Ne jamais provoquer une femme à un jeu que vous ne maitrisez pas.... je me croyez fort et capable d'assumer mon appétit sexuel. Béa m'a pris à mon propre jeu et m'a montré qui était le maître...ou la maîtresse
Proposée le 29/01/2021 par verseau29
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: pratiques sexuelles
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Histoire vraie
Je viens de temps à autre lire vos récits. Fantasmés ou réels l'effet est au RDV.
Je suis un homme la cinquantaine 1 m 80 pour 83 kg cheveux en voie de disparition donc une coupe très courte est la plus adaptée. J'ai toujours eu un fort appétit sexuel. Adolescent je me masturbais plusieurs fois par jours. J'aime les femmes... J'aime les femmes, surcout lorsqu'elles ont du caractère. Je ne suis pas macho et je ne supporte pas l'idée qu'un homme ayant de multiples aventures sexuelles soit un héros et qu'une femme qui a multiples aventures sexuelles soit une salope ! Mais ce qui me fait vibrer c'est quand elles ont une vie sexuelle débridé et qu'elles l'assume.
Bref, venir aujourd'hui "m'allonger" pour vous raconter mon histoire (vécue) n'est pas aisé car il me faut malheureusement garder l'anonymat de cette femme et le mien. Pour vivre heureux, vivons cachés ! (mais pas trop )
Le contexte: au moment des faits, je suis formateur avec deux ou trois autre collègues et nous avons 12 stagiaires dont plus de la moitié sont des femmes. Ce stage est assez lourd en terme de travail. Les journées sont longues très longue même où il n'est pas rare que les journées se confondent les unes avec les autres tant les nuits sont courtes. Remise en question, formation, débriefing, évaluation réunion pédagogiques et le tout en vase clos dans un bâtiment au milieu de nul part où même les GSM n'ont aucune raison d'exister.
Pour notre formation nous utilisons la vidéo comme support de correction. S'agissant d'une formation assez technique et kinesthésique les images sont souvent plus parlantes que les mots. Et c'est à l'occasion d'un visionnage d'une de ces séquences que nous nous apercevons que nos stagiair(Es) semblent être toutes adepte du port du string et du pantalon taille basse. N'étant, QUE, des hommes inutile de vous dire que nous voulions en avoir le cœur net dés le lendemain. Caméra au poing, les investigations de la journée nous ont donné raison... aille ! restons concentrés ! tout le monde sur le pont ! Issez la grand voile ! D'ailleurs à cette ordre digne d'un capitaine de vaisseau, rétrospectivement je pense sans jeux de mots que c'était les dames qui tenaient la barre !
Le stage avance, la fatigue s'installe, nous sommes tous déconnectés du monde réel, (celui où le téléphone est roi), nous avançons comme un vaisseau sur l'océan, seul en autarcie.
Comme tout groupe qui se respecte des groupes d'affinités se créés, des sentiments nous envahissent.
Nous sortons du petit déjeuner nous commençons les activités, Béatrice est à genoux en train de travailler. Le geste manque de précision je m'approche pour corriger le geste et là; quel spectacle. Béa à un pantalon taille basse, dont la position le fait encore plus descendre sur ses fesses, qui laissent apparaitre un string on ne peut plus minimaliste.
Le string ficelle plonge entre ses fesses et est relié au dessus de sa raie par des bijoux qui maintiennent les deux autres ficelles qui partent autour de ses hanches. Je ne sais combien de temps je suis resté en bug, mais suffisamment pour imaginer la partie invisible traverser les lèvres de son sexe et un petit triangle de toile cacher (ou pas) le devant de sont sexe. La fatigue chez un homme peut être surprenante car pourtant très fatigués par le début de la formation je me met à bander en un éclair. C'est donc Béa qui me rappel dans le monde réel en me demandant avec un sourire qui en dit long: "ça va ?"
Difficile de dire que ça ne va pas avec une gaulle pareille dans le pantalon. Je corrige donc ce geste qui m'a emmené vers elle tout en lui parlant. Il est clair à ce moment que Béa n'a que faire de ce que je peux lui montrer ou lui dire. Elle me regarde avec un large sourire et un visage qui semble se réjouir de la situation. Sans rougir sans sourciller et reprend d'une voix calme et très sensuelle. Tu es sûr que ça va ? Tu as l'air troublé ?.... je suis scotché je ne sais quoi dire. Et elle reprend; c'est peut être plus facile de filmer et de regarder tranquillement dans son coin après ? Non ? (elle baisse alors son regard clairement sur mon pantalon à l'endroit où tout est en train de s'affoler) moins...visible !
Il me faut me reprendre et ne pas perdre la face. Au cours de ce stage il n'était pas rare que nos plaisanteries tournent autour du sexe.(entre adultes pas de risques) Je ne peux pas rester sans réponses.
Tu as raison : le vrai c'est beaucoup mieux que la vidéo. Instantané ! Il m'en faut un peu plus pour me déstabiliser. Allez ne nous égarons pas au travail. Je joint le geste à la parole et je me relève devant elle toujours à genoux. oups ! c'est clair la bosse sous le pantalon me trahi. Cette situation ne lui échappe pas et après quelques secondes me plante son regard dans le miens. Ah oui ? me dit elle. Je le note.
Fin d'après-midi le repas du soir approche. Je croise Béa dans les escaliers. Elle à profité de la pause pour prendre une douche; ses cheveux sont encore humides. Je fais une pause et me retourne. Elle continue de monter l'escalier en colimaçon. elle a changé de tenue et porte une longue robe. Je fini de descendre les quelques marches pour me retrouver dans le hall lorsque j'entends tout en haut de la mezzanine Béa qui m'interpelle !
Frédéric ! On mange à quelle heure ce soir ? je relève alors la tête pour lui répondre. Elle a passé un genou à travers les barreaux du garde corps accoudée à la rampe. Je suis 3 mètres à peine en dessous. Je vois ses jambes sous la robe quelle fait danser d'une main pour être sûr du spectacle qu'elle m'offre. Je ne suis pas certain, mais j'ai l'impression que le string à disparu ou alors il n'y a pas de triangle de tissus. Et vu que je ne voit rien d'autre j'en conclu aussi que Béa doit se raser le sexe...
C'est reparti pour une belle érection, il me reste 15 min avant le diner je vais faire comme les stagiaires je vais aller prendre une douche avant. Je me rends aux douches (collectivo-individuelles, cabines toutes au même endroit !) rapidement déshabiller j'entreprend de m'occuper un peu de mon sexe. Je fais en sorte de ne pas faire trop de bruit les mûrs sont hauts et ça résonne. Je me tiens les couilles pour limiter les claquements. Soudain j'ai un doute je m'arrête. Je ne bouge plus. Je relance la douche qui s'était arrêté, et là j'entends vers les lavabos Béa : " le repas est servis !".
J'arrive quelques minutes en retard tout le monde est à table je me suis habillé plus décontracté qu'en journée. Même si la journée n'est pas finie nous avions tous admis stagiaires et formateur que le soir on pouvait alléger le dress-code. J'ai un pantalon de toile un tee-shirt et j'ai troqué les chaussures de villes pour la paire de Tongue. Surprise ! La seule place qui reste est en face de Béa. En m'approchant elle me sourit et me lance: - t'as pas le choix !
- Pas de soucis !
- ça fait du bien une bonne douche ?
- euh oui...?
- ça détend...ou pas !
- si si ça détend...
Le repas est bien entamé les conversations vont bon train le niveau sonore est très élevé, je suis un peu perdu dans des rêveries et j'ai clairement déconnecté de mon environnement quand une voix me ramène à moi.
- tu rêves ?
- euh..je réfléchis
- tu repense à quelque chose ou tu visualise une image ?
- peut-être !
- et tu n'as pas la réponse !
- si on savait tout !
à ce moment je sens alors son pied caresser mon tibia, il est nu pas de chaussures ni autre...nu. Elle continue de parler avec ses voisins et avec moi comme si de rien n'était tandis que son pied continu son ascension. Il arrive dans mon entre jambe j'ai le cœur à 140 et les tempes battent la chamade... c'est quoi ça ! Je rêves ?
Son pied est maintenant clairement appuyé sur mon sexe bandé qui va explosé si je ne reprend pas le contrôle rapidement. Elle me regarde droit dans les yeux toujours de marbre et en me souriant. Elle reprend alors la conversation là où elle n'avait pas eu de réponse.
- ou pas !!!
- pardon ?
- la douche était bonne ?
- ben oui ça fait du bien !
- ou pas ?
disons que...
- trop courte ? me coupe t elle !
- j'y suis allé trop tard et on m'a appelé pour manger !
- oui je t'ai appelé ne te voyant pas ressortir... ça aurait été dommage de gaspiller !
je pense à ce moment que j'étais rouge pivoine ne sachant plus où me mettre.
Elle reprend alors:
- tu aimes ?
de quoi parle t elle ? de son pied qui me caresse le sexe ou d'autre chose...je ne sais quoi répondre.
- les dessous ?
quel dessous me dis-je ? je suis tellement confus que je ne sais pas si elle parle de lingerie ou de ce qui se passe actuellement dessous la table ...
Pour m'aider elle précise:
- J'aime beaucoup celui d'aujourd'hui. Minimaliste ! serte ! mais efficace à ce que j'ai pu constater !
C'est mots sont choisit avec soins de sorte que personne autour ne peut deviner le sujet de nos échanges ni ce qui se passe sous la table. Je viens de me rendre compte qu'elle à pris l'avantage sur moi, elle mène le jeu. A l'époque, et donc avant de la connaître cela me contrarie un peu. Il faut que je me reprenne mais comment.
- et toi ? me dit-elle .
- moi ?
- oui ! toi que mets tu ?
- ah ah !
- c'est pas une réponse !
- il faudra t'en contenter.
- Pas grave de toute façon je crois savoir !
- alors si tu sais ! Mais croire n'est pas une certitude !
- Comme moi mais version masculine bien sûr ! me dit-elle.
J'en reviens pas ! Comment a-t-elle su ? ça se voit sous un pantalon ? Il a bien longtemps que j'ai opté pour cette ligne de sous vêtement offrant un parfait maintient des couilles contrairement aux caleçons et ne plus avoir à ranger tout le matos quinze fois par jour parce qu'une couille c'est barrée dans l'entrejambe. A l'époque des faits les hommes portant des strings c'est plutôt rare et je ne me voyais pas en faire état !
- qui ne dit mots consent ! (toujours en souriant). Mais j'adore l'idée. Mais à bien y réfléchir, je dois me tromper. T'es trop classique...
Je suis frappé en plein cœur ! Moi classique ? Je dois passer à l'action.
Je me lève alors brusquement de la table et je sors de la salle pour rendre aux toilettes.
Enfin seul je libère mon sexe d'où s'écoule cette petite liqueur incolore signe d'une excitation intense. Je souffle pour me décontracter. Un p'tit pipi et tout rentrera dans l'ordre. Une fois l'affaire terminée il me vient alors, l'idée ! Moi classique ?
Je baisse alors mon pantalon je retire mon string et le fourre dans ma poche. Et c'est le sexe libéré sous un pantalon de toile un peu léger que je reviens à table où on a servi le café !
- je t'en ais pris un !
- merci !
- une envie pressante ?
- si on veut... en tout cas une nécessité, une urgence ! lol
- ah bon ? urgence ?.
- oui
Je me cale alors bien au fond de ma chaise décontracté pour siroter mon café, le bassin bien caché sous la nappe retombante. Je retire alors mon pied d'une Tongue et je pars à l'assaut de Béa la provocatrice ! A mon tour madame ! Pas l'ombre d'une surprise traverse son visage, alors que mon pied remonte le long de ses jambes, je sens alors qu'elle s les écartes pour me laisser plus d'aisance. Mon pied n'est pas encore arrivée à son sexe que j'en ressent déjà la chaleur ! Incroyable. Mes orteilles arrivent sur sa chatte. Pas de tissus et pas de poils... madame n'avait donc rien dans cet escalier !
- t'avais un doute tout à l'heure ? Comme ça il n'y en a plus !
- effectivement. Je parle de façon décontract. j'ai repris mon self contrôle.
Je sens alors son pied reprendre sa place sur mon sexe. Je bande comme pas possible et cette fois le string ne m'aidera pas à dissimuler mon érection.
- me voilà rassurée ! me confie t elle.
- rassuré ?
- oui je n'ai jamais cautionné les génocides... par contre au vu de ce que je ressent je ne pense pas que tu puisse quitter la table maintenant !
- c'est clair je plaide coupable !
- Et donc ? où est -il passé ?
je repose alors ma tasse et je cherche dans ma poche mon string que je sors sous la table. Je lui prend le pied et lui coince mon string entre les orteilles. Je sens alors son pied repartir avec le trophée et dans une dextérité propre aux femme elle le récupère comme si de rien n'était. C'est alors sous la table qu'elle s'amuse à deviner ce que je viens de lui donner en "pied propre" ! mdr
- j'avais raison ! j'en était sûr !
- Ah je ne suis pas "classique" ?
- tu caches bien ton jeu !
- j'ai trouvé une rivale on dirait !
elle regarde alors en direction de ses cuisses pour voir le string discrètement et reprend;
- noir ! qu'est ce que je disais ! classique !
mon pied à repris sa place contre son sexe et je lui masse les lèvres avec force. elle aussi à repris son poste sous la table et me caresse le sexe bien trop dur !
Je commence à m'immiscer dans son sexe trempé et si chaud.
- c'est pas équitable me dit-elle !
- je sais mais c'est beaucoup moins facile pour un homme !
- débrouilles-toi !
Ce côté autoritaire me fait sauter les derniers verrous de ma vertu.
Discrètement je descend ma braguette toujours avantageusement caché par la nappe ! Et je sors l'objet convoité par la belle. Immédiatement je sens son pied revenir dessus. J'ai l'impression qu'elle à une troisième main au bout de la jambe. Mon gland se retrouve emprisonné et elle commence une masturbation en bonne et due forme sans même provoquer chez elle le moindre mouvement apparent ! Mon pied est trempée, elle apprécie clairement ce que je lui fait et elle me le rend bien. J'ai le bout du gland trempé de ma liqueur. Au bout de plusieurs minutes au cours desquelles la table s'est clairement vidée je la regarde:
- si tu continuent les petits Frédéric vont se retrouvés bien bêtes et perdus !
Elle explose de rire en me disant:
- c'est vrai ? Ce serait dommage ! Alors retournons au travail ! Et dans un même mouvement elle se lève de table ! tu viens ?
Impossible évidement pour moi de me lever, j'ai commencé à ranger mon sexe bandé, mais même à l'abri nul doute sur mon état.
- je vais rester encore un peu je vous rejoint !
- d'accord ! après avoir fait le tour de la table elle s'arrête derrière moi et se penche par dessus mon épaule pour attraper son téléphone soit disant oublié en face de moi. En se penchant elle me dit à voix basse
- j'adore les queues circoncis. En se relevant sa main heurte mon verre d'eau qui vient se répandre sur mon pantalon.
-oups ! pardon, je l'ai fait exprès ! En me faisant un clin d'oeil je la voit s'éloigner de la salle de restauration.
Je me suis reculer pour éponger l'eau. Froide heureusement cela m'a permis de me détendre. Deux stagiaires rigolent plus loin ! Je relève la tête. Non ! c'est pas possible ?
Je vois Béa marcher avec mon string à la main ! Impossible de ne pas voir qu'il s'agit d'un string comme elle le porte et où voit clairement écrit DIM !
Je me relève et saisi mon portable qui par bonheur n'a pas reçu d'eau quand il se met à vibrer m'indiquant de l'arrivée d'un SMS. Numéro inconnu.
-" alors ? l'eau froide ça aide plus que la douche à se décontracter ?" Garde ton foutre pour cette nuit ! je veux ta queue et tout ce qui va avec ! Donc ne ferme pas ta chambre à clé...
Béa ne s'appelle pas Béa et moi je ne suis pas non plus frédéric. En écrivant ses souvenir, je me suis remit à bander et à revivre ce beau moment, premier d'autres à venir. J'ai écris avec ce petit et infime espoir que "Béa" le lise, se reconnaisse, et repense à ces bons moments. Merci Béa. Car à ce moment précis je ne savais pas ce qui m'attendais ni ce que tu allais faire de moi !
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Commentaires de l'histoire :
mimi6487
Bonjour, Bon un teaser pour un suite !!! ca me va ... ya pluka Bien écris, juste ce qu'il faut d'érotisme pour exciter mais pas assez pour se satisfaire de seulement ca .... Donc a la suite note 9 Bise Mikel
Posté le 11/02/2021
Micfou53
Belle ambiance, j'ai été formateur d'adultes et j'ai connu quelques stagiaires adeptes du jean's taille basse et du string, ainsi que du décolleté qui baille quand elle(s) se penche(nt) pour signer la feuille de présence...
Posté le 31/01/2021
Domino
À quand la suite ?
Posté le 31/01/2021
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