Zagreb II : Pris au piège

Une petite anecdote amusante pour raconter comment je me suis fait avoir par deux Croates qui me masturbèrent dans un pub.

Proposée le 4/10/2020 par Antigonos

Thème: Jeu érotique
Personnages: FH
Lieu: Autres lieux publics
Type: Histoire vraie

C’était la deuxième fois que j’allais à Zagreb. Je n’avais qu’une envie : retrouver mes amis et amies. Mais le café qui servait de quartier général avait changé de nom. Ce n’était plus le même patron. Mais il connaissait celles qui me manquaient le plus. Les deux étaient parties en Allemagne.

Déçu, je retournais en ville, quand je vis que le lendemain, certains cafés organisaient la Saint-Patrick, la fête nationale irlandaise. Je fis une rapide reconnaissance, mais Savska la rue des pubs irlandais s’étirait en longueur. En bas du centre-ville, elle n’attirait pas beaucoup de touristes qui d’ailleurs étaient rarement anglophones… Une Saint-Patrick sans anglophones, ce serait bien triste. Sans compter que deux pubs ne proposaient même pas de Guinness.

Le lendemain, j’entrais donc dans ce pub irlandais. Le seul qui n’affichait pas « Aujourd’hui, c’est la Saint-Patrick » et le seul qui avait pour enseigne le logo Guinness.
Le café s’étirait tout en long. A gauche en entrant, il y avait le bar et à l’arrière-salle, les toilettes.
La première salle était occupée par des clients, hommes ou femmes, des filles plus belles les unes que les autres. Mais elle était pleine.

J’allais donc au fond… Une grande table plus haute que les autres avait été disposée là. Sans doute que le patron l’avait récupérée car il attendait plus de monde que d’habitude. Mais elle était vide…
Je regardais autour de moi. Rien que de belles jeunes filles sans maquillage ou très discrètement maquillées. J’ai toujours aimé cette simplicité des Slaves. Ils savourent le présent, sans se soucier du lendemain.
La clientèle bavardait sans se soucier des autres. C’était vraiment la sérénité la plus totale….
« Guinness ? me demanda la serveuse avec un long sourire et qui commençait à connaître mes habitudes
- Da, molím. » répondis-je avec mon jargon approximatif.

Elle ne mit pas longtemps à me servir. Je pense qu’elle avait simplement attendu que je me sois installé.
Je savourais donc une première gorgée en contemplant ces sublimes créatures…

Encore dans les nuages, je remarquais enfin deux filles qui avaient pris place à mes côtés. L’une d’elle buvait une vodka avec des glaçons, et l’autre, une boisson jaune. J’avais l’impression de gêner car elles baragouinaient entre elles. Je ne comprenais pas pourquoi elles s’étaient séparées, car elles auraient pu facilement s’asseoir d’un côté ou de l’autre, sans compter que le banc devant moi, était totalement vide…

Soudain, je sentis une main sur mon entre-jambe. Ne voulant pas faire le rabat-joie, je fis comme si de rien n’était…
Mais la main se fit insistante. Je me retournais vers les deux filles et les regardai l’une après l’autre. Elles étaient si impassibles que je me demandais si cette main appartenait à l’une d’elle…
La main coupable s’affairait maintenant à déboutonner ma braguette…

Je regardais en face de peur de me faire démasquer par les créatures de rêves. Puis je dus avoir un sourire bête en regardant les deux filles qui m’encadraient. Celles-ci étaient tout aussi impassibles. Mais cette fois, j’en étais sûr. La main coupable appartenait à celle de droite…
Ce n’était que lorsqu’elle atteignit ma verge, qu’elle consentit à me sourire… Excité et effrayé de me faire surprendre, je n’avais plus qu’à me laisser faire…

Elle me masturba lentement comme si elle-aussi, ne voulait pas attirer l’attention… Heureusement pour moi, je suis plutôt muet en ces moments. Même si je transpire beaucoup, rien ne trahissait mon émoi car malgré la saison, il faisait chaud. Sans compter la chaleur humaine…

Je la sentis serrer de plus en plus fort. Visiblement, elle irait jusqu’au bout. Mais elle m’exaspérait. Son visage exprimait la plus totale sérénité, et elle baragouinait avec son amie qui était assise à ma gauche. Elle utilisait sans doute sa main droite car son bras gauche, plus près de moi, était inerte.

Finalement, je dus retenir ma respiration, car je sentais la sève monter dangereusement… Ma pine explosa et le sperme retombait sur mon jean…

Les deux filles quittèrent précipitamment la table et disparurent… La braguette ouverte, le jean plein de sperme, je n’osais partir à la poursuite.

Devant moi, les créatures de rêves souriaient. Il n’y avait aucune méchanceté dans leurs regards, mais juste des sourires amusés… Elles savaient tout depuis le début.
J’étais confus et la serveuse vint ramasser leurs verres. Elle m’expliqua avec une voix très douce, dans un anglais approximatif :
« Ce n’est pas méchant. Ce sont juste des paris qu’elles se font entre elles. »
Mon regard devait être assez expressif, et il la rassura sur leur sort. Satisfaite, elle repartit au bar…

En attendant, je ne pouvais plus quitter la table. Il fallait au moins que j’attende que mon jean soit plus sec.
Les créatures de rêves, devant moi, avaient repris leur bavardage... Et moi, je commandais d’autres Guinness en attendant d’être plus présentable à la réception de l’hôtel.

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