Dans le cadre de son travail, un homme cherche à la séduire. Si elle se sent irrépressiblement attirée par lui, elle n'ose pas l'aborder. Alors, ce soir-là, elle décide de s'octroyer un plaisir solitaire en s'imaginant offrir une fellation à son amant imaginaire.
Proposée le 25/10/2020 par LexieStar
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme
Avec mon job, je suis amenée à croiser beaucoup de monde. Ceux qui sont de passage et que je ne reverrai pas. Et ceux qui deviennent des figures régulières.
Parmi elle, il est un homme qui travaille dans le même cercle que moi. Je le rencontre fréquemment lors de rendez-vous communs. Je sais qu'il cherche à me séduire, et au fond de moi, je suis ravie qu'il m'accorde de l'intérêt. Mais je ne suis pas fille à céder facilement.
Il n'est pas forcément très beau, mais il a quelque chose qui m'attire. Si je ne suis pas assez à l'aise à l'idée de l'aborder dans la réalité, je m'autorise de temps en temps, le soir, un plaisir solitaire en pensant à lui.
*
Je m'imagine le rencontrant dans une réunion commune.
A l'issue du rendez-vous, il m'entraîne dans son bureau verrouillé, à l'abri des regards...
Ses lèvres s'emparent des miennes. Qu'il est bon de s'octroyer en rêves ce que l'on se refuse dans la réalité.
Ce soir-là, je décide de me concentrer sur son seul et unique plaisir.
Je décroche mes lèvres de son sourire, tout en commençant à détacher sa ceinture de cuir.
J'embrasse son cou, je frôle son torse, je lui lance un regard ardent pour augmenter son désir, son empressement.
Mes genoux trouvent place sur le sol froid. Mes doigts ouvrent son pantalon, tandis que mes yeux sont toujours accrochés aux siens.
D'une main confiante, je sors son membre de l'étui qui l'emprisonne.
Il n'est pas encore tout à fait raide, mais il commence à trembler d'impatience.
Ma main s'autorise un aller-retour lent en englobant son gland, pour tâter son envie.
J'entends un souffle de plaisir échapper des lèvres de mon partenaire fictif.
A la caresse de mes mains, son membre se fait plus dur et un râle sonore me fait comprendre que ce que je lui prodigue est apprécié.
Mon visage s'approche alors de sa verge turgescente.
C'est ma langue qui lance la partie. Elle longe lentement les veines de ce membre offert. Arrivée à sa base, elle goûte l'un après l'autre les testicules gonflés en aspirant cette peau tant désirée.
Mon amant imaginaire devient encore plus pressé, tandis que ma main se balade sur son organe de chair et que sa respiration est de moins en moins franche.
En entendant ses gémissements marqués, mes lèvres se sentent hardies. Elles entourent le gland rougeâtre pour goûter l'objet de mon désir. Ma langue s'active sur le bout sensible de sa verge.
Ses mains, jusqu'alors absentes de ma rêverie solitaire, se pressent à l'arrière de mon crâne. Elles n'appuient pas encore dessus. Elles caressent juste mes cheveux dans un geste tendre.
Ma bouche glisse le long de la verge tendue. Une de mes mains en enserre la base.
Les mouvements que j'applique sont d'abord lents. Juste de quoi augmenter son désir.
Mais je commence moi aussi à m'emparer de cette fièvre érotique et accélère naturellement la cadence.
Ma bouche est de plus en plus empressée. Elle longe avec un appétit vorace cet organe qui a maintenant la raideur du bois.
Je sens pour la première fois ses mains exercer une pression sur mon crâne. Elles guident son sexe plus loin entre mes lèvres. Elles me condamnent à une première gorge profonde. La sensation ne m'est pas très agréable, mais puisqu'elle plaît à mon amant, je laisse faire.
Il commence alors à faire aller et venir son bassin dans ma bouche. De plus en plus rapidement, en laissant échapper de longs soupirs de ses lèvres.
Je sens qu'il est au bord de la rupture aux sons qu'il émet. Ses yeux sont fermés.
Je décide de reprendre les choses en main. J'enserre ses fesses pour l'obliger à stopper son mouvement régulier.
Il ouvre ses yeux brillants de plaisir et me regarde passionnément.
Je donne un coup de langue furtif sur son gland pour lui indiquer que je reprends, selon mes envies.
Ses mains sont toujours posées sur mon crâne.
Mes va-et-vient sur son sexe sont de nouveau lents, mais je sens que sa respiration s'accélère dangereusement. Alors, je décide de donner le coup de grâce. J'accélère le rythme peu à peu, puis tout d'un coup. Une envie irrépressible de le faire jouir, là, maintenant, tout de suite, s'empare de moi.
J'entends ses gémissements, longs et sonores. Je sens son sexe pulser dans ma bouche, chaud et humide. Puis un cri de satisfaction déchire mes songes.
Je le vois se cambrer sous le coup du plaisir. C'est à ce moment-là que je sens sa semence épaisse me tapisser la gorge.
J'essaie de l'avaler, tandis qu'il me livre encore quelques coups de butoir comme pour aller au bout de son plaisir.
Il se retire, pantelant.
*
Je convulse dans mes draps, une main appuyée sur mon clitoris qui frémit au fil de mes pensées. Ma bouche s'entrouvre, ma nuque s'élève. Un tremblement envahit tout mon être.
L'orgasme, venu de mon imagination, m'a dévastée.
Je viens de briser la barrière entre rêve et réalité.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.
Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.
Commentaires de l'histoire :
Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email