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Dans la tente de Gert

Mon frère Norbert avait un ami flamand, Gert. Un jour, Gert est venu loger une semaine chez nous pour donner des cours particuliers en chimie organique à Norbert. Moi aussi, j'ai eu un cours particulier de Gert, mais pas en chimie.

Proposée le 14/03/2021 par Bruno Pouperque

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Thème: Jeu érotique
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


Mon frère Norbert avait un ami à l'Université de Liège. Cet étudiant s’appelait Gert Peumans. Il était flamand, originaire de Neerharen, un village sur la Meuse au Limbourg belge. Gert nous avait déjà rendu visite plusieurs fois. Il me plaisait beaucoup. J'avais essayé plusieurs fois lors de ses visites d'attirer son attention, mais je n'étais pas sûre d’y être parvenue...

Dans la tente de Gert
À un moment donné, j'avais de bonnes perspectives. Mon frère avait des problèmes avec le cours de chimie organique à l'université. Il ne comprenait pas les formules où les mathématiques entraient en jeu. Par contre, Gert semblait être un as dans ce domaine. Les deux amis avaient donc convenu que Gert viendrait loger chez nous à Bressoux pour donner à mon frère une semaine de tutorat.


Quand Gert arriva tard dans l'après-midi avec son grand sac à dos et son autre bagage, j’étais heureuse, et un peu excitée. Gert rougit alors que je lui faisais un signe de la main et lui fis un clin d'œil en même temps. J'avais juste dix-huit ans alors, lui vingt et un. C'était un mec vraiment beau, grand, athlétique, avec une abondance de cheveux blonds foncés sur la tête. La seule chose que je n'aimais pas, c'est qu'il portait des lunettes épaisses, car il était fort myope.


Une heure après son arrivée, il était temps de dîner. Gert était assis en face de moi. Très prudemment, pour ne pas éveiller les soupçons chez qui que ce soit, je lui caressai la jambe avec mon pied. Il n'a pas retiré sa jambe, mais l’a même poussée contre mon pied plusieurs fois, comme pour m'encourager.


Pendant le repas, j'appris que Gert n'allait pas dormir dans la chambre prévue pour lui. Il avait apporté une tente dans ses bagages, et il allait l'installer au fond de notre jardin. Il l'a fait après le dîner, avec l’aide de mon frère Norbert.


Je n'aimais pas vraiment ça. C'est pourquoi j'ai demandé à Gert pourquoi il voulait passer la nuit à la belle étoile. C'était, dit-il, parce qu'il ne voulait être un fardeau pour personne. Ma mère n'aimait pas non plus que Gert dorme dehors. Après tout, un lit était prévu pour lui dans une de nos deux mansardes. Mais il a obstinément refusé de dormir à l’étage.


"C'est bon. Laissez-moi faire," continua-t-il obstinément. "L'été, je dors la plupart des nuits dehors dans ma tente chez nous à Neerharen."


Quand je me suis faufilée dans le jardin plus tard dans la soirée, il faisait noir. La lune était à peine visible et je ne savais pas bien voir où je mettais les pieds. J'ai trouvé la tente de Gert et j'étais sur le point de chercher la fermeture éclair, mais je n'ai pas dû chercher. Une main s'enroula autour de mon poignet et me tira dans la tente.


Il n'y avait aucune gêne réelle entre nous deux. J'eus le souffle coupé quand la bouche de Gert trouva la mienne. Il m'embrassa, serra sa langue entre mes lèvres qu'il sépara sans effort. Je l'ai aidé, parce que j'ai ouvert la bouche pour le laisser entrer.


"Ohhh..." gémis-je. Ses mains ont fouillé mon corps dans le noir. Ses doigts glissèrent sous mon T-shirt où il trouva mes seins nus. Je sentis son sourire sur mes lèvres alors que nous nous embrassions et qu’il massait mes tétons de ses pouces. Pour lui faciliter la tâche, je ne portais que ce T-shirt et un short en coton, sans petite culotte.


Ma respiration était lente et ma chatte s'est mouillée lorsque Gert a descendu sa main dans mon short pour titiller mon clitoris. Ne pas voir son visage dans le noir a ajouté à mon excitation, et j'ai gloussé alors qu'il massait doucement le bourgeon de mon clit de ses longs doigts.


Puis Gert me ramassa comme une plume et me mit sous lui sur son sac de couchage. Il faisait chaud et ce sac sentait bon l’odeur de Gert après des années d'utilisation. J'aimais être sous lui, bien que son corps lourd pèse sur moi, et je voulais vraiment me faire baiser. La voix rauque de Gert à l'accent flamand me fit frissonner:


“Je t’ai attendue cette nuit pour te goûter, Simone,” dit-il. Sa bite a frappé ma cuisse durement. "Je peux te pouper une fois?"


“Une fois”, je savais de mon frère Norbert que cela voulait dire “un peu” et que “pouper” signifiait “baiser” en Flandre.


“Poupe-moi, Gert,” dis-je. "Je ne demande pas mieux."


Je passai mes bras autour de son cou et l'attirai vers moi pour un autre baiser. J'étais à bout de souffle quand nous avons séparé nos bouches. Mes lèvres génitales avaient entre-temps enflé et bâillaient.


"J'aimerais sentir ta bite en moi," murmurai-je, serrant l'un de ses biceps durs. "Moi aussi, j'aimerais te goûter."


Ses muscles se sentaient bien sous mes doigts tâtonnants, et alors que ses mains passaient sur mon corps, je me sentais chaude et ma peau picotait de partout.


"Gert, j'ai tellement hâte que tu me fasses l’amour," dis-je, "mais mon frère serait furieux s'il le découvrait."


“Je comprends, Simone. Norbert est un très bon ami à moi, mais maintenant… Qu’il aille se faire f…..,” a dit Gert en poussant sa bite contre mon ventre.


J'ai trouvé son visage dans le noir avec mes mains et mes lèvres:


"N’attends plus, Gert. Baise-moi maintenant."


Gert m'a aidée à enlever mon short et mon T-shirt. Ses propres vêtements ont rapidement suivi, et nous avons exploré nos corps en nous touchant et en nous pelotant dans le noir. Ses abdos et sa bite durs comme du roc faisaient que je me sentais fantastique alors que j’explorais son corps du bout des doigts.


J'avais tellement envie de lui, et je l'ai gentiment aidé à s'allonger sous moi. Je voulais monter sur lui et le chevaucher. J'ai rampé sur lui et aligné nos corps du mieux que je pouvais dans l'obscurité. Puis j'ai pressé ma chatte humide contre sa bite en attente. Alors que je me baissais pour l’embrasser encore et encore, il gémit et me serra le cul. Ma fente de baise était devenue toute molle, elle était prête pour lui et s'étirait pour absorber sa queue massive.


La douce douleur de son énorme bite qui se serrait en moi n'était rien comparé au plaisir que j'ai ressenti quand j'ai commencé à monter et descendre sur Gert. Lentement de haut en bas au début, puis plus vite quand je le sentais pénétrer plus profondément en moi. J'ai sucé ses lèvres et j’ai gémi alors que je m'enfonçais complètement. Ça faisait un peu mal parce que je n'avais pas encore fait l’amour très souvent, et c'est peut-être pour ça que ma chatte s'est serrée autour de la bite de Gert en réponse. Mes doigts trouvent sa poitrine et des rainures dans ses abdos tandis que ma chatte brûlait pour lui.
Je me suis penchée pour l'embrasser. Nos bouches se sont réunies pour réprimer les gémissements alors que je frappais sérieusement de mes hanches de haut en bas, essayant de faire entrer sa bite dure encore plus profondément dans ma foufoune. Nous gémissions tous les deux dans l'obscurité. Nos corps se balançaient dans le temps alors que nous nous embrassions, nous nous touchions et faisions semblant de nous aimer.


Et puis je suis venue, tout d'un coup, sans vraiment m'y attendre. J'ai jeté ma tête en arrière et me suis détachée du baiser.


“Oh, Gert... Gert, je suis sur le point de... ooooh!"


Je gémis alors que ma chatte tremblait et que l'électricité de l'orgasme explosait dans mes veines. C'était si bon! C'était comme si j'étais un paratonnerre, et Gert le dieu de l’orage qui m'avait frappée à travers sa bite avec tous ses délicieux éclairs. Mon jus de chatte jaillit autour de sa queue, rendant tout entre nous humide et collant.


“Moi... moi aussi..." haleta-t-il alors que ses mains s'enroulèrent autour de ma taille et qu’il commença à pomper son foutre dans ma chatte gonflée. Sa bite palpitait, et au moment où Gert est venu, il a grogné et j'ai senti mon canal de baise se remplir de son sperme crémeux.


Puis ce fut fini… Nous sommes restés là pendant un moment pour donner à notre corps le temps de se détendre. Mais j'aimais aussi faire une pause avec sa bite encore enfouie dans ma chatte. Gert m'embrassa doucement, sa grosse main sur ma joue dans la tente obscure.


“Voudrais-tu rester avec moi un moment? Il fait beaucoup plus froid ici qu'à Neerharen,” mentit-il. "Ton corps chaud pourrait me réchauffer."


Je m'allongeai à côté de lui dans le noir, me demandant si je devais rester encore plus longtemps avec lui dans sa tente. Mon frère Norbert pourrait me donner une raclée s'il savait ce que j'avais fait avec son ami...
Oh, que diable! Comme s'il pouvait tout décider dans ma vie, ai-je pensé.


Quand la queue ramollie de Gert a glissé hors de ma foune, celle-ci était toujours enflée et sensible au contact. Il m'avait vraiment donné un bon coup de braquemart, et je pouvais le sentir entre mes jambes. Je me suis même demandé si je saurais encore marcher correctement après que Gert m'avait baisée de sa bite d’un gabarit quand même hors du commun.


Je pensais que je ne pourrais plus avoir de relations sexuelles dans les semaines après, qu’il fallait que mon sexe se repose et ait le temps de revenir à son étroitesse d’avant. Mais Gert m'a prouvé le contraire. Tous les soirs pendant les prochains jours, je me suis glissée dans sa tente. Dans le noir, nous baisions au toucher.


Mais cela ne s'est pas arrêté là. Aussi pendant la journée, nous avons niqué comme des obsédés quand Norbert et mes parents étaient partis. D'habitude, mon frère faisait les courses avec mes parents où il allait voir sa petite amie à Spa. À peine que ces trois étaient sortis de la maison, Gert et moi nous embrassions et nous étreignions, et Gert me “poupait”, mais toujours dans sa tente, et je le chevauchais presque toujours.


Quand nous étions venus, il lavait sa queue flasque avec de l'eau minérale plate et je rinçais ma chatte avec. Ensuite, nous attendions que sa bite se redresse, et nous répétions toute la procédure frénétique de notre amour à nouveau...

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