Le parti féministe a crée une école supérieure après le bac afin de tester de nouvelles méthodes d'éducation ou les hommes sont soumis aux femmes. Alexis a la mauvaise idée d'avoir une meilleur note que Sophie lors d'un examen. Celle-ci se venge de façon très perverse. Cette histoire est en fait une "saga" constituée de plusieurs chapitres
Proposée le 30/03/2020 par TALONS1314
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Homme dominé
Personnages: FH
Lieu: Inclassable
Type: Fantasme
Alexis est un jeune garçon qui vient tout juste d'entrer à l'école supérieure Jeanne d'Arc qui prépare un BTS d'un genre très particulier. Il l'a intégré au mois de décembre après avoir du quitter son ancien établissement suite au décès de ses parents.
Il ignore que ce établissement supérieur privé a été crée par un mouvement féministe pour expérimenter de nouvelles méthodes d'éducations ou les garçons sont soumis aux filles.
L'examen
"Jéremy : 2, égal à lui-même. David: 4, Jonathan 5............Emma 11, pourrait mieux faire.............Sophie 18, excellent comme d'habitude, et pour finir Alexis 20, félicitations jeune homme." lui dit la professeure de mathématique.
Remplit de fierté par les félicitations de sa professeure, Alexis ne vit pas le regard noir que lui lançait une des filles.
Après la fin des cours :
- "Félicitation" lui dit une superbe blonde accompagnée de plusieurs camarades féminines.
- "Merci, c'est très gentil de ta part."
- " Je m'appelle Sophie. Tu es vraiment extrêmement fort en mathématique. Pourrez-tu m'aider à résoudre un problème assez ardu?"
- "Moi c'est Alexis. Je serais ravi de pouvoir t'aider."
- "Je te remercie.
Voilà les données de mon problème : Je mesure 1,75 m, pèse 61 kg, et fais de la gymnastique et du karaté depuis 12 ans.
Ma question est la suivante : combien de coup de pieds devrais-je te donner dans les couilles avec le bout pointu des superbes bottines vernies que je porte, pour de faire éclater un testicule?"
La jeune fille avait prononcé la phrase lentement en prenant soin de bien de détailler chaque mot.
"Ne réponds pas tout de suite. L'essentiel est que tu trouve la solution d'ici le prochain examen."
Sophie repartit tranquillement après lui avoir fait un clin d'oeil.
« Non mais tu as vu ce qui vient de se passer ! Elle est complètement dingue cette fille, je vais aller voir la prof. »
Anthony lui répondit « Mais ça va pas la tète, tu est fou ou quoi. Comment un type qui a eu 20 en mathématique peut être aussi stupide. Je te conseils de ne rien raconter du tout à personne! »
- « Mais tu as entendu, elle m’a menacé de me frapper dans les couilles si j’avais de nouveau une meilleure note qu’elle. Elle n’a pas le droit ! »
- « Lequel, de te menacer ou de te balancer son pieds dans les couilles ? Non mais de quelle planète tu viens. Ici les filles ont tout les droits sur les garçons. Avant que tu n’arrives, Sophie était la meilleure élève de toute la classe. Elle est en colère et a voulu te faire comprendre que si tu avais de nouveau une meilleure note qu’elle, elle allait te castrer. Je te conseils de prendre cette menace au sérieux. »
- « Mais enfin, je ne vais quand même pas rester comme cela sans rien faire ? »
- « Si tu tiens à tes couilles, c’est exactement ce qu’il faut faire, fermer ta gueule et faire en sorte qu’elle ait de meilleures notes que toi lors des prochains examens. Je vais meme te dire que tu as une sacrée chance de ne pas etre en train de te rouler au sol en te tenant les burnes. Ici en général les filles frappent d’abord et parlent ensuite, enfin...si elles daignent t’adresser la parole."
"C'est injuste. On ne peut pas la laisser faire!"
"Mais tu es vraiment con toi. Tu sais au moins qui est cette fille?"
"Bah, je sais juste qu'elle s'appele Sophie."
"Sophie, oui, Sophie LEPESTIER pour etre exact. Et si tout le monde la surnomme Sophie LA PESTE!, c'est qu'il y a une raison figure toi!"
Anthony enchaina : " Tu n’as pas vu les exemples de punitions qui sont affichés dans le hall. Tu n’as pas lu l’histoire du pianiste qui a eu la main broyée d’un coup de talon et les boules éclatées à coup d’escarpins ? Et bien la fille qui lui a fait cela, c'était Sophie LEPESTIER!---
« Si j’ai vu, mais c’est marqué qu’il l'avait gravement insultée. »
« Gravement insultée, mon cul oui. Ca c’est la version officielle, mais la vérité que tout le monde sait mais que personne ne dira jamais, est complétement différente. Il venait de gagner le concours de musique, et Sophie qui était arrivée deuxième lui a cassé la main exprés pour l’évincer. Et comme si ce n’était pas suffisant, il a été reconnu coupable d’offence et a été condamné à recevoir 10 coups de pieds dans les couilles en public. C’est Sophie qui lui avait déjà cassé la main, qui a executé la sentence avec ses escarpins les plus pointus. »
« Ah, je ne savais pas. Mais là c’est différent. Tu a vu et entendu tout ce qui c’est passé. Tu pourrais me servir de témoin ! »
« Moi, Témoin! Ne compte pas la dessus. Si on m’interroge, je dirais que je n’ai rien vu. Le pianiste aussi avait un témoin si tu veux savoir. C’est même un très bon ami à moi. »
« Il n’a pas été entendu ? »
« Oh si, il est resté près d’une heure dans le bureau de la directrice, mais il a confirmé la version des filles. Quand il est ressorti, on aurait dit un cadavre tellement il était blanc. Il était mort de trouille. Il m’a fallu des semaines pour qu'il me dise ce qui c’était réellement passé. »
« vas y dit ! »
« la directrice a demandé à la prof de punition corporelle de venir dans son bureau. C’est elle qui exerce également la fonction de bourrele pour les punitions publiques. A la demande de la directrice, elle a expliqué à mon pote comment les menteurs étaient punis. »
« Et c’est quoi la punition prévue ? »
« On leur piétine la langue avec des talons aiguilles ! »
« Mais c’est ignoble ! Je comprends pourquoi ton pote a eu peur de témoigner.»
« Oui. Comprends tu maintenant la chance que tu as que Sophie se soit juste contentée de te mettre en garde? Ce n'est pas dans ses habitudes, a mon avis, elle a un faible pour toi. Tu devrais sauter sur l’occasion, surtout qu’elle n’est pas vilaine.»
« Oui, c’est vrai qu'elle est pas mal. »
« Comment ça « pas mal ». ne dis jamais à une fille qu’elle est « pas mal » ou se sera la dernière connerie que tu dira. Ici, les filles sont toutes belles, charmantes, intelligentes, droles… enfin tu comprends ce que je veux dire. »
« Oui, je pense. »
« Et mec, je déconne pas là. C’est sérieux. Il faut que tu te trouves une maitresse attitrées, et c’est préférable pour toi que tu lui plaises. Les types qui n’ont pas de protectrice attitrée finissent mal. »
« c’est quoi encore ce truc ? »
« Il faut vraiment tout t’expliquer toi. Le règlement permet aux filles de prendre en charge un garçon. Elle devient sa maitresse et lui son esclave. »
« Mais je n’ai envie de devenir l’esclave de personne ! »
« Cesse de m’interrompre sans arrets et écoutes. Crois moi, il vaut mieux etre l’esclave d’une seule maitresse qu’etre à la merci de toutes les filles. Quand un mec a une maitresse, c’est elle qui est chargée de son éducation et les autres filles le laissent tranquile. Alors que si il est seul, il est à la merci de la première bande de filles qui vont s’amuser avec lui. Il y a des filles qui se sont fait une spécialité de faire la chasse aux « célibataires »
Pendant ce temps, à l'autre bout de la cour, SOPHIE discute avec ses amies.
"Je ne te reconnais pas Sophie. Tu as l'habitude d'exploser les couilles des garçons pour moins que celà. Tu ne serais pas en train de te ramollir?" lui dit Sonia en désignant Alexis qui discutait avec son pote.
"Faut-il qu'on te surnomme maintenant "Sophie la magnanime"? rencherie Lydie en riant.
"Moi je pense qu'elle a un faible pour lui. Il faut reconnaitre qu'il n'est pas vilain." reprit Sonia.
"Oui c'est vrai qu'il est mignon, il a un petit coté androgyne avec ses long cheveux blonds. C'est ce qui doit lui plaire!" pouffa Béatrice.
Sophie fit semblant de se mettre en colère. "Vous avez finies les filles! Vous n'y etes pas du tout. J'adore toujours autant éclater les couilles des garçons, mais il faut parfois aussi trouver des idées de punition plus originales. Alexis m'a humiliée devant toute la classe avec son 20 en mathématique. Il faut que je trouve une punition plus humiliante pour lui qu'un simple passage à tabac."
"Oh, toi tu as une idée derrière la tete" lui dit Sonia.
"Peut-etre, peut-etre" répondit Sophie en souriant.
Tout en répondant à sa copine, Sophie repensait à ce qu'avait dit Béatrice sur le coté Androgyne d'Alexis.
Dans le bureau de la directrice.
"Vous avez demandé à me voir Mlle Sophie"?
"Oui madame la directrice. J'ai une requete à vous demandez. J'espère que je ne vous dérange pas?"
"Mes meilleures élèves ne me dérangent jamais. Vous savez que vous serez toujours la bienvenue dans mon bureau. Que puis-je faire pour vous?"
"Merci Mme la directrice. Voilà, j'aimerais devenir la tutrice d'un nouvel élève qui vient tout juste d'arriver au lycée. Il s'appelle Alexis DUBOIS."
"Mais il n'y a rien de plus simple. Vous savez parfaitement que vous n'avez pas besoin de mon autorisation pour cela. Il suffit de vous faire enregistrer au secretariat."
"C'est que... Il y a autre chose. Ce garçon qui vient juste d'arriver a un comportement tout à fait innaceptable et merite une punition exemplaire."
"Ne serait-ce pas celui qui a obtenu un 20 en mathématique?" lui demanda la directrice d'un air ironique.
"Oui, effectivement, mais cela n'a rien de personnel" répondit Sophie d'un air faussement indigné en portant la main sur son coeur. "En obtenant un 20, ce garçon a humilié toutes les filles de l'école et bafoué ainsi ses propres fondements."
Malgré l'hypocrisie évidente dont faisait preuve Sophie, la directrice savait qu'elle avait raison.
"Et si vous me disiez directement ce que vous avez en tête Mlle. Car je suppose que vous avez déjà une idée?"
Sophie expliqua en détail son plan à la directrice qui arborait un large sourire en l'écoutant.
"Je ne mettais décidement pas trompée sur vous Mlle. Votre perversité n'a d'égal que votre beauté. Vous aviez déjà la réputation d'etre une sacrée garce auprés des élèves, maintenant, ils vont savoir que vous etes une vrai salope!"
"Venant de vous madame la directrice, ces compliments me vont droit au coeur."
Lundi matin, premier cours de la semaine.
La classe était au complet, à l'exeption d'Alexis DUBOIS.
Tout le monde attendait la directrice dont l'arrivée avait été annoncée.
Lorsqu'elle penétra dans la salle de cours, toutes les filles étaient debout les bras croisés sur la poitrine, alors que tout les garçons étaient à genoux face à elles, les mains posées sur la tete, le dos cambré et les jambes légérement écartées de façon à ce que leurs attributs soient aisement accessibles.
La directrice était suivie d'une fille habillée comme une gamine de 7 ou 8 ans alors que ce nétait manifestement pas le cas vu sa taille. Elle baissait les yeux vers ses pieds chaussés de mary-jane rose bonbon avec un talon de 3 cm de hauteur et un petit noeud assorti sur le dessus. Elle portait une robe ample de la même couleur avec un énorme noeud papillon à l'arrière. Deux nattes blondes dont les extremités étaient également munies de noeuds papillons roses, descendaient sur chacune de ses épaules.
"Je vous présente ALEXIA. C'est la petite soeur d'ALEXIS qui a du quitter précipitamment notre établissement suite à un drame familiale. Mlle SOPHIE s'est spontanément proposée pour devenir la tutrice, je devrais plutôt dire la nouvelle maman d'Alexia. A compter de ce jour, Mlle Sophie sera chargée d'assurer son éducation. Je vous demande à tous d'accueillir la petite Alexia comme il se doit."
La directrice avait eu bien du mal à garder son sérieux en prononçant son discours. Bien sur, elle savait que personne n'avait cru un seul des mots qu'elle avait prononcés. Malgré le remarquable travail de maquillage qu'avait réalisé Sophie et ses amies, ainsi que les traits effectivement androgynes d'Alexis, tout le monde dans la salle l'avait évidemment reconnu. Ce fut donc une explosion de rire générale. Ce qui humilia le plus Alexis, c'est que meme les garçons riaient. Il faut dire qu'ils n'en avaient pas souvent l'occasion et pour une fois qu'ils pouvaient se moquer librement de quelqu'un sans risque de représailles, ils ne s'en privaient pas.
Sur l'ordre de la directrice, Alexis, ou plutôt maintenant Alexia, quitta l'estrade sous les quolibets et les moqueries pour aller rejoindre Mlle Sophie, sa nouvelle "maman". Afin de libérer la place, celle-ci fit deguerpir le garçon qui se trouvait auparavant devant elle en lui assénant un bon coup de pieds dans les noix.
"Ne t'inquietes pas, ta maman va bien s'occuper de toi. Mais tu auras interet à etre une petite fille très obéissante" murmura Sophie à son oreille sur un ton moqueur.
Sophie exultait. Elle avait passé un suberbe week-end avec ses copines à préparer Alexis : l'épiler, l'habiller, le coiffer, le maquiller. Puis lui apprendre à marcher avec grace avec ses petits talons, à faire la révérence, à servir le thé... enfin bref, à se comporter comme une petite fille bien élévée.
Mais là aujourdhui, c'était l'apothéose.
SUCETTE
A la grande surprise de Sophie, Alexis se sembla pas longtemps très géné par le fait d'etre déguisé en petite fille. Il ne manifestait aucun signe de honte en classe, malgré les quolibets de ces camarades, en particuliers des garçons. Au contraire, il affichait toujours le sourire et semblait très à l'aide dans ses costumes de princesse.
Sa maitresse n'avait même plus à l'habiller. Alexis le faisait seul. De même il avait appris à se coiffer et à se maquiller tout seul comme une grande également. Il prenait grand soin de ses affaires qu'il lavait et repassait consencieusement. Il faisait la révérence avec grace devant ses amies et rougissait comme une petite fille lorsqu'elles faisaient des remarques.
Ce comportement commençait à agacer Sophie. Il n'était pas normal. Elle se demandait ce qu'il cachait.
Ses soupçons s'accrurent le jours ou elle lui offrit un costume d'Alice au pays des merveilles. Alexis remercia chaleureusement sa maitresse lorsqu'il ouvrit le paquet, et lui demanda s'il pouvait l'essayait tout de suite. Après s'est préparé, il était revenu dans le salon pour se faire admirer.
Elle l'avait également observé plusieurs fois devant un miroir, à prendre des positions féminines, à faire des petites moues mutines en tendant les lèvres...
"Ce ne serait pas une petite tapette en fait" se demanda-elle.
Dans ce cas, le fait de le travestir n'était pas une punition, mais une récompense au contraire. Le mieux serait alors de le refaire s'habiller en jeune homme. Personne ne trouverait celà bizarre. Alexis aurait compris la leçon que sa maitresse lui avait donnée, et celle-ci, magnanime, aurait levé la punition.
"Non,non, pas trop vite" réflechit Sophie. Alexis est un garçon extremement intelligent. Et si justement il ne jouait pas la comédie pour amener sa maitresse à lever la punition.
"Si c'est cela, il va me le payer cher". Se dit-elle alors.
Après avoir longuement réfléchi, Sophie pris sa décision : Alexis continuerait de s'habiller en petite fille. Par-contre, il fallait qu'elle trouve une autre bonne punition à lui infliger.
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La directrice accorda avec joie l'entretien que lui avait demandé Sophie. Elle s'amusait beaucoup des idées perverses que cette élève lui proposait.
"Asseyez-vous mademoiselle, que puis-je faire pour vous?"
"Je me suis dit qu'il serait peut-etre opportun d'accorder de temps en temps des récompenses aux garçons dont le comportement est exemplaire."
La directrice fronça les sourcils. Une telle proposition venant de Sophie lui semblait très étrange. Connaissant bien son élève, elle comprit tout de suite qu'elle avait encoree une idée tordue derrière la tête.
"Poursuivez, je vous prie."
"Les garçons sont soumis quotidiennent à une discipline très rigoureuses et à de nombreux chatiments corporels. Je pense qu'il serait judicieux d'accorder une récompense au élèves méritants afin que les autres suivent leur exemple."
"Et quelle est la récompense que vous suggerez?"
"Je pense qu'Alexis pourrait prodiguer une fellation une fois par mois à ceux de ses camarades qui n'ont pas commis d'infractions au réglement les semaines précedentes."
La directrice avait maintenant compris où Sophie voulait en venir. Décidement son élève était très rancunière. Ridiculiser ce garçon devant tous le monde en le déguisant en petite fille ne lui suffisait pas. Elle voulait encore l'humilier davantage.
Mme D appréciait décidemment beaucoup son élève. L'idée qu'elle lui proposait était à la fois perverse et amusante. Elle acquiessa à sa demande.
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Alexis était assis sur une chaise dans le salon de Sophie, une file de garçons faisait la queue devant lui.
Sa maitresse lui avait expliqué ce qu'elle attendait de lui. A la surprise de cette dernière, il n'avait émis aucune protestation, aucune plainte. Sophie avait été déçue. Elle aurait tellement aimée qu'il se jette à ses pieds, qu'il la supplie de lui épargner cette humiliation.
Sans un mot, Alexis défit un à un les boutons de la braguette du premier garçon. Il baissa son pantalon et son slip sur les chevilles, et prit immédiatement son sexe dans la bouche. Il se mit à le sucer et a le caresser.
Il n'avait jamais fait cela et ses gestes étaient maladroits, mais pourtant très vite la verge du garçon se tendit. L'ardeur avec laquelle je jeune homme pompait le gland remplaçait son inexpérience. La respiration du garçon devint saccadée, il fermait les yeux. Au bout de quelques minutes, il se raidit. Alexis arreta ses mouvement de succion en maintenant le bout du gland dans sa bouche. Il l'ouvrit peu après pour que sa maitresse puisse vérifier qu'il avait bien fait éjaculer son camarade, puis avala. Il était pret pour le suivant.
Alexis avala le sperme de douze de ses camarades ce soir là. Il ne dit pas un mots, n'émit pas une plainte, ne manifesta pas le moindre signe de dégout. Il savait que son attitude irritait sa maitresse, que celle-ci aurait voulu le voir la supplier devant ses camarades. Il ne voulait pas lui accorder ce plaisir, c'était la seule petite "revanche" qu'il pouvait se permettre envers sa maitresse. Que pouvez-elle lui faire, le frapper, l'humilier? Elle le faisait déjà.
Sophie bouillait intérieurement. Elle s'était imaginé en train de pincer le nez de son soumis pour l'obliger à ouvrir la bouche, et il lui avait gaché son plaisir.
Oh oui elle avait envie de lui faire endurer les pires souffrances, mais comment aurait-elle pu les justifier. Alexis avait executé ses instructions à la lettre. Il n'avait pas émis la moindre protestation, pas fait un seul geste dont elle aurait pu se servir comme pretexte pour le punir.
Dans cette situation, non seulement cette punition n'aurait pas été comprise par ses camarades féminines, mais elle aurait été interprétée comme un signe de faiblesse de sa part.
Alexis était conscient de l'impasse dans lequel il avait mis sa maitresse. Il savait que celle-ci trouverait un moyen de se venger, mais pour l'heure il savourait sa petite victoire.
La vengeance de Sophie ne se fit pas attendre. Dés le lendemain soir...
CADEAU
"Je suis très fiere de toi. Tu as remplis la tache que je t'ai confiée avec beaucoup de zèle. Pour te remercier, j'ai décidé de te faire un cadeau!"
Sa maitresse lui remits alors un paquet.
"Merci, Mlle Sophie, c'est vraiment très gentil et très généreux de votre part."
"Mais non, c'est normal, tu l'as amplement mérité!
Tu ne l'ouvres pas?"
"Si si, bien sur maitresse."
Alexis ouvrit le paquet et en sortit un godemichet à double bout. L'un prévu pour s'enfoncer dans le sexe de la femme, et l'autre dans l'anus de son soumis.
"Merci Mlle Sophie, c'est magnifique."
"J'étais certaine que cela allait te plaire. Viens, on va l'essayer tout de suite!"
Sophie fit mettre Alexis contre une table, se plaça derrière lui, souleva sa robe et s'enfonça brutalement en lui.
Alexis s'était juré de tenir le coup, de rester stoique, mais sa maitresse l'encula si violemment qu'il ne pu s'empêcher de crier. Mue par le plaisir de la vengeance, Sophie lui pistonna l'anus avec fureure durant plus de 10 minutes. Alexis du se mordre le bras pour ne pas crier. Ses yeux étaient remplis de larmes.
Sophie fut secouée par un violent orgasme. "C'était trop bon! On va refaire ça tout les soir après tes pipes!"
Première vengeance:
Alexis suçait maintenant réguliérement ses camarades. En enlevant ceux qui avaient été privés de "pipe" par leur maitresse pour diverses raisons, il prodiguait en moyenne une centaine de fellations par mois.
Il devint bien sur très vite un expert en la matière. Il apprit à se servir simultanément de sa langue, de ses lévres et de ses doigts. Le double piercing que sa maitresse lui avait fait mettre sur la langue, n'avait fait qu'augmenter encore plus le plaisir qu'il prodigait à ses camarades. Alors qu'il s'occupait de leur queue avec sa bouche, il caressait les bourses d'une main, tandis que les doigts de l'autre s'aventuraient dans leur anus...
Au bout de quelques mois, il était devenu si doué qu'il controllait comme il voulait le plaisir qu'il prodiguait. Il pouvait le faire durer indéfiniment, frolant sans cesse la limite de la jouissance, qu'il bloquait d'un petit coup d'ongle ou de dent assassin, avant de reprendre de plus belle. Ou au contraire, il pouvait provoquer une décharge dans sa bouche en un éclair.
La maitrise qu'il avait acquise lui permit d'assouvir une première petite vengeance envers un de ses camarades.
La plupart des garçons de la classe avaient beaucoup ri de lui à lors de son travestissement. Les moqueries et les quolibets avaient repris de plus belle avec les séances de fellation.
Un garçon sétait montré particuliéremen cruel avec lui. Un certain Roger Delarue. C'est notamment lui qui avait trouvé les surnoms avec lesquels on le désignait alors : "Puputte ou sucette"
Alexis sut immédiatemment comment il allait se venger quand Roger se présenta devant lui, le sexe déjà sorti. C'était la première fois qu'il venait se faire sucer. Il n'avait pas un comportement irréprochable, et sa maitresse ne lui avait pas encore accordé la faveur de cette récompense.
Alexis pris simultanément d'assault sa verge, ses couilles et son anus. Ce fut une attaque éclair, un "Blitzkrieg". Surpris pas la rapidité et la violence de cette attaque, Roger ne pu retenir le jet qui s'échappa de son sexe. En a peine trente seconde, Alexis lui avait fait cracher son sperme. Ce dernier présenta sa bouche ouverte aux personnes présentes dans la salle et s'assura que tout le monde ai bien vu son contenu avant de l'avaler. Juste après, il dit d'une voix forte, sur un ton moqueur : "DEJA! BON BAH...PERSONNE SUIVANTE ALORS!"
Roger acquis ce jour là une réputation d'éjaculateur précoce qui n'allait plus le quitter. Alexis savoura sa petite vengeance en même temps que le sperme de son camarade.
Avant de s'occuper du garçon suivant, il vit que Sophie lui adressait un sourire. Ce n'était pas le sourire narquois qu'elle affichait d'habitude lorsqu'elle préparait un mauvais coup. Non, cette fois-ci il était sincère. La jeune fille appréçiait à sa juste valeur le talent et l'ingéniosité dont il avait fait preuve pour se venger malgré la situation ou il se trouvait. Elle pensait qu'elle n'aurait pas fait mieux elle-même, et ses sentiments à l'égard du jeune homme commençèrent à changer.
Peu de temps après, Alexis remercia Anthony, le seul garçon qui avait continué à lui manifester de la symphatie et de la compassion après sa descente aux enfers, en lui prodiguant une véritable pipe d'anthologie. Ce jour là, il était heureux. Il se sentait tel Edmond Dantés qui après avoir atteint le fond du gouffre, était revenu à la surface sous les traits du compte de Monte Christo afin de récompenser ceux qui l'avaient aidé, et punir ceux qui lui avaient fait du mal.
LE MINISTRE
"Vous avez demandé à me voir Mme la directrice?"
"Oui, Sophie, asseyez-vous je vous prie."
J'ai entendu parler des prouesses buccales de votre soumis, et je vais en avoir besoin prochainement."
"Bien sur Madame, vous savez qu'Alexis est à votre entière disposition."
"Tout ce que je vais vous dires maintenant est ultra-confidentiel. Vous ne devrez en parler à personne, meme pas à vos meilleures amies. Quand à Alexis, il ne devra savoir que le stricte minimum pour accomplir sa mission."
"Je jure de garder le silence Madame."
"Comme vous le savez certainement, l'école Jeanne d'Arc est un établissement expérimental. Les méthodes éducatives que nous pronons ne font pas l'unanimité, et nous avons de nombreux détracteurs à l'affut du moindre pretexte pour nous nuire. Certains font même tout leur possible pour faire fermer notre établissement."
Un frisson d'angoisse parcourut Sophie lorsqu'elle entendit cela.
"Le ministre de l'éducation a eu vent de certains problèmes au sein de l'école et a décidé de venir faire une inspection. Je sais de source sure que cet individu est très attiré par les jeunes filles. Je compte sur les talents de votre soumis pour le distraire et lui faire oublier le but de sa visite.
Je compte sur vous pour lui expliquer en détail ce que j'attends de lui.
Un dernier détail, Alexis a passé l'age de jouer les petites princesses. Une tenue d'écolière avec mini-jupe et talons hauts sera beaucoup plus appropriée pour sa mission."
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La directrice vit tout de suite le regard lubrique du ministre lorsque la jeune écolière vint leur servir le thé dans son bureau. Juché sur des talons de 15 cms, Alexis dut bien se pencher en avant pour le servir sur la table basse. Sa mini-jupe se releva et son string apparu juste sous les yeux du politicien.
"Voilà une écolière très charmante!" dit-il la voie enrouée
"N'est-ce pas? Nous donnons une grande importance à l'éducation de nos jeunes élèves".
Le télephone de la directrice sonna
"M le ministre, je suis vraiment désolée. Une urgence. J'en ai pour 15 minutes, 20 maximum. Alexia va vous tenir compagnie durant mon absence.
La directrice quitta le bureau aussitôt, laissant le ministre seul avec la jeune fille.
"Ainsi donc, tu t'appeles Alexia?"
"Oui M le ministre, mais ici tout le monde me surnomme sucette!"
Le ministre faillit s'étrangler. "Joli surnom, et peu banal."
Alexis prit un air ingénu "On me l'a donné parce que je suis très douée pour sucer les garçons. C'est toujours moi qui ait les meilleurs notes aux cours de fellation."
"Ah..., parce-que vous avez des cours de fellation?"
"Oui, la directrice dit que c'est très important pour une secretaire de bien savoir sucer son patron. C'est une matière qui a un gros coefficient. Il me avoir une bonne note pour rattraper mon retard dans les autres matières. C'est pour cela que je m'entraine le plus souvent possible."
Le ministre était rouge comme une pivoine. Une bosse apparut dans son pantalon.
"M le ministre, je voudrais vous demande un petit service. Ne le prenez pas mal, mais je n'ai encore jamais tailler de pipe à un homme de votre âge. Cela me ferait une bonne expérience. Est-ce que je peux?" dit Alexis en faisant passer sa langue sur ces lèvres.
Entendre les mots "tailler une pipe" sortir de la bouche innocente de cette jeune fille fit tomber les dernières résistance du ministre. "vas-y ma petite."
Alexis se mits aussitôt à genoux sur le tapis devant le fauteuil ou l'homme était assis. D'une main experte, elle fit sortir son membre et l'emboucha."
L'homme politique garda les yeux fermés durant la fellation. Seul un râle de plaisirs s'échappait de sa bouche. Jamais personne ne lui avait donné autant de plaisirs, pas même une des nombreuses prostituée auxquelles il avait souvent recours. Alexis avait vraiment une bouche en or.
Il mettait tout son talent en oeuvre pour procurer le maximum de plaisirs à l'hote de la directrice. Celle-ci l'observait sur les écrans video des caméras qui avaient été mises en place auparavant.
Après l'avoir amené au bord de la jouissance plusieurs fois de suite comme il en avait le secret, Alexis mit fin à la séance d'un dernier coup de langue. Le ministre se raidit, ses mains s'accrochèrent aux dossiers du fauteuils, il ouvrit la bouche en même temps que les yeux lorsque son sperme si longtemps contenu dans ses couilles gicla au fond de la gorge de l'écolière. La demoiselle l'avala avec un regard plein de gourmandise, puis lui nettoya le gland avec la langue. Elle remit ensuite sa braguette en place et était en train de lui reverser une tasse de thè lorsque la directrice réapparut dans le bureau, l'air essouflée comme si elle venait de courir.
"Je suis désolée. Vous savez ce que c'est, le personnel est incapable de se débrouiller seul. J'espère ne pas vous avoir fait trop attendre."
"Non, non. J'ai discuté avec votre charmante élève. J'ai appris beaucoup de choses interessantes"
"Il me semble que vous aviez un certains nombres de points à voir au sujet du fonctionnement de l'école," lui demanda Mme D.
"Rien de bien grave, rassurez-vous. Cela peut attendre. Et cela me fera une occasion de revenir dans votre établissement."
"Vous êtes ici chez vous, M le ministre. Revenez quand vous voulez. Vous serez toujours accueilli à Bo.. à bras ouvert!"
La directrice s'amusa de son lapsus, elle avait failli dire à "bouche ouverte".
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Après le départ du ministre, la directrice reçut Sophie et Alexis dans son bureau.
"Je tiens à vous faire part de ma plus grande satisfaction. La prestation de votre soumis a été fantastique!"
Bien que se soit Alexis qui ai fait le plus gros du travail, la directrice ne pouvait se pemettre de le féliciter directement.
"Merci Mme la directrice, mais tout le mérite en revient à Alexis."
Mme D fut surprise de la réaction de Sophie. D'habitude, s'octroyez les mérites de son soumis ne l'a dérangeait pas."
Elle reprit : "Félicitation également pour sa tenue. Le maquillage est équilibré, séduisant sans etre vulgaire, la coiffure élégante, les vetements parfaitement ajustés...Vous avez fait un excellent travail mademoiselle."
"Là encore Mme la directrice, c'est Alexis qu'il faut féliciter" répondit Sophie.
"C'est lui qui a choisi sa tenue. Et cela fait longtemps qu'il se coiffe et se maquille lui-même."
"A bon... et bien alors félicitations jeune homme"
La directrice ne savait pas ce qui la surpenait le plus: qu'Alexis se maquille, ce coiffe et s'habille seul, ou que Sophie le reconnaisse.
Alexis ne dit pas un mot durant toute la durée de l'entretien. C'était déjà un privilège d'y avoir assister, d'habitude les garçons étaient renvoyés à leurs taches aussitôt qu'on n'avait plus besoin d'eux.
Il eut ainsi tout le loisirs d'observer le comportement de sa maitresse. Lui aussi avait remarqué que son attitude envers lui était en train de changer.
"Mlle SOPHIE, Alexis. J'aurais encore besoin prochainement de vos services."
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Est-ce parce-que l'école se trouvait en région Parisienne assez proche du ministère, toujours est-il que le ministre y rendit plusieurs visites de "courtoisie" dans les mois suivants. Il demandait toujours des nouvelles de la jeune écolière qui lui avait servi le thé, et la directrice trouvait toujours une excuse pour le laisser seul en sa compagnie.
"M le ministre. Je profite de votre présence pour vous demander une petite faveur. Je suis toujours à la recherche d'endroits pour envoyer les élèves de l'école en stage et me suis dit qu'avec vos relations, vous pourriez surement nous en trouver."
La directrice senti qu'elle avait attirée l'attention du ministre et continua :
"J'ai également pensé qu'il y aurait peut-etre même la possibilité d'effectuer un stage au sein de votre ministère. Je sais que la petite Alexia en rève. Ce ne serait pas long, juste un mois."
Quand il entendit prononcer le nom d'Alexia, le ministre déglutit.
"Vous m'avez toujours si bien accueilli dans votre établissement que je ne puis vraiment pas vous refuser cette petite faveur."
Alexis partit donc en stage dans le ministère de l'education. Il/elle fut affecté dans le secretariat personnel du ministre. Pour ne pas éveiller de soupçon, sa tenue était beaucoup plus sage, tout en restant très au gout du ministre. Celui-ci s'arrangeait pour passer quelques moments seuls avec sa stagiaire à chaque fois qu'il le pouvait.
Avant qu'il ne parte en stage, la directrice avait confié à Alexis un équipement digne d'un espion : mini caméras, micro intégrés.... et lui avait expliqué comment s'en servir. "Une vrai james bond girl" lui avait-elle dit en plaisantant.
Sa mission était simple, enfin en théorie. Il devait gagner la confiance du ministre ( ce qui était déjà en bonne voie) afin de lui tendre un piège. Leurs jeux coquins devaient aller de plus en plus loin. Il ne devait pas seulement sucer le ministre ou se faire sodomiser par lui, mais il fallait faire en sorte qu'on ait l'impression que ce dernier le viol sous les yeux des caméras cachées.
Dés qu'ils étaient seuls, Alexis agitaient ses petites fesses sous le nez du ministre puis partait à quelques mètres. Ils tournait autour du bureau comme dans une partie de loup. "Attrape moi si tu peux..;"
Au fils des jours, Alexis devenait de plus en plus provocateur: Il faisait semblant de plus en plus souvent et de plus en plus longtemps de le fuire et de refuser ses avances. "Non, messieur, s'il vous plait, je suis encore vierge" lui disait-il avec une moue mutine sur la bouche.
Il prenait un air de dégout quand le ministre lui donnait son sexe à sucer, et couinnait en pleurant comme une vierge effarouchée lorsqu'il lui prenait l'anus.
Le ministre était ravi de l'attitude de sa stagiaire. Plus les jours passaient, et plus elle lui donnait la sensation de réaliser son fantasme le plus inavouable : celui de violer une jeune fille sans défence.
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"Viens par là petite" dit un sexagenaire chauves et bedonnant à une jeune fille blonde.
"Monsieur, non, s'il vous plait. Je ne veux pas!"
Tenant en main son sexe qu'il avait déjà sorti de son pantalon, l'homme répondit "Si tu veux valider ton stage, il faut que tu soit très gentille avec moi!" L'homme libidineux faisait doucement le tour du bureau.
La jeune fille se tenait derrière, l'air effrayée.
"Je vous en supplie Monsieur, non!"
L'homme la bloqua contre l'angle du mur.
"Allez, à genoux, dépeches toi!"
Les yeux de la demoiselle se remplirent de larmes.
"S'il vous plait, je ne veux pas!"
Insensible à ses plaintes, l'homme la força à se baisser. Lorsque le visage de la jeune fille arriva devant son sex, il le frotta contre sa joue. Ouvres la bouche, tout de suite". Elle secoua la tête, il lui pinça le nez.
Une expression de dégout émanait du visage de la jeune fille. Contrainte et forcée, elle desserra les levres. L'homme introduisit son sexe aussitôt et se mit à le remuer furieusement. La pauve fille s'étranglait, on avait le sentiment qu'elle allait finir étouffée. Quand l'homme ressorti enfin son membre, elle se mit à tousser en cherchant sa respiration.
"Ce n'est pas fini!" Il l'a fit se lever et la retourna brutalement, la plaqua contre son bureau et souleva sa jupe. La pauvre était manifestement sous le choc après ce qu'elle avait subie, et semblait dans un état second.
L'homme adipeux la pénétra brutalement par derrière.
Elle poussa un grand cri.
L'homme soufflait comme un boeuf pendant qu'il s'agittait entre ses fesses. Elle poussait des gémissements plaintifs en pleurant.
L'homme poussa un râle en se raidissant. Peu-après il recula et remis son pantalon, laissant la jeune fille en pleure sur le bureau.
La directrice arreta le visionnage du film que lui avait remis Alexis à son retour de stage.
Elle avait beau savoir que la jeune fille sur l'écran était en fait un garçon, elle avait eu du mal à garder son sang froid en regardant ces images. C'était le cas également de Mme SMITH, sa plus proche collaboratrice, qui avait vu le film en même temps qu'elle.
"Quel ordure, si seulement je pouvais aller lui éclater les couilles" dit cette dernière en vrillant rageusement le talon de sa botte sur le sol.
"Patience, cela viendra. Peut-etre plus tôt que vous ne le pensez."
Bien que farouchement féminite, la directrice était touché par les souffrances extrèmes qu'avait endurées Alexis. Elle s'était mise à réelement apprécier ce jeune homme. Il était intelligent, courageux, astucieux, loyal et surtout, ne se plaignait jamais. "Ce garçon n'est vraiment pas comme les autres" dit-elle à Mme SMITH.
Elle le fit entrer dans son bureau
"Je vous félicite pour le courage dont vous avez fait preuve lors des sévices que ce type vous a fait endurer. J'ai vu que vous avez énormément souffert, allez voir l'infirmière et prenez quelques jours de repos, vous les avez bien mérités!" dit la directrice à Alexis sur un ton sincèrement désolé.
"Mais je n'ai absolumment rien senti madame" lui répondit Alexis en souriant.
La directrice était stupéfaite." Mais je viens juste de voir les images. Ce salaud vous a violé sauvagement!"
"Quel mal aurait-il pu me faire avec sa petite saucisse?" dit-il alors en remuant le petit doigt.
Le visage de la directrice s'éclaircit. "Vous voulez dires que vous avez... SIMULEZ?"
"Oui, bien sur, durant tout le long. Vous vouliez que cela est l'air vrai, n'est-ce pas?"
Mme D caressa doucement le visage d'Alexis du dos de la main et lui dit: "Bravo ma Fille, c'était parfait".
Elle vit alors des larmes apparaitre au coin des yeux dujeune homme, pourtant si joyeux quelques secondes auparavant.
"Que se passe-t'il, il y a un problème?"
"Non, madame... c'est juste que vous m'avez appelez "MA FILLE".... J'aurais tellement voulu en etre une... Si vous le permettez, j'aimerais me retirer.
La directrice vit immédiatement qu'Alexis ne feignait pas. Elle était réellement touchée par les soufrances qu'il avait endurés sans se plaindre, et par ses efforts pour ressembler à ue vrai femme. Elle s'en encquit auprès de Mme SMITH. "il faut faire quelque-chose pour ce garçon, il a bien mérité sa place parmi nous."
Chagrin d'amour
En la croisant dans le couloir, Mme D constata que Sophie, pourtant d'habitude si enjouée, avait ce jour là l'air bien triste.
"Mlle Sophie, qu'est-ce qui passe?"
"Rien Mme la directrice, tout va bien."
"Ne me racontez pas d'histoires. Je vous connais bien, et vous savez que je vous apprécie beaucoup. Je vois bien quelque-chose ne va pas."
"C'est Alexis..."
" Ne me dites-pas qu'il a fait quelque-chose de mal! Il a rendu un énorme service à la cause des femmes et cela m'ennuierais beaucoup de devoir le punir. C'est un brave garçon, et je tiens à vous dires que vous y etes pour beaucoup."
"Merci madame. Il ne s'agit pas du tout de cela. Je ne suis pas en train d'imaginer un nouveau moyen de l'humilier.
Je vois bien maintenant que c'est un chic garçon, mais je m'en suis rendue compte trop tard. J'ai été très injuste avec lui, très sévère, souvent méchante et cruelle."
Sophie avait maintenu la tête baissée en disant tout cela.
Mme D lui releva le menton : "Vous mademoiselle, vous êtes tombée amoureuse! Mais c'est merveilleux, il n'y a rien de plus beau que l'amour!"
"Oui, si il est partagé."
"Qu'est-ce qui vous fait croire qu'il ne partage pas les mêmes sentiments que vous?"
"Après tout ce que je lui ai fait subir? Il doit me hair à mort! Je ne peux pas lui en vouloir d'ailleurs, je ferais de même à sa place.... Et puis, de toute façon, il doit etre devenu homo... Par ma faute en plus!"
"Je suis certaine qu'Alexis n'est pas homosexuel. Pour ce qui est du reste, sachez que la haine et l'amour se rejoignent souvent. Ne desespérez pas."
"Soyez franche avec moi, Madame. Si vous deviez me décrire, que diriez vous de moi?
"Tout d'abord que vous etes très jolie. Sinon à part cela, je dirais que vous êtes, méchante, cruelle, vicieuse, perverse, maligne, capricieuse, mauvaise perdante et... Je crois que ce n'est déjà pas mal."
"Merci madame, vous me remontez beaucoup le moral."
"Mais vous ne voyez pas que je vous taquine?"
"Oui, peut-etre, mais au fond tout ce que vous venez de dire est vrai. Comment un garçon pourait tomber amoureux de moi?"
"Oh, vous savez, la psychologie masculine est beaucoup plus complexe qu'elle n'y parait. Pour beaucoup d'hommes, vous êtes la femme parfaite, et je ne m'étonnerais pas que ce soit le cas pour Alexis."
"Vous continuez à me taquiner Madame."
"Absolumment pas, je vous le promets. Gardez confiance. Et puis chassez moi ces mauvaises pensées et redevenez la petite PESTE que j'apprécie tant!"
Suite à la diffusion "fortuite" du film ou on le voit violer une jeune stagiaire, le ministre de l'éducation est mis en examen. Un énorme scandale éclate. Le parti féministe remporte les élections haut la main et propédagogie expérimentée dans l'école Jeanne d'Arc va etre étendue au pays entier.
REMISE DES DIPLOMES:
L'année scolaire est terminée et chacun se presse dans la salle des fetes pour assister à la remises des diplômes des élèves de 2eme année. L'événement revet un caractère d'autant plus particulier que l'école ayant ouvert ses portes depuis seulement 2 ans, il s'agit de la première promotion terminant ses études.
Tous les élèves et professeurs de l'établissement, quelle que soit leur année, sont réumis dans la salle. Comme il se doit, les garçons sont assis à même le sol et servent de reposoir pour les pieds de leur maitresses respectives, qui elles sont confortablement installées dans des fauteuils moelleux. Les professeures donnent également l'exemple en tenant en laisse leur mari.
Après avoir réclamer le silence, la directrice prit la parole :
"MESDAMES MESDEMOISELLES et messieurs. C'est avec une grande émotion que je prends la parole ce soir...
Après un long discours, les résultats furent proclamés. Chaque lauréate fut appelée dans le sens inverse du classement et monta sur l'estrade pour recevoir son diplôme. Les applaudissements, d'abords timides, montèrent crecesdo au fur et à mesure que l'on grimpait dans le classement, et finirent en standing ovation pour les premiers. Enfin, il faut plutôt dire premières, car pas un seul garçon ne figurait dans le top ten.
La directrice attendit que les d'applaudissement cessent pour reprendre la parole "Avant de clore cette cérémonie et de passer au bal, j'aimerais récompenser 2 élèves de première année qui ont eu un comportement particuliérement exemplaire. Je demande aux deux personnes suivantes de bien vouloir venir me rejoindre sur la scene :"
Tout les élèves retinrent leur souffle en attendant les noms des élues.
" Mlle SOPHIE LEPESTIER, et Alexis DUBOIS"
Alexis crut avoir mal compris et resta tétanisé. Sophie fut obligée de le secouer et du pratiquement le tirer par la main jusqu'à l'estrade.
"Mlle LEPESTIER. De toutes les élèves ici présentes, vous etes certainement celle qui a le lieux compris comment devait etre traité les membres du sexe masculins. Votre cruauté, votre perversité et votre imagination sans pareils, ont permis des rappels à l'ordre dont toute la gente féminine a profité. Vous etes un exemple à suivre pour chacune de vos camarades."
Mme D calma de la main la salle qui avait déclenché un tonnerre d'applaudissements.
"Ce n'est pas tout. Il y a maintenant 7 mois, vous avez pris sous votre aile un jeune garçon arrogant, prétentieux, et regarder ce que vous avez réussi à en faire" dit-elle en désignant Alexis.
"Pour tout cela, j'ai le plaisir de vous decerner la médaille d'honneur de l'école. Toute mes félicitations Mlle. Vous etes la première à qui elle est décernée."
Mme D s'adressa ensuite à Alexis :
"Comme je viens de le dire, il y a quelques mois vous étiez un jeune homme arrogant et prétentieux. Grace à la prise en main de Mlle SOPHIE, vous voici une toute personne. Mais tout le talent de votre maitresse n'aurait pas été suffisant si vous n'aviez pas vous-meme fait preuve d'un courage et d'une abnégation hors du commun. Malgré les quolibets et les moqueries, vous avez su rester digne et n'avez jamais baissé les bras."
La directrice marqua une courte pause.
"J'ai la réputation d'etre une femme dure, implacable, impitoyable, et j'en suis fière. Par contre, je ne suis pas une ingrate!
Je sais à quel point vous avez contribué à la cause féminine, ainsi que tout les effort que vous avez fait pour ressembler à une vrai femme. Pour tout cela, je vous félicite et vous remercie sincérement.
Jeune homme, c'est la dernière fois que je vous appelle sous le nom d'Alexis. Par votre comportement et vos actes, vous avez largement mérité d'etre considéré comme une femme."A compter de ce jour, vous etes officiellement ALEXIA DUBOIS.
Après avoir laissé à toutes le temps de prendre la mesure de ses paroles, Mme D demanda à Alexia de poser un genoux au sol et de lever la main droite.
"Jurer-vous de proner avec fierté la supériorité féminine?"
Je le jure.
"Jurez-vous de punir sans faiblesse vos soumis?
Je le jure.
S'adressant maintenant à l'ensemble de la salle.
"Mlles..., Alexia est désormais l'une des votres. Je vous demande de l'accueillir sous un tonnerre d'applaudissements!"
C'est une véritable standing ovation que reçue Alexia de la part de ses nouvelles camarades. Il est vrai que depuis le temps qu'Alexis était travesti sans se plaindre, beaucoup de filles l'avaient peu à peu pris en sympathie.
Mme D reprit : "Quand à vous messieurs, il me semble inutile de vous rappeler ce que cela signifie. A compter de cet instant, Mlle Alexia est une de vos maitresse et pourra se comporter comme telle."
Les garçons qui s'étaient copieusement moqués d'Alexis baissaient les yeux. Il leur semblait déjà sentir le prix de sa vengeance dans leur bas-ventre.
"Mlle ALEXIA, souhaitez-vous d'ores et déjà prendre un soumis sous votre coupe?"
"Oui Mme la directrice, Roger Delarue."
"M Delarue. Venez vous agenouiller devant votre nouvelle maitresse!"
Roger Delarue s'avança tête baissée et vint s'agenouiller devant Alexia.
"Leches!" lui dit-elle séchement en désignant un de ses escarpins.
"Suffit maintenant! En position!"
"Saches Roger, que les filles aussi ont des défauts. Le plus grand est surement celui d'etre très rancunières!"
Le coup de pied qu'elle lui décocha dans les couilles l'envoya rouler sur le sol.
Satisfaite du déroulement de la soirée, Mme D tendit ensuite le micro à Sophie.
" Je voudrais vous adresser à toutes mes plus sincères remerciements. Je suis extrement touchée par l'honneur que vous m'avez fait."
Sophie s'adressa ensuite à Alexia d'une voix étranglée, pleine d'émotion. Mme D qui se trouvait pres-d'elle, pu même voir les larmes qui lui montaient aux yeux.
"Alexia... Je sais que je n'ai pas été très gentille avec toi, c'est le moins qu'on puisse dire... On peut meme dire que j'ai été une vrai salope..." Sophie avait du mal à articuler.
"Je voulais juste que tu saches que ta présence va me manquer. Je comprendrais que tu refuses, mais j'espère que tu accepteras d'etre mon amie."
Sophie fut incapable d'en dire davantage. Mme D lui reprit le micro qu'elle tendit maintenant à Alexia.
"Ce soir est le plus beau de ma vie. Vous m'avez fait un immense honneur en m'acceptant comme une des votres. Je ne pourrais jamais assez vous remercier."
Après un temps d'attente, Alexia s'adressa à son ancienne maitresse :
"Sophie, je ne veux pas de ton amitié"!
Un vent glacial parcouru la salle.
Alexia posa de nouveau un genoux à terre.
"Sophie, je suis tombée amoureuse de toi dès le premier jour ou tu m'as adressé la parole. Je ne regrette pas un seul des instants que j'ai passés en ta compagnie.
Acceptes-tu de m'épouser?"
Sophie fondi dans ses bras en pleurant. Toute la salle était en délire. Même Mme SMITH avait une petite larme à l'oeil.
Mme D s'adressa de nouveau à Alexia : " Il y a t'il encore quelque-chose que l'on pourrait faire pour vous?"
"J'ai bien une idée, mais je pense que ce serait ni faisable, ni très digne d'une jeune femme."
Alexia se pencha vers la directrice et lui dit à l'oreille : "j'aimerais descendre dans la salle et asséner un bon coup de pieds dans les couilles à chacun des hommes présents!"
Mme D se mit à rire et lui répondit de la même façon : " effectivement cela ne serait pas très convenable, mais surtout irréalisable. Je vous rappelle qu'il y a environ 250 paires de couilles dans cette salle... Par contre, vous me donnez une idée."
Reprenant le micro, la directrice s'adressa à la salle.
"Pour cloturer en beauté ce spectacle et feter le futur mariage d'Alexia et de Sophie, je vous demande à toutes un....... BALLBUSTING GENERAL!"
Hurlements de joie des filles, bientôt suivi d'hurlements de douleurs des garçons. Toutes s'étaient mises en devoir d'appliquer la demande de la directrice. Même les professeures frappaient à coeur joie l'entrejambe de leur mari, qui ne faisaient pourtant pas parti de l'école, sous le pretexte qu'elles devaient donner l'exemple à leurs élèves. Certains garçons en couple depuis longtemps essayèrent bien d'amadouer leurs maitresses en jouant sur la corde sensible: "Mais chéri, on s'est marié il y a 3 semaines" qui se vit répondre un "j'espères que tu ne t'es pas marié avec moi pour éviter les coups de pieds dans les couilles?... Non..., je préfère. Alors qu'est-ce que tu attends pour écarter les cuisses?" ou alors un " tu m'avais pourtant dit que tu m'aimais!" auquel la jeune fille répondit par "Mais oui je t'aime mon chou, mais j'aime encore plus t'éclater les burnes!"
Mme D s'adressa aux couples d'amoureuses : "Avez-vous déjà vu un spectacle aussi beau?"
"Non madame, c'est mieux que le plus magnifique des feux d'artifice".
Alexis et Sophie eurent ensuite envie de fuire le tumulte, et sortirent dans le parc main dans la main.
"Je pense que Roger Delarue a du souci à se faire."
"Je le pense aussi... Surtout que je compte sur toi pour m'aider à le punir."
Sophie sourit. "Ce sera avec un grand plaisir ma chérie."
"Le pauvre, ma rancune et ta cruauté réunies contre lui. Il commence presque à me faire de la peine." se moqua Alexia.
Sophie précisa : "Mais à une condition, que tu m'apprennes à sucer."
Les deux amantes s'embrassèrent
"Tu sais" lui dit Sophie, "Au début, quand j'ai constaté que cela ne semblait pas te déranger d'etre habillé en fille, je me suis demandé si tu jouais la comédie ou si tu étais une tapette."
"Ah oui, et alors?" lui demanda Alexia intriguée.
"Maintenant j'ai la réponse. Tu n'était déjà qu'une petite tafiole!"
"Quand je pense que c'est une petite salope comme toi qui me dit ça, ça me fait mal ou je pense!"
Sophie repris un ton plus sérieux. "C'est vrai que je suis qu'une salope, cruelle et perverse comme tout le monde le dit?" lui demanda-t'elle en esperant interieurement qu'Alexia la contredirait.
"Dire le contraire serait un mensonge. En fait, moi qui te connais bien, je peux dire que tu es pire encore... Mais surtout ne changes pas. C'est comme cela que je t'aime!'
Sophie l'enlaça amoureusement. "Espèce de petite maso vicieuse!"
"Petite garce adorée" lui répondit Alexia à l'oreille.
"Ne crois pas que le fait que je t'épouse va m'empêcher de continuer à casser ton joli petit cul!" lui dit-elle sur un ton mutin.
"Mais j'espère bien. Pourquoi crois-tu que je t'ai demandé en mariage?" lui répondit Alexia en souriant.
"Attention, si tu me cherches, tu va me trouver! Prépares toi à souffrir!"
"Si c'est sous tes talons, je suis prete à souffrir toute ma vie."
FIN
Epilogue
Maintenant considérée comme une vrai femme, Alexia changea complétement de look. S'en était fini des tenues de petites filles ou d'adolescentes. C'est vétue de tailleurs et chaussée de talons aiguilles qu'elle passa sa dernière année à l'école. Elle se coupa également les cheveux afin de former un carré inversé d'allure plus stricte, et se laissa pousser les ongles.
Elle et Sophie continuérent leurs études ensembles, et devinrent enseignantes. Toutes les deux suivirent également la formation de "Bourelle", leur permettant d'appliquer les punitions particuliérement cruelles prévues pour les fautes les plus graves.
L'ancienne directrice ne les avait pas oubliées, et leur proposa un poste dans une des nouvelles école de la BONNE SM qui avaient fleuries sur tout le territoire, suite à la prise de pouvoir du partie féministe. Sophie devint professeur de mathématique. Quand à Alexia, elle fut chargée d'enseigner aux futures jeunes maitresses l'art du dressage et bien sur celui de la fellation.
Si cette histoire vous a plus, je suis en train d'imaginer une suite dans un cycle intitulé "LA BONNE SM"
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Commentaires de l'histoire :
Pongodu21
Désolée mais je n'ai pas apprécié du tout votre histoire. La méchanceté et la vulgarité dont vous faites preuve ne font pas partie de mes valeurs. J'ai beau être une femme celà n'empêche pas le respect des autres hommes ou femmes.
Posté le 2/04/2020
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