La veille, le quadra avait aperçu furtivement la fille de sa compagne en plein ébat avec son copain. Aujourd'hui, la jeune femme semble se douter de quelque chose et va jouer à un drôle de jeu.
Proposée le 23/08/2020 par cielooros
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Exhibition, voyeurisme
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Le lendemain matin, ma compagne reparti. Je m’étais levé tranquillement, amusé en repensant au petit spectacle de la veille. Au petit déjeuner, j’allais me retrouver donc seul avec la peste, puisque son copain partait bosser – enfin c’est ce qu’il raconte en tout cas. Et là les choses étaient déjà différentes de d’habitude, mise à part qu’elle faisait la tête, déjà quand elle arrive dans la cuisine, ouverte sur le salon, elle me regardait bizarrement. Ensuite je remarquais qu’elle ne portait pas de pantalon comme elle le fait d’habitude, là elle était resté en chemise de nuit, d’un tissu très très fin.
Alors qu’elle se cherchait de quoi manger, je voulais détendre l’ambiance, en lui faisant remarquer qu’il faisait super beau aujourd’hui, idéal pour profiter de la piscine. Pas de réponse. J’ajoutais alors, par compliment, que hier elle et ses amis avaient été très discrets car nous ne les avions pas entendus. Cette fois elle répondit, de suite «Ah ben vous par contre, nous en nous endormant, on vous a bien entendu, vous pourriez être plus discrets sérieux! ». Je ravalais ma salive, d’abord car je compris qu’elle ne serait pas plus aimable que d’habitude, mais aussi parce qu’amusé de savoir que malgré la grande maison elle et son copain m’avait entendu en train de sauter sa mère, sans surprise, car ma chérie est très bruyante et sans retenue. Nina pris de quoi manger dans un placard et se posa sur un fauteuil du salon, à deux mètres de moi, étant assis derrière le comptoir de la cuisine américaine.
Durant le cours instant où elle me tournait le dos, j’en profitait pour la reluquer : nuisette étroite aux hanches mais très ample en haut, pas de marque de string à la ceinture, les seins certainement en liberté dans la largeur du haut. Sans me regarder, la vilaine pris alors une posture provocante : elle posa ses pieds nus sur l’étagère juste en face d’elle, lui faisait lever les jambes, les pliant légèrement. L’action fit que la nuisette se retroussa un peu s’arrêtant aux limites des hanches, me révélant ainsi la jambe gauche dans son intégralité, me confirmant que la demoiselle ne portait pas de sous-vêtements puisque je voyait la hanche. Une fois en position, Nina fini par me regarder très furtivement du coin de l’oeil, alluma la télé et commença à manger.
Pour changer de sujet, je demandais à Nina ce qu’elle avait prévu pour l’après-midi, me doutant bien que cela n’allait pas être très intellectuel. Elle me répondit ce que j’attendais : elle allait bronzer puis recevoir des copines, et faire une soirée avec des amis au bord de la piscine. Cela tombait bien, moi aussi je comptais passer l’aprem’ au bord de l’eau! Nina se leva, posa ses papiers sur la table sans les jeter, puis fila à la salle de bain.
Je ne la revit que pour le repas de midi que je préparais, car comme d’habitude elle ne venait que par intérêt. Elle portait un très court short en jean, comme souvent, et un débardeur blanc assez ample au niveau du décolleté, tenu par de très fines bretelles, laissant clairement voir qu’elle ne portait pas de soutif. Encore une fois, elle attrapa sans problème mon regard au vol alors que je matais son buste tout en préparant la salade et alla se poser dans un fauteuil devant la TV en attendant que ce soit prêt, car elle ne risquait pas d’aider, c’est pas son truc d’aider.
Je préparai une salade, sur le comptoir, tourné vers le salon, et de temps à autre je jetai furtivement un regard vers Nina qui était deux mètres devant moi, la regardant affalée dans le fauteuil, analysant le haut de son débardeur qui par ses largesses laissait voir le sillon des seins mais aussi le haut de masses que la position de la jeune femme faisait une peu reculer. Évidemment, elle fini par me prendre en flagrant délit, et elle ne dit rien encore une fois. Ce qui me surprenait d’ailleurs, et je commençais alors à me dire d’arrêter de mater, car cela faisait déjà deux fois qu’elle interceptait mon regard, mais je commençais aussi à me demander si elle ne s’amusait pas de ça.
Au contraire, elle en rajouta, baissant son bras sur le côté car elle savait que celui ci devait gêner ma vue. Et au bout de quelques instants, elle se leva et vint me voir, face à moi, se penchant sur le comptoir. « Qu’est-ce que tu prépares ? ». Elle le faisait exprès : penchée en avant devant moi, appuyée sur les coudes, elle me montrait un spectacle insoutenable, sur lequel je restais bloqué deux longues secondes avant de me reprendre.
Ses seins pendaient, appelés par la gravité, dans l’ample débardeur blanc, laissant voir entre eux jusqu’au ventre, son collier doré pendant au milieu, laissant les deux ogives presque complètement visibles, presque, à la limite de la décence, cachant juste leur partie avant.
Mon coeur s’emballa devant cette posture, et je finissais la salade aussitôt, répondant à Nina en citant le contenu, lui tournant le dos, sur le coup énervé et surtout gêné par son comportement, l’imaginant exulter dans mon dos de me mettre mal à l’aise. Je me doutais déjà que cela allait durer...
Le repas fut pris en silence. C’était juste une pause dans ses manigences. Le début d’après-midi allait être chaud.
Vers 14h donc, quand le soleil tape fort, j’allais me mettre à l’ombre sur une chaise longue pour me détendre, allongé face à la piscine. Je pensais y rester un peu, mais en réalité, j’allais y passer une bonne heure !
En effet, à 5 mètres de moi, de l’autre côté de la piscine, en plein soleil, Nina alla s’installer, en attendant ses amis, et là son show de provocation allait monter progressivement. Elle commença d’abord par se poser donc bien face à moi, en maillot de bain et lunettes de soleil, posant sa serviette à 45 degrés face à moi. Elle s’assit, restant redressée, un peu inclinée en arrière, appuyée sur les bras, se mettant ainsi en position pour entretenir son bronzage. Elle portait un joli maillot de bain noir avec des petits points blancs.
Je décidais alors de mette mes lunettes de soleil, pour me protéger d’abord, puis ensuite pour profiter de la vue, attendant l’arrivée des copines. Mais Nina n’attendit pas. Bien que prenant souvent ses aises et des tenues provocantes, je devinais encore qu’elle cherchais à me provoquer car justement elle poussa ses postures à un degré bien plus avancé que d’habitude, dans la continuation de ce que j’avais vu le matin. Elle dégrafa d’abord le haut de son maillot de main, retirant aussi les bretelles, le vêtement ne tenant plus que par l’inclinaison de son corps en arrière et bien sûr l’adhérence des balconnets aux deux belles montagnes. Et encore, les balconnets, libérés de toute tension, s’était largement décollé du buste, dévoilant les masses dans leur grande partie, s’arrêtant juste à temps pour continuer à masquer l’essentiel. J’avais la vision presque complète, comme la veille ou le matin : deux belles poires, généreuses sans être grosses. A présent, je voyais cependant bien leur forme au repos, c’était deux poires qui s’élargissaient progressivement et semblaient partir un peu de leur côté
Elle jouait à un jeu, jeu très excitant puisque quand je pensai au fait que par un autre angle de vue je pourrai voir la partie manquante de sa poitrine, m’imaginant ce mamelon qui dont je n’avais vu que l’ombre, mon sexe se réveilla. Mais j’avais anticipé, ayant posé une serviette sur mon bassin.
Avec nos lunettes, nous ne pouvions pas dire si nous nous regardions, mais pour moi c’était évident, rentrant dans son petit jeu. Quelques minutes plus tard, Nina plaqua sa main sur sa poitrine pour tenir son haut alors qu’elle se levait. De profil, pour mettre sa serviette face à la piscine, je voyais le galbe de ses seins sur le côté, un long instant. La jeune femme, cette fois-ci se, mis sur le ventre, et habilement retira son haut qu’elle posa sur le côté. Elle était face à moi, et alors qu’elle exposait son dos au soleil, elle relevait un peut le torse, les bras écartés, suffisamment pour voir encore les masses dans leur presque totalité, le bout étant caché et écrasé sous elle contre la serviette. La vilaine continuait son petit jeu, utilisant son téléphone portable pour se donner un air de ne pas faire attention.
Je crevais de soif à force d’avaler ma salive. Je me suis dit qu’il était temps d’aller faire autre chose que de jouer à son petit jeu débile de provocation. Je me concentrais un instant pour pouvoir me lever sans avoir une trique bien visible dans mon maillot.
Au bout de deux minutes je me levais donc pour me changer les idées et me désaltérer, en faisant exprès d’ignorer la peste qui me provoquait. Alors que j’atteignais la cuisine, on sonnait à la porte, de l’autre côté de la maison. Comme je me doutais que Nina ne risquait pas d’avoir entendu, je me dirigeai donc vers l’entrée pour ouvrir.
C’était Hélène, la grande copine de Nina. Enfin grande, pas par la taille, car elle fait 1m60. Brune, les cheveux noirs frisés mais en chignon, un peu ronde du bassin, la peau très blanche. Je ne faisais habituellement jamais attention à elle car non seulement elle est très réservée, à l’inverse de Nina, mais surtout car pour tout le reste, elle sont identiques : elles ne foutent rien de leur vie. Pas d’études, pas de job.
Mais là, ce jour-là, à un mètre de moi alors que je lui ouvrai la porte, mon regard changea. Elle portait une tout fine robe blanche sans aucun motifs, mais ce qui attira mon regard, c’est que sous le tissus fin, elle ne portait clairement pas de soutien-gorge. Avec le jeu de lumière de l’extérieur et de l’intérieur, je pu bien voir ses tous petits seins moulé dans la robe, et surtout, incroyable, je pu discerner une légère ombre des auréoles, le tissu tellement fin et blanc, laissant apercevoir très légèrement le mamelon avec la lumière !
Évidemment, elle capta mon regard, et elle détourna le sien en me passant devant. Nina arriva alors, Hélène lui ayant certainement envoyé un message. Nina portait une sorte de gilet. Enfin je dis gilet. C’est un truc à manches courtes qui couvrait tout juste les seins, un tissu gris très fin, attaché un par un nœud entre les masses, laissant clairement voir leur contours intérieurs, et qui moulait tellement que la pointe de chaque mamelle, même au repos, faisait une toute petite bosse dans le tissu. Si sa mère la voyait…
Cela commençait à m’énerver. Je les laissait partir blablater au bord de la piscine pendant que j’allais faire la sieste et penser à autre chose.
Note de l’auteur : En ce moment, j’ai plein d’idées pour la suite de l’histoire. Mais n’hésitez pas à donner des idées dans les commentaires pour les épisodes suivants.
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Commentaires de l'histoire :
Anonyme
Une suite très attendue.. qui craquera le premier?
Posté le 18/11/2020
Anonyme
et la 3eme partie ?
Posté le 27/08/2020
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