Qui l'eut cru

Moi me retrouver avec une collègue que je déteste. Non, impossible...

Proposée le 20/07/2015 par Chewy.douze

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Thème: Vengeance
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Histoire vraie

Je m’appelle Stephane, 38 ans et deux enfants.
Le récit qui suit m’aurait semblé impossible il y a quelques mois.

Je travaille dans un cabinet de courtage en back office. J’ai pour habitude de travailler tard n’étant pas franchement du matin.
Nous sommes une équipe de 8 personnes.
Dans cette équipe, Corinne, mariée, 42 ans, un enfant. Pour vous la dépeindre en essayant de rester correcte.
Je ne la supporte que très peu. Elle se veut bobo parisienne à mort. Aimerait bien être bcbg et pète beaucoup plus haut qu’elle n’a le cul. Elle s’amuse à nous expliquer que son mari ne regarde que les émissions politiques et qu’elle a pris une grande résolution, ne plus boire que du très bon vin.
Si seulement elle était belle. Même pas, moi qui aime les femmes avec des formes généreuses pour peu qu’elles aient du charme et de la malice dans les yeux, elle n’a de ça que les formes généreuses.

Nous sommes une équipe qui parle beaucoup de cul. Tout le monde se lâche régulièrement, le midi, à la pause-café… On voit bien qu’elle aimerait elle aussi aller sur ce terrain pour nous prouver qu’elle n’est pas si coincée que ça. Mais on sent bien que c’est forcé.

Alors qu’elle se croyait seule dans les bureaux un soir, elle sursaute à me voir au niveau de la photocopieuse. Ma seule réaction est de lui dire :
« Te croyant seule, heureusement que tu ne t’es pas mise nue pour bosser à l’aise »

Sur cette blague, pas complètement pourrie mais loin d’être très drôle, elle éclate de rire à ne pas s’en remettre. J’ai l’impression d’avoir fait la blague du siècle.
Une semaine après, rebelote nous voilà tous les deux. Que fait-elle ? Elle me parle de ma super blague d’il y a 10 jours.
5 minutes après me rappelle dans son bureau. Sympa je viens et là elle me dit :
- Tu vois je ne suis pas nue à mon bureau.
- Bah oui encore heureux
Et elle embraye sur une conversation surréaliste.
- Que tu me dises que je pouvais oser travailler nue m’a rappelé qu’il n’y a pas si longtemps avec mon mari on est partis en week-end en amoureux. Bah j’avais fait une commande de jouets pour qu’on s’amuse un peu.
Mais pourquoi elle me raconte ça cette gourde ?
- Bah oui je sais ce que vous pensez mais on sait s’amuser.
- J’en doute pas Corinne, tu sais nous on aime surtout charrier les gens et blaguer.
- Oui mais j’ai peut-être l’air coincée mais depuis mes 20 ans, mes mecs réguliers m’ont toujours dit que j’étais une très bonne suceuse.
Oh là, ça dérape complet là qu’est-ce qu’elle me fait ?
- Je suppose que tu aimes ça te faire sucer Steph ?
- Bah euh oui bien sûr, j’aime ça mais…
- Eh bah moi j’aime sucer donc forcément vu que j’adore ça, je le fais bien. Tu veux que je te montre comment je suce ?
- Bah pourquoi pas ?
Qu’est-ce qui me prends, je deviens taré ou quoi ?
A peine répondu qu’elle rapproche sa chaise de bureau vers moi et s’attaque à ma ceinture.
Je me recule.
- Arrête Corinne, je n’aurais pas dû dire ça
- Allez laisse-toi faire je vais te tailler une pipe royale.
- Non c’est bon
- Je vais te bouffer la queue comme jamais on te la bouffé.
Je ne m’attendais pas à entendre Corinne me parler comme ça. Ça m’a troublé et d’un coup je me suis rendu compte que j’avais envie qu’elle me suce la bite.

Ne voyant plus de résistance elle a repris l’assaut de ma braguette. Le temps que je réfléchisse à tout ça, me voilà le pantalon et caleçon sur les chevilles.
Corinne prend ma queue à pleine main et colle son nez dessous. Je la vois qui me renifle la bite à pleins poumons.
D’abord la base, elle remonte et renifle mon gland, me colle le nez sous les couilles et pareil, renifle tout ce qu’elle peut.
- Hum ça sent bon une bite, j’adore. Et la tienne sent vraiment très bon.
Elle me dit ça les yeux plantés dans les miens en commençant à me branler.
Elle regarde ma queue et se passe la langue sur les lèvres comme pour se préparer à savourer.
D’abord elle lèche, de haut en bas, le gland les couilles, sous les couilles, remonte redescend.
Quand elle estime avoir léché tout ce qi est possible elle se décide à suçoter mon gland. Un vrai aspirateur cette nana. Ce n’est qu’après 5 bonnes minutes de ce traitement qu’elle se décide enfin à me gober la bite.
De haut en bas et sans en perdre un centimètre.
Je commence à pousser des râles.
- Alors, elle te plait la pipe de la coincée ?
- Oui je reconnais que tu sais sucer une queue toi.
- Faut dire qu’elle est bonne ta queue.
A ça, elle tire la langue et se la bifle avec ma bite tout en me regardant.
Elle me branle et plonge vers mes couilles. Elle les gode une par une, putain ce que c’est bon.
- Tu es rasé de la bite et des couilles c’est un appel pour les bouffer ça.
- Oui vas-y bouffe les.
Je n’aurai jamais cru dire ça mais putain c’est vrai qu’elle suce super bien cette conne.
Et voilà que je sens un doigt se faufiler dans ma raie.
Hum, une petite olive, j’adore.
J’écarte plus les jambes pour lui montrer qu’elle a le feu vert complet de ce côté-là.
- Hum petit cochon, on donne libre accès à sa petite étoile. Tiens gobe moi ça.
Et voilà, Corinne que je ne supporte pas, est en train de me sucer en me mettant un doigt dans le cul. Et j’adore ça.

Elle se relève d’un coup, me pousse sur le bureau.
- Mets-toi sur le dos petit cochon et relève tes jambes.

Et vas-y qu’elle me passe la langue entre les couilles et l’anus tout en me branlant. C’est divin.
- Tu aimes te faire bouffer le cul petit salaud ?
- Oui vas-y j’aime ça, bouffe moi le cul.
- Hum j’adore bouffer les petits culs des machos dans ton genre.

Sa langue me fouille, j’adore et elle me branle bien serré.
Ah je vais exploser.
- Tu me préviens quand tu éjacules, je veux te goûter.
- Ok
Ça augmente encore mon plaisir qu’elle soit si cru.
Deux minutes après l’avertissement je suis obligé de la prévenir, j’explose. Le temps qu’elle remonte elle rate la première giclée qui s’échappe sur le bureau avec force.
Je prends les choses en main et me branle dans sa bouche pour me finir. La salope avale tout.
Quel bonheur.

Je mets du temps à me remettre de mes émotions. Quelle suceuse.
- Vu l’éjaculation je ne te demande pas si c’était bon petit pervers.
- J’avoue que tu es une sacrée suceuse. Quelle pipe.
Alors qu’elle s’essuie la bouche, elle s’approche de moi et me dit à l’oreille :
- On peut recommencer quand tu veux mon cher, mais la prochaine fois, en plus il faudra que tu me baises.

D’un coup je me suis dit, tient effectivement qu’il y ait une prochaine fois ce n’est pas con !
Qui l’eut cru….

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