3 ème étage, porte de gauche (Suite)

J'ai fais connaissance avec Gabriel via une annonce sur le net. Je vous ai raconté la première rencontre, voici la suite.

Proposée le 9/05/2020 par sorggulp

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie

Une semaine s’était passée depuis ma première rencontre avec Gabriel. Au cours de ces derniers jours, je repensais de nombreuses fois à celle-ci. Je me caressais plusieurs fois, prenant un plaisir toujours plus intense. Je ne voulais pas en rester là.

Comme convenu, je lui envoyais un mail. Sa réponse était accompagnée d’une photo très suggestive : Il venait de jouir. Peu de temps après, nous trouvions un créneau horaire libre.
Le jour J, je courais presque dans les escaliers de son immeuble. 3ème étage, porte de gauche… L’avantage de déjà connaitre son partenaire est qu’il n’est plus nécessaire de passer par la case départ et je ne m’en privais pas.
Les salutations usuelles effectuées, je plongeais donc directement la main dans son jogging. Gabriel s’esclaffait en m’observant tandis que j’extirpais sa queue déjà bien raide. Je me ruais sur celle-ci pour la pomper.
« Dis-donc, tu ne perds pas de temps toi ! » dit-il en retirant son pantalon.

Je ne prenais même pas la peine de répondre. Agenouillé entre ses cuisses, je le pompais comme un affamé. De temps à autre, je retirais sa queue de ma bouche pour la branler lentement tout en massant ses couilles. Tirant sur le prépuce, je jouais à faire apparaitre le gros gland violacé d’excitation.
Je l’agaçais du bout de la langue. Gabriel donnait déjà des coups de reins explicites. Lorsque je sentais qu’il s’impatientait trop, j’enfilais sa bite le plus loin possible au fond de la gorge. Gabriel soupirait alors profondément en fermant les yeux.
Il posait les pieds sur la banquette en écartant bien les cuisses m’offrant ainsi plus de liberté de mouvements. Je ne me privais pas de son offrande, lui malaxant alors les couilles tout en le suçant de plus belle. Il imprimait le rythme en ayant posé une main sur ma tête.
A chaque fois que sa bite entrait au fond de ma gorge, il gémissait en murmurant « Ah oui, c’est bon, continue comme ça ! ». La suite promettait d’être chaude !
« Tu veux que je te l’enfile ? » me demanda-t-il soudain. L’expression utilisée n’était pas très excitante mais peu importe, j’avais parfaitement compris le message. Depuis le temps que je rêvais de me faire prendre, je n’allais pas me faire prier tout de même !
Tandis que Gabriel était parti chercher du lubrifiant et un préservatif, je retirais tous mes vêtements. Il réapparaissait dans la salle, la bite toujours dressée. Il vint se positionner face à moi. Sa queue trouva directement le chemin de ma bouche. Gabriel faisait coulisser sa queue juste ce qu’il fallait en remuant le bassin d’avant en arrière. Son gland déformait mes lèvres à chaque passage.
« Allonge-toi sur la banquette » me dit-il. Je m’exécutais tandis qu’il se positionnais au-dessus de moi. Un 69 ! J’en rêvais !
Je ne me faisais pas prier pour reprendre sa queue en bouche tandis que Gabriel s’activait sur la mienne.
Dans un premier temps, il me caressa d’une main. Puis je sentis sa langue me lécher le gland mais trop timidement à mon goût. J’écartais largement les cuisses tout en le pompant de plus belle.
Retirant sa bite de ma bouche, je lui dis alors :
« Ne sois pas timide, prends ma queue entièrement ! Suce-là comme je fais avec la tienne ! »

La réaction ne se fit pas attendre. Il prit ma queue d’une main, la fit glisser entièrement dans sa bouche et me pompa enfin comme il se doit. Je sentais ma queue durcir rapidement alors que je lui léchais les couilles. Gabriel fit exactement la même chose. Je soufflais de plus en plus fort sans pour autant ralentir mes caresses. Purée ! il s’y prenait rudement bien maintenant !
Je reprenais sa queue en gorge profonde. Gabriel remuait inconsciemment le bassin, m’étouffant régulièrement. Peu importe, je prenais un pied pas possible.
Retirant ma queue de sa bouche, Gabriel me demandait de prendre une autre position. Décidemment, il me surprenait de plus en plus. Je me retrouvais dos à lui, à genoux sur la banquette, les mains posées sur le haut de celle-ci. 12.
Gabriel enfilait le préservatif tout en se positionnant debout derrière moi.
Gabriel glissait sa main enduite de lubrifiant sur mes fesses. J’écartais davantage les cuisses afin de lui laisser plus de liberté de mouvement. Un doigt entra sans difficulté dans mon petit trou. Je sentais la fraicheur du lubrifiant couler à l’intérieur de mes cuisses. Fermant les yeux, je me concentrais sur le doigt inquisiteur tandis que Gabriel me caressait de son autre main libre. Je rebandais rapidement sous ses caresses.
Gabriel se positionnait derrière moi. Je sentais sa queue se positionner sur le petit œillet.
Le moment était venu de connaître de nouvelles sensations. Je sentais une légère appréhension mêlée à l’excitation.
« Prêt ? » demanda Gabriel.
« Oui » répondis-je les yeux fermés.
Je sentis alors sa queue presser lentement l’entrée de mon intimité. A chaque mouvement, elle allait un peu plus loin. Gabriel procédait avec beaucoup de douceur, devinant sans doute mes craintes.
« Ca va ? » me demanda-t-il en glissant sa main sur ma queue. « Oui, très bien, continue » répondis-je en écartant davantage les cuisses. Ses caresses m’excitait de plus en plus. J’arrivais même à oublier la taille de sa queue se frayant progressivement un chemin entre mes fesses.

Je poussais un cri de surprise lorsqu’elle franchit entièrement le passage étroit pour ensuite entrer entièrement. Gabriel resta quelques instants ainsi immobile, plaqué contre mes fesses.
Je cambrais les reins afin de mieux sentir sa queue plantée en moi. Gabriel prenait alors son rythme me pénétrant tout en douceur dans un premier temps pour ensuite accélérer la cadence.
Les mains posées sur le dossier de la banquette, les cuisses bien écartées, je regardais la main de Gabriel s’activer sur ma queue.
Je glissais également une main entre mes cuisses, trouvant sa queue qui coulissait maintenant parfaitement entre mes fesses. Saisissant les boules de Gabriel, j’imprimais mon propre rythme.
L’effet fut immédiat car Gabriel accéléra encore la cadence, oubliant du même coup les précautions précédentes. Ma tête butait régulièrement contre le dossier de la banquette sous ses assauts. Le ventre de Gabriel claquait contre mes fesses.
Je sentais les premiers signes de jouissance arriver. Soudain, je me cambrais en éjaculant sur la banquette. Gabriel me branlait encore un petit moment tout en me pénétrant plus lentement.
Il fit tomber les dernières gouttes de ma semence sur la banquette ;
Me maintenant des deux mains par les hanches, il me pénétra de plus belle. Je sentais sa queue me pénétrer encore plus loin. Gabriel semblait perdre le contrôle de son corps.
Il accélérait une dernière fois en poussant un long cri rauque. Enserrant fortement mes hanches des deux mains, il déchargeait sans pour autant ralentir la cadence. A chaque poussée, il poussait un « Han ! » de plaisir.
Un dernier coup de rein et il se plaqua contre mes fesses le plus profondément possible. Les yeux fermés, je sentais les secousses de sa queue au fond de moi.
Nous restâmes quelques instants immobiles, reprenant doucement nos esprits.

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