Damien a trouvé son son toit ce qu'il n'a jamais réussi à l'extérieur. Le summum, après que sa mère adoptive l'a pratiquement dépucelé, c'est maintenant Aude, la belle-fille de Jeanne, qui veut elle aussi jouer de la flûte avec son sexe. Pourquoi chercher ailleurs quand on trouve son bonheur chez soi.
Proposée le 25/01/2021 par mlkjhg39
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Jeu érotique
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Une famille pas ordinaire.
Deuxième chapitre :
Aude raconte sa découverte.
Mon mari m’ayant laissé tomber pour le week-end, j’ai décidé de rentrer à la maison parentale pour trois jours.
J’étais loin d’imaginer que j’allais vivre l’expérience que je vais vous raconter ici.
Mais je suis mal polie, je ne me suis pas présentée !
Je m’appelle Aude, j’ai 22 ans, je mesure (1m60), blonde aux yeux verts, très jolie et bien faite. Enfin je le crois!
J’arrive donc ce vendredi soir chez ma belle-mère Jeanne. Je suis la fille d’Arthur qui vit avec elle depuis seize ans
Mon frère Damien vient d’avoir 18 ans et vit sous son toit. En réalité, ce n’est pas mon frère car il a été adopté quatre ans après ma naissance.
Comme à mon habitude je rentre sans frapper. On dirait qu’il n’y a personne à la maison.
J’entends un bruit venant de l’étage. Je monte les escaliers en silence quand j’entends un grognement rauque et graveleux.
Ma belle-mère Jeanne implore un homme.
- Aaaaah ouiii, encore !
Je m’approche, le bruit vient de la chambre de Damien.
La porte est entrouverte ce qui fait que je peux voir toute la scène de profil.
Jeanne est à quatre pattes sur le lit, toute nue, en train de tenir dans les mains une énorme queue. Que dis-je énorme ? Une monstrueuse bite !!!
Quand je lève les yeux pour voir le visage de l’heureux propriétaire d’un tel engin, je me retiens de lâcher un cri de surprise.
Mon Dieu ! C’est Damien !...... Il faut dire aussi que c’est sa chambre…
- Je vais te faire jouir mon amour mais ma chatte n’en peut plus pour le moment, il te faudrait au moins trois filles, je te ferai baiser toutes les filles que tu veux mon amour, il faut que ta bite serve le plus possible, comme ça quand tu me baiseras, tu seras moins en manque mon bébé !
- J’ai encore envie, « maman » !
C’est dément de le trouver dans une telle position avec ma belle-mère mais ce qui l’est encore plus, c’est cette superbe grosse bite qu’elle enfourne avec douceur.
J’aurais pu imaginer une queue pareille chez un grand athlète mais sûrement pas chez un gringalet comme Damien!
-Tu veux que je te suce ou tu me baises encore ? Oh la vache, je peux à peine la prendre en bouche, dit elle, mes doigts n’arrivent pas à se toucher autour de ta magnifique teub!
Elle la suce encore pendant quelques minutes et j’ai l’impression que sa queue se tend de plus en plus. Quelle veinarde !
Je suis scotchée par la virilité insoupçonnée de Damien, mon cœur bat la chamade alors que mes yeux ne peuvent se détacher de la bouche de Jeanne qui profite de chaque centimètre de ce monstre.
-Oh mon dieu! Tu es monté comme un étalon!
-C’est ce qu’on dit !...
Elle le regarde :
- Tu veux vraiment le faire ? Je ne suis pas sûr que je puisse encore. Tu sais que je n'en ai jamais vue d'aussi grosse ni d'aussi longue !
-Oui « maman »...
-Vas y, pousse, baise moi...
Damien pousse doucement, sa queue entre sans problème dans la vulve de Jeanne puis il fait quelques mouvements en s'enfonçant de plus en plus loin.
-Ouah, quelle pine ! Je la sens jusque dans mon ventre... Bourre-moi et fais-moi jouir à nouveau !...
En la cramponnant aux hanches il la baise vite et fort, le fourreau serré lui comprime le sexe et lui provoque des sensations intenses de plaisir.
-Je vais jouir ne t'arrête pas Damien...
Ce n'est pas mon intention, moi aussi j'ai envie de jouir mais je me retiens.
- Essaie de ne pas jouir trop vite quand même, tu vas d'abord me prendre par devant et après tu pourras me la mettre dans le cul...
-A ton service, je jouis quand je veux...
-Comment ça quand tu veux ?
-Si je veux jouir vite, ça peut se faire en trente secondes mais si je le veux, je peux me masturber pendant des heures sans jouir...
-Si en plus d'avoir une grosse pine tu jouis à la demande, tu vas faire hurler de plaisir tes futures conquêtes ! Et tu n’avais jamais baisé de filles?
-Euuhhh, non pas vraiment...
Il la prend sans discontinuer une bonne vingtaine de minutes.
Quand soudain elle devine qu'il va jouir dans sa chatte elle s’écrit.
Dans la bouche ! Jouis dans ma bouche !!
Aussitôt il se redresse, bascule la tête de Jeanne en arrière la tirant par les cheveux et place sa bite à l’entrée de la bouche grande ouverte.
Puis le gland posé sur la lèvre inférieure il se met dès lors à éjaculer une quantité astronomique de sperme !
Je n’ai jamais rien vu de pareil, ça n'en finit pas, elle reçoit par grands flots la semence de son fils adoptif et sa bouche est remplie à ras bord ! Sous le regard de Damien, c'est sans hésiter qu’elle ingurgite la totalité de son sperme, ouvrant ensuite sa bouche pour lui montrer son gosier et lui prouver qu’elle n'en a pas laissé perdre une goutte.
Allongée sur le ventre, elle ne bouge plus, Damien s’allonge sur le dos à côté d'elle.
-Et bien, tu fais un sacré baiseur ! ... Oh, mais tu bandes encore !
-Je n'ai joui que deux fois...
-Ah bon… parce qu'en plus tu dois jouir plusieurs fois pour débander ?
-Oui... et c'est toi que je veux...
Il la regarde dans les yeux, avec sa main droite il se branle doucement en étalant les gouttes qui perlent sur son gland.
-J'aime voir un homme se branler, c'est beau tu sais... Tu peux tenir ta pine à deux mains, bien à la base et l'autre au dessus... Oui, comme ça... Mon dieu, ça dépasse encore !
-Si c'est pour mesurer ma bite, sors un mètre, comme ça tu seras fixée mais je peux te dire le résultat, 26 centimètres!
-Ne te fâche pas chéri, c'est fantastique ! Branle-toi encore un peu, j'ai envie de me faire jouir en te regardant, après tu feras de moi ce que tu veux.
-Tout ce que je veux ?
Mon regard ne quitte pas la queue qui frôle son visage, un coup de langue rapide sur son gland enlève une goutte de sperme qui perlait.
- Damien, encule-moi chéri, je vais avoir mal mais c'est bon...
Il ne débande toujours pas, il est toujours aussi ferme, Jeanne lui avoue :
-J’adore me faire prendre le cul mais cet engin entrera-t-il ? Tu vas m’exploser la rondelle mais j’en ai tellement envie.
Damien est sur le dos, la verge fièrement dressé, Jeanne à califourchon sur son pieu, elle le dirige dans son anus qu’il a dilaté auparavant de ses doigts et de la langue, il a réussit à enfoncer trois doigts dans ce trou et l’a agrandi au possible mais quand le gland s’enfonce en elle, les larmes coulent sur les joues de ma belle-mère.
Il est dans son cul, elle pleure de douleur mais le garde en elle, il lui semble subir un supplice, le supplice du pal… Elle qui adore se faire enculer d’après ses dires, elle est servie, ce n’est plus du plaisir c’est du pur bonheur mais c’est en même temps horrible de souffrance, elle attend que la douleur s’estompe.
Son cul est plein, elle sent le pieu dans son ventre, elle monte et descend, il entre de mieux en mieux, sa rondelle se dilate autour de la chair de Damien, enfin elle prend son plaisir.
Il explose après de longues minutes de sodomie, il vient en un soir de se faire dépuceler, de faire l’amour à sa « mère » et de l’enculer.
Il se retire d’entre les fesses de Jeanne son glaive à demi- tendu.
Mais Damien, tu ne débandes jamais? Ah c’est beau la fougue de la jeunesse !
-Un peu, il me faut au minimum trois éjaculations avant de débander...
-Va te laver chéri, tu as de la merde sur le gland... Je dois en avoir dans la raie, on va prendre une douche ensemble !
Je me retire sur la pointe des pieds, regagne la porte d’entrée, sonne et entre en criant. -Bonsoir, c’est moi Aude !
Troisième chapitre :
Aude veut sa livre de chair.
Le lendemain après- midi je me retrouve seule avec Damien.
Jeanne est de sortie avec ses copines et ne rentrera que tard dans la nuit.
Pour le mettre dans tous ses émois, j’ai mis une jupe si courte qu’il est obligé de voir mon string. Je l’aguiche depuis ce matin, lui montrant tantôt mes fesses ou mes seins par des postures suggestives.
Nous sommes assis dans le divan en train de regarder un DVD choisit par mes soins, ce n’est pas un porno mais pourtant les acteurs se retrouvent à tout bout de champ dans un lit et ils sont souvent dénudés.
Ils font l’amour et le metteur en scène fait des gros plans sur la magnifique poitrine de l’héroïne. L’acteur se promène dans plusieurs scènes la bite à l’air, elle pend entre ses jambes.
Une énorme bosse déforme le devant du pantalon de Damien.
La vue de la virilité de mon frère adoptif au travers du tissu fait son chemin dans mon esprit et ma perversité de femelle en rut met en sourdine mes doutes, et comme le disait si bien Jeanne, c’est un mec bien monté en plus, alors pourquoi faire la fine bouche et se priver d’une si belle queue.
Comment faire pour arriver à mes fins et peut être, va savoir, se faire sauter par une si belle grosse pine. Il faut un plan ! Mais lequel ?
-Tu n’as pas de petites amies, je ne te vois jamais avec une fille ?
Il a une mine renfrognée et ne veut pas me répondre.
- Frérot, parle-moi enfin, ne reste pas seul si tu as un gros problème, tu peux tout me dire !
Ne sois pas sot, allons dis-moi !
- Je ne peux pas Aude, et tu ne voudrais sûrement pas que je t’en parle si tu savais !
Je me colle contre Damien et lui câline le torse, le souffle chaud et parfumé de ma bouche caresse sa joue.
- Dis-moi « frérot », je te promets de ne pas me moquer de toi !
- Tu veux savoir ? Et bien j’ai une trop grosse bite et quand je suis en érection, je n’arrive plus à débander, même si j’éjacule et il faut que je me branle plusieurs fois de suite, voilà ! Les filles me repoussent de peur que je ne les fasse souffrir !
- Un trop gros sexe cela n’existe pas voyons, tu me fais voir, je te dirai !
Sans hésiter, Damien déboutonne son pantalon et sort avec difficulté son énorme verge à moitié bandée, la taille de son engin est déjà peu courante mais son diamètre est phénoménal, plus de six centimètres d’épaisseur.
J’ai les yeux hors de la tête, devant moi se dresse un pal de chair d’une dimension exceptionnelle. Vu de près, c’est beaucoup plus impressionnant que dans la pénombre de sa chambre.
- Mon dieu frérot, tu es monté comme un âne ! C’est monstrueux, ça ne te gène pas un tel appendice ?
Damien me regarde furieux et je le vois se saisir de son sexe et se masturber.
-Toi aussi, tu me traites d’âne ! Comme tu viens de le dire, tu me considères comme un monstre !
Ce que je vois est irréel. Sous ses mains, Damien a une trique énorme, je n’ai jamais vu un tel engin et pourtant j’en ai connu dans tous mes trous mais jamais de cette taille, ma main est entre mes cuisses et caresse ma moule juteuse d’envie, Damien se pogne lentement.
- Tu m’as fait bander toute la journée, j’ai bien vu ton manège à me montrer ta minette ou tes nibards à tout bout de champs !
- Tu bandes pour moi ?
- Oui et depuis longtemps, j’aurais bien voulu te le dire mais j’avais peur que tu me repousses!
- Tu aimerais que je te caresse pour que tu ais moins mal!
- Oh oui ! Tu veux bien faire ça, je ne te dégoûte pas ?
- Tu peux me faire ce que tu veux mon chéri, je suis ta femelle, je suis ta chatte, ton vide couille, laisse-moi te montrer comme je t’aime ! Et tu ais très bien que tu n’es pas mon vrai frère, alors ?...
- Montre-moi, tu voudrais que je te prenne avec mon engin?
- Oh que oui et le plus tôt possible !
Je le branle, j’ai besoin des deux mains et quand je le prends dans ma bouche, je suis obligée de distendre ma mâchoire pour y faire entrer ce gland énorme.
- Lèche-moi la chatte mon amour, caresse-moi les seins, met tes doigts dans ma vulve et prépare-moi bien pour ta magnifique bite, je te veux dans ma chatte, fais-moi ce que tu voudras, je veux te sentir en moi !
Damien fait ce que je lui demande, il lèche ma chatte, caresse mon clitoris et enfonce ses doigts dans mon vagin trempé de mouille.
Je le prends par le bras et l'emmène vite dans ma chambre, le pousse sur mon lit et là, j'empoigne le gros vit « fraternel » d'une main, il est tellement gros, que mes doigts ne peuvent pas en faire le tour.
Je n'ai jamais vu un aussi gros sexe, si long, je ris nerveusement en le secouant dans tous les sens. Le gros gland mafflu tape sourdement au dessus du nombril.
Damien proteste, je ne peux plus reculer, j'ai trop envie de Damien et de sa grosse bite, tant pis pour « l'inceste ». Je commence une lente masturbation.
Damien rejette sa tête en arrière en gémissant de plaisir, il se soumet à mes désirs.
Bientôt ma bouche a envie de goûter sa belle queue et c'est les lèvres distendues que j'engouffre l'énorme pieu de chair chaude et frémissante.
Je commence par le pomper doucement, comme pour le goûter puis j'accélère la cadence, telle une vraie salope, bientôt encouragé par Damien qui me dit entre deux plaintes.
- Oh oui Aude, c'est bon continue… oui tu suces bien….. aaahh !
Pendant cinq minutes, je fais la plus formidable fellation de ma vie. Je sens aux contractions de sa hampe, qu'il est sur le point de jouir. Je continue de plus belle, en lui malaxant sa grosse paire de couilles.
Il crie mon prénom, pendant que surprise, je reçois au fond de ma gorge son éjaculation puissante et abondante, il y a une telle quantité que je m'étouffe mais ne voulant pas que ça finisse, je continue à le sucer, avalant au fur et à mesure son flot de semence.
Il me repousse, sortant son gourdin toujours aussi raide de ma bouche avide. Je le supplie :
- Viens, viens t’enfoncer dans mon coquillage, défonce-moi avec ton gros pieu !
Je me place à califourchon, prends son sexe, me le passe plusieurs fois sur ma choupinette dégoulinante de cyprine.
De mes mains, j'écarte mes lèvres intimes et m'empale non sans difficultés, mais après quelques contorsions, le plaisir l’emporte sur la douleur, je m’empale de tout mon poids sur l'énorme bite de mon petit frère chéri. Je suis une jeune fille de nouveau vierge sous l’assaut de sa barre de fer.
Et là, quelles sensations exquises, je n'ai jamais ressentie cela, était-ce la grosseur de la queue, ou l'interdit de l'inceste ?
La hampe de son engin distend tellement ma fente que je crie de douleur, Damien est en train de m’exploser le vagin. Je souffle très fort et tente de me détendre, il me prend par les hanches et s’enfonce en moi en donnant de grands coups de reins, dévastant les muqueuses du vagin et se dépucelant une deuxième fois avec moi.
Un cri horrible sort de ma bouche quand il frappe violemment le fond de ma grotte, je viens de me faire exploser la chatte et cette fois-ci c’est sûr, plus aucun endroit de mon sexe n’est vierge.
- Attend ! Damien mon amour… attend, j’ai trop mal, laisse moi m’habituer à ta bite, tu es trop gros, tu viens de me dépuceler pour toujours, après ça n’importe quoi rentrera dans ma chatte.
Il me baise si bien que je perds la tête en m'empalant de plus en plus loin, de plus en plus fort, de plus en plus vite mais je ne peux tout accueillir en moi, il est trop long.
Il me laboure de longues minutes comme une charrue dans un champ, je suis sa terre, il est mon soc.
Je sens ses puissantes giclées de foutre inonder le fond de mon fourreau distendu, pendant qu’il m'embrasse fougueusement.
On reste un long moment immobile intimement liés.
Cette nuit là, j'ai profité de la grosse queue de Damien dans toutes les positions, entrecoupées par de courtes pauses, pour récupérer un peu.
Je n’ai pourtant pas eu le courage de me faire enculer par un tel vit comme ma belle-mère, j’ai trop peur de souffrir atrocement vu ses dimensions hors-normes.
Nous étions si concentrés sur notre copulation que nous n’avons pas entendu Jeanne rentrer et elle nous a pris sur le fait.
-Oh ! Quelle horreur, vous n’avez pas honte, faire ça entre frère et sœur !
Je lui rétorque sans réfléchir du tac au tac.
-Ce n’est pas mon vrai frère et c’est pas pire qu’entre toit et lui !
Surprise et horrifiée que je connaisse son secret, elle s’enfuit de la chambre.
-Eh oui Damien, je vous ai épié hier et quand j’ai vu ton formidable chibre, j’ai tout fait aujourd’hui pour en avoir ma part !
- Damien, mon amour, je t’aime, tu es le meilleur de tous, demain tu nous baiseras toutes les deux, tu pourras prendre ton pied autant que tu voudras et s’il on ne te suffit pas je ferais venir une copine mon étalon adoré ! Maintenant prend-moi vite encore une fois !
A suivre….
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