Le week-end se poursuit pour la jeune soumise Morgane, autrefois sage avocate. Alex continue de la pousser encore plus loin, jusqu'aux frontières de ses limites. Va t il les atteindre?
Proposée le 10/10/2020 par Blueberry89
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Thème: Femme soumise
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman
- Vas dans ta chambre te reposer, on se retrouve plus tard. au restaurant à treize heure. J'ai réservé deux tables très proches, rejoins moi aux toilettes en arrivant et je te donnerai un petit quelque chose qui va t'amuser.
Ravie de ses promesses, Morgane lui obéit et rejoignit sa chambre, essayant de deviner ses projets. Ca l'excitait tellement, qu'elle était encore toute trempée quand elle arriva enfin au restaurant avec son mari.
Le serveur les installa et elle s'éclipsa dans les toilettes. Alex l'y attendait patiemment. Quand elle vit la lueur bestiale qui animait son regard, elle se sentit toute chose, prête à obéir à ses moindres désirs. C'est l'effet qu'il avait sur elle. Elle avait beau se raisonner, culpabiliser, essayer de résister, devant lui elle n'était qu'une femelle en chaleur. Pire, une esclave. Elle lui obéissait quoiqu'il lui en coûte, juste pour son simple plaisir. Pour Lui. Rien que pour Lui.
- Penche toi contre le lavabo, ordonna t'il, le cul bien en arrière
Elle se soumit à sa volonté et frémit quand elle sentit son fessier à l'air. Il avait retroussé sa robe et caressait sa croupe avec douceur. Il lui mit une bonne claque sur chaque fesse jusqu'à ce qu'elles soient bien rouges puis vînt glisser un objet le long de son sillon.
D'une poussée, il lui enfonça l'objet dans son intimité humide et savoura la vision dans le miroir de son visage se crisper lors de sa soudaine intrusion.
- Ce que je t'ai mis, c'est un œuf vibrant. Je peux le commander à distance avec cette télécommande. Tu veux voir ce que ça fait?
- Oui...répondit elle en haletant
Il alluma alors l'engin, réglant les vibrations au minimum. Elle se tordit sous l'effet de surprise et de plaisir qui l'envahit. Puis il l'éteignit et rangea la télécommande dans sa poche.
- Maintenant, tu sais quoi faire. Et essaye de rester discrète.
Elle était affolée. Elle tenta de garder une démarche à peu près normale, malgré l'intrus logé dans sa grottr et réussit à s'installer à table sans éveiller les soupçons.
Il avait auparavant commandé leurs apéritifs et un verre de Chardonnay l'attendait déjà à sa place.
- J'ai choisi les apéritifs, annonça son mari en lui souriant
- Tu as très bien fait, tu sais déjà ce que tu vas choisir ?
- Non, je regardais le menu justement
Elle vit alors Alex s'installer à la table en face d'elle, derrière son mari, lui adressant un clin d'œil coquin.
Elle ne détacha pas son regard de lui, profitant de l'inattention de son homme qui explorait le menu.
Elle portait le verre de vin à ses lèvres quand elle sentit la première vibration. Elle renversa un peu, sursautant légèrement.
Les vibrations s'accentuèrent, en même temps que le sourire pervers d'Alex. Elle se trémoussait sur sa chaise, incapable de rester tranquille. Son mari remarqua son trouble.
- Tout va bien chérie ?
- Oui bien sûr , je crois que le vin me monte un peu à la tête. Je n'ai pas mangé grand chose aujourd'hui, s'excusa t elle
- Dépêchons nous de commander alors...
Il hèla un serveur et Morgane sentit l'oeuf vibrer plus fort tandis qu'il vînt à leur table. Elle crispa une main sur sa cuisse, donnant tout ce qu'elle pouvait pour paraître la plus normale possible.
- Bonsoir, Vous avez choisi Messieurs Dames ?
- Bonsoir, alors pour moi ce sera le carpaccio de St-Jacques pour commencer, annonça son mari, puis disons... le tournedos braisé. Chérie tu as eut le temps de choisir ?
- Euh oui...balbutia Morgane en croisant les jambes pour atténuer les frissons qui la parcouraient, je n'ai pas regardé...je...je vais prendre comme toi.
Alex décida qu'elle s'en était bien sortie pour le moment et coupa l'engin, satisfait.
L'entrée fût bientôt servie et ils purent la déguster en discutant tranquillement. En parfait petit couple. Quand arriva enfin le plat, les vibrations reprirent soudainement. Elle ne put s'empêcher de sursauter, renversant sa fourchette sur le sol. Elle se baissa vite pour la ramasser et croisa le regard lubrique d'Alex. Ce dernier continua à la faire monter en pression et attendit le dessert pour mettre son jouet au maximum. Elle n'en pouvait plus, incendiée par le plaisir qui la consumait. Et dire que son mari ne remarquait rien! Il n'aurait eut qu'à se lever et la coucher sur cette table, elle n'aurait pas bronché.
Il la voulait maintenant. Il lui envoya un texto avec un seul ordre : "dehors"
Il la vit regarder son téléphone et prétexter un appel important du travail pour pouvoir sortir du restaurant. Il la suivit et lui empoigna le bras dès qu'il s'approcha, l'entraînant à l'abri des regards, dans une sorte de passage où étaient entreposées les poubelles de l'hôtel.
Brusquement Alex la retourna et la colla au mur de brique avec fougue, se souciant peu de lui faire mal. Il aggripa ses hanches et s'enfonça avec force dans son anus. Il n'y allait pas de main morte et écrasait à chaque coups de reins son corps contre les briques rouges.
Elle criait sous ses assauts bestiaux tandis que la jouissance s'empara d'elle. Elle sembla durer encore et encore, s'amplifiant à chaque nouveaux coups de butoirs. Alex continua de la ravager de longues minutes puis quand il sentit monter la jouissance, il la mit à genoux par terre et lui introduisit sa queue dans sa bouche pour se décharger en de longues giclées.
Elle le nettoya bien comme il faut avant de rejoindre son cher mari.
Alex adorait cette petite avocate perverse. Elle était presque sans limite, un vrai plaisir pour lui, mâle dominant. Ces instants de baise étaient vraiment intenses, encore plus forts que ce qu’il avait vécu jusqu'à présent. Et ça ce n’était pas au programme.
Il allait lui en faire baver. Tout ça parce qu'il s'en voulait d'avoir été si faible la veille, après leurs ébats dans le spa, au point d'avoir failli l'embrasser. Rien que le fait d'en avoir eut envie le répugnait, il ne se reconnaissait pas. Lui qui pensait transformer la prude avocate... C'était plutôt lui qui était en train de changer.
Quand il la retrouva à la sortie du restaurant, il la prit par le bras et l'emmena sans ménagement dans un placard à balais sombre et étroit. Elle croyait qu'il allait la remercier en la prenant comme elle aimait tant.
- A quatre pattes, tout de suite, ordonna t'il
Elle se mit en position, trempée d'excitation. Elle attendit qu'il s'approche mais il n'en fit rien. Il la regarda simplement, cette avocate soumise à ses désirs, à quatre pattes, attendant de recevoir ce qu'elle mérite.
- Tu vas rester là et tu ne dois bouger sous aucuns pretextes. Je vais faire venir des hommes, agents de sécurité, d'entretien, simples clients ou voituriers...peu importe. Ils vont tous entrer chacun à leur tour dans ce placard et ils feront ce qu'ils voudront de toi. Ils devront juste être couverts et aucun n'aura la permission de te sodomiser. Je me garde ce petit plaisir...Tu ne dois pas bouger, tu as bien compris ?
- Oui... dit elle avec une seconde d'hésitation, je ferai tout ce que tu voudras.
- Bien, profite bien de ton après-midi, il risque d'être assez long...
Il lui mit un bandeau sur les yeux et ferma la porte derrière lui. Morgane se retrouvait dans le noir, nue, seule, dos à la porte, la croupe offerte à n'importe quel inconnu. Terrorisée. Excitée.
Elle ne savait pas combien de temps avait passé, quand soudain, elle entendit la porte s'ouvrir.
Quelqu'un entra, en silence. Elle savait qu'elle n'avait pas le droit de se retourner alors elle n'en fit rien. L’inconnu resta silencieux et immobile pendant un long moment, puis finalement, Morgane l’entendit défaire sa braguette et commencer à se branler à proximité de sa croupe.
Deux mains se posèrent sur ses fesses, les écartant et elle sentit une verge qui pointait à l'entrée de sa chatte. L'inconnu sembla hésiter quelques secondes avant de finalement s'enfoncer dans sa chatte brûlante en poussant un cri rauque de plaisir. Il y mit tout son coeur, s'agitant en elle à un rythme fou, maltraitant ses seins entre ses doigts et finit par se vider dans la capote qu'il avait enfilée.
Il quitta la pièce sans un mot. Morgane n'avait pas eut le temps de jouir, aussi attendait elle avec impatience le prochain tour...
Un autre homme entra, mais cette fois, il n'y alla pas par quatre chemins et planta sa queue directement dans son sexe brûlant. Il la chevaucha bestialement, sans aucune considération. Morgane criait, incapable de se retenir. L'homme lui asséna une virulente fessée et pinça la pointe de ses seins avec une telle violence que Morgane en eut les larmes aux yeux.
Quand il eut terminé, ce fût le tour d'un autre, puis d'un autre et encore un autre... Morgane avait cessé de compter. Une vingtaine d'inconnus l'avaient utilisée comme une vulgaire poupée, certains avaient même osés jouir dans sa bouche et elle s'était prêtée à la tâche avec application. Finalement, l'après-midi arriva à son terme et le flot d'inconnu se târit. Elle réussit quand même à obtenir quelques orgasmes brefs, mais rien de comparable à ceux d'avec Alex.
D'ailleurs où était il? Comment pouvait il la laisser seule, à la merci de ces inconnus sans même être présent pour assurer sa sécurité? S'il n'était pas là, peut-être qu'en fait, il se moquait éperdument d'elle... Peut être n'était elle qu'une marionnette, dont il tire les ficelles depuis le début, sans prendre en compte ses sentiments? Car oui, plus que sa soumise, Morgane désirait être la seule et unique pour lui. Elle avait des sentiments pour lui, ce qui rendait la situation bien plus compliquée.
La colère grandit en elle et quand Alex vînt la récupérer, elle refusa son aide et se rhabilla en hâte. Alex ne comprit pas sa réaction. Posté derrière la porte depuis le début, il avait entendu ses gémissements et savait qu'elle avait passé un agréable moment.
Une lueur d'inquiétude passa alors sur son visage d'ordinaire impassible et il s'empressa de la questionner
- Tout va bien ? Est-ce que l'un d'entre eux t'a fait mal?
- Non, ils ont tous respectés les règles, lança elle avec dédain
Une telle animosité venant de sa part scotcha littéralement Alex et, une fois n'est pas coutume, il se mit à hésiter. Était il allé trop loin en l'offrant ainsi à de vulgaires inconnus? Elle paraissait pourtant aimer ça, alors qu'est-ce qui la gênait au point de se rebeller ?
- Viens avec moi, nous allons te nettoyer, tenta t il d'une voix un peu plus douce
- Non, je vais retourner dans ma chambre maintenant et passer le reste du week-end avec mon mari, assène Morgane d'un ton tranchant
- Tu es sérieuse ? S'indigna t il, et tu crois vraiment que je vais te laisser faire? Tu restes ici.
Il lui empoigna le bras, l'empêchant de s'échapper.
- Lâche moi, vas donc te trouver un autre jouet!
- Morgane tu vas me dire ce qu'il se passe immédiatement, dit il plein de colère
- Tu n'étais pas là ! Tu m'as laissée sans même être là pour me surveiller! Et s'ils avaient transgressé les règles ?
- Tu n'as pas aimé ça ?
- Non parce que tu n'étais pas là. C'est TON plaisir qui m'importe pas celui des autres. Je peux bien me faire prendre par toute une équipe de foot, ça ne m'excitera que si c'est sous tes yeux.
Alex venait de comprendre la raison de sa colère et ça lui fit plaisir. Ca l'excita davantage même. Elle l'avait dans la peau et désormais, il serait le seul homme qui la ferait atteindre l'extase. Elle était à lui. Et ça, ce n’était absolument pas prévu.
- Très bien, je te promets de ne plus te laisser seule. Je n'étais pas loin tu sais, j'aurais pu réagir en cas de problème. Et sache que j'ai bandé comme un âne tout le long en t'entendant gémir ma petite salope. D'ailleurs j'ai besoin d'un petit coup de main, dit il en la tirant vers le placard
Il la prit alors dans ses bras et la colla à la porte. Pour une fois, elle lui faisait face et il put lire dans ses yeux une profonde gratitude . Elle enroula ses jambes autour de sa taille et noua ses bras autour de son cou. D'une poussée il l'empala de sa puissante verge et elle se sentit presque défaillir tant le plaisir était intense. Elle ne le lâcha pas une seconde des yeux, admirant la lueur bestiale dont ils étaient animés. Leurs visages se collèrent tandis qu’il s’enfonçait en elle en de vifs accoups. Il fit alors quelque chose qu’il n’avait fait qu’une seule fois auparavant et qui l’avait si perturbé qu’il s’était juré de ne pas recommencer: il l’embrassa avec une telle fougue qu’il ne se reconnaissait même plus.
Leurs baisers fiévreux ne s’arrêtèrent que lorsqu’ils atteignirent l’apogée de leurs plaisirs, leurs jouissances se mêlant à leurs cris.
L’après-midi était déjà bien entamé et si elle voulait garder un minimum de discrétion, Morgane devait retourner auprès de son mari. A regret, elle se décrocha d’Alex, qui restait muré dans un silence perturbant.
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