Une dure séparation.

A la cinquantaine, Sarah, ma ravissante épouse, a besoin de connaitre d'autres horizons. je reste impuissante devant sa décision.

Proposée le 26/08/2020 par MichelGM

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme

Ce soir, j’ai invité quelques amis, pour l’anniversaire de Sarah, ma ravissante épouse. Elle a cinquante ans, et malgré deux grossesses, elle est toujours aussi ravissante.
De son côté, mon épouse a invité des collègues de travail, dont certains me sont totalement inconnu.
Bien entendu, mon pote Gérard fait parti des convives. Gérard a toujours flashé su Sarah, mais l’a toujours respectée.
Comme à son habitude, Sarah est vêtue d’une jupe strict, qui arrive à mi-genoux, et d’un petit bustier.

-Sarah est encore très belle, me dit Gérard. Je suis surpris que personne ne l’est draguée encore. Tu n’as pas peur qu’un mec te la chope.
-Si tu savais mon pote, je fais une confiance aveugle à ma femme. Jeune, mon épouse a toujours été fidèle... alors à cinquante ans, je ne m’inquiète plus
-Tu sais, ta femme est ravissante, me dit-il, et très convoitée. Et si ce soir, elle succombait au charme d’un grand séducteur.
-Quoi, réponds-je, mais tu n’y penses pas. Je prends les paris qu’elle ne va pas me lâcher de la soirée.
-Pari tenu, poursuit Gérard en souriant.


La soirée se déroule dans une ambiance feutrée. Gérard accompagne les invités au bar, Tandis que mon épouse propose des toasts.
Je vois bien qu’un homme tourne autour de Sarah, et que celle-ci, d’habitude si distante, est assez détendue.
Au cours de la soirée, l’inconnu invite plusieurs fois mon épouse à danser. Bien sur, elle accepte.
Il la suit dans tous ses faits et gestes. Il lui propose même de l’aider quand elle va à la cuisine.
Je me place derrière la porte vitrée qui sépare la cuisine du salon. Sarah est en train de rincer la vaisselle, quand l’homme se pointe. Tendrement, il prend ma femme par la taille, l’embrasse dans le cou. Celle-ci se retourne. Ils échangent quelques mots, puis elle lui prend la main, sort par la porte qui donne accès à la petite cour. Sans me faire remarquer, je vais à une autre fenêtre, qui elle aussi, donne accès à la cour.
Malgré la faible lumière, on peut tout voir.
Ils discutent ensemble. Puis l’homme lui prend les mains, les plaque contre le mur, au dessus de le tête à Sarah.
Lentement, il s’avance, lui couvre les lèvres de baisers. Aucune résistance de la part de ma femme. Mieux, elle glisse le long du mur, lui ouvre sa braguette, libère une queue assez imposante. Elle le fixe du regard, et prend la bite en bouche. L’inconnu, les mains sur les hanches, esquisse des allés venus, entre les lèvres ouvertes.
Soudain, il ouvre grand la bouche. Il éjacule dans la bouche de ma femme, dans ce que je devine être, un râle de plaisir. Sarah s’attarde sur la queue décalottée, nettoie le gland. Puis, l’homme force mon épouse à se retourner, la plaque contre le mur. Calmement, il remonte la jupe sur les hanches, Glisse sa queue entre les cuisses. Je constate, sidéré, que Sarah ne porte pas de culotte. Il pénètre la chatte d’une simple poussée. Il me semble décelé un gémissement de plaisir.
Comme auparavant, l’invité de dernière minute, éjacule dans la bouche de mon épouse, qui avale tout.
C’est fini, Cela à duré en tout et pour tout, à peine demi-heure. Mais pourquoi a-t-elle fait ça. Ça marche bien entre nous. Puis, comment peut-elle croire que je ne m’apercevrais de son absence.
Comme si rien ne s’était passé, mon épouse revient au salon, en compagnie de l’inconnu.

-Vous avez une épouse ravissante, me dit-il. Vous avez bien de la chance. Appelez moi Luigi.
-Heu...merci...Luigi, bégaye-je.

Dans la minute qui suit, je croise mon pote Gérard.

-Mais que t’arrive-t-il? T’en fait une tête.
-J’en reviens pas. Je viens de surprendre ma femme avec un autre homme. J’ai perdu mon pari.
-Mais j’en ai rien à foutre de ton pari. Qui c’est ce mec.
-C’est lui là bas. Il s’appelle Luigi.
-C’est pas vrai, poursuit Gérard. Je l’ai déjà vu quelque part ce mec...ça y est, dans la semaine, je l’ai vu sortir du bureau, et rentrer dans le bar tout à côté, avec ta femme. Je pensais que c’était pour le travail. Tu veux que je m’informe?
-Si tu pouvais, j’aimerais bien en savoir d’avantage.

Bizarrement, nôtre couple fonctionne normalement. On va au restaurant, au théâtre, on fait l’amour régulièrement, même si une certaine routine s’est installée. Je ne sais comment mon épouse en est arrivé là.

Quelques jours plus tard, mon pote Gérard passe me voir, abattu. Il me dit qu’il a surpris Sarah sortir de l’hôtel, avec Luigi, Pour lui, il n’y a pas de doute, ma femme me trompe. Il me conseille de lui parler.
Ce que je fais le soir même. Son comportement est des plus étranges. En fait, elle avoue tout. Qu’elle couche avec Luigi.

-Depuis quand, demandais-je.
-Depuis le vingt huit mai, dit-elle.
-Le jour de l’anniversaire de ma sœur...c’est ça. Mais comment t’as pu faire ça.
-J’ai eu un moment de faiblesse. Le vendredi, la veille de l’anniversaire de ta sœur, il m’a coincée au bureau, essayé de m’embrasser, J’ai tout fait pour le repousser. Puis j’ai succombé. On s’est embrassé.
-Mais c’est pas grave ça, dis-je, ça peut arriver.
-Attends, laisse moi continuer. Le soir de l’anniversaire, je reçois un SMS de sa part, m’invitant à le rejoindre sur le parking. Quand je t’ai vu accoudé au bar avec tes potes, sans même t’occuper de moi, ça à fait tilt. Je lui ai dit que j’arrivais, de me rejoindre à nôtre voiture.
-T’arrêtes pas, je veux tout savoir. Que s’est-il passé.
-Oh mon chéri, si tu savais. Il a dégrafé mon chemisier, a sucé le bout de mes seins. Puis il a remonté ma robe sur mon ventre, a caressé ma petite chatte, doigté mon clitoris. Je n’ai jamais ressenti une telle sensation avec toi. Il a des doigts de fée. Puis il a sorti sa queue, elle est énorme, si tu voyais ça. Il m’a forcé à écarter mes jambes, puis il m’a baisée. J’ai joui de suite. Puis il s’est retire, ma planté sa bite dans ma bouche. Je l’ai sucé, jusqu’à ce qu’il éjacule dans ma bouche. T’inquiète mon chéri, je n’ai pas sali la voiture, j’ai tout avalé. C’est la première fois que je taillais une pipe. J’ai adoré.
-Mais pourquoi, qu’ais-je fait pour mériter ça...

-Tu sais mon chéri, on a cinquante ans, vingt cinq ans de mariage, on a eu de beaux enfants, j’estime qu’on a eu une vie heureuse. Depuis que j’ai rencontré Luigi, j’ai décidé de passer à autre chose, et tu devrais en faire autant.
-Quoi...mais qu’a-t-il de plus que moi.
-Déjà, il m’apporte au lit, ce que tu ne m’apportes plus, et que tu ne m’as jamais apporté.
-Mais que fait-il que je ne te fais pas….est-il mieux monté que moi.
-Oh que oui mon chéri. Quand je le suce, je ne peux avaler toute sa queue, elle ne rentre pas entière dans ma bouche. Alors que la tienne, je pouvais l’avaler sans problème. C’est comme la sodomie, tu ne me m’a jamais proposé, tandis que lui, il m’encule régulièrement. Si tu savais comme c’est bon de sentir sa grosse queue dans mon petit trou. A oui, autre chose, quand je lui taille une pipe, j’avale tout. Ce que je n’ai jamais fait avec toi. Tu comprends...un tas de détails, que tu n’étais pas capable d’assumer. Et puis sa façon torride de me baiser, de me malmener au lit. Alors mon chéri, tu peux comprendre que faire l’amour à la papy, ne me procure aucun plaisir. Ne m’en veux pas si je prend du plaisir avec un autre homme. Du reste, je te conseille de te trouver une femme, car j’ai bien l’intention de passer pas mal de nuit chez lui. Justement, tu sais Patricia, celle qui s’est séparé il y a deux ans, ben elle est toujours seule. En plus, je sais que tu lui plaît beaucoup. Allez mon trésor, je prends quelques affaire et j’y vais.

Un jour, en rentrant du bureau, je pris un coup de massue terrible en voyant Sarah et Luigi au bord de la piscine. Elle était allongée sur le dos, entièrement nu, jambes écartées. A genoux près d’elle, Luigi, lui caressait la chatte, la queue plantée dans sa bouche de ma femme. Ils ne se cache même plus. Puis il l’oblige à se mettre à quatre pattes. J’assistais, impuissant, à la saillie de ma femme.

-Je vais te prendre en levrette, ta position préféré, dit Luigi. Je vais bien t’enculer, je sais que tu aimes ça.
-Oh oui j’aime ça...j’en ai été tellement privé...vas-y, défonce moi le cul. Elle est tellement bonne ta queue, gémissait Sarah...grosse, comme je les aime.
-T’es une petite salope, toi. Et moi, j’aurai quoi comme récompense.
-Je te boufferai les couilles, te taillerai une bonne pipe, avalerai tout. A ça aussi j’ai pris goût...

Trop c’est trop? Je sais que j’ai perdu définitivement ma femme. Je monte à ma chambre prendre quelques affaires, et appelle Patricia. En passant devant la baie vitrée de la terrasse, je vois Sarah, à Genoux, en train de tailler une pipe à Luigi. La dernière image, et de voir le sperme jaillir de la grosse queue de Luigi, et gicler dans la bouche de ma femme. Elle n’en laisse pas une goutte.

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