Histoire Erotique

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Loris, 18 ans, et Énora, 46 ans

Après une fête bien arrosée pour fêter la fin de l'année, Loris se fait surprendre par la mère de son meilleur armi entrain de se masturber. Guère choquée, elle semble même s'en amuser... Énora n'en a pas fini de surprendre Loris.

Proposée le 28/04/2020 par Aldorus

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Thème: Nympho, vicieuse
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman


J'étais parti en week-end chez Éric, mon meilleur pote, pour fêter mon entrée à la fac. Une grande maison avec piscine, table de billard et écran de projection. J'avais décroché la licence de cinéma que je convoitais, l'heure était donc à la fête, l'été s'annonçait bien. La fiesta a battu son plein toute la soirée dès huit heures. On devait être une vingtaine à boire comme des trous et faire des jeux tous plus débiles les uns que les autres. Jeu de la bouteille aidant j'ai dû galocher cinq filles, et posé la main sur les seins de deux d'entre elles. La soirée avait été chaude mais je n'ai pu profiter d'aucune conclusion. Tout le monde a commencé à partir vers minuit et demi. Après avoir rangé, Éric et sa copine sont allés dormir vers 1h30.

Loris, 18 ans, et Énora, 46 ans J'étais invité à rester dormir, évidemment. Usé et assez excité je me suis dirigé vers le clic-clac du salon qu'Éric m'a désigné pour y passer la nuit. Je me suis roulé un joint pour m'aider à dormir. En l'allumant j'ai également ouvert un site porno sur mon téléphone. Une bonne branlette avant d'aller dormir après une soirée pareille ça ne pourrait pas faire de mal.

J'étais nu sur le canapé en train de me palucher sur une vidéo représentant une milf blonde au beau regard de salope tailler une pipe à un pompier bien membré, bien que je n'avais personnellement rien à lui envier. Les cougars m'ont toujours attiré. Et malgré quelques conquêtes du haut de mes 18 ans, aucune femme mâture n'a jamais fini dans mes rets, à mon plus grand désarroi. Les petites jeunes sont ensorcelantes mais elles manquent parfois d'expérience, ce qui m'a plus d'une fois laissé sur ma faim...


J'en étais à la moitié de mon joint et à dix minutes de pipe endiablée, le cerveau embrumé par les vapeurs de tout l'alcool que j'avais absorbé plus tôt dans la soirée, une libido surdimensionnée et l'arôme de mon cannabis, quand une voix à ma gauche m'interrompit brutalement.


- Eh bien alors Loris ? On n'arrive pas à dormir ?
Je tournai la tête dans un sursaut puis tentai vivement de cacher mon érection sous les draps et mon joint dans le cendrier : c'était Énora, la mère d'Éric.


Elle éclata de rire. Une femme de 46 ans plus tout à fait jeune, mais d'une rare beauté. Ses petits yeux noisettes relevaient parfaitement sa bouche fine mais pulpeuse pour un regard en permanence des plus aguicheurs, encadré par une longue chevelure rousse frisée. Elle accusait bien l'âge, quelques traits bien soulignés sur son visage ne faisaient que l'embellir. Ses seins fermes formaient une bosse d'une rondeur parfaite et provocante sous une chemise à boutons-pression outrageusement juste-au-corps, elle-même en partie dissimulée par un fin manteau en cuir à la fermeture Éclair ouverte. Ses jambes nues croisées mettaient en valeur une minijupe laissant voir le haut de ses cuisseset des chaussures à talon noires pour compléter le tableau.


J'avais beau être horriblement gêné, je n'en étais pas moins très excité. Énora m'avait toujours attiré avec ses formes voluptueuses et ses tenues toujours très près du corps. C'était peut-être la mère de mon meilleur pote, mais l'interdit de la situation ne suffisait qu'à raffermir mon fantasme, même si je n'avais jamais prévu de le mener à bien. Je lui avais jusque-là glissé quelques œillades un peu suggestives en la croisant toute seule, et n'ai pas manqué de glisser quelques allusion un peu osées en la croisant. Une attitude que j'avais cru cavalière mais que la belle Énora avait toujours accueilli avec des petits clins d'œil espiègles.


Elle revenait d'une soirée entre amies, Éric m'enavait parlé. La voir ici, tandis que je me masturbais chez elle, insuffla en moi un court moment de panique. Je tentai de balbutier quelques mots, sans succès. C'est Énora qui finalement brisa la glace, avec un grand sourire et une main posée sur mon épaule.
- Voyons mon petit chou tu n'as pas à avoir honte, tout le monde se masturbe ! (Et elle rit de plus belle)


J'essayai de trouver quelque chose à répondre mais son regard se porta sur le cendrier encore posé sur le clic-clac. Il était presque vide, malgré mon mouvement de panique je n'en avais donc rien renversé. J'eus un regain de stress. Je ne savais pas ce qu'elle pensait du cannabis et je pouvais passer un mauvais quart d'heure... Elle se pencha dans ma direction pour s'emparer du cendrier, s'empara de mon joint, le huma et un petit sourire déforma le coin de ses lèvres. Elle le porta à ses lèvres sans ménagement, sortit un briquet de sa poche et l'alluma. Trois bouffées et elle s'étala sur mes jambes par-dessus la couverture.
- Mmmmmh c'est de la bonne, roucoula-t-elle.
J'étais sidéré. Non seulement Énora n'était pas fâchée de mon attitude des plus mal placées, mais elle semblait même s'en amuser !

Je me dis que décidément je n'étais pas au bout de mes surprises lorsque, comble de l'horreur, son regard coula vers mon téléphone. Allumé. Je n'ai pas pensé à l'éteindre à l'arrivée d'Énora, puisque j'avais coupé le son. J'aime regarder du porno en silence, tous ces cris simulés me font plus débander qu'autre chose...
Un nouveau sourire envahit le visage d'Énora.
- Mmmmmh Loris mon chou cette dame n'est-elle pas trop âgée pour toi ? susurra-t-elle d'une voix mielleuse.


J'écarquillais les yeux. Elle me faisait de l'œil ou je rêvais ? Moi qui avais toujours fantasmé sur la mère de mon meilleur pote, voilà que celle-ci se mettait à me faire du rentre-dedans ? Cette nuit devenait décidément irréelle.
- Euuuh je... je préfère les femmes expérimentées, répondis-je maladroitement.


Elle éclata de rire derechef et se leva pour se diriger vers le meuble de la télévision en dandinant ses fesses. Voulait-elle que j'en profite ? J'en profitai en tout cas pour mettre mon téléphone en veille le plus vite possible.


Énora fouilla dans le meuble du salon quelques instants, la croupe bien en évidence, et mit un DVD. Je me demandais ce qu'elle avait derrière la tête. Puis elle attrapa deux télécommandes et un boitier de DVD, revint vers moi et s'assit de nouveau sur le canapé-lit. Elle me dit un petit clin-d'œil et alluma la télévision sur le menu d'un film au titre surprenant : Horny Busty MILFS 5. J'écarquillai les yeux de plus belle et mon entrejambe reprit du poil de la bête : une cougar à genoux, cachant son opulente poitrine avec ses avant-bras et se passant la langue sur les lèvres s'offrait à mes yeux en guise de menu. De petits encadrés diffusaient des extraits de scènes toutes olis chaudes les unes que les autres.
- Ça te plaît ? me demanda Enora d'un ton manifestement très coquin.
Je hochais timidement la tête.
- Parfait, c'est quand même mieux en HD non ? Allez bonne nuit Loris mon petit cœur !
Sur ce, elle lança la première scène du film et me gratifia d'un bisou sur la bouche et d'un clin d'œil avant de s'en aller dans sa chambre en faisant tortiller son petit derrière...


Le film commença : une belle black de 44 ans exécuta un step tease devant la caméra. Mon érection avait repris mais je n'avais pas la tête à me caresser. Ce bisou m'avait tout retourné. Énora flashait-elle sur moi ? Était-elle juste trop défoncé avec seulement quelques bouffées de cannabis ? Un vieux fantasme refit en tout cas surface. Dans le film, deux jeunes garçons blancs de peau aux larges pines dressées apparurent de chaque côté du canapé sur lequel se trémoussait l'actrice. Elle les attrapa sans ménagement par le sexe et se mit à les sucer goulûment.
Dans ma tête le film se déroulait autrement. J'imaginais avoir le pouvoir de me dupliquer, c'était donc moi qui me faisais dévorer l'entrejambe par Énora deux fois en une. Ah putain une double-pénetration à moi tout seul, si seulement...
Non, pense à autre chose. C'est la mère de ton pote, tu ne vas quand même pas plonger tête baissée. Pense à lui, pense à votre amitié... Qu'est-ce que çaimpliquerait ? En plus rien ne te dit vraiment qu'elle a envie de toi. Ce baiser ce n'était peut-être pas grand-chose... mais il avait réveillé quelque chose. Je me sens étrangement bien... un sourire niais déformait mon visage tandis que je contemplais l'actrice se faire sodomiser pendant un 69.


Mon téléphone vibra. Je le saisis. C'était un message d'Énora.
"Alors, chouette petit film ? ????"
Mon cœur battait la chamade. Quelle question bizarre, avec un smiley coquin en plus... Que répondre ? Je pris une minute de réflexion et tenta fébrilement :
"Très sympathique. Merci beaucoup..."
Une petite minute d'attente.
"Il te fait bien durcir ?"
Putain. C'est beaucoup trop évident, là. Une nouvelle minute de réflexion. Mon érection ne faiblit pas.
"Oh oui beaucoup"
J'ai de plus en plus de mal à écrire tant mes doigts tremblent.
"Tu m'aimes bien moi ?"
De pire en pire...
"Euh oui..."
Une minute d'attente fébrile. Je ne prête même plus attention au film.
"Fais voir ta bite."
Complètement décontenancé je ne répondis en photo qu'au bout de cins minutes le temps de comprendre ce qui m'arrivait. La tremblote me fit prendre une photo un peu floue, d'un organe montré qu'un peu timidement.
"Mmmmh quel engin... appétissant"


De plus en plus abasourdi je n'eus pas le temps de réfléchir à une réponse qu'une minute plus tard une photo de sa main caressant son sexe me parvint. Une chatte presque entièrement épilée, exception faite d'un discret petit duvet en ticket de métro. Je levai les yeux. Le film montrait l'actrice en plein double-pénétration. Moi et moi, Énora entre nous deux, oh oui...


Je n'y tins plus. Je repris ma bite en main et, encouragé pas les messages d'Énora, recommençai à me branler furieusement. Je tins quatre minutes à un rythme effréné avant de m'interrompre, retenant mon éjaculation, et de me rendre compte qu'Énora m'avait laissé un nouveau message il y en avait deux. J'avais dû un peu trop la faire attendre. J'attrapai fébrilement mon téléphone et ouvris son message.
"Rejoins-moi dans ma chambre."


Mon cœur ne fit qu'un bond et je ne fus pas long à me décider. Le poids de la culpabilité anticipé me fit hésiter, à tenter de me raisonner. Non, n'y va pas, je ne veux pas perdre un ami. C'est mal...
Mais d'un autre côté... ce genre d'occasion ça n'arrive qu'une fois. C'est un fantasme qui se réalise. Et la mère d'Éric est si sexy, si parfaite... Et je suis célibataire, où est le mal ? Et puis... la chambre d'Énora se trouvait au rez-de-chaussée de la maison, celle d'Éric à l'étage. Donc aucun risque de me faire choper, à moins qu'il ne fasse une petite insomnie et descende se rendre compte de mon absence. C'est pourquoi je me décidai, éteignis la télé et enfilai mon boxer.
"Pfiu... Bon allez, j'y vais."
J'avais prononcé cette phrase dans un murmure. Je me dirigeai à pas de loups vers la chambre d'Énora, à un couloir de là.


Je donnai trois timides petit coups contre la porte de son antre.
- Entre vite ! entendis-je dans un râle.
Les mains tremblantes et moîtes j'ouvris doucement la porte et obéis à son ordre en m'avançant. La première chose que je vis fut un immense écran plat diffusant une sodomie en gros plan. La première que j'entendis, les soupirs effrénés d'Énora en train de se branler comme une lionne. La première que je dis, "Oh putain" tandis qu'Énora s'était levée, approchée de moi et avait commencer à faire virevolter sa langue dans ma bouche, la première chose que je goûtai. La première que je touchai, ses seins lourds et fermes, pressés contre mon poitrail. Je décidai de ne plus me poser de question sur de présumées hallucinations et m'abandonnai. L'appétit aiguisé par toutes les allumeuses rencontrées lors de la fête d'Éric aidant, je réagis avec un enthousiasme non dissimulé, ce qui ne sembla pas gêner Énora le moins du monde, bien au contraire. Pour sa petite séance de plaisir en solo elle avait troqué ses vêtements moulants contre un ensemble de sous-vêtements en résilles ne dissimulant même pas les zones sensibles de son anatomie. Le soutien-gorge laissait entrevoir les tétons et ne faisait que souligner la courbe inférieure de sa poitrine, une fente avait été dégagée dans son string pour laisser son sexe à l'air libre. De plus un gode hors-dimension reposait sur ses draps.


Je pressai une main sur ses seins parfait, une autre contre sa hanche avant de la faire descendre sur ses fesses.
- Ce gode c'était toi mon petit cœur...
Elle agrippa mon boxer et le fit descendre le long de mes jambes.
- Et qu'est-ce que c'est que ça me gronda-t-elle. Tu ne vas pas sen avoir besoin !


Nous nous sommes glissés sur le lit puis embrassés, enlacés et tripotés pendant dix bonnes minutes. Elle finit par m'agripper par la queue pour m'attirer vers le bord du lit. Elle me fit m'asseoir face à sa télé pour me faire profiter du spectacle puis s'agenouilla sur le lit à ma gauche. Pas une fois durant toute l'opération elle n'avait lâché ma verge, qu'elle serrait et branlait à s'en luxer le poignet. Elle se remit à me galocher furieusement sans interrompre ses hardis mouvements de main. Le film était arrivé à une scène de gang-bang dans laquelle une brune se fit entourer d'une dizaine de mecs chauds comme la braise.
- Mmmmh je rêve de ta bite depuis tes 16 ans mon petit cœur... soupira-t-elle en dirigeant ma main vers son string fendu.
Ne sachant pas vraiment ce qu'elle attendait je me contentai d'introduire un doigt, espérant que ce serait suffisant. Le résultat ne se fit pas attendre : elle se cambra avec un cri obscène. J'espérais que, à l'autre bout de la maison, Éric et sa chérie n'entendraient pas.


Énora n'y tint plus, elle plongea vers mon entrejambe et me tailla une pipe grandiose. Ses lèvres commencèrent à téter mon gland comme un bébé son biberon tandis que sa langue humide opérait de délicates léchouilles sur mon méat et mon frein. Puis elle fit coulisser sa bouche tout le long de ma queue en de lents mais ardents va-et-vients. Je sentais mon membre entier gagné par une humidité très chaleureuse. Sa bouche était si confortable... elle s'en servit également pour me laper les couilles comme un chien assoiffé.


Pendant ce temps, pas non plus en reste de mon côté, un deuxième doigt s'était ajouté en renfort au premier pour sonder la fente humide d'Énora. Je leur fis faire des mouvements plutôt hasardeux mais efficaces si j'en jugeait les râles de plaisir poussés par ma cougar, étouffés par ma queue remplissant sa bouche délicate.


Elle me suça pendant quinze minutes quasi-divines, prenant bien soin de modérer la cadence pour ne pas me faire venir trip vite, avant de reculer dans son lit jusqu'à s'affaler sur sa pile d'oreillers. Elle écarta obscènement les jambes.
- Bouffe-moi mon petit cœur allez dépêche-toi ! soliloqua-t-elle.
Toujours guidé par la timidité je m'approchai de sa chatte gonflée et luisante. Ma tête fit halte à ci quarante centimètres de son sexe, dont je sentais sur mon visage les effluves bouillantes. Mon dieu, elle devait être encore plus excitée que moi.


Étant donné la manière dont elle agrippa mes cheveux et colas franchement mes lèvres sur les siennes, les grandes, j'en fus définitivement convaincu. Je n'avais jamais fait de cunni j'allais devoir improviser... je décidai de commencer par faire comme si je mangeais une glace. Je fis donc de grands mouvements de langue du bas au haut de son minou dont je perçus enfin l'humidité réelle. Cela m'excita au plus haut point, un goût délicieux envahit ma bouche. Je ne tardai donc pas à redoubler d'ardeur, à donner des petits coups de langue plus vifs, moins larges, ce qui decupla les gémissements d'Énora. Celle-ci écarta le sommet de son sexe avec deux doigts pour me dévoiler une excroissance de la forme d'un petit bonbon.
- Allez bouffe mon clito petit pervers !


Ça devait être important. Je reproduisis donc sur cette zone nouvelle le processus déjà entamé avec son vagin. Ses couinements s'intensifièrent et se multiplièrent.
- Oh oui Loris vas-y bouffe cette chatte, suce ce clito, plus vite, plus vite, plus vite, oh ouiiiiii ta langue est si douce mon petit cœur ! Oh putain ouiiiii ! T'arrête pas, t'arrête pas, T'ARRÊTE PAAAS !
Ses jambes se contractèrent, ma tête fut comme prise dans un étau tandis qu'Énora eut un orgasme. Elle repoussa la tête en arrière, pantelante, tandis que je m'étais remis à genoux pour me branler en contemplant ses jambes largement écartées, son con dégoulinant de mouillé qu'elle s'était remis à caresser avec une concupiscence sensuelle.


N'en menant pas large, elle se redressa, agrippa de nouveau ma queue et la branla énergiquement en promenant ses lèvres et sa langue toutes chaudes et humides sur mes tétons. De la salive se mit à couler sur mon torse.


Je commençai à grogner, je sentais l'explosion proche. La deuxième main d'Énora pressait mes couilles à m'en faire mal mais la sensation était parfaite. À mon tour de basculer la tête en arrière et de commencer à pousser des râles d'agonie. Énora goba mon gland en un éclair pour recueillir les épais jets de sperme que je crachai. Pour redoubler de perversité j'osai lui boucher le nez. Elle pompa mon dard encore une bonne minutes avec des bruits de succion obscènes.


Puis retirant sa bouche elle planta son visage à vingt centimètres du mien, joues gonflées. Jamais je n'avais craché autant de foutre, elle devait en avoir plein la bouche. Puis, esquissant un sourire qui n'en parut que plus coquin, elle ouvrit doucement ses lèvres et laissa échapper un flot de sperme sur son menton qu'elle fit couler jusqu'à ses seins. Le spectacle était hallucinant. Elle gloussa malicieusement devant mon air ébahi et me roula un gros patin. La vicieuse, elle n'avait pas tout recraché et se servait de sa langue. Le goût âcre de mon propre sperme se mêla jusque dans ma gorge et je réprimai un haut-le-corps : ce goût me répugnait.


- Mmmmh c'était divin Loris mon petit cœur... quand tu seras un peu plus habile quel pied ce sera !
Je restai pantois devant cette double, ou même triple, révélation. "Un peu plus habile", ça voulait dire que je m'étais mal débrouillé ? "Quand tu seras", qu'elle voulait recommencer ? "Loris mon petit cœur", elle avait un peu trop répété ces mots, avait-elle une idée derrière la tête ?


Pendant que ces questions trottaient dans la mienne, Énora avait fait voler ses sous-vêtements à travers la pièce et enfilé une chemise de nuit à la coupure et la longueur particulièrement racoleuses. Je sentais mon calibre reprendre de la vigueur.

Voyant cela, Énora eut un nouveau petit rire. Elle monta sur son lit, se pencha vers mon entrejambe, fit un bisou langoureux à mon gland, monta et se colla contre mon dos en caressant mes abdos.
- C'est tout pour aujourd'hui mon petit cœur, pépia-t-elle d'une voix enfantine. Allez retourne vite te coucher avant qu'Éric ne décide de faire une insomnie.
Un coup de langue passé de l'intérieur de mes omoplates jusqu'à la nuque me fit frissonner de désir. Je compris qu'elle essayait de faire tout pour me frustrer. Quelle allumeuse.


Je me levai, glissai une main sous sa chemise jusqu'à son sein et labourai sa bouche de ma langue en lui caressant la nuque de ma main libre. Elle se laissa complètement faire.
De retour à mon clic-clac, je rallumai la télé pour assister à un plan à trois entre deux cougars, une rousse taillée comme Énora et une latina, et un garçon qui avait l'air encore plus jeune que moi. Je me paluchai de nouveau et jouit pour la deuxième fois en un quart d'heure.
Avant de m'endormir je reçus un message d'Énora. "Bonne nuit mon petit cœur, à demain... ????"

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Commentaires de l'histoire :

Antigonos
Super !
Posté le 1/10/2020

Pongodu21
Une histoire bien écrite et très excitante. Merci à l'auteur
Posté le 29/04/2020


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