Basma, réservée et réfractaire réalise son deuxième trio HHF dans un club.

Basma va continuer de faire confiance à son conjoint Stephen pour vivre sa deuxième expérience libertine. Direction le Bambou club à Lyon, un dimanche soir de mai 2001. La soirée pour couple jusqu’à 22h00 devient mixte et les hommes seuls débarquent.

Proposée le 9/11/2020 par stephen2

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Thème: Couple, passion
Personnages: FHH
Lieu: Sauna, club, sexe shop
Type: Histoire vraie

Basma était chez ces parents pour le weekend à Saint-Alban-du-Rhône, à 50 kilomètres à peu près de Lyon. Stephen était resté à Lyon.

Il l’appelle vers 18h30 en lui proposant d’aller la chercher puis de la ramener après une soirée libertine. Comme à l’accoutumée Basma souffle et refuse, Stephen lui demande de faire un effort, il essaye de la motiver en lui disant qu’ils dineront sur place, qu’elle n’aura pas à se mettre nue puisque le club est de type discothèque habillée. Elle finit par acceptée. Stephen lui demande enfin de préférer le port d’une robe ou d’une jupe.


Il est 20h00 quand Stephen l’aperçoit au loin, sur le bord de la route. Comment ce sera-t-elle habillée ? Il est une fois de plus subjugué par la beauté de Basma. En effet, et c’est peut-être le moment de donner une chance au lecteur de se faire une idée plus précise de son physique.
Dans la première histoire de Basma, nous évoquions qu’elle était une femme de 33 ans d’origine tunisienne, qu’elle possédait le physique harmonieux d’une hôtesse de l’air, 1m67, et que son corps était galbé à souhait. Il faudrait que le lecteur imagine l’actrice porno Yasmine Lafitte en un peu plus dodue, mais guère plus, avec un carré plongeant, les mêmes seins généreux et fermes, les jambes extrêmement bien dessinées et se terminant sur des chevilles minces et de jolies pieds de taille 37.


C’est ce physique drapé d’une robe noire que Stephen aperçoit au loin. Pour une femme pudique, elle est surprenante. La robe est courte, elle lui arrive à mi cuisses, les épaules sont dénudées. Elle porte enfin des chaussures de type tropéziennes. Elle grimpe dans la voiture.
« tu as mis un culotte ? »
« t’es chiant, qu’est-ce qu’on va faire encore ? Je te préviens je ne fais rien, tu fais ce que tu veux mais moi je ne fais rien »
« et un soutien-gorge, tu en as un ou pas ? ». Sans attendre la réponse puisqu’il était évident qu’elle n’en portait pas, Stephen fait demi-tour, direction Lyon.


Ils se garent juste à côté de l’église Saint-Georges, sur les quais de Saône. Le club est à 100 mètres, il est 20h30.


« Bonsoir, c’est la première fois que vous venez ? » « oui » « Alors vous savez que ce soir c’est une soirée couple avec buffet jusqu’à 21h30 puis le club devient mixte à partir de cette heure-là » « bien bien, d’accord » « venez, je vous fais faire un petit tour et je vous présente ».
Le bar est à droite en rentrant, puis au bout de ce dernier, un encadrement de porte permet d’accéder à un long couloir situé à droite d’alcôves dont l’une comporte des vitres fumées, la suivante est une pièce sans porte avec un grand matelas. Après deux marches c’est une suite de petites alcôves fermées. Les deux dernières sont face à face, l’une est une petite pièce noire occultée par des portes saloon et l’autre ressemble à un placard étroit donnant sur des trous de vingt centimètres de diamètres donnant sur le couloir. Basma est souriante, paisible. L’hôte convie le couple à descendre au sous-sol par un escalier en pierre, étroit en forme de L.


Il y a une dizaine de couples tous plus âgés. Ils sont souriants et aucun ne viendra envahir l’espace intime de Basma et Stephen. Tout est très très sage, aucune exhibition ni quoi que ce soit de qui que ce soit, Stephen s’inquiète, les minutes sont longues jusqu’à 22h00 où l’hôte annonce à voix haute que la soirée devient mixte.

En l’espace d’une demi-heure le club est envahi d’une quinzaine d’hommes seuls. Il y a du mouvement. Les gens circulent à vous en donner le tournis. Bien évidemment Basma et Stephen se mettent à circuler à leur tour. Il y a beaucoup de regards mais les personnes présentes se comportent bien, aucun ne vient envahir l’espace intime du couple. Beaucoup de mouvement et peu d’action. Stephen commence à regretter de ne pas être allé dans un sauna…


Il prend l’initiative au bout d’un moment de pimenter un peu la soirée. En haut de l’escalier en pierre, juste à gauche, il y a un petit recoin avec un petit banc recouvert de sky rouge, une seule personne peut s’y tenir, il s’y assoit et tire Basma par le bras afin qu’elle se place en face de lui, debout. Là, il la prend par la taille, lui caresse le haut des fesses à travers sa robe, il lui embrasse le ventre, il descend ses mains le long de ses jambes et remonte par les mollets pour s’arrêter furtivement aux genoux, puis dans un geste aussi rapide que précis, ses deux mains passent sous la robe de Basma, agrippent sa culotte et la baisse aux chevilles. Elle n’a plus d’autre choix que de lever une jambe après l’autre afin que Stephen range cette culotte dans sa poche. La voilà entièrement nue sous sa robe à présent.


A ce moment il lui dit, « fait moi plaisir, balade toi un peu toute seule dans le club, je te regarde de loin ». Oh elle ne sera pas aller bien loin, après être allée au bout du couloir, elle revient sur ses pas et s’engouffre dans la fameuse alcôve sans porte. Stephen attend, il tient à la laisser seule, tranquille. Alors il compte dans sa tête, jusqu’à cinquante. Il se dit que ce n’est pas assez, il compte à nouveau jusqu’à cent cette fois tout en ne perdant pas des yeux l’entrée de l’alcôve. Il se dit que si quelque chose se passe il lui aura laissé le temps, puis il ne voudrait pas qu’elle ressorte en tardant trop.


Dès l’encadrement de la porte il aperçoit un groupe de personnes qui se tiennent debout sagement tout en regardant droit devant eux. Basma est au milieu de ce petit groupe d’environ six personnes essentiellement composées d’hommes seuls. Il se dit qu’elle est bien courageuse. Dès qu’il s’avance un peu il voit l’objet des attentions. Une femme seule d’une cinquantaine d’année est en compagnie de trois hommes, elle est à moitié nue, les hommes quant à eux sont disparates, certain sont torses nu, d’autres ont conservé leur chemise ou tee shirt, il remarque que beaucoup sont en chaussettes. Cette scène ne lui fait aucun effet voire même le rebute un peu. Mais l’essentiel pour lui est que Basma soit présente et qu’elle puisse assouvir sa curiosité. Il s’approche pour la rejoindre bien que rien ne puisse laisser supposer qu’ils étaient en couple à ce stade, d’ailleurs elle est entourée d’un groupe d’hommes qui ne l’importunent pas mais qui visiblement tiennent à cette promiscuité puisque Stephen ne peut tout simplement pas l’approcher. Elle le regarde furtivement un peu gênée mais il lui fait comprendre discrètement qu’il n’y a pas de problèmes et qu’elle peut rester où elle est. Stephen fait semblant de regarder en direction du matelas où ce gangbang s’affaire mais il ne cesse en réalité de regarder Basma et son environnement immédiat du coin de l’œil. Elle est totalement absorbée par le gangbang, à ce stade il y a eu pénétration et la femme suce les types à tour de rôle.


Soudainement, il voit Basma visiblement prendre appui sur sa jambe droite, puis sa jambe gauche, elle a l’air agitée, elle regarde furtivement Stephen qui fronce les sourcils, lui fait les gros yeux et hoche la tête pour lui dire de ne pas bouger et regarder devant elle. Il recule un peu pour essayer de voir ce qui se passe.
D’accord, il comprend, l’homme situé juste derrière elle a mis sa main gauche totalement ouverte, sur la robe de Basma au niveau de la raie de ses fesses et il lui presse ces dernières tout en réalisant un mouvement circulaire. Il est d’une discrétion impressionnante, personne ne s’est aperçu, pour l’instant, de ce qu’il entreprend. Stephen est sous le choc et ne sait quoi faire, il appréhende que Basma mette un terme à ce moment alors il se tient à carreau, il se contente de regarder et de se caresser la queue à travers la poche de son pantalon. Que peut-elle bien ressentir ? Stephen n’en croit pas ses yeux, le type ouvre son pantalon de sa main droite sans lâcher les fesses de Basma et très rapidement il se met à se branler avec sa main droite, ça y est, les types qui étaient à côté se sont rendus compte qu’il se passait quelque chose. Le type à sa droite se tourne vers elle et porte sa main sur la poitrine de Basma. Tout va de plus en plus vite, Basma perd quelques centimètres de hauteur, ceci tout simplement parce qu’à présent le type de derrière à mis sa main sous la robe de Basma et qu’il est forcé qu’elle a dû écarter les jambes. Le type à sa droite a probablement dû à son tour passer sa main sous la robe de Basma mais devant pour la doigter vu la position qu’il prend et les mouvements de son bras que l’on discerne. Elle est figée, ils commencent à la faire avancer vers le matelas, Stephen voit les épaules de Basma résister en faisant un mouvement antagoniste vers l’arrière. Soudainement un jeune homme d’environ 25 ans rentre dans la pièce, Basma se tourne en direction de Stephen mais c’est bien le jeune homme le jeune homme qu’elle regarde, puis son regard se poursuit jusqu’à Stephen. Elle lui fait signe des yeux et de la tête qu’elle n’ira pas plus loin et se dégage de ses jougs tout en se dirigeant les yeux hagards et essoufflée dans le couloir jouxtant la pièce. Stephen lui emboite le pas ainsi que le jeune homme, les trois se regardent, Stephen comprend qu’elle serait d’accord pour s’enfermer avec lui dans une alcôve loin de ses « tortionnaires », il accélère le pas et dis « viens » à Basma en passant devant elle. Elle le suit, Stephen se retourne et croise le regard du jeune homme. Il lui fait un signe de la main pour lui dire de venir et tous les trois s’engouffrent dans l’alcôve, Stephen ferme la porte derrière eux, ils soufflent.


Stephen s’approche Basma et prend sa tête dans ses mains, il la couvre de tendres baisers et lui chuchote « t’es géniales, ça va, on se calme maintenant, ça t’a plu ? » Elle ne répond pas mais lui sourit. Il se place à sa droite, elle a le dos contre le mur face au matelas typique de ce genre d’endroit. Il la caresse au travers de sa robe, le ventre, les seins, le pubis. L’homme regarde Stephen qui lui donne l’autorisation de toucher Basma, il se tient à la gauche de cette dernière et lui caresse son côté gauche comme Stephen s’occupe de son côté droit. Ce dernier la fait avancer un peu et baisse la fermeture éclair de sa robe qui descend quasiment toute seule à ses pieds, Stephen se baisse pour la ramasser et l’accrocher au porte-manteau. Basma n’a plus que ses chaussures au pieds, elle est totalement nue devant ces deux hommes. Stephen prend l’initiative de se déshabiller, le jeune homme l’imite. Tous les trois sont nus à présent et les deux hommes reprennent leurs caresses, le jeune homme a une érection parfaite. Stephen fait un signe de la tête à Basma pour qu’elle lui caresse la queue, elle s’exécute. Elle a une queue dans chaque main à présent, pendant que les deux hommes varient les caresses. Stephen glisse sa main entre les jambes de Basma et découvre avec stupeur qu’elle est trempée comme elle ne l’a jamais été auparavant.


Stephen va s’allonger sur le dos sur le matelas et fait signe au jeune homme de faire de même. Ils sont tous les deux allongés côte à côte espacés d’un mètre environ, tous les deux se masturbent. Stephen fait signe à Basma d’approcher et de sa propre initiative vient se placer à genoux, jambes serrées, fesse sur les talons, entre les deux hommes. Elle prend une queue dans chaque main et les masturbe. Au bout d’un moment Stephen lui dit « suce-le ». Sans rechigner, elle se tourne vers le jeune homme et se met à le sucer sans préservatif tout en lui massant les testicules.


Stephen se met à son tour à genoux et déplace Basma de façon à ce qu’elle soit en levrette, il peut ainsi la caresser à deux mains, les seins, le dos, la vulve toujours trempée. Basma continue de sucer le jeune homme qui parfois lui prend la tête afin de la retenir. Stephen craignant qu’il jouisse décide de venir se placer devant Basma pour remplacer le jeune homme et il lui dit, « mets un préservatif ». C’est quelques mots auront suffi pour qu’il comprenne et en l’espace d’à peine une minute, le voilà derrière Basma pour la pénétrer. L’accélération de la respiration de cette dernière est immédiate, plus il la baise, plus elle suce voluptueusement Stephen. Puis elle arrête, elle place sa tête dans ses avant-bras devant elle. Elle est dans le moment, elle accompagne les coups de boutoir du jeune homme, quand il est rentré à fond, elle ondule son bassin pour bien sentir sa queue. Stephen s’approche pour embrasser Basma, elle lui dit « je le sens pas trop ».


Stephen fait signe au jeune homme de se retourner, Basma en profite pour se mettre sur le dos et dit à Stephen « viens ». Stephen s’exécute et la prend en missionnaire. Le jeune homme est à présent allongée à droite de Basma et se masturbe devant son visage. Elle se concentre, elle gémit. Trouvant la situation un peu injuste, Stephen dit à Basma « suce-le », elle ouvre les yeux, redresse la tête, elle vois qu’il est à côté en train de se branler, elle porte sa main droite sur sa queue et l’avale tout en tenant ses testicules, qu’elle malaxe, dans sa main. Stephen demande au jeune homme si c’est bon « oui oui je ne vais pas tarder à jouir », Stephen accélère les mouvements et demande à Basma « et toi ça va viens » « humm hummm » fait Basma en hochant la tête pour dire oui. Le jeune homme jouit et le dis « ah putain c’est bon je jouis ah », Basma arrête sa fellation, pose ses deux mains sur les fesses de Stephen pour accompagner les coups de boutoir, elle rampe les doigts de sa main droite et particulièrement son majeur jusqu’à l’anus de Stephen qu’elle pénètre et quelques seconde se met à jouir à son tour « oui,oui, je jouis, oui oui oui je jouiiiiiis », Stephen jouit également « hummm hummm oh putain c’est bonnnnnn ».


Comme à l’accoutumée, ils sont pressés de partir à présent. La soirée n’était pas terminée, il fallait ramener Basma puis revenir sur Lyon… Le lendemain, Stephen n’entendait pas le réveil, il avait raté un rendez-vous important avec des inspecteurs fiscaux dans le cadre d’un contrôle et sa voiture, qu’il avait eu la flemme de garer au garage, avait été enlevée par la fourrière. Mais il prenait malgré tous les choses du bon côté, tu m’étonnes…

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