Histoire Erotique

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L'Otage

Enlevé par des malfrats et utilisé comme moyen de pression sur sa mère avocate, un jeune puceau est initié par sa gardienne... et fait profiter sa mère de ses nouvelles compétences. Dépucelage et inceste.

Proposée le 29/08/2020 par solognot

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Thème: Première fois
Personnages: FH
Lieu: Inclassable
Type: Fantasme


JOUR 1.
J’avais tout juste 18 ans.
Quand mes parents ont divorcé 5 ans plus tôt, mon père a décidé sans discussion possible que j’entrerais à l’internat. Je partageais donc ma vie d’adolescent entre le collège et l’appartement de ma mère, dans un grand immeuble où se trouvait aussi son cabinet d’avocat. Mon père était parti pour Londres, où il me recevait à contre-cœur pendant la moitié des vacances. Le seul avantage de cette situation, c’est que j’ai découvert très très jeune les charmes des petites Anglaises, et particulièrement de l’une de ses jeunes secrétaires qui avait visiblement un gros faible pour moi. Elle était aux petits soins pour son « petit frère français » comme elle le disait avec son joli accent. Heureusement qu’elle était là pour meubler ma solitude et me promener dans Londres, me câliner un peu quand j’avais trop le cafard, et …m’apprendre l’anglais. J’ai fait d’énormes progrès grâce à cette grande sister par intérim. Je n’avais pas de mal à quitter mon père à la fin du mois, de toute façon je le voyais juste le matin et le soir, j’avais droit à des baisers distraits et à « sois sage » ou « dors bien ». Mais j’étais triste de devoir faire mes adieux à Milly… D’autant plus que la dernière fois il m’a bien semblé qu’elle me gardait un peu trop longtemps contre elle après nos bisous d’adieu, ce qui a vaguement éveillé ma virilité naissante, et ouvert des perspectives pour mon prochain séjour.
Mais nous n’en sommes pas là, l’année scolaire a recommencé à Paris, la presse ne parle plus que du procès de Roskovitch, c’est ma mère qui assure sa défense. Ce n’est pas sa première cause importante, loin de là, mais la sinistre réputation du personnage, soupçonné de trafics en tous genres, y compris de jeunes femmes et de jeunes enfants de l’Est, et l’impunité dont il a bénéficié jusqu’ici, ainsi que la personnalité flamboyante de son avocate, focalisent sur ce procès, dit « du siècle » (un de plus !) les projecteurs de tous les média.
Contrairement à ce qui se passe à Londres, maman met un point d’honneur à prendre son petit déjeuner avec moi tous les matins, et à ce que nous passions ensemble au moins une partie de chaque soirée. Elle vient me rechercher elle-même le vendredi soir, au volant de sa Mini Cooper, et me ramène au pensionnat le dimanche soir.
Je suis donc très surpris ce vendredi quand la responsable des internes me prévient que ce n’est pas ma mère qui me reprendra, mais un chauffeur. Elle me montre une lettre dont je reconnais facilement la signature très linéaire, malgré mon étonnement je ne me pose donc pas trop de questions. C’est la première fois que cela se produit, mais après tout vu la pression qu’elle subit en ce moment je ne peux pas en vouloir à maman.
Je me dirige donc vers la grosse Alfa Giulia, le chauffeur n’est pas bavard. Il charge mon sac dans le coffre et m’ouvre la portière arrière, mais je monte à l’avant, cette bagnole est trop chouette pour que je n’en voie que l’arrière. Je vois bien que ça fait tiquer le gars, mais je m’en fiche…
Je ne me rends pas compte tout de suite qu’il ne prend pas la Nationale, il ne répond pas quand je l’interroge, cela commence à m’inquiéter, surtout quand il entre en trombe dans la cour d’une ferme visiblement inhabitée. Il se tourne vers moi et m’ordonne de relever ma manche gauche, son visage fermé ne me donne pas envie de lui résister.
- Si tu es sage ça ne te fera pas mal. Sinon …
Quelques minutes plus tard j’entends vaguement que nous redémarrons, c’est le dernier souvenir jusqu’à mon réveil dans une chambre que je ne connais pas. Une femme sculpturale est en train de lire à mon chevet, elle se lève en me voyant émerger, me pose la main sur le front et me demande dans un murmure si ça va. J’ai du mal à reprendre pied, j’essaie de m’asseoir dans mon lit mais j’ai le vertige, elle me recouche gentiment.
- Je m’appelle Alexa, je suis là pour m’occuper de toi pendant tout ton séjour, tout va bien se passer.
- Qui êtes-vous, je suis où là ? Quel séjour ? Je dois rentrer au collège lundi, moi. Et où est maman ?
- Quand tu iras mieux je vais t’expliquer, pour le moment essaie de te rendormir, je te ferai apporter à manger à ton réveil. Maintenant c’est trop tôt après l’anesthésie, tu risquerais d’être malade.
- Anesthésie ? J’ai été opéré ? De quoi ? Maman ! Maman !
Il y a sûrement des années que je n’ai plus appelé ma mère, même si j’ai souvent le cœur gros le soir dans mon alcôve à l’internat. Mais la situation est tellement bizarre que j’ai peur, je craque. Alexa appuie sur un bouton d’appel, le chauffeur et un autre baraqué entrent avec un haricot d’hôpital, ils m’immobilisent et Alexa me refait une piqûre, je sombre à nouveau.
JOUR 2.

Quand j’ouvre les yeux je suis dans les bras d’Alexa, elle s’est étendue à côté de moi pendant que je dormais, et elle a sans doute essayé de calmer mon sommeil agité. C’est une des choses qui m’énervent, malgré mes quinze ans j’éveille encore chez les femmes le besoin de câliner, il paraît que je titille leur instinct maternel ! Ceci dit, j’ai connu des réveils plus désagréables. Ma « nounou » est magnifique, elle doit avoir la petite quarantaine, de longs cheveux dorés, un beau visage un peu sévère mais adouci par de charmantes petites rides au coin des yeux. Sa respiration régulière soulève ses seins, sa jupe noire est un peu remontée et dévoile des jambes élégantes, des cuisses qui inspirent le désir de les caresser. Tout doucement, pour ne pas la réveiller trop tôt, je prends du recul pour la contempler, son chemisier lavande dévoile la naissance d’une poitrine qui m’inspire tout de suite le terme « confortable ». Si j’étais plus rassuré je prendrais le risque d’ouvrir un ou deux boutons supplémentaires, mais je me secoue et m’assieds brusquement dans le lit. Et ça marche, elle ouvre les yeux et est tout de suite en alerte. Ses yeux verts m’observent avec attention, quand elle voit que je ne bouge plus elle se détend et me fait un sourire craquant.
- Réveillé, mon grand ? Comment te sens-tu ?
- Je ne suis pas votre grand et je veux rentrer chez moi tout de suite.
- J’ai bien peur que ce ne soit pas possible. Je vais t’expliquer ta situation.
Et j’apprends avec stupeur que je suis l’otage d’un clan rival de Roskovitch, que je resterai entre leurs mains jusqu’à ce que ma mère trouve un prétexte pour renoncer à la défense de celui-ci, et que mon séjour sera le plus agréable possible … ou pas, cela dépendra de moi. La balle est dans le camp de maître Raglanda, et de son rejeton. Maman a déjà reçu une vidéo me montrant endormi dans les bras d’Alexa, et lui expliquant en détail ce que l’on attend d’elle. Connaissant ma chère génitrice et sa passion pour son travail, en plus de son caractère bien trempé, je ne suis pas persuadé que ce soit gagné pour mes ravisseurs. Même si je ne doute pas qu’elle privilégiera la sécurité de son fils, je suis sûr et certain qu’elle fera tout son possible pour leur mettre des bâtons dans les roues.
Malheureusement ils la connaissent bien aussi et ont prévu ses réactions. Quand elle rentre chez elle ce soir-là elle est attendue par le chauffeur et un nouveau protagoniste, un géant qui doit bien faire 150 kg. Ils la préviennent simplement qu’ils passeront tous les soirs à partir d’aujourd’hui, pour lui passer le film de ma journée et programmer sa soirée à elle en fonction de mes activités et de ses décisions. Elle ne comprend pas très bien ce que cela signifie, mais elle est tellement soulagée de les voir partir sans lui avoir fait de mal qu’elle ne se pose pas trop de questions. Elle est épuisée par sa journée de travail et par la tension nerveuse, elle est rassurée sur mon état de santé, ils lui ont montré que je ne suis pas brutalisé, mais plutôt en bonne compagnie. Elle a même ressenti une pointe de jalousie en me voyant avec Alexa. Elle prend donc un léger somnifère et reporte à demain toutes ses interrogations, elle n’est de toute façon plus capable de réfléchir avec lucidité.
De mon côté, c’est vrai qu’Alexa n’a pas ménagé ses efforts pour me charmer. Rien de trop flagrant, mais des petits sourires, des mains qui me frôlent, un corps qui s’appuie brièvement… Et toujours ce regard vert, presque hypnotisant mais si prometteur. Nous avons occupé la journée à discuter sport, littérature, musique, voyages… Comme par miracle elle sait tout de mes goûts et en partage beaucoup. En tout cas c’est ce qu’elle me dit… Pas une seule question d’ordre plus personnel, jusqu’au moment où elle me met littéralement au lit après m’avoir fait avaler un anxiolytique et souhaité une bonne nuit :
- Fais de beaux rêves… de ta petite amie, par exemple !
- Je n’ai pas de petite amie, juste Milly.
- Qui est Milly ?
Je lui explique donc mon séjour annuel à Londres, et l’intérêt grandissant de la jeune Anglaise à mon égard à mesure que je quitte l’enfance. Mais mon élocution devient de plus en plus pâteuse, elle m’embrasse au coin des lèvres, m’allonge dans mon lit, et s’assied à sa place habituelle.
- Vous restez là, hein, Alexa ? Vous ne me quittez pas ?
- Ne t’inquiète pas, mon petit chou, je ne te laisse pas tomber.
JOUR 3.

Et en effet le lendemain matin, je suis à nouveau dans ses bras quand je m’éveille. Elle ne me donne pas d’explication mais un grand sourire charmeur et un bisou sur le nez ! Comme maman quand elle vient me réveiller…
Mais je m’aperçois que je ne vous ai pas encore décrit ma mère. Elle est d’origine méditerranéenne, ce qui explique son teint mat et sa chevelure noir corbeau, dans laquelle elle met une certaine coquetterie à laisser quelques fils d’argent. Pas de teinture ! Je sais pour l’avoir vue au sortir de la salle de bains (ni voyeurisme ni exhibitionnisme, simplement des rapports naturels avec la nudité, elle ne s’est pas cachée quand j’ai grandi et m’a protégé du puritanisme ambiant) qu’elle a un corps de rêve ; ses fesses fermes, son ventre à peine bombé et ses seins très légèrement tombants rendraient jalouses bien des filles plus jeunes. Elle se rase le pubis en triangle, mais elle m’a dit qu’elle se demandait pourquoi puisque j’étais le seul « homme » à la voir nue. Pourtant ce n’est pas faute de prétendants, ça grenouille ferme au Palais autour de Maître Raglanda ! Mais elle n’a pas le temps, et puis, dit-elle avec le sourire tendrement ironique qu’elle me réserve, elle m’a !
Pour l’heure, c’est Alexa qui m’a ! Elle m’a fait me recoucher à côté d’elle, a posé ma tête sur son épaule, et me caresse doucement le torse sous mon t-shirt, tiraillant doucement les quelques poils follets qui commencent à le garnir. Les yeux perdus dans le vague, elle ne peut pourtant pas ignorer l’effet qu’elle me fait, ça commence à être très visible sous mon boxer. Et il est clair que mon érection ne la gêne pas du tout, ça lui ferait plutôt plaisir !
- Tu es bien, mon chou ? (Elle a trouvé comment m’appeler, apparemment).
- Je ne suis pas votre chou ! Mais oui, je suis plutôt bien. Vous avez des nouvelles de maman ?
- Non, pas encore, mais ce n’est pas étonnant, il lui faut le temps d’analyser la situation avant de réagir. Et s’il te plaît, tutoie-moi, nous sommes partis pour vivre ensemble encore quelques jours. Ton école et le pensionnat sont prévenus que tu seras absent pour une durée indéterminée, personne ne s’inquiétera de ton absence. Pas ton père en tout cas, il paraît qu’il va se remarier en Angleterre.
- Avec une riche héritière sûrement, c’est son genre !
- Tu préfères ta maman, hein ? C’est normal, un beau grand garçon et une si belle femme… Elle te plaît ta maman ?
- C’est maman, je l’aime, on s’entend bien. C’est quoi ça comme questions ?
En fait, les employeurs d’Alexa lui avaient ordonné de tâter le terrain et de me préparer à ce qui risquait d’arriver par la suite. Elle devait aussi me dévergonder, et elle s’y employait activement !
- Bon, si nous faisions notre toilette ?
- Il n’y a qu’une salle de bains, vous n’avez qu’à y aller d’abord.
- « TU n’as qu’à y aller ». Et je dois ne pas te quitter d’une semelle, nous y allons ensemble.
- Ah bon. Comment on fait ?
- Il y a une douche et une baignoire, et deux éviers. La pièce est grande, on ne se bousculera pas. Quoique… ça ne me déplairait pas. Si je te demande de me laver le dos, tu diras quoi ?
- Vous … tu plaisantes ?
- Tu n’as jamais vu une femme nue ?
- Si, maman. Mais justement ! Tu as son âge. Tu es très belle mais tu as l’âge de maman.
- Jamais entendu parler des cougars, mon chou ?
- Si, mais je ne m’attendais pas à en rencontrer une. Bon, on va se laver oui ou non ?
Je ne sais vraiment pas quoi faire, je ne comprends pas ce qu’elle me veut. Autant accepter la situation… c’est vrai qu’elle est très belle. Et je continue à bander dur sous mon boxer, elle ne peut pas ne pas l’avoir vu.
Un peu par provocation, je me déshabille complètement avant même de me brosser les dents. Elle a l’air d’apprécier… et elle m’imite. Bon Dieu qu’est-ce qu’elle est belle, si elle me veut vraiment elle n’aura aucun mal à m’avoir ! Mais jusque là elle reste sagement devant son évier, on a l’air fin tous les deux, à poil avec nos brosses à dents ! Le malheur c’est qu’en face de chaque évier il y a forcément un miroir, et que je ne peux empêcher mes yeux de loucher vers le sien. Au bout de quelques fois les rides qu’elle a au coin des yeux se plissent, elle finit par glousser et par me faire pivoter pour que je la regarde franchement.
- Dis donc, tu n’es pas mal pour ton âge, mon chou. Tu es costaud, on voit que tu fais du sport. Pas encore beaucoup de poils, c’est très agréable à caresser. Et moi, comment me trouves-tu ?
- Je t’ai déjà dit que je te trouve très belle. Presqu’autant que maman !
Là je la vois se crisper, c’est vrai que c’est maladroit comme réflexion, mais je ne sais pas encore à quel point. Elle fait un effort pour se reprendre et me caresse la joue.
- Allez, rince-toi la bouche, et viens m’embrasser. Tu as déjà embrassé une fille, au moins ?
- Euh, oui… Mais pas avec la langue, n’oublie pas que je suis pensionnaire et que je n’ai pas beaucoup d’occasions…
- On va arranger ça.
Elle m’attire à elle, jette ses bras autour de mon cou, pose ses lèvres sur les miennes, insiste, sa langue force le passage, trouve la mienne, s’enroule, me quitte, revient… Je sens ses tétons durcir contre ma poitrine, elle se frotte contre moi, si elle arrête maintenant je vais devenir fou. Mais ce n’est pas du tout son intention, au contraire !
- Viens, on prendra une douche après.
Elle me reconduit au lit, m’y couche, me regarde de haut en bas pendant un long moment, puis se décide à me rejoindre. Elle glisse son bras sous mes épaules, et recommence à m’embrasser. J’ai du mal à réaliser que cette femme superbe est en train de me caresser, moi, un gamin de 15 ans. Encore que pour l’instant il y a une part de moi qui fait plus que mon âge ! Elle a pris mon pénis en main, me décalotte doucement, avec beaucoup de gentillesse.
- Je suis vraiment la première ?
- Ben oui…
- J’ai de la chance !
- Non, c’est moi qui en ai.
Pour me remercier de cette réponse, elle se courbe et dépose un baiser mouillé sur le gland qu’elle vient de dégager. Je me tends comme un arc, je n’ai jamais éprouvé pareille sensation. Elle remonte, me murmure dans l’oreille un chapelet de mots apaisants dans une langue que je ne reconnais pas, attire ma tête vers ses seins, m’en tend un. Comme je ne bouge pas, hypnotisé que je suis par les merveilles qu’elle m’offre, elle me dit :
- Joue avec, il ne te mordra pas. Va doucement, fais ce que tu as envie de faire.
Je ne me fais pas prier, j’embouche un téton, je le suce, je le lèche, je fais tourner ma langue sur l’aréole, je mordille … un peu trop fort :
- Hé là, jeune chiot. Je t’ai dit doucement. Jusque là c’était fort agréable, continue. Et n’oublie pas l’autre, il est jaloux.
Elle m’installe plus confortablement, je dois avoir l’air d’un grand bébé à la tétée. Sauf que sa main a repris ma verge et y fait des allers-retours, tout en douceur mais redoutablement efficaces. Je suis en train de perdre les pédales, je ne sais plus qui je suis, je ne suis plus qu’une bouche et un sexe qui veut éjaculer, j’ai juste le temps de la prévenir :
- Je vais gicler.
- Vas-y, mon chou !
Elle dirige mon membre vers son ventre, accélère la masturbation, j’explose en grognant, à longs jets qui la maculent, je n’ai jamais vécu un tel plaisir. Je veux me séparer d’elle, mais il n’en est pas question : elle retient ma bouche sur ses seins, recueille mon sperme du bout des doigts et l’avale.
- Mmmmhhh, tu as bon goût. Je fais le ménage et on verra si le deuxième service est aussi bon que le premier, d’accord ?
- Evidemment !
Elle lâche enfin ma tête, ouf, je peux respirer un peu mieux, même si je regrette déjà sa peau si douce sous ma langue. Mais je n’ai pas le temps d’y penser, elle s’est mise tête-bêche au-dessus de moi. Je suis aux premières loges pour admirer son sexe soigneusement rasé, et son cul somptueux. Elle embouche mon pénis et entame une fellation de professionnelle, enfin je le suppose, c’est ma première fois. Elle lèche tout le sperme qui reste sur ma verge, et quand elle est propre elle commence à la sucer. Entre deux descentes, elle me demande ce que j’attends pour lui faire la même chose. J’attrape un oreiller, le glisse sous ma nuque, et me retrouve à la bonne hauteur pour rendre hommage à l’origine du monde. Et c’est une découverte de plus, mon premier cunnilingus. Un peu déconcerté au départ par le goût de son sexe, je m’y fais vite et je l’apprécie de plus en plus. J’essaie de me concentrer sur le travail de ma langue, ce n’est pas facile avec ce qu’elle me fait un peu plus bas ! En plus, je suis néophyte et elle ne me donne aucune indication. Je crois naïvement que c’est parce qu’elle est trop occupée, mais je me trompe. Je me débrouille donc comme je peux, en m’efforçant d’aller doucement et en restant aux aguets de ses moindres frémissements. Ma langue lèche toute sa fente, de bas en haut puis de haut en bas. Je ne sais pas si je peux mais je prends le risque d’utiliser mes mains, j’écarte ses lèvres pour pousser ma langue un peu plus loin, je tourne en elle comme je le fais dans sa bouche, apparemment c’est une bonne idée : elle gémit, et je sens qu’elle est moins attentive à la fellation et plus à ses propres sensations. Encouragé, je persévère : sur le dessus je rencontre une petite boule de chair que je suppose être le clitoris (il y a internet au pensionnat, quand même) et j’insiste jusqu’à ce que je le sente gonfler, je le suce comme elle suce mon pénis, ses gémissements deviennent de petits cris, elle s’intéresse de moins en moins à mon pieu. Et je suis tout-à-coup inondé par une vague au goût de miel qui me surprend, mais qui ne me fait pas abandonner mon travail… J’avale avec plaisir tout ce qu’elle me donne. Elle se crispe soudain, se cambre, je suis obligé de lâcher prise, elle crie, des spasmes la secouent pendant de longues secondes. J’avoue que je ne suis pas mécontent de ma première prestation ! Quant à Alexa …
- Ben mon gamin, tu m’as eue ! Je t’ai laissé te débrouiller tout seul, j’étais prête à corriger si ça n’allait pas, mais tu es doué, tu m’as fait jouir comme un grand. Tu es sûr que je suis ta première femme ?
- Mais oui, je te l’ai déjà dit.
- J’ai été tellement surprise que je t’ai laissé tomber, mais on va réparer ça.
Elle remonte à côté de moi, m’embrasse sur la bouche, longtemps, avec une tendresse qui me paraît avoir plus à voir avec une amoureuse qu’avec une professionnelle du sexe. Puis elle se niche sur mon épaule, je sens ses seins s’écraser sur mon torse, elle les fait bouger doucement. Elle rampe sur moi d’avant en arrière, en descendant un peu plus chaque fois, jusqu’au moment où - enfin ! – elle peut me reprendre dans sa bouche. Je bande à nouveau, c’est gai d’avoir quinze ans ! Mais au moment où je me dis qu’elle est obsédée de la fellation, elle se redresse sur ses genoux, me chevauche, positionne son bassin au-dessus du mien…
- Prêt, mon chou ?
- Ouiiiiii…
Et là, c’est plus grandiose que tout ce que j’ai pu imaginer dans mes fantasmes de pensionnaire. Cette femme magnifique se laisse doucement descendre sur mon sexe, je sens qu’elle me pompe littéralement, je la pénètre avec une facilité sidérante, elle commence à remuer sur moi. Plus ou moins consciemment, mes hanches se soulèvent en rythme pour accompagner ses mouvements. Elle prend mes mains, les pose sur ses seins. Je les caresse de plus en plus fort, en accord avec notre copulation qui devient de plus en plus violente, elle me fait presque sortir de son vagin, m’y rentre tout doucement, remonte, descend d’un coup… J’essaie de suivre son rythme, mes reins sont en feu.
- Tu tiens, mon chou ?
- Oui, ça va encore pour le moment.
- Ne t’inquiète pas, tu peux venir à l’intérieur, pas de problème. Mais essaie quand même de refaire ton exploit de tout-à-l’heure, c’était très bon.
- J’essaie…
Ou bien c’est une simulatrice de premier ordre, ou bien je ne m’y prends pas trop mal : elle recommence à gémir, ralentit la cadence, mais c’est moi alors qui impose mon rythme et lui donne de grands coups de reins, son souffle se précipite, elle crie, et m’inonde pour la deuxième fois, en se laissant tomber sur moi elle me souffle :
- Vas-y, mon petit amour, lâche tout !
Mais j’ai compris comment elle fonctionne, je ralentis jusqu’à ce que je la sente exaspérée, puis j’accélère d’un coup et je libère en elle de nouvelles giclées de mon sperme d’apprenti baiseur. Elle hurle à nouveau, m’insulte puis m’embrasse passionnément. Elle n’en peut plus, moi non plus cette fois. Nous nous installons en cuillère, elle pose ma main sur son sein et l’autre sur son sexe dont coule un filet de ma sève, et pousse entre ses fesses ma verge qui se ramollit doucement.
- Tu es bien, là ? Comment as-tu trouvé ta première fois ?
- Aussi fantastique que mon professeur, Alexa. Mais pourquoi fais-tu tout ça ? Tu pourrais te contenter de me surveiller, de m’occuper pour que je ne fasse pas de conneries par ennui, et tu me donnes des leçons formidables. Je vais avoir peur de recommencer avec une autre, peur de ne jamais revivre cette magie où tu m’as entraîné.
- Tu parles bien, mon gamin. Mais dis-toi que tu me plais bien, c’est tout, et que c’est un plaisir de baiser avec toi. Tu es un très bon élève, on recommencera si tu veux, mais je suis surtout ta gardienne. Ne l’oublie pas. Tu en sauras plus ce soir.
Ses paroles sont sèches, mais le ton ne l’est pas… Je me redresse et je vois que ses yeux sont humides. Qu’est-ce que tout ça veut dire ?
En attendant, elle se dégage, s’arrange pour me tourner le dos, file à la salle de bains pour prendre une douche. Elle m’engueule quand je veux la rejoindre, je reviens piteusement me rasseoir sur le lit. Je n’ai quand même pas rêvé les mots tendres qu’elle m’a criés en jouissant, elle avait l’air sincère. J’en déduis qu’elle a peur de s’attacher… ou peur que je m’attache ? Bon, on verra bien, je n’ai quand même pas beaucoup de prise sur les événements. Attendons ce soir puisqu’elle m’a promis des explications.
Pendant toute la journée je refais des tentatives d’approche, mais en vain, elle est fermée comme une huître. Elle me glisse seulement à voix basse que je la remercierai ce soir. Je n’y comprends rien.
Tout au moins jusqu’à l’arrivée tout-à-fait inattendue de ma mère ! Alexa s’éclipse, c’est le chauffeur qui prend la parole après nos effusions… Maman ne comprend pas plus que moi ce qui se passe. Nous allons malheureusement le savoir très vite.
- Notre commanditaire est très fâché, maître Raglanda. Vous avez plaidé aujourd’hui tout-à-fait normalement, à croire que vous vous foutez de la santé de votre fils. Il nous a donc ordonné de passer à la phase 2 de son plan, et c’est pour ça que nous sommes allés vous chercher chez vous.
Nous allons d’abord vous montrer comment votre bébé occupe ses journées de captivité. Ensuite nous vous donnerons la marche à suivre pour la suite des événements.
Ils nous font asseoir l’un à côté de l’autre sur le divan qui fait face à la télé grand écran. Ils sont très calmes, mais je sens maman trembler à côté de moi. Nous nous demandons tous les deux à quoi rime cette mise en scène.
Marko (il nous a dit de l’appeler ainsi, en insistant sur le K) insère un DVD dans le lecteur, en tend le boîtier à maman avec un petit sourire ironique. L’illustration est sans équivoque, Alexa et moi sommes en plein coït. Maman me regarde bouche bée :
- J’avais vu qu’elle t’aime bien, mais à ce point-là…
- Je suis désolé que tu voies ça, maman.
- Mais pas de l’avoir fait, sans doute !
- Ben non, si tu savais…

- Oh mais, intervient Marko, elle va savoir !
Il appuie sur PLAY, tous nos ébats ont été filmés, du lit à la salle de bains et retour au lit ; jusqu’à la fin du DVD j’entends les gloussements des deux gorilles, et leurs commentaires salaces.
Je suis horriblement gêné, je fixe la pointe de mes pieds, quand j’ose enfin regarder ma mère je suis très surpris de la voir me sourire avec indulgence.
- Eh bien ça y est, c’est fait, mon petit garçon est un homme. Et il a de la chance, il a un très beau et très bon professeur. Rien de tel qu’une femme mûre pour initier un puceau ! Je ne te demande pas si tu as aimé…
- Maman …

- Et comment, qu’il a aimé, le gamin. Maintenant, les choses sérieuses : vous allez refaire tous les deux ce que nous venons d’admirer. Bien sûr ce ne sera plus une inauguration pour « mon chou » mais je suppose que ce sera la première fois avec maman ! Et pas de simulation s’il-vous-plaît, sinon c’est Boris et moi qui prendrons la place du gamin et nous ne sommes pas aussi doux, loin de là. Allez, en piste !

Nous nous regardons bouche bée, maman est la première à se ressaisir. Elle se lève, me prend la main et me conduit vers le lit.
- Allez, foutez-vous à poil tous les deux !

Maman déboutonne lentement son chemisier, elle est en soutien-gorge, bien que j’aie l’habitude de la voir ainsi la tension sexuelle est telle dans la pièce qu’à ma grande honte je sens que je commence à bander. Elle s’en aperçoit, me fait un clin d’œil, fait glisser sa jupe… Mais qu’elle est belle ma mère !
Je vois sa culotte sous ses collants noirs, avec les hauts talons c’est encore plus érotique, mon sexe commence à être à l’étroit dans mon pantalon. Je m’en débarrasse, enlève mon t-shirt, puis mon slip. Pour la première fois de ma vie je bande pour ma mère. Et à voir ses yeux qui pétillent et la tache humide sur sa culotte, cela ne lui déplaît pas trop… Elle fait sauter les vêtements qui lui restent, s’approche de moi, me prend dans ses bras, attire ma bouche vers la sienne, et me roule un baiser torride. Je reste pétrifié, elle approche sa bouche de mon oreille, en nous faisant pivoter pour que les deux affreux ne voient pas ses lèvres :
- Joue le jeu, mon chéri. Tu les as entendus… Tu préfères que ce soient ces brutes qui s’occupent de maman ? Et puis, avoue que je te fais de l’effet…
- OK. Je te demande pardon à l’avance, maman chérie…
- Vas-y !
- Oh maman… que tu es belle, quelle chance j’ai d’avoir une maman si magnifique et de pouvoir lui montrer à quel point je l’aime… Pour la première fois je te vois comme une femme et plus comme une maman… J’ai envie de toi.
Et nous jouons un remake de la première scène avec Alexa. Maman est nue contre moi, nous nous embrassons comme des furieux, ses tétons durcis caressent mon torse, elle presse mon pubis contre le sien, j’essaie de rester concentré pour ne pas éjaculer sur elle, en tout cas pas si tôt. Au moment où je vais craquer, elle me repousse gentiment, me prend par la main et m’emmène vers le lit où elle me fait m’étendre. Elle se couche à côté de moi, reprend ma bouche, et … tend la main vers mon sexe qui se dresse fièrement.
- Que tu es beau mon fils, quelle belle verge, tu feras des heureuses, mais commence par ta mère, depuis le temps que j’en ai envie…
- Maman…
- Chut ! Détends-toi, ça va bien se passer.
Et elle se courbe sur moi pour déposer un baiser sur mon pénis. Mais là elle sort du canevas, elle le prend en bouche et me fait une fellation extraordinaire. Il me faut toute ma volonté pour ne pas comparer avec celle d’Alexa, mais la bouche de ma mère est si douce, elle me suce avec une telle expertise que je me demande comment mon connard de père a pu quitter une femme pareille.
- Préviens-moi quand tu es prêt à venir, nos spectateurs n’ont pas envie sans doute que la performance se termine trop vite.
- J’ai bien peur que ce soit tout de suite…
Elle serre le bas de mon sexe, me fait respirer profondément jusqu’à ce que la sève prête à jaillir retourne en attente. Quand elle sent que je suis calmé elle m’attire vers ses seins, m’en présente un, que je m’empresse de sucer. Elle soupire de plaisir, m’installe comme l’a fait Alexa hier, un grand bébé – sauf qu’aujourd’hui c’est ma mère que je tète, quinze ans après. Je n’en reviens pas ! Elle alterne, un sein puis l’autre (pas de jaloux !), me donne des instructions : tourne autour du téton, lèche-le, mors-moi doucement, ta langue seulement, tes lèvres maintenant …
Elle a repris mon sexe dans sa main, me masturbe doucement, joue avec mes testicules, me murmure des mots d’amour – je ne sais plus si c’est ma mère qui me parle, ou ma partenaire sexuelle ! Nous sentons que l’impatience grandit chez les voyeurs, elle accélère la cadence de ses allers-retours, je sens que je vais venir, je la préviens, elle innove à nouveau : elle plonge vers ma verge et la prend en bouche pour avaler tout mon sperme. Elle me regarde, je vois tellement d’amour dans ses yeux levés vers moi que je n’ai jamais été aussi heureux. Je viens de comprendre que depuis cet instant elle est à la fois ma maman et mon amante, et que quoi qu’il arrive nos vies ne seront plus jamais les mêmes.
- C’est vrai que tu as bon goût, à toi de me déguster maintenant.
Elle s’installe pour me présenter ses fesses et son abricot, me reprend en bouche et commence à me sucer. De mon côté je caresse son sexe, son cul, avec mes doigts d’abord, puis j’y mets la langue, je la lèche, je l’embrasse, sa fleur s’ouvre de plus en plus. C’est avec les doigts que je trouve son clitoris, je le caresse puis je le fais rouler, maman me fait savoir qu’elle apprécie. Ma langue prend le relais, je l’entre en elle, je tourne, je lèche, j’attrape le bouton d’amour et je le suce comme elle me suce la verge. Elle n’a pas le même goût que mon initiatrice, je ne sais pas comment l’expliquer, son jus sent la femme bien sûr, mais il y a autre chose… quelque chose de maternel, qui m’émeut à me donner les larmes aux yeux. Je déguste ce nectar, elle semble inépuisable. Mais à ses contractions je sens monter son plaisir, elle gémit :
- Oh oui mon grand garçon, fais jouir ta maman, oui …. Je t’aime mon fils, mon homme !
Elle crie son bonheur, se laisse aller complètement dans ma bouche, mais elle devine que je vais me laisser aller moi aussi. Alors sa main enserre à nouveau la base de mon pénis, jusqu’à ce que je me sois maîtrisé. Elle se retourne, se positionne sur moi, sa main me reprend, me présente devant sa fente, et elle se laisse descendre. Je suis dans maman ! Ce bonheur était inconcevable il y a quelques jours, je ne l’avais même jamais imaginé, c’était ma très belle maman mais je ne l’ai jamais désirée, je n’ai jamais fantasmé sur elle mais plutôt sur ses amies qui venaient prendre le thé à la maison… Et me voilà en train de lui faire l’amour… parce que c’est bien ça que je fais : j’essaie de tirer parti des leçons d’Alexa pour donner à maman le plus de plaisir possible, et elle participe de tout son cœur ! Je ne sais pas ce qu’espéraient les preneurs d’otages, mais sans doute ne s’attendaient-ils pas à voir leur stratégie échouer aussi piteusement. Non seulement nous ne souffrons pas d’être obligés à nous unir, mais nous aimons ça ! Ma splendide mère me fait coulisser en elle, je pousse mon bassin vers le sien, je change l’angle de pénétration quand elle redescend, je sens mon gland heurter la paroi de son vagin et le fais glisser dessus… En même temps j’ai passé une main entre nous deux, vers le dessus de son sexe j’ai trouvé son clitoris, je le masturbe comme elle m’a masturbé tout-à-l’heure. Il ne faut pas longtemps pour que je doive à nouveau la prévenir que je vais éjaculer, elle me dit qu’elle veut tout en elle, je lui obéis. Cette fois ce n’est plus un cri que pousse ma mère, mais un hurlement. Elle se tétanise, reste arquée quelques secondes, puis s’abat sur ma poitrine, elle est secouée de spasmes , elle rit, elle pleure… Je ne sais pas quoi faire, mais elle se calme doucement et prend mes mains qu’elle pose sur ses seins.
- Merci mon amour, tu es le meilleur amant que j’aie jamais eu, et je suis la plus heureuse des mamans.
Si Alexa a assisté à la scène, j’espère qu’elle est fière de son élève !
Elle rentre justement, l’air mécontente.
- Je vous l’avais dit ! Et maintenant, qu’est-ce qu’on fait ?
- On la reconduit chez elle, et on demande des instructions au patron.
Maman a juste le temps de m’embrasser, les gorilles ramassent ses vêtements et l’emmènent, elle se retourne au dernier moment pour m’adresser un baiser muet. Je reste figé, tourné vers la porte qui les a avalés, elle et ses gardiens. J’ai peur de ce qui pourrait arriver maintenant, j’ai bien vu qu’Alexa est furieuse, leur plan n’a pas fonctionné comme prévu.
- Mon chou ? Tu sais que je suis là ?
- Je peux me rhabiller ?
- Bien sûr que non, nous n’en avons pas fini tous les deux. Très belle prestation, je suis contente de mon élève. Mais j’ai encore des choses à t’apprendre, Don Juan.
- Tu crois que j’ai le cœur à ça ?
- Le cœur je ne sais pas, mais la verge il faudra bien.
- Qu’est-ce qui va se passer maintenant, Alexa ?
- C’est le patron qui décide, je ne suis comme toi qu’un pion sur son échiquier.
- Un très beau pion, d’ailleurs…
- Charmeur ! Tu ne peux pas t’en empêcher, hein ? Même si tu as peur, faut que tu dragues !
- Il faut que je TE drague, mon adorable prof. Je n’ai pas envie que tu sois fâchée contre moi.
- Ah non ? Et je n’ai pas de raison d’être jalouse, peut-être ? Il aime bien sa maman, le grand garçon !
- Je suis le premier surpris de ce qui s’est passé, je ne l’aime pas bien, je l’aime tout court ! C’est votre faute, vous nous avez obligés à nous regarder comme une femme et un homme au lieu d’une maman et son fils. Et ç’a été une révélation pour nous deux… Depuis toujours nous nous voyons nus, mais aujourd’hui à cause de vous nous nous sommes regardés. Et ce que nous découvrons nous plaît beaucoup à tous les deux ! Nous sommes faits pour être une femelle et son mâle, c’est évident. Cela n’aurait servi à rien de résister, de toute façon c’est ce que vous vouliez, non ?
Pendant cet échange elle s’est déshabillée, s’est collée contre moi, a pris mon sexe et a commencé à me masturber.
- Je vais te faire juter une fois, tu tiendras le coup plus longtemps après.
Elle s’agenouille devant moi, me prend en bouche, et entame une fellation diabolique. On dirait qu’elle a trois langues ! Elle me lèche sur toute la longueur de mon pénis, le prend en bouche, agace le méat du bout de sa langue, m’engouffre jusqu’au fond de sa gorge, me relâche, me rattrape… Entretemps elle joue avec mes testicules, et alors c’est sa bouche qui glisse sur mon dard ; ou c’est l’inverse, elle suce mes boules comme de gros bonbons et c’est sa main qui me caresse. Je la préviens, loin de me lâcher elle me retient dans sa bouche et avale tout le sperme que j’éjacule. Je devine qu’il y a comme une compétition, elle veut me donner autant de plaisir que maman…
- Voilà, ça c’est fait. A mon tour maintenant, mon chou. Mange-moi la chatte, comme tu l’as si bien fait tout-à-l’heure avec l’autre.
Quand je disais que c’était un concours ! Elle s’installe au bord du lit, les fesses juste en porte-à-faux, et relève les genoux. Elle m’offre une vue superbe sur son sexe de blonde, je vois qu’elle mouille déjà abondamment. Je m’agenouille, ma bouche est juste à la bonne hauteur, et j’entame la liturgie… Je fais durer le plaisir, j’essaie de ne pas me servir de mes mains. Je suce ses lèvres, ma langue les écarte, elle gémit et se soulève à ma rencontre. Ma langue la fouille, tourne en elle, entre, sort… Quand je la sens prête à jouir je la fais pivoter pour pouvoir me mettre à angle droit, ma langue puis mes lèvres ont attrapé son clitoris, je la masturbe, c’est le bon moment pour glisser un doigt puis deux à l’intérieur de son vagin, les allées et venues augmentent son plaisir, je varie le rythme, je suis inondé de cyprine que j’avale avec délectation. Je sens qu’elle se retient, mais elle n’est plus de taille, l’élève a dépassé le professeur : mes doigts lubrifiés par sa mouille quittent l’avant pour l’arrière, je lui enfonce un doigt dans la rosette, puis deux. Elle se soulève sur les pieds et les épaules, reste tétanisée, puis se laisse retomber en criant, et cède enfin à l’orgasme qui la laisse pantelante au bout de mes doigts. Quand elle a soufflé un peu, elle m’attire sur elle et me donne sa bouche, c’est un baiser d’une tendresse inouïe. Puis elle me garde sur son épaule, mais un reniflement la trahit :
- Tu pleures ? Alexa, je t’ai fait mal ? C’était pas bien ?
- Idiot ! Mais non, mon chéri, tu m’as plutôt fait trop de bien ! Je ne m’attendais pas à une telle jouissance avec un gamin qui était encore puceau hier, voilà !
- Tu me caches quelque chose, Alexa. Dis-moi ce qui t’arrive.
- Ce qui m’arrive c’est que je ne pourrai jamais t’oublier, quoi qu’il se passe maintenant. Mais toi dès que tu retrouveras l’autre, tu m’oublieras ! Ce qui m’arrive c’est que je suis amoureuse d’un enfant, mais lui est amoureux de sa mère ! Ce qui m’arrive c’est que pour la première fois je perds le contrôle, et que je ne sais pas du tout ce que nous allons devenir. J’avais ordre de filmer ce que nous venons de faire, et je n’ai pas branché la caméra. Déjà aujourd’hui je n’ai plus voulu faire l’amour avec toi, j’ai fait semblant d’être fâchée, pour que tu ne doives pas faire certaines choses avec ta mère. Ils ne sont pas idiots, il y aura des conséquences…
- On ne leur dira pas ce que nous avons fait, ils ne pourront pas le savoir, je jouerai la mauvaise volonté et tu leur feras croire que tu n’es pas arrivée à me faire bander, que je ne pense qu’à maman…
- Tu vois bien !
- Alexa, ma douce, c’est moi qui ai quinze ans mais c’est toi qui es jalouse comme une ado !
Ses pleurs redoublent, elle m’interdit de l’appeler « ma douce », son père l’appelait ainsi en la caressant quand elle était enfant. Décidément nous ferions les délices de Freud, avec nos amours incestueuses…
Je ne vois qu’un moyen de la calmer : je l’écarte de moi et me penche sur ses seins, les frémissements de son chagrin se calment peu à peu pour céder la place à de petits soupirs de plaisir. Je fais tourner ma langue autour des tétons, je les lèche, je presse ses seins l’un contre l’autre et les suce tour à tour, je les mordille comme le chiot auquel elle me comparait hier. Elle a repris ses esprits, alors je la laisse diriger les opérations, puisqu’elle se plaint de n’avoir plus le contrôle. J’y ai d’ailleurs tout intérêt, c’est un excellent mentor. J’obéis donc au doigt et à l’œil – surtout quand elle m’annonce que je vais la prendre par derrière. Encore une première fois !
Avec sa maestria habituelle, elle me fait durcir dans sa bouche, vérifie qu’elle est bien mouillée, et quand elle nous estime prêts tous les deux elle se remet à quatre pattes, me présentant à nouveau son sexe lubrifié. Comme elle fait saillir son derrière, le spectacle est magnifique, j’en reste médusé mais elle me rappelle à l’ordre :
- A genoux derrière moi. Caresse-moi encore un peu, pour que nous ayons bien envie tous les deux. Tu peux prendre mes seins si tu veux…
- Tu penses si je vais m’en priver !
- Très… ooohh… très bien. Présente-moi ton pénis maintenant, que je l’attrape par en-dessous pour te mettre en moi. Voilà, je te tiens…oooohh… tu y es. Au travail maintenant, mon chou !
Je me courbe sur elle pour ne pas devoir lâcher ses seins, et j’entame la danse sacrée qu’elle m’a si bien apprise. Avant, arrière, dedans, presque dehors… Mais elle ne peut rester inactive et commence à accompagner mes mouvements, je suis obligé de quitter sa poitrine pour m’accrocher à ses hanches. Je me redresse, je découvre de nouvelles sensations, ma bourse cogne sa chatte tellement nous nous donnons. Je me concentre pour ne pas penser à maman, je fixe une goutte de sueur qui ruisselle le long de son dos, je m’efforce de n’être plus qu’une mécanique à plaisir. Elle envoie sa main vers son clitoris, commence à le triturer, en profite pour serrer mon sexe au passage. Je suis presqu’au bout de ma résistance mais je persiste à la travailler de plus en plus sauvagement, elle est obligée de reprendre appui sur ses deux mains. Elle se cambre en arrière, secoue sa chevelure que je saisis au vol pour la fléchir encore plus vers moi, elle ouvre grand la bouche, et me rugit de lâcher tout, maintenant ! Elle-même se met à trembler, mon pénis est presque éjecté de son vagin tellement elle envoie de mouille, le lit va être trempé, d’un mélange de sa cyprine et du sperme que je viens d’éjaculer en elle. Nous avons notre orgasme en même temps, elle utilise les muscles de son sexe pour me retenir en elle, et nous fait basculer sur le côté, nous nous retrouvons en cuiller. Je couvre à nouveau sa poitrine de mes mains, ses tétons sont hypersensibles, elle frissonne dès que je les touche, je ne bouge plus, elle non plus, nous pourrions rester toujours comme ça, repus, en harmonie parfaite…
Mais cette accalmie ne dure pas longtemps. Nous ne savons pas combien va durer l’absence des gardiens, et elle veut encore m’apprendre quelque chose « off camera ».
- Je me doute bien que tu n’es pas demandeur, mon chou, mais tu vas m’enculer.
- Pardon ? En effet je ne suis pas du tout attiré par cette pratique !
- Je sais. Mais elle est au programme, et tu me remercieras plus tard de l’avoir découverte dans de bonnes conditions et de savoir comment éviter de faire souffrir ta partenaire, surtout si pour elle c’est la première fois. Nous faisons toutes notre mijaurée devant la sodomie, mais quand certaines d’entre nous y ont goûté elles ne veulent plus que ça. Donc tu dois l’apprendre. Au boulot !
- Mais laisse-moi souffler, je ne suis pas un robot !
- Pas le temps. On va se mettre en 69 pour que je te retape, mais toi tu ne t’occuperas que de mon petit trou. Avec tes doigts d’abord, avec ta bouche ensuite. Et quand on sera bons, on y va !
Je suis un peu étonné par cette nouvelle crudité de langage, mais je suppose qu’elle est due à l’urgence de la situation. Plus le temps de faire de la dentelle, il faut que je sois en ordre de bataille le plus vite possible.
Tandis qu’elle s’applique consciencieusement à me redonner vigueur, je consacre toute mon attention à son petit trou, comme elle me l’a dit si joliment. Sa rosette me fait de l’œil, si j’ose à mon tour me montrer un peu trivial. J’ai la bonne idée d’aller chercher de la mouille dans sa chatte, j’en enduis soigneusement son anus, avant d’y introduire doucement un doigt que je fais coulisser sans résistance ; puis deux, puis trois. L’orifice est maintenant suffisamment élargi pour que je puisse y mettre le bout de la langue, puis la langue entière, que je fais virevolter jusqu’à arracher quelques petits cris à ma partenaire. De son côté ses efforts sont couronnés de succès, mon membre viril recommence à mériter son nom et s’érige à nouveau.
- Voilà voilà. On y va, mon chou ?
- Puisqu’il le faut…
- Ha ha. Attends de voir, pas de préjugé défavorable.
- D’accord, mon chou.
- Ah non, hein.
- D’accord, mon Alexa.
- J’aime mieux ça.
Elle se dégage, me chevauche, mais en me tournant le dos. Elle s’accroupit au-dessus de ma verge, la positionne à l’entrée de son joli cul, la maintient solidement en se laissant descendre. Je sens d’abord une résistance, mais elle insiste et mon gland franchit la barrière, je suis en train de faire ma première sodomie. C’est Alexa qui a pris les commandes, je suis passif, elle a bien compris que je ne ferais pas beaucoup d’efforts pour réussir cette première. Elle se démène donc sur mon pénis, en femme d’expérience elle alterne les descentes brusques avec les mouvements tout en douceur, ses parois internes malaxent littéralement ma verge, mais comme je ne participe toujours pas elle accélère pour en finir plus vite. Elle ne jouira peut-être pas mais elle me fera éjaculer, je ne sais même plus pour la quantième fois aujourd’hui. Et elle n’a pas beaucoup de mal à me faire venir en elle, je n’éprouve aucun plaisir mais je me sens soulagé. Je crains un peu qu’elle soit fâchée par mon manque d’enthousiasme…Mais mes craintes sont injustifiées, elle me laisse sortir d’elle, vient près de moi, me sourit…
- Mission accomplie, mon chéri. Ce que je pourrais encore t’apprendre relève plus de la perversion que de la sexualité, et je ne joue pas dans cette cour-là.
- Je te demande pardon pour mon manque de collaboration, mais ce n’est pas de la mauvaise volonté, réellement je n’ai pas envie de ça.
- C’était visible ! Mais je ne t’en veux pas, tu es tellement enthousiaste pour tout le reste que ça compense largement ! Allons vite nous doucher, il faut refaire le lit pour essayer de camoufler les témoins de tes exploits.
- De nos exploits, mon Alexa ! Le moins que l’on puisse dire c’est que je n’étais pas tout seul !
Nous avons retendu un drap frais sur le lit, Alexa a lancé une machine, nous avons pris place chacun dans un coin du séjour en nous efforçant de nous faire la gueule pour donner le change. La clé tourne dans la serrure, il était temps ! Mes ravisseurs me jettent à peine un regard, ils entraînent Alexa vers la chambre, je les entends lui parler sur un ton calme mais qui ne souffre pas de contradiction. Quand elle revient elle a les larmes aux yeux, les deux affreux sortent sans m’avoir regardé.
- C’est fini, mon petit chéri. Tu vas rentrer près de ta maman chérie, la faire profiter de mes leçons.
- Explique-moi, Alexa.
- Ta maman abandonne la défense de Roskovitch. Ils l’ont menacée de diffuser sur les réseaux sociaux la vidéo de vos ébats, et elle a jeté l’éponge. Sa carrière au barreau est terminée, ses supérieurs n’ont pas apprécié qu’elle annonce son retrait « pour convenances personnelles ».
- Pauvre maman, son métier c’est toute sa vie.
- Plus maintenant qu’elle s’est découvert un jeune étalon à domicile ! Je lui fais confiance, elle va bien s’occuper de toi, et tu m’auras vite oubliée !
- Ce n’est pas vrai, mon Alexa ! Je ne t’oublierai jamais, je crois bien que je penserai à toi chaque fois que je ferai l’amour. Comment oublier ma tendre initiatrice ?
- Encore tes mots … mais j’avoue qu’ils font plaisir à entendre. Tu seras le meilleur souvenir de ma drôle de vie, mon chou, même si je regrette presque de t’avoir rencontré. A cause de toi j’ai découvert ce que c’est qu’être amoureuse, et surtout ce que c’est que de perdre un amour qu’on vient juste de trouver… C’est comme ça, je suppose qu’il fallait bien que ça m’arrive une fois, juste salaire d’une vie de courtisane.
- Mais toi aussi tu parles bien, Alexa ! Toi aussi tu trouves les mots justes.
- Dans une autre vie j’étais prof de littérature, mon chéri, avant de devenir prof de sexe… Mais c’est trop long à t’expliquer, ils vont venir te chercher. Embrasse-moi une dernière fois, et si tu veux laisse-moi une adresse courriel, je t’enverrai le récit de mes tribulations.
- Tu ne peux pas me laisser comme ça, je veux te revoir !
- Allons, sois sincère, c’est ta maman chérie que tu veux revoir. Et ça tombe bien, pendant un moment tu vas l’avoir pour toi tout seul. Profitez-en bien, au moins jusqu’à ce qu’elle se trouve un autre job ! Et ne m’oublie pas trop vite. C’est idiot mais je t’aime…

Ma mère a repris son nom de jeune fille, nous avons quitté Paris pour Narbonne où elle est associée dans un cabinet d’avocats d’affaires, spécialisé dans le domaine viticole. Je recommence mon année scolaire, ce n’était plus possible de continuer au Lycée et encore moins au pensionnat. A la maison nous vivons nus en permanence, nous profitons du climat et de l’isolement de la villa. Les premiers temps nous nous sautions dessus dès notre réveil, nous nous sommes un peu calmés mais nous avons toujours aussi faim l’un de l’autre. Quelques gamines de l’école me tournent autour, et même une prof de gym. Maman m’a présenté à plusieurs de ses collègues avocates ou juristes, mais je sens bien que quand je me montre intéressé cela la rend malheureuse, et elle reste ma seule maîtresse comme je suis son seul amant… La seule chose qui importe est que nous restions unis quoi qu’il arrive. Nous nous disons que nous avons beaucoup de chance, d’être à la fois des amants sexuellement comblés, un couple d’amoureux, et une mère et son fils qui s’aiment tendrement.
Quant à Alexa, je ne l’ai plus jamais revue. Mais elle m’a envoyé sa biographie, le moins qu’on puisse en dire est qu’elle a eu une existence mouvementée. Peut-être la raconterai-je un de ces jours…

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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Commentaires de l'histoire :

Ralfie
S’il avait 18 ans,alors IL NE POUVAIT PAS DIRE qu’il sucait le seins de sa mere “quinze ans apres”!IL N’A PAS ETE ALLAITE JUSQU’AU 3 ANS!Sois REALISTE dans ce que tu ecris!
Posté le 29/04/2021

onkaiujmar
excellent! prière pour une suite et merci
Posté le 10/04/2021

Antigonos
Un récit captivant qui se lit avec deux yeux... et une main (:
Posté le 25/09/2020


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