Mes soirées de travesti à l'hôtel

Je décris mes plaisirs de travesti à l'hôtel, mes goûts fétichistes pour la lingerie. La jouissance que me procurent mes jouets, mon pussy pump... L'excitation que je ressens à faire découvrir ma féminité à certains voyeurs....

Proposée le 5/02/2021 par trans59

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Thème: Fétichisme
Personnages: Solo
Lieu: Hôtel
Type: Histoire vraie

Mes soirées de travesti le soir à l'hôtel.

Ma femme n'acceptant un travesti dans son lit, j'ai dû m'organiser pour vivre pleinement ma féminité.

Pratiquant le vélo dans ma région, j'ai commencé à me raser régulièrement les jambes.
Passant mes vacances sur des plages exotiques ensoleillées pour pratiquer la voile et le tennis, j'ai pu convaincre ma femme de me laisser m'épiler le corps pour des raisons esthétiques.

Puis, j'ai loué en toute discrétion prés de chez moi un garage dans lequel j'ai installé deux armoires équipées de portes en glaces coulissantes pour garder un véritable trésor d'Ali Baba que je collectionne maintenant depuis des années.

La première armoire contient toute ma lingerie achetée sur des sites internet anglais que je porte sur mon blog hamster: Guêpières, corsets, serres taille, porte jarretelles, nuisettes, culottes fendues, gaines ouvertes vintage, bas, jarretières...
J'y place également mes perruques, seins en silicone, trousse à maquillage.
La seconde est réservée à mes fourrures, robes, jupes, corsages, escarpins ainsi qu'à mes nombreux jouets: cages de chasteté, godes, plugs, spéculum...)

Pour faire monter mon excitation, je me couche sur mon divan habillée d'une lingerie glamour en prenant des poses torrides face aux miroirs avant d'utiliser mes jouets.

Contre le mur se trouve une table à repasser qui me sert après avoir apporté au lavomatic de ma ville mes dessous souvent auréolés de ma sève.

Quittant mon domicile pour la semaine, je passe au garage pour emporter avec moi la lingerie qui me fait envie et une sélection de jouets sans oublier mon Fémidom (préservatif féminin) en cas d'éventuelle rencontre.
En fin de journée, je regagne ma chambre d'hôtel d'un pas pressé en pensant au plaisir qui m'attend.

Ayant retiré mes vêtements, j'applique sur mon corps une crème dépilatoire et j'étale avec fébrilité sur mon lit la lingerie que je vais porter.
Puis, je vais me rincer sous la douche.

J'en sors satisfaite en voyant ma poitrine, ma queue et la raie de mes fesses parfaitement glabre.

Devant le miroir de la salle de bain, je maquille mes yeux sans oublier de peindre mes lèvres d'un rouge carminé.
J'étale ensuite un fond de teint sur mes joues pour colorer mon visage et affiner le grain de ma peau.

Enfin, j'ajuste sur ma tête une perruque blonde mi courte plus confortable et moins chaude à porter la nuit.

Après un léger brushing, je regarde sans indulgence la fille androgyne et attirante que je suis devenue.

Mon cœur bat la chamade lorsque je me glisse dans ma guêpière.
Comme les femmes, je l'agrafe sur le devant en la faisant tourner sensuellement autour de ma taille avant de remonter mes bretelles sur mes épaules.

Je garnis ensuite les bonnets D de ma guêpière de généreuses prothèses en silicone de 500 gr chacune.

Puis, je remonte une ravissante culotte fendue sur mes hanches qui laisse ma rosette à découvert.
Je m'assois ensuite sur mon lit pour enfiler mes bas.
Fléchissant une jambe, je tiens le voile en nylon à deux mains avec les pouces à l'intérieur.
Je le fais glisser d'avant en arrière sur ma peau en le remontant très haut sur mes cuisses pour mettre mes longues jambes en valeur.

Je l'attache aux huit jarretelles de ma lingerie en m'assurant que les coutures de mes bas restent bien droites.
En sentant la tension du nylon sur ma peau, je sens monter le désir dans le creux de mes reins.

Je termine en enfilant la nuisette satinée qui m'a fait craquer et en glissant mes pieds dans mes escarpins.

Je fais quelques pas dans ma chambre pour m'habituer à mes talons aiguilles qui amplifient mon déhanchement et le balancement de mes fesses en marchant.

Comme une fille, je m'applique à faire des petits pas en serrant les fesses et en croisant les jambes pour avoir une démarche plus fluide.
Devant la glace, je me regarde marcher les bras le long du corps, sans balancer les épaules, le bassin en avant tout en roulant des hanches d'une manière provocante.
Mon désir montant crescendo, ma queue dressée sort de manière indécente de ma culotte fendue.

L'envie me prend alors de glisser ma main sous ma nuisette en caressant sensuellement mes seins et en me masturbant avec l’autre…
Je ne me lasse pas d'admirer devant la glace la femme phallique que je suis devenue.

Prise d'un besoin pressant, je vais m’asseoir comme une fille sur la cuvette des WC.
Je retrousse ma nuisette sur ma taille et j'abaisse ma culotte sur mes genoux dans l'espace laissé libre entre mes jarretelles et mes bas pour soulager ma vessie.
J'attache toujours mes jarretelles par dessus ma culotte car c'est beaucoup plus élégant et érotique que de faire l'inverse.

Puis, je m'allonge sur mon lit qui se trouve en face d'une glace murale

Je passe un long moment à serrer mon gode de 8 cm de diamètre entre mes cuisses en ouvrant peu à peu mon œillet par d'habiles pressions.
Avec impatience, je finis par l'enfoncer doucement en moi en réalisant que chaque centimètre qui me pénètre me comble d'un plaisir nouveau...

Quelques instants plus tard, les frottements répétés de ma nuisette en satin sur mon gland et les pressions sur ma prostate font apparaître quelque gouttes de sève à la surface de mon gland.

Allongée sur mon lit, je varie mes plaisirs en utilisant mes plugs, spéculum, rosebud sans dépasser le point de non retour.

A l'aide de mon pussy pump, je fais grossir le mince ourlet anal qui s'est formé lors de mes nombreuses années de sodomies.

En faisant le vide d'air, je le fais gonfler peu à peu en lui donnant l'apparence de véritables lèvres vaginales.
Je gémis doucement lorsque j'enfonce à nouveau mon gode dans ce fabuleux manchon en sentant mes chairs s'ouvrir comme un fruit mure.

Puis, je fléchis les genoux en écartant mes fesses à deux mains pour stimuler mon point G sous tous les angles.
Lorsque les bourses de mon énorme gode viennent se plaquer contre mes fesses, je prends conscience que je me suis empalée jusqu'à la garde.

Mon érection est alors à son maximum et j'ai la queue tellement raide qu'elle me fait mal.
Je fais alors glisser lentement mon ongle le long de mon frein.

Mon plaisir est tel que je dois m'arrêter rapidement en pressant fortement la base de mon sexe pour ne pas éjaculer.
Après une heure de jeu, je ne pense plus qu'à me vider les bourses.

Je me porte le coup de grâce en massant lentement mon périnée avec mes doigts tout en contractant mes sphincters sur mon gode.

Je jouis comme une femme en sentant une vague de chaleur monter du fond de mes entrailles,
j'ouvre et referme mes cuisses jusqu'à ce que l'orgasme m'emporte.

La sensation de plaisir est intense lorsque mon sperme s'écoule en lentes coulées blanchâtres de ma queue flasque.
Je me laisse emportée par cette vague déferlante de plaisir en regardant ma sève s’écouler sur ma guêpière et s'infiltrer dans la lisière de mes bas.

Face à la glace, je n'arrive pas à détacher mon regard de ce monstrueux phallus sortant de mon ventre.

Au cours de la nuit pour pimenter la séance, je laisse mes rideaux ouverts et ma chambre bien éclairée pour me mettre en vitrine.
En zone rurale, je réserve toujours une chambre au rez- de- chaussée donnant sur le parking pour être vue par les clients de l'hôtel.

Mais, je préfère la ville pour avoir une chambre à l'étage face à un immeuble d'habitation séparé par une ruelle étroite.

Il arrive souvent qu'un ou deux voyeurs m'observent à leurs fenêtres.

Parfois, une certaine complicité s'établit qui m'encourage à leur faire partager mon intimité.

Je commence par des essayages de lingerie devant la glace.
Puis, lorsque je vois que le courant passe bien entre nous, je m'exhibe dans des poses suggestives tout en utilisant mes jouets.

Il arrive parfois que certains m'observent avec des jumelles.
Dans ce cas, ils peuvent voir sur mon visage le plaisir que je prends lorsque je jouis devant eux.

Le matin, après une courte nuit de sommeil, j'entends la fille qui m'apporte mon petit déjeuner frapper à ma porte.

Mon cœur bat la chamade quand je vois dans les reflets de la fenêtre une jolie blonde entrer dans ma chambre.

Je lui tourne le dos en regardant dehors pour ne pas la troubler.
Perchée sur mes escarpins, j'éprouve une forte excitation à m'exhiber dans ma lingerie glamour.
Je me penche en avant en faisant semblant d'ajuster mes jarretelles pour qu'elle voit mon bijou anal planté dans mes fesses.
La jeune femme dépose son plateau sur le bureau sans me quitter du regard.

Ses yeux se posent longuement sur mes bas à coutures et ma croupe cambrée par mes escarpins en s'attardant sur ma culotte fendue servant d'écrin à mon rosebud avant de sortir de la chambre.

Lorsqu'elle referme la porte, je m'allonge sur mon lit pour m'accorder une séance d’électro stimulation avec mon E-stim.

Pour cela, j'enfonce un plug conducteur de courant dans ma chatte
Puis, je pose des patch à électrodes sur mon gland et mes bourses
Ensuite, je n'ai plus qu'à relier les différents fils de cuivre à ma télécommande.
En actionnant le clavier, le courant de mon plug se propage en vagues successives dans mon anus en se propageant dans mon ventre.
Mon œillet se met à se contracter en permanence indépendamment de ma volonté.

Je regarde ma queue osciller de bas en haut sous l'effet du courant électrique qui irradie mon gland et mes bourses.

J'affine mes réglages en repérant les routines qui me font vibrer.

Le courant gagne peu à peu ma prostate et mon périnée.

L'anneau qui entoure mon gland stimule mon frein pendant que mes bourses se soulèvent en cadence sous l'effet des ondes électriques.

A l'aide de routines, je règle avec soin la montée de mon orgasme.

Le courant traverse maintenant mon bas ventre pendant que mon sexe bat la mesure.

Le moment tant attendu arrive enfin.
Sentant l'orgasme monter dans le creux de mes reins, je retiens mon souffle en écartant les cuisses dans l'attente de ma délivrance.

Très vite, une coulée blanchâtre épaisse et continue s'échappe de ma queue en s'écoulant sur ma guêpière.
Je me vide longuement en gémissant de plaisir.

L'électro stimulation me donne aussi la possibilité d'avoir des orgasmes secs, c'est à dire sans éjaculer.
Malgré ma queue restée flasque, je peux avoir ensuite plusieurs orgasmes comme une femme.

Ayant du temps devant moi, je vais dans la salle de bains pour nettoyer avec un peu de lessive ma lingerie maculée de sperme.
J'adore vivre ces instants d'intimité féminine.
Je passe un moment agréable à laver mes bas, ma nuisette et ma culotte fendue.
J'utilise ensuite le sèche cheveux avant de les placer sur des cintres au dessus de la baignoire pour qu'ils finissent de sécher.

Je songe à la tête que fera ma jolie blonde lorsqu'elle viendra faire ma chambre demain matin en découvrant ma guêpière, ma nuisette et mes bas à coutures.

Je laisse également traîner sur ma coiffeuse ma perruque, mes seins en silicone bonnets D, mon vibro et ma cage de chasteté.
Je lui réserve une dernière surprise en plaçant dans mon lit mon plus gros bébé.
Il s'agit de mon gode préféré pesant plus d'un kilo.
Je l'enroule dans les draps pour qu'elle soit obligée de le prendre en mains pour pouvoir faire le lit.

Avant de quitter ma chambre pour une journée de travail, je place mon réveil sur ma table de nuit dans lequel est cachée une camera grand angle qui filme les moindres mouvements dans la pièce.
C'est avec impatience que je découvrirai ce soir les réactions de ma jolie femme de chambre.

Dans de rares occasions, il m'arrive de partager mon lit avec mon ami travesti lorsqu'il peut se libérer.
Nos essayages de lingerie et nos séances de gouinage entre filles nous procurent d'intenses moments de plaisir car nous avons comme seul et unique but de nous lâcher dans un climat de confiance.

Au cours de la nuit, j'adore lui faire vivre son fantasme en le laissant me violer pendant mon sommeil.
Faisant semblant de dormir, je m'allonge sur le côté pour qu'il me prenne à la petite cuillère.
Il aime cette position qui lui permet de me baiser longuement sans fatigue.

Lorsqu'il me prend à la paresseuse, je fais semblant de dormir en retenant mes gémissements lors de ses va et vient dans mes reins.

Quelques instants plus tard, sentant sa queue tressauter en moi,
je sais que le moment est venu de l'achever.
Faisant semblant de me réveiller, je me sers de mon cul comme d'une véritable pompe à sperme en contractant mes sphincters pour serrer fortement son sexe.
Puis, je creuse les reins en pressant mes fesses contre son bas ventre jusqu'à ce que sa sève fuse en jets puissants dans mes entrailles.


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