Pendant un week-end de Janvier passé sur Pantin pour le mariage d’un couple d’ami rencontré par mon mari, je rentrai seule à l’hôtel dont je ne citerai le nom, j’eus ma première expérience de soumise avec un homme que je venais de croiser dans le couloir.
Proposée le 29/01/2021 par Krinn
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Thème: Femme soumise
Personnages: FH
Lieu: Hôtel
Type: Fantasme
Un Week end qui allait changer ma vie d’une manière inattendue. La peur et l’excitation de se laisser prendre par un autre homme, inconnu. Mon mari me laissant toujours sur ma faim et ne voyant pas la souffre que je ressentai de l’aimer sans condition. Je n’étais qu’une femme de quarante ans en demande de sexe, découvrant des expériences interdites.
Pendant un week-end de Janvier 2020 passé sur Pantin pour le mariage d’un couple d’ami rencontré par mon mari sur twitter, je rentrai seule à l’hôtel dont je ne citerai le nom, j’eus ma première expérience de soumission total avec un homme que je venais de croiser dans le couloir.
18h00
Son regard s’était attardé sur moi avec insistance alors que je passais à côté de lui. Il avait une quarantaine d’années et devais bien faire 1 mètre 90. Il me semblait qu’il pratiquait du sport en salle régulièrement à voir ses biceps et ses avant bras sous son sweat à capuche qui m’empêchait de distinguer la couleur de ses cheveux. Mais celui-ci ne cachait ses yeux si mystérieux posés intensément sur moi, habillée d’une robe de soirée descendant à mi cuisses, des bas hauts et porte-jarretelles pour seuls lingeries fines. Même mon mari n’était pas si explicite quand je m’apprêtais comme ça pour lui. Au moment où j’ouvris la porte de ma chambre, je sentis une pression dans le creux de mon dos me poussant à l’intérieur. Une fois passée le seuil avec surprise, j’entendis la porte claquer. Les mains de l’étranger m’arracha le haut de ma robe dévoilant aussitôt mes seins. Je voulus crier et me défendre mais il me guida très vite au sol en me prenant par les cheveux que seuls mes yeux lui montraient ma peur.
Mais voulais-je réellement que cela s’arrête ?
Quand je vis l’homme dans ce couloir d’hôtel me déshabiller du regard, j’eus une envie folle qu’il me possède dans tout les sens du terme. Mon mari, après 16 ans de vie commune dont 11 de mariage, n’ayant pas confiance en lui après avoir eu des relations qu’avec des femmes jamais satisfaites des hommes, ne prenait plus le plaisir des jeux à deux. Le manque se faisait de plus en plus ressentir au point que je me branlai et m’amusai avec un gros gode acheté en cachette. Dans les toilettes mix avec la porte grande ouverte ou bien dans la cabine de mon camion avec les rideaux ouvert, sur le site des transports TA pendant ma pause de 45 minutes obligatoires ; la peur d’être surprise et filmée par des hommes qui pourraient partager les vidéos ou photos sur les réseaux sociaux, m’excitais jusqu’à l’orgasme solitaire. J’allais jusqu’à m’infliger régulièrement des coups de cravache un peu partout sur mon corps pour calmer mes besoins d’exhibitions, une sorte d’humiliation publique qui me rendais encore plus chaude pour du pur sexe avec des inconnus. Et ce fantasme était sur le point de se réaliser.
Mais prendrais-je du plaisir devant cet homme que je ne connaissais pas ?
Parterre, mes yeux se posèrent sur ses Rangers qu’il portait avec un jean slim noir. Il me tenaient toujours les cheveux avec sa main droite qu’il baissa brutalement jusqu’au sol et avec son autre main, il plaqua mon visage sur un de ses pieds. Dans le mouvement, je poussai un petit cri de douleur qui le fit lâcher prise pour m’imposer de soulever mon cul le plus haut possible tout en maintenant ma tête à sa place. Il souleva le bas de ma robe découvrant la vérité à ses yeux. L’humiliation que je ressentis m’excitai de plus en plus. Une claque violente sur mes fesses me tira un gémissement et des larmes montaient à mes yeux. L’étranger me traita de Chienne tout en continuant la fessée qu’il m’infligea avec un très grand plaisir que je ne pouvais que constater que par ses gloussements. Il m’empoigna de nouveau une grosse mèche de ma tignasse pour que je me relève jusqu’à hauteur de ses hanches. Son sexe en branle, d’une taille un peu au dessus de la moyen, était déjà sorti et n’attendait que ma bouche que j’ouvris machinalement pour la fellation. Mais que m’arrive-t-il de ne pas me refuser ?
14h25
L’arrivée sur Pantin se fit doucement. À notre arrivée gare de Lyon, nous décidâmes de prendre un taxis pour éviter à mon mari la galère du métro parisien. Comme à mon habitude, je lui lançai des regards d’envie tout en lui caressant la cuisse presque son entre jambe. Le chauffeur, pas très causant, ne regarda jamais dans son rétro intérieur mais je sentais mon homme mal alaise dans cette situation. Il m’ignorait presque mais je gardai espoir d’une éventuelle partie de jambe en l’air en se retrouvant à l’hôtel. Le véhicule zigzaguait dans la circulation durant environ 30 minutes et s’arrêta enfin devant l’adresse demandé. Mon clitoris se faisait sentir dans mon shorti, spécialement acheté pour l’occasion, et tout en réglant la course, j’ouvris mes jambes le plus possible pour dévoiler à l’homme ma petite chatte mouillée en guise de remerciement et d’au revoir. Tout en restant pro, il me fit comprendre en levant son pouce avec un petit clin d’œil dirigé sur l’objet de sa réjouissance. Je me rendis compte de se que je venais de faire devant mon mec à un autre et je me félicitai de ma discrétion par manque d’une réflexion de jalousie. Je prenais de plus en plus de risque pour assouvir ce manque qui me tiraillai tellement. Nous n’avions pas basé notre relation sur le sexe, pour tout dire. La première fois qu’il m’a pénétré, ce fut pendant notre nuit de noce. Avant, le stresse d’être encore une fois humilié dans sa virilité, le faisait débander malgré mes efforts avec mes mains, mes seins, ma bouche. Cette bouche grande ouverte le soir même devant un parfait inconnu. Je vais faire une grosse bêtise, là. Oh oui ! Je la veux cette belle queue !
18h15
Avec ses deux mains posés sur ma tête, il enfila son engin doucement dans l’antre que je lui offrais. Mes lèvres se refermait sur sa peau bien tendue et j’essayai de le lécher à l’intérieur. Très vite, le gland toucha le fond et j’eus l’envie de déglutir mais il se retira, attendit quelques secondes et se représenta. Je prenais beaucoup de plaisir et de désir qu’il aille plus loin dans ma gorge que je me concentrai le plus possible à me retenir chaque fois qu’il retentait. Après quelques échecs, il entrepris des vas et viens de plus en plus violents qui m’empêchai de reprendre ma respiration. Je tendais donc de le repousser gentiment. De la salive me coulai dans le cou à chaque fois. Je ne me sentais plus qu’un trou béant pour cet énergumène qui en profitait à fond. Paradoxalement, son regard se faisait de plus en plus doux, voyant que je me soumettais à son désir. Il s’attarda au fond de ma gorge avec une telle délicatesse dans ses mains toujours pleines de mes cheveux, qu’il éjacula en moi. Je compris assez vite qu’il n’était aucunement question de cracher son offrande et je pris un peu de temps pour l’avaler tout en reprenant mes esprits. Puis comme la bonne Chienne qu’il voyait en moi depuis le couloir, je gardai ma bouche ouverte avec la langue tirée pour qu’il puisse bien contrôler mon méfait excitant.
Très bon ! dit-il d’un ton dominateur. On ne m’avait pas menti sur ton compte.
Surprise de cette remarque, je me demandai s’il ne s’était pas trompé de personne au finale. Il repris avec un sourire moqueur.
Je vois que tu ne comprends pas trop là, hein ?
Je fis signe que non de la tête, toujours à genoux devant lui qui venait de s’asseoir sur le canapé. Je n’osai même pas parler de peur de lui dire une bêtise.
Tu montre souvent ta chatte au chauffeur de taxis en présence d’un autre homme, me demanda-t-il ?
Non, répondis-je sur la défensif ! J’ai honte de se que j’ai fait ce matin, niai-je.
Et là, tu as honte d’avoir été ma Pute, me questionna-t-il sur le même ton déstabilisant ?
Je ne sais pas trop, je me sentais plus ta Chienne que ta Pute, répondis-je d’une voix timide. Je voulais juste rendre jaloux mon mari dans le taxi, m’expliquai-je enfin tout en baissant mon regard honteux sur ses Rangers.
Tout en m’écoutant, il enleva le bas de ma robe déchirée et caressa ma chatte. Je gémissais tout en me rappelant : il ne va pas tarder à rentrer. Je ne veux pas qu’il parte, non.?
D’ailleurs, il ne va pas tarder à rentrer, pris-je conscience que j’avais perdu la notion du temps.
Mais qu’est ce que j’ai fait ? Voudrai-je vraiment qu’il parte ?
15h00.
La récupération des clés effectuée, nous montâmes dans la chambre située au premier étage. Elle était toute simple avec un lit contre le mur droit de la pièce et un canapé installé au fond, juste au dessous d’une toute petite fenêtre. Au côté gauche se trouvait une table basse avec une petite lampe posée dessus. Je commençai à déballer nos bagages. Lui, s’empressa de s’asseoir sur le canapé en me regardant faire. Pas un mot ne brisa le silence pendant au moins 3 minutes ce qui me rendis nerveuse. Avait-il vu mon exhibition devant le chauffeur ? Devrai-je lui en parler ? Je le connaissais bien, mon homme, je savais qu’il y avait quelque chose qui le préoccupait.
— Ça va mon amour ? Demandai-je tout en terminant le rangement.
Oui ma chérie, dit-il, t’inquiète pas. Viens t’asseoir, m’ordonna-t-il en m’indiquant le rebord du lit juste en face de lui.
Je m’exécutai sans un mot anxieuse de ce qui allait suivre.
Remontes ta robe et caresses toi.
Une de ses mains s’enfonça dans son pantalon. Le désir monta en moi et je ne me fis pas prier. Ma chatte s’humidifiait rapidement, ce qui facilita la pénétration entreprise avec deux doigts.
Je te veux mon amour, dis-je.
Tais toi, s’il te plaît, me souffla-t-il. Laisses faire les choses.
Je continuai tout en le regardant se masturber. Il se leva faisant glisser son jean sur ses chevilles et se rapprocha de moi presque allongée, ma robe relevée dévoilant le bas de mes seins, mes jambes écartées offrants mon trou déjà préparé. Je frissonnai de désir pour cette queue dure se présentant au dessus de mon ventre. Je voyais qu’il n’en pouvait plus et me souilla de son foutre. Déçu de son insuccès à me prendre, il reprit.
— Je suis qu’un gros nul. Putain, je peux même pas te baiser.
Non, dis pas ça, je t’en prie, le rassurai-je comme je pouvais. Ça faisait longtemps que je ne t’ai vu comme ça.
Je me relevai et le pris dans mes bras. Nous nous embrassâmes langoureusement et reprîmes nos esprits.
Je vais me nettoyer et on va retrouver Nath et Thomas, d’accord ?
Ok, acquiesça-t-il.
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Commentaires de l'histoire :
voyageur
une suite ,,,??????
Posté le 7/04/2021
mimi6487
Bonjour, un peu surprenant le découpage de l’histoire, puis on s’y habitue..... Bonne soumise née cette femme..... Histoire excitante .... note 8 Bise mimi
Posté le 4/02/2021
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