Lèvres Bouche Langue

Cette histoire a été écrite lors des premiers semaines de relation avec une belle femme rencontrée sur un site connu de couples infidèles. Nous venions tous deux de nous séparer. Elle a été écrite en temps réel comme un dialogue, ce qui est assez rare. Publication pour la mémoire de nos âmes.

Proposée le 19/11/2020 par obiwanyop

Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Autres lieux publics
Type: Histoire vraie

LBL Lèvres Bouche Langue

Chapitre 1

Bonjour TRÈS cher Docteur
Il est un monde où le désir à l'âge dit de la maturité tend à s exprimer.
Il se rêve, s'imagine puis s'exprime..... Le désir peut être varie, solitaire, partage, hétéro, homo, il est variant en intensité, pour une ou plusieurs personnes
Très cher docteur, je dois......

Très chère Madame Watson
Je suggère que nous gardions nos discussions en préambule de cet écrit a quatre mains... LBL s'écrira sans doute sous nos yeux ébahis, mais je vous en prie continuez, vous étiez sur le point d'avouer...

Je dois vous faire part de ses désirs qui encensent mes pensées.....peut être aurez vous la sagesse ou l'ivresse de les partager avec moi... .

Oui j'ai la sagesse de les partager car je devine votre puissance narrative... et oui aussi à l'ivresse de nos mots partagés et à celle de nos folles étreintes....faites moi part de vos désirs, je suis sur qu'à leur tour ils encenseront mes pensées et qu'ils se réaliseront...

Très cher docteur l'idée de sentir éclore en moi les mots vous décrivant ces désirs.....c'est comme un baiser au coin des commissures des lèvres.... Les prémices d'un plaisir à venir....
Je vous imagine buvant mes mots, il sont doux, chauds intenses, glissent avec chaleur le long de votre langue, dans votre gorge....pour exploser dans le bas de votre ventre.....

MON très cher Docteur, vous me connaissez, femme respectable, mère de famille, dont la personnalité dégage la sagesse...pensez-vous cher Docteur qu il soit concevable que cette femme puisse bouillonner de désirs. De fantasmes ?

Je sens déjà mon esprit séduit par ses idées... Je me revois dans ce ce supermarché, faisant les courses pour la famille, concentrée sur ma liste virtuelle. Mon regard balayant les rayons, en quête de la fleur d'oranger pour un dessert libanais.. Elle était la, fière, dominant les rayons, à quelques centimètres de ma main tendue, mes pieds sur pointe...je sentais presque mes ongles caresser la bouteille.... juste quelques millimètres....."puis-je vous aider? ".... Quelle était donc cette voix masculine qui pénétrait mes oreilles, je sentais sa présence dans ma sphère d'intimité,.. Le souffle de sa voix venait telle la houle, rouler contre ma nuque....son bras effleurant le mien, visiblement doté des quelques millimètres qui me manquaient...sa vibration de voix douce et masculine résonnait dans tout mon corps.... Je ressentais sa testostérone, tel un champ magnétique, attirant ma sensibilité féminine....

OH, Docteur, j en rougis encore, je sens encore l'excitation de la situation enorgueillir mes tétons..fiers, pointant, mon chemisier fluide laissait transparaître mes émotions...
Je me souviens de son regard lorsqu'il a croise le mien. Ses yeux, des scanners lecteur de mes pensées coquines qui lui faisaient me répondre par un tel sourire charmeur.... d'un battement de cils, je baissais les yeux en balbutiant un remerciement. Je le sentis alors se rapprocher, je sentais la chaleur de ses mots contre mon lobe... " vos seins m'honorent, je les remercie"... je sentis mon sang bouillonner, mes joues rougir d'avantage, et l'inspiration que je pris était bloquée...
Il s'éloigna d un pas assuré, ses jolies fesses étaient aussi charmeuses que son regard...
Je me réinitialise à mes courses l'esprit fortement émoustillé par cette scène aussi intense qu'improbable. J'arrivais devant ma voiture, le changement d'heure d'hiver nous offrant l'obscurité d'après 18 heures. Le parking était peu rempli, et la fraîcheur du soir était au rendez vous...
Docteur vous souvenez vous.? ...c'était notre premier rencontre

Je m en souviens comme si c'était hier, et je suis heureux d'avoir osé vous effleurer le bras et d'avoir eu l'audace de vous déclamer la beauté de votre poitrine...
Un certain culot dont je n'aurais été capable il y a quelques années... Il faut croire que certains êtres ne se rencontrent qu'au seul moment où la Providence l'a décidée.
C'est vrai qu'il faisait froid ce soir là, un début d'automne frais et pluvieux.. J'avais le parfum de vos longs cheveux bruns effleurés en mémoire, mais surtout votre chemisier qui laissait entrevoir vos magnifiques seins... Votre galbe m'a immédiatement décidé... l'eau de fleur d'oranger a fait le reste...

Vous avez effectivement joué la carte de l'audace, en posant au tapis votre atout galanterie. Ce sac de courses était effectivement remplie et donnait quelques résistances à mes bras..." Puis je vous aidez à nouveau ?"...vos mots accompagnaient vos gestes et rapidement votre main était contre la mienne, saisissant l'anse afin de porter le sac dans mon coffre. Surprise, encore troublée, je découvrais l'intimité d'un coffre ouvert dans l’obscurité. Vous étiez là, élégant, votre chemise ouverte d'un bouton, suggérant un torse que je devinais à baisers. Je découvrais vos courbes de mon regard glissant sur vous et remontant lentement vers votre visage. Vos lèvres cher Docteur, au milieu de votre barbe soigneusement taillée attiraient mon attention. Attiraient mon attention ou bien éveillaient en moi ce désir d'y goûter pour savourer un baiser. Je remontais mon visage et réussi à articuler " Merci"....mes yeux timides étaient remontés dans les votre....tellement pétillants, intenses.....j'avais l'impression que vous lisiez en moi, que vous lisiez mes désirs... A cet instant, votre main relâcha l'anse et je sentis la douceur de cette main contre la mienne.....Mon cerveau s'évadait, j'imaginais cette caresse remontée le long de mon bras descendre le long de mon cou et glisser sur mon chemisier ... effleurant mes seins....Mon corps frissonna à cette image et échappa un discret soupir aspiré.....Votre sourire et l'écho à mon soupir confirma l’intensité du moment....Vous avez approché votre visage, je sentais à peine vos cheveux bouger contre les miens je sentais cette force incroyable, nos cellules à désirs étaient sous l'effet de ce formidable aimant à Vous.....votre main glissa dans le bas de mon dos, et remonta lentement le long de mon échine. Ce frisson semblable à un courant électrique conduisait mes électrons à désir à mon cerveau ...Certainement ce trop fort voltage étaient la cause de cette surtension émotionnelle. Votre bouche, cher Docteur, tel un avion en approche d’atterrissage ajusté sa positon pour un contact réussi. Votre main glissa dans mes cheveux, avec douceur et intensité et je les sentis se poser....Quelle étreinte, quel divin plaisir, je sentais la douceur et la chaleur de vos lèvres si gourmandes ...mon corps exploser de désir et le plaisir de ce baiser m'était jusqu'alors inconnu....vous avez relâché le baiser avant d'y revenir avec plus de gourmandise, ouvrant à peine vos lèvres, je sentais votre langue se présenter avec votre galanterie caressant mes lèvres, quelle douceur, quelle sensualité dans vos mouvements lents, doux, humides et chauds .... ma langue accepta cette invitation à la valse de ce plaisir de découverte ...Mes mains glissèrent le long de vos bras, jusqu’à vos épaules... Vos bras m’enlaçaient avec cette force virile et la douceur de l'étreinte. Je sentais mes seins se durcir sous le plaisir ces baisers passionnés. Mon cerveau était uniquement câblé sur le circuit à ressenti, le réseau "raison" étant en black-out momentané. Vivre cet instant, laisser nos corps se connecter pour partager et unir ce désir nous habitant.... Je sentais cette enveloppe charnelle nous envelopper, nous affranchissant des dimensions temps et espace. Votre main saisit mes cheveux, votre bouche se rapprocha de mon oreille et glissa sa farandole de Numéro téléphonique...." A bientôt, j’espère".
Je restais encore accroché a cet instant, vous aviez disparu, j’étais une autre femme, une femme qui avait goûté à un autre homme qui l'avait désiré comme elle n'avait jamais encore ressenti un tel désir. Je n'étais donc pas morte de l'intérieur, les circuits, mes fusibles à émotions tout était fonctionnel, seul l'allumage n'avait pas été activé depuis longtemps.

Le bonjour chère Mme Watson,
je trouve cette façon d'écrire à deux absolument géniale,
Si tu as bien copié l'adresse je te laisse effacer le texte au dessus et peut être commencer à écrire un début d'histoire...je suis excité à la façon dont cela va se dérouler et ce que nous allons en faire... je t'embrasse à très bientôt ici ou ailleurs !

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Commentaires de l'histoire :

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