviens instantanément à la charge. Ma queue te cherche encore, avide de ta luxure, mais cette fois, une de mes mains se réfugie entre tes cuisses, tandis que l'autre t'étrangle. Tu es trempée, et le gémissement qui sort de ta gorge est tremblant. Je crois bien que notre petit jeu te fais de l'effet. Tu sens mon sexe pulser contre toi, gorgé de désir pour toi.

Je te masturbe doucement, caressant ta vulve du bout des doigts, frôlant encore et encore ton clitoris, pour te frustrer, sans jamais vraiment le toucher. Je parcours la peau autour de ta chatte, tes cuisses, ton ventre, je me perds à t'embrasser, à dévorer tout le haut de ton corps à disposition de ma bouche. Je ne peux pas m'empêcher de te parler, un peu.
T'es une salope hein ?
Tu soupires en réponse.
Oui.
J'aimerais te demander de me parler plus, de me dire ce que j'ai envie d'entendre, pour bander encore plus fort. Mais tu me devances, comme si tu lisais dans mes pensées.
Oui, j'suis ta salope. J'suis à toi, toute entière.
À ces mots je ne tiens plus vraiment, et je t'intime de te retourner. J'attrape tes cheveux à pleine main et je t'embrasse goulûment. Je sens tes bras qui se débattent pour m'attraper eux aussi, mais tu es impuissante, seule ta bouche parvient à égaler mon appétit d'amour.
J'arrive à m'arrêter quelques secondes pour te poser une question.
Tu veux que je te baise, hein ?
Tu hoches la tête vigoureusement pendant que tu reprends ta respiration, tu n'arrive plus à parler.
Eh bah pas tout de suite.

J'enlève ton bandeau et tu souris en me voyant, autant que parce que tu devines ce dont j'ai envie, et que tu as envie de me le donner. Maline, tu jettes un petit coup d’œil dans ton dos, et tu agites tes mains pour me signifier qu'elles seraient plus utiles libres. Je te donne raison d'un coup de menton, et tu te libères tant bien que mal pendant que je m’assois au bord du lit.
Ni une ni deux, te voilà devant moi, un coussin fort à propos sous les genoux. Le regard rivé sur mon sexe qui n'attend que toi. Tu glisses tes mains derrière mes fesses et fais enfin tomber ce maudit caleçon qui m'encombrait tant.
Je vois que tu songes à jouer avec moi, mais que ce n'est pas l'humeur du jour. Je ne peux pas m'empêcher de relâcher un profond grognement quand tu mets ma queue dans ta bouche sans autre forme de procès. Alors qu'une de tes mains me masturbe lentement en même temps que tu me procures cette merveilleuse fellation, tu commences déjà à jouer avec mes couilles, résolue à me rendre fou de plaisir autant qu'à jouer ton rôle à fond. Je me bascule légèrement en arrière pour profiter à fond du cadeau que tu me fais, dont je ne me lasserais jamais. Mais tu es si belle quand tu me suces que je me tords le cou pour t'admirer, et ton sixième sens te fais redresser le regard au même moment, la fierté et le plaisir du jeu au fond de tes yeux.
Je t'aime.

Comme toujours, te dire ça dans ces moments là me paraît aussi sincère et vrai que ridicule, mais le sentiment me submerge trop pour que je l'ignore. Habile et malicieuse, tu continues à me branler en retirant ma queue de ta bouche le temps d'articuler un silencieux :
Moi aussi je t'aime.
Mais tu me réserves une surprise tandis que tu me dis ça, petite coquine, puisque ta deuxième main glisse doucement sur mon périnée pour aller se glisser entre mes fesses. La sensation est aussi terrible que merveilleuse, et mes bras capitulent. Je bascule définitivement en arrière dans un nouveau râle d'incrédulité alors que ta bouche reprend son travail. Je ne saurais dire si tu me besognes longtemps ou non, le temps se suspend et s'accroche à mon plaisir, infini.
Je sais par contre que je ne tiendrais pas longtemps. J'articule avec peine un stop étranglé, si étouffé par mon plaisir que tu ne l'entends pas. Je dois me redresser et le répéter pour que tu t'arrêtes, un sourire satisfait et fanfaron sur le visage, trop consciente de l'effet que tu me fais.

Je te fais signe de te relever alors que je me relève moi-même, et nous nous embrassons enfin pleinement, passionnément, amoureusement.
Je t'aime putain.
Moi aussi, tellement.
Je ne sais pas qui l'a dit en premier, je ne sais pas qui a répondu, si ça se trouve on l'a dit en même temps, on s'en fout. Je te saisis par les hanches, et je te jette littéralement sur le lit, et tu laisses échapper un petit cri, entre excitation et peur. Mais tu n'as pas le temps de t'interroger que mon visage est déjà calé entre tes cuisses, se repaissant de ta peau et de ta chaleur. Mes mains viennent se caler sur tes hanches et te caressent, tandis que ma langue avide commence à parcourir ta chatte que j'aime tant. C'est à mon tour d'être à genoux et de t'honorer de ma bouche. Tu commences doucement à gémir et à te tordre de plaisir sur le lit ; tant d'attente t'auras sans doute rendu réceptive à mes assauts. J'essaie de varier le rythme et la douceur, même si je me concentre par habitude sur ton clitoris, rendu extrêmement sensible et gonflé par nos petits jeux. J'aime le goût de ta peau autant que celui de ta chair offerte, et je me régale de te faire du bien. Je relève les yeux vers toi pour te voir agripper la couverture à côté de ta tête, te caresser le sein, te mordiller le doigt pour ne pas faire trop de bruit, et ça m'excite autant que ça me ravit. Tu es si belle.
Si belle que je n'y tiens plus.
Je me remets debout, mon sexe dressé comme jamais, et je t'admire quelques secondes.
Dis le.
Baise moi... Maître.
Je hoche la tête avec un sourire. Ce jeu nous réussit.

Je me saisis d'une capote que j'enfile plus rapidement que jamais, en te faisant signe de te mettre en position plus confortable sur le lit. Tu t’exécutes sans perdre de temps ni me quitter du regard. Je vois l'amour dans tes yeux, comme tu dois le voir dans les miens.
Je t'aime.
Moi aussi.
Mes hanches se calent naturellement entre tes cuisses, je sens ta peau contre la mienne et je frissonne de plaisir autant que d'anticipation. J'avais envie de jouer avec ta chatte du bout des doigts avant te pénétrer, mais nos corps sont comme aimantés. Au premier mouvement de bassin, presque sans rien faire, je suis déjà en toi. J'en prends donc mon partie, et j'enfonce doucement ma queue, le plus lentement possible, le plus profondément possible. Nos yeux ne veulent pas se quitter, même si ta tête part un peu en arrière alors que tu gémis. Je suis si dur en toi, et je te sens si bien, la sensation est merveilleuse. Ni toi ni moi ne semblons capables de nous en lasser.
Je commence enfin à aller et venir, tendrement, alors que je dépose enfin des baisers partout sur ta peau, que mes mains caressent ton corps, si doux sous mes doigts. Je ne peux pas résister à tes seins dressés vers moi. Je mordille tes mamelons, j'empoigne cette chair qui m'est offerte, je caresse ta chair de poule, chaque seconde qui passe me rend plus sauvage, m'excite encore davantage.

J'enfouis mon visage au creux de ton épaule, je t'embrasse, je te mords, je me perds sur toi. En toi.
Tu gémis dans mon oreille, je sens nos souffles se raccourcir et se mélanger l'un à l'autre. Et puis soudain, je sens le feu en moi. Je me retire et me retrouve à genoux devant toi. Je vois dans tes yeux que tu comprends ce qui me prends, une étincelle me suggère que tu n'attendais que ça.
À genoux, contre le mur.
Mon ton s'est raffermi, et tu t’exécutes promptement, bien qu'avec le sourire. Tu prends un peu ton temps pour vraiment te mettre en place, par contre. Tu as toujours envie de jouer un peu avec mes nerfs. Très bien.

Je caresse ton dos du bout des doigts pendant que tu places tes mains contre la cloison, tu frissonnes d'aise et ma queue se contracte à la vision de ta cambrure. Tu es si belle, si désirable. Tu me lances une nouvelle œillade provocatrice, qui m'électrise encore un peu plus.
Ma main surgit quasi instinctivement, et t'inflige une fessée amplement méritée. Sans doute un peu trop forte, tu couines presque sous l'impact. Mais alors que ma main pétrit ta fesse immédiatement après, tu gémis encore. Peut-être que ce n'est que pour me faire plaisir. Mais soit, tu es bonne comédienne, et ça m'excite. Je veux bander aussi fort que possible pour enfin te baiser comme tu le mérites, comme ton corps le réclame. Je recommence donc, et cette fois tu gémis fort, tout de suite. Je te vois presque trembler de plaisir.

Je me plaque contre toi, ma queue vient se caler entre tes fesses. Un dernier instant de tendresse un peu sauvage. J'embrasse la base de ta nuque, je souffle dans ton cou, je caresse tes si beaux seins à pleines mains.
Je t'aime. Tellement.
Moi aussi.
Je pose une main sur ton épaule, l'autre sur ta hanche. Alors que je recule un peu pour pouvoir te prendre par derrière, je sens ton cul se tendre vers moi. Tout comme je sens maintenant ton corps entier attendant ce que je lui promets. Je n'ai encore pas besoin de guider ma queue en toi, nous nous aimantons. Nulle question de douceur, cette fois. Alors que je m'enfonce brusquement en toi, t'arrachant un glapissement de plaisir, je colle ma bouche à ton oreille.
T'es à moi. Rien qu'à moi.
Oui... Maître. Baise moi.

Je deviens totalement sauvage, je ne pense plus qu'avec ma queue et au plaisir que ta chatte me procure, serrée autour. Ma main glisse de ton épaule à ton cou, je t'étrangle quelques secondes tout en te prenant par derrière avec frénésie. Et puis je ralentis, mes mouvements de bassin se font plus amples, plus lents. Je déguste le plaisir que je sens en toi à chaque fois que je suis à fond en toi.
Et ma main glisse encore, de ton cou à ton menton. Mes doigts accrochent tes lèvres, et tu te mets à les suçoter avec avidité, j'entends tes grognements étouffés.
Je lâche ta hanche pour venir t'étrangler encore et attirer ton corps contre le mien. On arrête de bouger quelques instants, plaqués l'un contre l'autre, perdus dans notre désir l'un pour l'autre. J'ai envie de tout ton corps en même temps, je pense encore à ta bouche autour de ma queue, de tes seins sous ma langue, de tes fesses sous mes mains, de tes doigts caressant mes couilles.

Je te lâche soudain et recule sur le lit. Je n'y tiens plus.
À quatre pattes.
Tu ne te fais pas prier, et tu sens que mon ton ne souffrira aucune réplique.
J'ai des envies de vulgarité, de grossièreté, presque de mal te parler, juste pour que tes réponses m'excitent autant qu'elles me surprennent. Je te contemple quelques instants, si belle dans ta soumission, n'attendant que ma queue pour toi aussi te déchaîner. J'hésite sur la marche à suivre, mon esprit encore et toujours parasité par toutes les envies que tu crées en moi sans toujours le savoir.
Et puis tu te retournes vers moi. Ton sourire est ravageur, encore plus magnifié par tes si beaux cheveux en bataille et les quelques reflets de sueur sur ta peau.
Prends moi comme une chienne. Baise-moi.

Il y a un trémolo dans ta voix. Tu ne crois qu'à moitié à ce que tu dis. Mais tu en as envie quand même. Je t'aime tellement, mais ce n'est pas le moment de te le dire, comme ce n'est pas le moment de te demander si tu es sûre, ton regard ne souffrait aucune équivoque.
Un mouvement de genoux vers l'avant, et je suis de nouveau en toi. Il n'est plus question de partager, mon sexe me commande d'être égoïste. Et en effet, je te baise. Presque violemment, à grand coups de reins rageurs, furieux. Une, deux, trois fessées, je pétris ta chair de mes paumes, je grogne, halète de plaisir tandis que tu gémis sous mes coups de boutoir.
Puis j'attrape une pleine poignée de tes cheveux. Je tire ta tête en arrière. Tu gémis encore, ça m'excite tellement.
C'est si bon putain.
Je repousse ta tête vers l'avant, j'enfonce ta tête dans les oreillers, j'appuie dessus, j'ai envie que tu sentes que j'ai le complet contrôle de la situation. Tu gémis si fort, tu te mords si souvent les lèvres, que je crois bien que je ne fais pas fausse route. Puis j'attrape tes bras, je les croise dans ton dos alors que je continue à t'infliger mes va et viens.
Je sens que je vais bientôt jouir, et je ralentis un peu pour retarder l'échéance. Mais tu me connais trop bien maintenant, au point que je pourrais me demander si tu ne lis pas dans mes pensées.
T'arrêtes pas. Jouis en moi. Jouis pour moi.

Ta voix est un peu étouffée par les oreillers, presque lointaine. Mais le message est clair, et je redouble d'ardeur. J'empoigne tes fesses à pleine mains et je te besogne aussi fort, vite, que je le peux.
Je jouis dans un grognement sonore que je peine à retenir tellement l'instant est puissant. Je m'écroule sur ton dos, parsemant mon trajet de baisers passionnés. Je devine ton sourire sans le voir alors que je laisse échapper un « je t'aime putain » à bout de souffle.
Tu te redresses doucement sans me laisser le temps de quoi que ce soit pour accrocher ma nuque de ta main. Ta bouche vient saisir la mienne dans un baiser intense quoiqu'un peu acrobatique. Je caresse encore toutes les merveilles de ton corps sans le quitter pendant quelques merveilleuses secondes.

Je t'aime.

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Commentaires de l'histoire :

Domino
Joli texte, très bien écrit, captivant par sa réalité. On en redemande, si vous voulez.
Posté le 18/04/2021


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