Suite à une panne d'électricité dans un immeuble, Nick fait la connaissance de Linda Conte. Elle a une formation d'actrice et rêve de pouvoir rejouer une scène bien particulière du film "Le Dernier Tango à Paris". Ainsi, elle parvient à persuader Nick de tenir le rôle masculin dans cette scène fort spéciale...
Proposée le 15/02/2021 par Bruno Pouperque
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Thème: pratiques sexuelles
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Un jour, j'ai dû me rendre Rue du Moulin pour essayer de résoudre un problème de court-circuit dans un petit immeuble où mon père possédait aussi un appartement.
C'est ainsi que j'ai fait la connaissance de Linda Conte. Elle était d’origine espagnole, mais elle était née à Liège et y travaillait pour la Sodomo Immobilière S.A. au Boulevard de la Sauvenière. Cette société représentait les intérêts d’autres propriétaires, non seulement ceux de mon père.
Je suis allé la chercher dans les bureaux de la Sodomo Immobilière. Sans que je le demande, en cours de route, Linda Conte a commencé à parler d'elle. Sa mère était une vraie Liégeoise, de Rocourt, mais son père un Espagnol de la région de Malaga en Andalousie.
Linda m'a aussi parlé d'elle. Elle avait eu une enfance tranquille chez elle, même un peu ennuyeuse. Pour y mettre un peu de sel, elle était allée aux Ateliers d'Art Dramatique de la Province de Liège. Cette formation avait la réputation de sortir des sentiers battus dans son projet d'apprentissage.
Son ambition avait toujours été de devenir actrice, mais de préférence “star de cinéma”. Pour l'instant, il n'en était rien advenu. Entre-temps, il fallait mettre du pain sur la planche, car Linda habitait un appartement à une chambre à coucher à Liège St-Gilles dans la Rue Trappé, pas loin du Théâtre Arlequin. Il fallait payer le loyer et toutes sortes de factures. Ainsi, elle avait parfois des difficultés pour boucler le mois. Elle avait essayé de trouver des rôles d'actrice, au théâtre et dans des spots publicitaires, sans beaucoup de succès...
Dans la Rue du Moulin, il n'a pas été difficile de trouver la cause de la panne de courant dans le bâtiment. Je l’ai tout de suite trouvée dans la cave de l’immeuble à la lumière relativement faible de la lampe de poche que tenait Linda. Elle s'est appuyée contre moi en m'éclairant. Ses cheveux effleuraient régulièrement ma joue quand sa tête touchait presque la mienne. Mais c'était surtout le parfum de Linda qui m'excitait.
Je lui ai dit qu'elle sentait si bon. Elle a souri, a poussé son épaule contre la mienne et m'a dit de me concentrer sur mon travail, pas sur elle.
Je l'ai fait, même si j'étais distrait, car j'étais de plus en plus excité à l'idée de baiser Linda si elle voulait.
Pour la panne d’électricité, je ne savais rien faire. J'ai dit à Linda d’informer les propriétaires qu’il faudrait réparer ou remplacer un tuyau d'eau dans le mur derrière le boîtier qui fuyait et qui causait le court-circuit.
Linda a regardé sa montre. Il était dix heures et demie du matin.
"Qu'allons-nous faire maintenant?" a-t-elle demandé.
"Moi, je ne sais plus rien faire ici," dis-je. "Dois-je te ramener à ton bureau?"
Elle a fait la moue.
“Je préfère ne pas y aller aussi vite. La journée est encore longue. Tu ne peux pas penser à quelque chose de mieux?” a-t-elle demandé.
Elle m’a lancé l'appât et je l’ai avalé:
"Si, nous pourrions passer un bon moment ensemble," ai-je répondu. "Tu sais ce que je veux dire."
"Je ne comprends que trop bien," a dit Linda en riant. "Tu penses peut-être que je n’ai pas vu ce gros renflement dans ton pantalon, malgré la faible lumière de cette lampe de poche?"
"Et qu'en penses-tu?" ai-je demandé. “Que penserais-tu d’une petite partie de jambes en l’air?”
"Rien contre, si ça se passe de la façon dont moi, je le veux," a-t-elle répondu. “Viens, conduis-nous à mon appartement à St-Gilles dans la Rue Trappé. J'ai le temps jusqu'à une heure et demie de l’après-midi. Ensuite, je dois retourner au bureau.”
Ce que Linda voulait dire par “la façon dont moi, je le veux”, je ne le savais pas. En fait, je m’en fichais. Ce qui m’importait, c’était de la niquer, rien de plus, et toute position dans laquelle cela se passerait me convenait.
Une fois que nous étions arrivés dans son appartement à St-Gilles, Linda ne semblait plus si enthousiaste à l'idée de se faire baiser. Elle errait et rôdait dans son salon-cuisine, comme si elle cherchait quelque chose. Je l'ai laissée faire pendant un moment, puis je suis allée vers elle, je l'ai prise dans mes bras et j'ai commencé à l'embrasser et à lui caresser les seins. Elle n'a pas vraiment résisté, mais elle s'est quand même doucement détachée de mon étreinte et m'a demandé:
"Allons-nous jouer une scène célèbre du film" Le Dernier Tango à Paris” pour une fois?"
Linda m'a surpris avec sa question. Je ne connaissais pas ce film. Elle a vu cela sur mon visage et elle m'a expliqué:
“Dans ce film, Marlon Brando a violé sa partenaire Maria Schneider dans le cul. Tu sais, j'ai l'ambition de devenir une star de cinéma. Je rêve de rejouer cette scène de cinéma depuis longtemps. Voudrais-tu faire ça avec moi? S'il te plaît, fais-moi ce plaisir?"
Je n'avais pas vu ce film, je n'en avais même pas entendu parler. Comment se passerait ce viol, je n'en avais aucune idée. C'est pourquoi j'ai dit à Linda:
"Je veux bien te faire ce plaisir, au moins je veux l'essayer. Allez, commençons.”
J'ai recommencé à l'embrasser et à lui caresser les nichons et les fesses, mais elle n’en voulait pas.
"Ce doit être un viol," a-t-elle insisté. "Tu dois me baiser dur dans mon trou de cul. Ne touche plus à mes seins et ne me caresse plus. L'intention n'est pas que ma chatte se mouille. Me faire jouir en me baisant dans ma chatte, ça ne va pas. Je ne prends pas la pilule et je n'ai pas de préservatif ici. Un viol dans mon cul, comme avec cette actrice Schneider, c'est ça ou rien.”
Il ne me restait donc rien d’autre que d’être d’accord. Pourtant, j’ai encore pensé que je pourrais faire Linda changer d’idée et qu’ensuite, je pourrais la baiser dans sa chatte…
Nous sommes allés dans sa chambre. Linda s’est déshabillée. Moi, elle m'a seulement fait enlever mon pantalon et mon slip.
Une fois cela fait, elle s’est allongée sur le ventre sur son lit. C'était un fameux spectacle, je dois dire, ce cul nu vraiment impressionnant tourné vers moi. Mais non seulement ses fesses étaient hors du commun, elle avait également une chatte rasée d’une couleur foncée que je n'avais jamais vue chez aucune femme auparavant. À l'entrée de sa foune, j'ai vu des perles de mouille scintiller. Donc Linda avait bien envie de se faire baiser dans sa chatte, c'était clair pour moi.
C'est pourquoi j'ai essayé de pénétrer dans son trou de baise du bout de ma bite. Linda l'avait senti immédiatement. Elle s’est retournée vers moi et m’a sermonné:
"Que fais-tu maintenant? Ce doit être un viol, tu te souviens? Dans mon cul! Ou comprends-tu mieux quand je dis "dans mon rectum, dans mon anus, dans le trou brun"? Nulle part ailleurs!"
J'ai compris. J'ai donc mis ma bite raide dans son cul. Ou devrais-je dire que je l'y ai pressée à grand effort? C'était douloureux pour moi et vraiment pas agréable. Et peu importe combien Linda a écarté les jambes, cela lui faisait peut-être même plus mal. Elle a grogné et soupiré alors que je lui défonçais le cul, puis je me suis mis à monter et à descendre avec un peu de difficulté. En même temps, la main gauche de Linda a disparu sous elle et elle a commencé à doigter son clit. Ses gémissements et ses soupirs se sont intensifiés, mais il était difficile de dire si c'était à cause de la douleur dans son trou de cul ou du plaisir qu'elle éprouvait.
Je n'aimais vraiment pas ce que je faisais. C'était parce que j'avais toujours eu une aversion du sexe anal. En fait, je pensais que c'était une sale affaire, pour l’homme, mais surtout humiliante pour la fille ou la femme qui devait la subir.
Mais ça n'a pas duré cinq minutes. Bien sûr, le cul de Bianca était plus serré que sa chatte. Donc, il n’a pas fallu longtemps avant que j'éjacule mon sperme dans son cul serré. Elle a continué à stimuler son clitoris, mais pas longtemps. Après quelques minutes elle est venue, toujours en gémissant, mais maintenant haletante aussi, alors que la salive coulait de sa bouche sur l'oreiller de son lit.
Puis, Linda m'a emmené dans sa salle de bain. Elle a soigneusement lavé ma bite, puis l'a séchée avec une serviette très douce. Pendant ce temps, elle m’a affirmé que se faire enculer si brutalement n'était pas vraiment idéal pour elle. Voulait-elle vraiment dire ça? Dans ses yeux, j'ai cru lire qu'elle en avait vraiment tiré satisfaction.
De toute façon, elle devait être heureuse, je suppose. En imitant cette scène du film "Le Dernier Tango à Paris", je l'avais fait devenir, pour quelques minutes, une vraie "star de cinéma"...
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