Cette histoire est d'une autre époque. Elle n'attaque ni les femmes ni les filles. Mais au début des années 80, elles se sentaient moins libres de disposer de leur corps. C'est à cette époque que je rencontrai cette fameuse Michelle, une brave dame d'un âge assez avancé. Mais surtout une femme qui ne connaissait pas les tabous de cette époque.
Proposée le 7/10/2020 par Antigonos
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie
Les années 70 qui suivaient Mai 68, avaient apporté une libération limitée de la femme. La mixité dans les écoles favorisait les échanges entre sexes, mais l’ennui s’installait vite dans les couples. Et comme souvent, les maris allaient voir les prostituées pour qu’elles leur accordent ce que les épouses refusaient.
Malgré le triomphe d’Emmanuelle au cinéma, les jeunes filles s’interdisaient certaines pratiques devenues courantes aujourd’hui. Ainsi la fellation, la sodomie et les cunnilingus étaient des actes répugnants indignes d’une honnête fille. Certaines refusaient même de faire l’amour en pleine lumière. Ce n’est qu’avec le sida que les mœurs évolueront vraiment.
Tout ça pour vous dire que les préservatifs ou autres, n’étaient pas d’usage et que la liberté était entière. Mais les filles étant comme je l’ai dit : « Honnêtes », refusaient beaucoup de choses.
Entre 79 et 81, je faisais une formation à Mulhouse. Le sida était apparu, mais lorsque je quitterais cette ville, les chercheurs découvriraient seulement que des hétérosexuels en étaient atteints. Ils penseraient alors que des gays les avaient contaminés. Et que ces derniers contaminaient à leur tour des filles saines.
L’affaire du sang contaminé, je le rappelle, n’apparaîtra que plus tard.
C’est donc pendant ce stage que je croisais régulièrement une femme en quittant mon stage. Elle rentrait du boulot, et moi également. Nos chemins se croisaient. Mais comme j’étais souvent accompagné, elle n’osait pas m’adresser la parole.
Parfois, j’étais seul, et ce fut ainsi qu’elle m’aborda :
« Vous ne trouvez pas que je ressemble à Michelle Torr ? Tous mes amis me le disent… »
Je connaissais Michelle Torr de nom, c’était une de ces actrices de variétés qui ne chantait que des niaiseries, et qui ne m’intéressait pas du tout. Je me souvenais seulement qu’elle était blonde.
« Je ne sais pas, lui répondis-je. Je ne l’ai jamais vue. »
C’était pour moi, l’occasion de la dévisager. Elle avait des rides qui trahissait la cinquantaine, peut-être plus. Mais ses vêtements ne pouvaient dissimuler une opulente poitrine. Le mot « cougar » n’existait pas encore, mais je reconnus qu’elle devait avoir de jolis restes.
Nous échangeâmes quelques mots et nous continuâmes notre chemin, chacun en sens inverse.
Cette femme ne m’intéressait pas. Elle avait l’âge où on faisait la cour pendant une éternité. Et lorsque ces négociations aboutissaient, on avait atteint l’âge de Mathusalem, incapable d’avoir une érection.
Je la croisais une deuxième fois, et je pensais en moi-même : « Mais qu’est-ce qu’elle est collante ! »
Ne voulant pas l’offenser, j’écoutais toujours ses bavardages principalement axés sur cette ressemblance avec cette chanteuse de…
La troisième fois, elle me proposa un café en me montrant l’immeuble où elle habitait. Ce n’était pas loin, juste en face de la gendarmerie de Dornach (un grand quartier de Mulhouse).
J’acceptais donc de me sacrifier à écouter du Michelle Torr.
Nous montâmes trois ou quatre étages et elle ouvrit. C’était une femme soignée. Il y avait encore quelques assiettes qu’elle avait dû laisser égoutter le matin…
Elle se débarrassa de son manteau, fit chauffer de l’eau, et mit malheureusement du Michelle Torr en préparant la cafetière :
« Comment vous appelez-vous ? demanda-t-elle sans se retourner.
- Antigonos, répondis-je avec mon vrai prénom.
« Et vous ? »
- Michelle. »
A croire qu’elle le faisait exprès !
Une fois qu’elle eut mis deux bols sur la table, elle versa enfin le café, et me tendit le sucre…
Contre toute attente, elle se mit à côté de moi. C’était une table de cuisine d’environ un mètre sur un mètre et demie, j’étais sur le côté large et elle sur le côté longueur…
Je savourais une première gorgée et je sentis sa main se poser sur mon sexe… Comme les pantalons étaient étroits à l’époque, elle remarqua tout de suite ma réaction…
« A cet âge, on ne manque pas de carburant, dit-elle. »
Toujours à cette époque, et même si les fermetures éclairs n’étaient pas « made in China », elle ne put pas l’ouvrir. Je dus me lever pour essayer de le faire. Puis, je me remis assis…
Elle continua à explorer mon pantalon, et ne tarda pas à sortir mon sexe au garde-à-vous…
Elle me masturba légèrement et déclara :
« Je vais te montrer ce que les jeunes filles ne savent pas faire. »
Elle se glissa sous la table, et je crus halluciner. Mon membre était dans sa bouche.
Cette fois, je n’aurai pas à emprunter à mon bon Athos pour une gâterie à la gare.
Experte en la matière, je me sentis impuissant entre sa bouche experte. Contrairement aux prostituées, elle titillait le méat, et aussi bien qu’elles, elle pompait le gland et avalait tout mon membre. Je crois que ce fut la première femme à me faire une gorge profonde.
A ce régime, j’éjaculai rapidement, et elle avala tout.
Elle se releva pour le recracher dans son café et pour mélanger le tout en disant nostalgique :
« Ca fait quinze ans que je suis divorcée. »
Je ne savais que répondre. J’étais triste pour elle et, comme je crus que l’affaire était terminée, elle me rappela à l’ordre…
« Ne ferme pas le magasin ! Je me lève à six heures et je sais que tu te lèves encore plus tard. Mais si tu préfères rejoindre tes amis, je ne te retiens pas… »
Je serais hypocrite si je disais que j’avais envie de la consoler. Car il était possible que très bientôt, je verrais son orgueilleuse poitrine et qui sait, tout le reste…
Tout en buvant son café au « lait », elle me dit :
« Tu sais, lorsque tu seras marié, n’oublie jamais une chose. Dans les moments intimes, il faut communiquer. Mon mari ne savait même pas qu’une femme peut éprouver du plaisir.
« Il m’a traitée comme une pute. J’aimais bien ça. Mais il ne s’occupait pas de moi. »
C’était indirectement un encouragement à la baiser partout. Et même, à lui bouffer la chatte… Je n’avais encore rien vu, mais je sentais que j’aimerais ce corps…
Je réalisais également que la raison de son divorce, n’était pas de devoir écouter Michelle Torr à longueur de journée.
Elle recommença de temps à temps à me masturber comme pour s’assurer du bon fonctionnement de la mécanique. Et lorsque nous eûmes fini, elle me conduisit à sa chambre.
Elle enleva ma chemise, mon tee-shirt (je pense que c’était l’hiver). Et commenta :
« Ton torse est poilu. Les filles disent que c’est un signe de virilité. »
Puis elle fit descendre mes pantalons et sous-vêtements, retira chaussures et chaussettes, et je me retrouvais nu.
« A toi de faire maintenant ! »
Je ne perdis pas de temps. Je lui ôtais son chemisier et découvris le soutien-gorge qui dissimulait le fantasme de bien des hommes. Un court instant, je pris du recul pour évaluer ce qui se cachait derrière l’énorme pochette-surprise…
Avec la maladresse due à l’avidité, je cherchais à le dégrafer… Et finalement, les deux globes opulents s’affaissèrent légèrement.
Ils avaient de larges aréoles et deux tétons larges et déjà arrogants…
Je me ruais sur le premier. Ma langue tournait autour de ces pointes qui s’érigeaient encore plus…
Michelle gémissait…
Comme ce n’était pas encore l’époque des serviettes hygiéniques, je respirais l’odeur de la femme qui mouillait… Dopé par ces effluves, j’avalais l’aréole et voulus engloutir le sein…
Ses gémissements et ses capiteuses effluves suffirent à me remettre en érection…
Je déboutonnais donc l’arrière de sa jupe plutôt longue, et commençais à baisser la tirette.
Finalement, la jupe tomba, elle l’enjamba… Et elle n’était vêtue plus que d’un panty porte-jarretelles…
Je dégrafais les bas en embrassant à chaque fois le terrain découvert… Elle avait de superbes jambes pour son âge.
Après en avoir fini avec les bas. Je lui baisais une jambe en sens inverse. Sa peau était plus douce qu’un alpaga. De la cheville, je remontais jusqu’aux cuisses… J’aurais bien voulu aller plus loin, mais le panty m’en empêcha…
J’étais heureux de l’entendre gémir car cela signifiait que si je m’y prenais bien, je pourrais goûter de sa chatte. Rares étaient les filles honnêtes qui acceptaient ces caresses, quant aux prostituées, elles l’interdisaient tout simplement.
J’avais donc une occasion en or, et je ne devais pas la gâcher.
Je retirais donc le panty et elle se retrouva totalement nue debout devant moi. Je recommençais donc l’opération des chevilles jusqu’aux cuisses, et elle se laissa faire en posant une jambe sur mon épaule…
Cette position accentuait encore ces capiteuses senteurs…
Lorsque je crus arriver à mes fins, elle voulut s’asseoir sur le lit. J’eus peur un instant que tout était fini, mais il n’en était rien. Elle cherchait simplement une position plus confortable…
« Continue ! »
Je continuais donc à la biser partout sur les cuisses et de plus en plus haut. Je regrettais de n’avoir que deux mains et une langue. Ses gémissements m’encourageaient à continuer…
Prudemment, je passais ma langue sur ses poils pubiens… Elle ne réagit que par des gémissements et, summum de la réussite, une première lapette sur sa fente déjà béante. Je savais qu’elle ne se refuserait plus et j’écartais ses lèvres pour laper ces chairs roses d’où suintait son excitation…
De son côté, elle se massait le clitoris. Mais pour moi, une seule chose m’intéressait : me régaler…
Ses halètements de plus en plus rapprochés annonçaient le dessert… Brusquement, elle m’enfonça la tête dans sa chatte, et jouit…
J’avalais tout ce que je pouvais…
Ensuite, elle me demanda de s’allonger à côté d’elle et reprit possession de mon sexe. De mon côté, je caressais ses jambes soyeuses…
« Excuse-moi si je t’ai arraché un cheveu. Mais je sais que les hommes détestent leur propre sperme.
« Plus tard, tu ne serais pas allé jusque-là. »
Elle avait raison. C’était ses effluves, son nectar, et non le mien que je voulais savourer. Elle continuait à me masturber. Moi je passais une main derrière son cou pour m’emparer de son sein orgueilleux. Elle me demanda :
« Il y a trois filles dans ta bande. Apparemment, une est avec l’un de ceux qui font peur.
« Une autre sort parfois avec vous.
« Mais il a une petite aux cheveux bouclés. C’est ta bonne amie ?
- C’est ma sœur de sang.
- Ta fiancée !
- Tu n’y es pas du tout ! Nous avons fait frère et sœur de sang avec comme témoin, un copain qui s’appelle « Jeannot »… Un ancien fonctionnaire des colonies.
- Mais vous couchez ensemble ?
- Puisque je te dis que c’est ma sœur ! Parfois, on veille l’un sur l’autre, mais on ne couche pas ensemble.
- Donc tu n’as pas de petite amie, conclut-elle en continuant à me masturber…
Je sentis chez elle une espèce de satisfaction. Sans doute pensions-nous à la même chose : nous revoir. Finalement, elle se glissa vers ma pine pour la sucer… Je saisis une de ses jambes pour lui indiquer que moi aussi je voulais en profiter… Nous nous retrouvâmes en 69. Evidemment, la position était bien agréable, mais qu’elle était chaude !
Avec malice, elle prit ma pine entre ses seins et me fit une superbe branlette espagnole…
« Prends-moi comme une chienne, dit-elle en se mettant à quatre pattes. »
Je m’avançais sur les genoux, passai une main sur la vulve que je mis sous mon nez, avant de me lancer. Je présentais mon membre à la chatte déjà béante…
Je n’eus aucun mal à la pénétrer. Mais elle m’avait tellement excité que j’étais pressé de me libérer… Elle haletait de plus en plus vite… Et je me retins subitement…
« Que se passe-t-il ?
- Je veux voir ton visage lorsque tu pars. »
Elle n’y vit aucun inconvénient, et s’allongea sur le dos…
Elle recommença à gémir et dans cette sarabande, elle hurla mon surnom…
Mais nous étions tous les deux lancés. Rien ne nous arrêterait. Ses gémissements moins espacés, mais surtout plus fort, indiquaient qu’on arrivait au but…
Soudain, elle me serra fort contre elle, et poussa un cri. A mon tour, j’éjaculais…
Anéantis, nous étions à nouveau collés l’un à l’autre… Elle tenant ma verge, et moi empoignant une de ses opulentes glandes mammaires. Je lui demandais :
« Qui t’a dit que je m’appelais Coyote ?
- Tous tes copains t’appellent comme ça. Mais je ne comprends pas pourquoi…
- Parce que je vis la nuit…
- Tu fréquentes de drôles de mecs. Tu n’as jamais eu d’ennuis avec la police ?
- Tu ne connais pas mes amis. Ne les juge pas.
- En tout cas, ceux que tu appelles Athos, Porthos, le gros casseur et son copain font peur.
- J’avoue que Porthos est un peu turbulent et que nous devons souvent le retenir. J’avoue également que Pierrot est encore pire quand il a bu. Mais quand il est à jeun, c’est un cœur d’or.
« En revanche, Athos, Aramis et Denis sont tout à fait corrects.
« De toute façon, tu ne leur as rien fait. Tu n’as donc rien à craindre. Tu as l’air de croire que ce sont des voyous.
- Excuse-moi ! Mais avec tout ce qu’on entend. » (Et oui, déjà !)
Elle se tut un moment et reprit :
« Dis-moi, que penses-tu de mes fesses ?
- Elles sont tout à fait potables, répondis-je. »
En fait, elles s’affaissaient. Mais je n’ai jamais eu le cœur d’offenser une dame qui ne s’était pas attaqué à moi. A cette époque, je pouvais même dire qu’il n’y en avait aucune dans ce cas.
Mais revenons-en aux fesses de Michelle…
« Tu voudrais te les faire ? Je sais que les jeunes filles détestent ça.
- Mais toi, aimes-tu te faire enculer ?
- Mon mari le faisait souvent. Il prenait de la vaseline, et allez ! Tant pis pour la Michelle !
« Toi, je sais que ce sera différent…
- Je crois que tu me surestimes…
- Je te guiderai s’il le faut, mais j’ai confiance en toi. »
Cette idée d’enculer une femme sans payer une prostituée, était vraiment tentante et je ne me fis pas trop prier. Je me voyais déjà, derrière elle. Mais je me trompais…
Elle se glissa vers ma pine pour lui faire reprendre une taille normale. Quelques coups de langues et autres succions y suffirent… Ces caresses buccales étaient si rares !
Puis, elle se redressa, se mit à califourchon, et me fixa dans les yeux pour guetter mes propres réactions.
Je sentis mon gland à porter de son anus. Il força à trois reprises, et pénétra dans l’enceinte sacrée. La hampe suivit…
Michelle ahana de soulagement… Elle resta immobile et dit :
« Tu vois, les filles de ton âge sont des imbéciles. Si elles ont peur d’être enculées, elles oublient qu’elles peuvent diriger elles-mêmes les opérations. »
Puis elle commença à me chevaucher… C’était sublime de la voir rayonner de bonheur. Mais tout ceci était bien excitant, et je voulus diriger les opérations…
Sans quitter l’enceinte acquise de haute lutte, nous basculâmes sur le côté, puis c’était elle qui était allongée…
J’allais et venais en guettant ses réactions… Elle se frictionnait son vagin et son bouton de plaisir pendant que je tenais ses mollets ou ses cuisses. Je la pénétrais le plus profondément possible pour lui arracher un maximum de plaisir… Elle poussait de petits cris et nos yeux se croisaient plein de gratitude réciproque.
Accélérant la cadence, elle fit de même en se masturbant… D’un coup son anus se rétracta, et j’éjaculai en même temps que son cri…
Je me retirai avec un mince filet brunâtre…
« Attends, je vais te nettoyer, dit-elle en prenant ce qu’il restait de ma pine en bouche. »
Même jeune, je n’étais pas un robot. Mais elle semblait satisfaite de récupérer les quelques gouttes de sperme. »
Nous nous allongeâmes à nouveau sur le lit :
« Puis-je te demander une dernière faveur ?
- Demande toujours !
- Ca fait si longtemps que je ne me suis pas réveillée dans les bras d’un homme. »
Devinant mon embarras, elle me dit :
« Tu aimes les croque-monsieur ?
- Oui. »
Nous dînâmes donc ensemble et nous nous couchâmes…
Je n’avais pas fait attention au fait qu’elle avait avancé le réveil. Et en me réveillant, je sentis une main qui me tenais la pine… Je me souvins immédiatement de la veille, et nous remîmes le couvert…
Mais il était temps de repartir. Elle me demanda si j’acceptais de la revoir. J’opinais évidemment. Elle me précisa juste une formalité. Je devais lui téléphoner au cas où elle recevait des amies.
C’était bien compréhensible. Et plus le temps passait, plus elle portait des tenues sexy. Elle avait même arrêté le platine pour mettre la radio à la place. Je ne me souviens plus si je lui avais dit que je détestais Michelle Torr, ou si elle l’avait compris d’elle-même.
Mais mon stage prit fin. Ma sœur, mes amis, elle, tout cela allait me manquer… Et aujourd’hui, avec le recul, je peux affirmer que si j’avais beaucoup d’affection pour cette personne, je ne l’ai jamais aimée. Nous étions deux amies. L’un avait besoin de l’autre. Elle-même ne m’a jamais demandé plus.
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Commentaires de l'histoire :
Anonyme
bonjour Belle histoire qui se laisse lire d'une traite ..... On ne comprends pas comment la dame en sait autant sur Coyote Bises Mikel
Posté le 3/03/2021
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