Gestion de fesses

C'est l'histoire d'un jeune africain, partageant le même espace professionnel avec une femme mariée possédant 2 enfants. Bien que cette dernière soit mariée et plus âgée, elle tomba peu à peu sous son charme après quelques instants passé ensemble. Tout se passait bien jusqu'à ce que la providence fasse à ce qu'ils commettent l'irréparable.

Proposée le 23/09/2020 par DreQ

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme

Bonjour je suis DreQ; C'est mon premier récit érotique, comprenez-moi, toute critique serait les bienvenues.


Moi Noble, jeune homme africain banal, âgé de 25 ans, au physique peu marqué, mesurant170 cm pour 64 kg avec une apparence plutôt musclée puisque je suis adepte de la musculation et je vais à la salle au moins trois (3) fois par semaine. Je suis étudiant en deuxième année de deuxième cycle universitaire, je suis un double cursus en parallèle dans la seule université publique de Brazzaville au Congo, un petit pays d'Afrique centrale.


Soucieux d'acquérir une indépendance financière auprès de mes parents et malgré mon emploi du temps très surchargé, j'ai décidé de me débrouiller un peu. Suite à cela, j'ai trouvé un emploi en tant que gestionnaire des comptes dans une PME de la place, où nous étions au nombre de six (06), 5 employés permettant qui travaillaient la journée et moi le contractuel gestionnaire de nuit.Après (01) mois des loyaux services et suite à mon CV, le patron décida de nommer gestionnaire principal, poste qui me convenait parfaitement car mon travail ne consistait qu'à faire les comptes avant et après l'ouverture de l'agence, ce qui me permettait de vaquer tranquillement à mes obligations académiques.


Parmi les cinq (5) employés, il y avait la fameuse Madame Marise, une femme de 35 ans, mariée avec 2 enfants (des jumeaux), peut belle de visage mais avec corps sublime, ayant plusieurs piercings notamment au nez et aux oreilles. Femme de goût à tempérament stricte, très timide et d'une générosité sans précédent.


Les premiers moments furent assez tendus entre nous deux (Mme Marise et moi), mais après s'être connu un peu plus, elle sut que j'étais un homme très serviable, compréhensif et ouvert d'esprit... Nous sympathisâmes très vite, jusqu'au point de d'attiser de la jalousie auprès d'autres employés (dont Mlle Kellya...).
Madame Marise et moi passions beaucoup de temps ensemble à discuter sur tout sauf rien, je lui racontais des bobards, histoire de tâter le terrain et de savoir si je lui faisais de l'effet. La stratégie semblait payante car cette dernière était plus réceptive et devenait de plus en plus à l'aise à mes côtés, et moi en tant qu'homme dans tous les sens du terme (opportuniste, profiteur, dominateur...) je profitais de la situation pour lui faire des attouchements plus ou moins sexuels fort heureusement sans réaction de ça part.


Le tournant de cette histoire se produisit quelques semaines plus tôt, un Mardi matin, jours de pluie. comme beaucoup ici ne le savent pas, les jours de pluie dans mon pays sont semblables aux jours fériés car la plupart des activitées tournent au ralenti et il n'y a pas de clients jusqu'à ce que la pluie ne cesse.07h30, je suis arrivé au bureau, pour faire ma comptabilité et des petites mises au point avant l'arrivée des employés. 15 minutes plus tard -- Toc toc...... c'est quelqu'un qui toque à la porte, On ouvrant -- Aah Marise, bonjour, c'était toi, comment vas-tu...? -- (M) ça va, merci... -- (N) Mais tu es trompé ? ? ... La pauvre, elle s'était un peu mouillé, car il pleuvait un tout petit peu dehors. Elle tremblait de fraîcheur et il a fallu que j'arrête la climatisation, pour elle. Comme la providence sait faire les choses, la pluie c'est intensifier de plus belle qu'il a fallu s'enfermer dans le local pour inviter que les gens viennent s'abriter dedans... -- (M) Noble j'ai froid, ... Dit-elle, J'étais dans l'obligation de la refiler ma chemise la lui remettre et de rester en contre sueur...

--Tu fais de la muscu...?
-- (N) On peut dire ça, je vais à la salle au moins 3 fois la semaine, quoi mon corps te plaît...?
--(B) Ce n'est pas mal, ce qui est sur ce sont juste des cartons vides (elle sourit);
-- (N) c'est ce que tu crois, si tu n'étais pas marié, je t'aurais fait une petite démonstration de ma force (tout en souriant ?)...
-- (B) Essaie un peu de me soulever si tu peux...


Je ne me fis pas prier, au bout de deux secondes elle était dans mes bras en l'air, ayant eu peur de tomber, elle s'agrippa de toutes ses forces à moi, ses mains étaient tellement douces que cela a eues pour effet de me produire une énorme réaction... Une fois que je l'ai déposé, instinctivement j'ai pris sa main et je la déposai sur ma queue (un tuyau de 17 cm et de 8,5 cm de circonférence dont le gland est très épais), je lis la surprise dans ses yeux...


--(N) tu vois l'effet que tu me fais...? Tu es magnifique Belinda...
-- (M) Qu'est-ce que tu fais Nom de dieu, arrête ça, je suis une femme mariée respecter et respectable, quoi tu n'as pas peur de moi...?


Pendant qu'elle parlait, je ressentis une pression énorme sur la bite, pression exercée par sa délicate main... ce qui boosta ma volonté et me démontra que j'étais sur la bonne voie... Je lui volai un baiser en l'embrassant fougueusement, après quelques secondes de latence, je reçus la réciproque de mon baiser et nos langues entrelacèrent... Cela multiple le plaisir et le désir de l'un vis-à-vis de l'autre.

-(M) Noble non arrête ça, je ne veux pas, oh seigneur, non ne fait pas ça s'il te plaît, pourquoi tu me fais ça... Je ne peux pas trahir mon mari, on s'aime trop...


-Faisant la sourde oreille, je continuais mon entreprise en la plaçant sur un bureau tout en soulevant sa robe. pendant que nos bouches fusionnaient, ma main gauche prospectait son magnifique corps, lui arrachant quelques soupirs augmentant ainsi son désir... Après un parcours plus ou moins long sur ce terrain semi-tabulaire qui est son corps, mes doigts se retrouvèrent sur la vulve...

-- (N)Oooooh mais tu es trompé... Humm ça te plaît, pas vrai .
--(N) Non Noble pas ça...


Pendant qu'elle protestait mollement, je passai mes lèvres buccales sur ses lèvres vaginales comme-ci sa chatte produisait du miel, lui arrachant en même temps quelques gémissements, elle couinait comme ce n'est pas permis... Les cris de protestation se transformèrent en cris de plaisir, ses mains qui m'essayaient de repousser en vain se sont vues faire l'inverse ( la résistance tangentielle c'est transformé en force matrice). C'était la première fois que lapait une chatte, de peur de la décevoir, je m'appliquais comme-ci ma vie en dépendait, je la mangeais avec appétit... Je suçais, léchait, la doigtait en même.

--stop arrête, vas y, oui mon Dieu oooh (hurla-t-elle)


Pendant que ma bouche nettoyait tous les recoins de sa crotte, ma main droite me servait à me branler... elle ne comprenait pas ce que l'arrivait, profitant de cet instant de panique de ça part, je me levai et la pénétrai brusquement... Quelles larmes coulèrent sur ses Joux...

-- Aaah non pas ça s'exclama-t-elle...
--(N) Laisse-moi te faire plaisir s'il vous plaît...


Après 5 à 7 va et vient, son vocabulaire changea brusquement au point d'oublier tous les mots de français pour couiner en une langue que seuls les initiés sexuels peuvent comprendre. elle râla comme ce n'est pas permis...

--Oooh oui, oui, ooooooouuui, plus fort, plus vite, accélère...


Je ne me fis pas prier, j'accélère comme ce n'est pas permis, ses cris commençaient à concurrencer le bruit que faisait la pluie contre la toiture... merci, la pluie s'intensifièrent au moment où mon coup de butoir s'accélère...

--Oh oui baise-moi, oh oui j'ai envie d'uriner...,
--(N) tu peux t'uriner sur le bureau...,
--(M) je risquerais de mouiller les documents, oui, aah...,
--(N) Vas-y, c'est moi qui aurai à rendre des comptes par toi...


Ses paroles ont eu pour effet de décupler son plaisir, elle jouit :
--Wooo wooo mama (cris en langage africain), kufua munu (tue- moi), Mame mé flua (plaisir intense)...


Tellement que ses cris étaient intenses, elles font à ce que je jouisse à mon tour rapidement en elle, une quantité énorme de foudre inonda son cratère vaginal... Je me refusai de me retirer d'elle dans le but de perdurer notre union, laissant ainsi nos instruments digérés tout le plaisir consommé.5 minutes après, elle repris conscience, surpris de votre tour ce foutre en elle, elle eut peur et m'avoua qu'elle était en pleine ovulation... (Affaire à suivre)

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