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Soumission impromptue d'une coquine hésitante

Robin et Marion forment un couple charmant sous tous rapports, rencontré un mois de décembre. Nous ne sommes que quelques-uns à savoir en quoi ils se transforment quand vient le moment de libérer leur bestialité...cette soirée fut tout simplement inoubliable.

Proposée le 26/08/2020 par Créatif21

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Thème: Femme dominée
Personnages: FHH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


Marion et Robin formaient un couple charmant, la trentaine, et leur goût assumé pour le sexe leur avait fait franchir sans complexe les portes du libertinage. Ce qui faisait déjà un sérieux point commun avec votre serviteur. Après plusieurs échanges par messages avec Madame, je les ai rencontrés dans un petit fast food, entre midi et deux, avant qu'eux comme moi ne retournions au travail. Dès que je l'ai aperçue dans ce lieu qui pourtant ne prédisposait en rien à la séduction, j'ai été sous son charme. Menue, elle avait une gueule d'ange et portait des lunettes soulignant un regard quelque peu mutin, plein de promesses. Sa tenue semblait le confirmer : petites bottines rouges, un haut raffiné orange pourvu d'une dentelle transparente qui laissait entrevoir un décolleté généreux...mais le premier "détail" qui m'a émoustillé était sa jupe courte, sous laquelle se distinguait tout juste le haut de ses bas. Je n'ose imaginer l'état dans lequel devaient se trouver ses collègues de travail à ses côtés ! Forcément, une femme aussi sexy était un remède imparable à l'absentéisme (des hommes) et devait favoriser l'esprit d'équipe..."L'esprit de baise en équipe", ne puis-je m'empêcher de penser au fil de la discussion, pleine de discrètes perches tendues et délicieusement saisies...


Je vois le sexe comme un moyen d'exister tel qu'on est au fond de nous-mêmes, de libérer la part animale que le vernis social nous empêche (théoriquement, car ce vernis craque chez certains !) d'arborer au quotidien. Faire vivre cet animal la nuit permet de mieux vivre en tant qu'humain le jour. J'aime dominer, et je m'amuse régulièrement de l'image douce et gentille que me renvoient sur moi-même les gens que je rencontre. Marion, justement, m'écrivit plusieurs mois après notre rencontre, et après d'autres échanges en pointillés suivis de longs silences me dit, un peu gênée qu'en fin de compte mon "profil sexuel" ne lui convenait guère. Elle m'avoua qu'elle préférait effectivement être dominée pendant les ébats, ce qui ne pouvait pas correspondre avec ce qu'elle devinait de moi. Elle ajouta qu'elle serait en revanche ravie que l'on se revoie pour discuter, au regard de nos affinités et points communs - formule de politesse classique. "Dont acte", me dis-je...Je refermai la parenthèse, laissant une porte entre-ouverte, si jamais.


Les mois passèrent, des mois qui pourraient faire l'objet de nombreux récits ici mais ne nous éparpillons pas !!


Un jour où j'avais presque oublié Marion (et complètement, son mari), Robin m'envoya un message m'indiquant qu'ils étaient de passage dans ma ville pour la journée, et me demanda si j'étais disponible pour qu'ils passent me voir avant de repartir. L'heure de l'apéro était la plus naturelle. On est en France n'est-ce pas ! Il précisa qu'il s'agissait juste de "me faire un petit coucou, entendu ?" Bien sûr, entendu...


Le début de soirée fut très agréable, passée une certaine gêne après tous ces messages laissés sans réponse depuis plusieurs mois...après le moment des justifications vint le moment de raconter nos rencontres respectives. Les belles rencontres, dont le récit nous émoustilla, comme les grosses déconvenues, qui nous firent rire. Quelques verres passant, je sentais Marion de moins en moins sur la défensive et plus coquine…évolution imperceptible mais bien rélle. Son mari la dévorait des yeux...elle avait désormais la main négligemment posée sur sa cuisse. Ses jambes croisées laissaient apercevoir le haut dénudé de ses cuisses, que ses bas rendaient décidément toujours aussi bandantes. Le temps passé à se "faire juste un petit coucou" était bel et bien dépassé depuis longtemps ! Nos verres étant vides, je ressortis les bouteilles, et d'un geste, leur proposai de les resservir. Acquiescement de leur part...mais Robin regarda sa montre au passage. Signal d'alerte.
« Robin ? Tu prends quoi ?
- Un kir, s'il-te-plaît. »
Je marquai un temps d’arrêt…une hésitation…vite évanouie.
« Quant à toi Marion...qu'est-ce que tu vas prendre... » lui dis-je en lui plantant sans retenue mon regard dans le sien, et en osant transformer cette question en quasi affirmation.


Quitte ou double.
Ce moment où l'homme est sur le point de sauter d'une corniche à l'autre, et qu'il peut soit tomber lamentablement dans le précipice du ridicule, soit réussir à franchir les quelques mètres qui le séparent du sommet qu'il veut conquérir. Un moment tellement redouté le plus souvent, mais qui en même temps fait se sentir tellement vivant. Humain, animal, fragile, invulnérable, tout à la fois.


Marion, subitement interloquée, chercha alors le regard de son mari, qui rit de bon coeur et la regarda d'un air amusé. Il l'embrassa alors à pleine bouche avant qu'elle n'ait pu dire un mot. Mis en confiance par ce nouvel allié que je bénis en secret, j'embrassai langoureusement le cou de Marion, qui se laissa faire. Ma main effleura le galbe d'un de ses seins. J'eus alors une irrésistible envie de muer...que je ne retins pas le moins du monde. Le vernis partit en éclat...je l'embrassai à mon tour, lui mordillai l'oreille, et, transformé, lui murmurai :
"Je veux que tu suces sa queue, devant moi. Tu vas être notre chienne, ce soir..."
Docile, elle s'exécuta, déboutonnant le jean de son mari, et avalant une queue qu'elle connaissait manifestement par coeur...Pendant qu'elle devenait de plus en plus imposante dans sa bouche, je pris Marion par les cuisses, l'allongeant délicatement sur mon canapé-banquette de manière à lui écarter les jambes sans qu'elle ait à arrêter ses allers-retours sur le vît puissant de son homme. Sa bouche l'engloutissait et le faisait ressortir luisant, et elle jouait à lécher son gland avant de l'enfourner d'un coup sous les gémissements de son partenaire, qui même s'il l'attendait, n'en espérait pas tant...Je sentais Marion déjà au comble de l'excitation, et j'en eus rapidement la confirmation lorsque, sans prévenir, je soulevai sa jupe, écartai sa culotte et gratifiai son clitoris d'un coup de langue bien placé. Elle était, déjà, trempée. Je jouai à embrasser l'intérieur de ses cuisses, frôlant son sexe de mes lèvres, et lui délivrant des coups de langue furtifs qui la faisaient tressauter de désir et mouiller plus que jamais. Ma main caressait en même temps ce sexe délicieux, pendant que l'autre explorait un de ses seins sous son haut...elle quitta un instant la queue de son homme, pour me gratifier d'un sourire de plaisir qui me fit chavirer, puis elle enleva son haut. Excité par les bruits de succion à l'autre bout du canapé, je passai de longues minutes à jouer avec son sexe, la pénétrant tantôt de ma langue, tantôt de mes doigts, goûtant ses lèvres avant de revenir sur son clitoris, au moment où je sentais qu'elle ne s'y attendait plus. Bonheur manifestement partagé...


"Monte sur sa queue, vas-y, j'ai envie de te voir danser, lui dis-je, me redressant.
- J'en meurs d'envie...".
Je me déshabillai, ne ratant pas une miette de la scène qu'elle m'offrit alors. En une seconde, elle enleva sa culotte de dentelle et chevaucha son homme, dont la bouche s'empara de ses seins. Il joua quelques instants avec son gland, le frottant contre cette chatte avide, puis la prit d'un coup avec vigueur. Ses couilles claquèrent de plus en plus fort contre ce petit cul merveilleux, tantôt dévoilé tantôt caché par la jupe que cette coquine n'avait même pas pris le temps d'ôter. Je pris le temps de bien les regarder, passai derrière le canapé-banquette pour bien voir le visage de cet ange qui était en train, manifestement de remonter l'espace d'un instant d'où il venait...Marion jouit une première fois, et après avoir repris ses esprits, elle continua sa chevauchée, en saisissant ma queue, qui lui était offerte désormais. Elle la branla vigoureusement, plantant dans mes yeux le regard de la salope que nous avions réveillée en elle, ce qui me fit l'effet d'une délicieuse surprise. Elle aussi avait mué...Spectacle magnifique, mais pourtant je m'effaçai. Je la sentis surprise que je refuse son attention, mais j'en voulais bien plus. Mon envie était là, toute naturelle. Celle dont je rêvais depuis le premier jour où je les avais rencontrés.


Elle me vit mettre une capote, et comprit. Elle crut comprendre, plus exactement. Marion commença à se relever, et à retirer cette queue qui la pilonnait généreusement depuis de longues minutes. Mais fermement, je la maintins en posant mes mains sur son dos...La - première - queue coulissa de nouveau en elle, et son mari me regarda alors d'un regard complice. Lui, avait compris, et il hocha la tête. Marion le chevauchait de plus belle, redressée sur ce membre programmé pour la faire jouir, elle plus que toute autre, mais j'arrivai derrière elle et la forçai doucement à se pencher en avant. Tout en me positionnant, je lui caressai les reins pour la mettre en confiance, car elle avait manifestement réalisé que je n'étais plus l'homme de la photo.


"Marion, qu'est-ce que j'ai envie qu'on te défonce à deux..."
Exactement au moment où elle entendait ces mots, elle sentit deux autres mains lui écarter un peu plus le cul, et une deuxième queue se frayer un chemin au côté de la première. Elle cria d'excitation et moi-même, je faillis jouir aussitôt devant un moment aussi extraordinaire...nos deux sexes restèrent l'espace d'un instant fichés en elle, dans ce sexe soyeux, le temps que nous reprenions tous trois notre souffle...Puis, après cette pause salvatrice, nos deux queues réunies imprimèrent un rythme de plus en plus endiablé. C’est elle qui finit par s’empaler sur nous et à jouer à son rythme avec ces vits qui la comblaient comme jamais. La gêne parfois occasionnée par une telle promiscuité masculine s'évanouit rapidement quand il s'agit de faire jouir une femme aussi pleine de désir ! Ce qui ne tarda pas à arriver, au grand bonheur de votre serviteur (et certainement aussi de ses voisins et voisines, c'est inévitable !).
Je ne me souviens plus exactement de la suite de cette soirée, qui fut un incessant va et vient entre complicité charnelle et rires. Je ne me souviens que d'images furtives...nos deux queues prises tour à tour dans cette bouche de prime abord si mignonne...ce regard de satisfaction à chaque jouissance de la part de ses deux partenaires...ces pauses pendant lesquelles nous nous rhabillions, pensant que la soirée allait sur sa fin, avant qu'inévitablement ces vêtements se retrouvent une fois de plus à joncher le sol...


Et finalement, le plus important, le début d'une amitié improbable pour le plus grand plaisir de tous, et d'Elle en premier lieu. Merci, tu es une déesse...et je te devais bien ces quelques lignes...

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Commentaires de l'histoire :

Mary Jane Woody
Super bien raconté ! J'ai bien ressenti l'électricité entre vous, ce moment où tout s'enchaîne parfaitement. Vous faites envie !
Posté le 2/03/2021


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