Les choses tournent mal pour ce jeune mari ayant quelque peu forcé sa femme à un jeu libertin, il ne s'attendait pas ce qui allait lui arriver, HOT
Proposée le 20/03/2020 par goelan
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: pratiques sexuelles
Personnages: 2CPL
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman
J'avais du user de tout mon quota d'inspiration pour qu'elle cède enfin. Cerise sur le gâteau, nous devions être déguisés pour éviter le trac. Elle sembla trouver cela louche, mais au point où nous en étions.
Le soir même, après 1h30 de route dans un silence pesant, je me garai devant une petite maison de campagne un airbnb fort joli. Une autre voiture était déjà sur place, ainsi nous n'aurions pas à attendre.
"J'ai peur, m'avoua Emilie.
"J'avoue que je suis aussi stressé
"Annulons, tant pis, on s'excusera, espéra-t-elle
Je grommelais. Je ne pouvais pas annuler. Je lui pris la main et la caressa doucement. Elle portait un costume de Cléopâtre avec un masque type vénitien cachant la moitié de son visage. Cela n'allait pas trop ensemble, mais pour finir nue de toutes manières. Moi j'étais en mousquetaire avec demi masque noir.
Une bouteille de champagne à la main, tenant Emilie de l'autre, celle-ci du toquait à la porte pour nous faire connaître. Elle n'avait pas l'air bien et j'eu envie de courir et fuir cet endroit pourtant si charmant.
La porte s'ouvrit devant une femme plantureuse portant un habit de clown très grotesque et plutôt rigolo qui nous fit sourire immédiatement. Elle portait un masque de clown avec un nez rouge, du style très rigolo, pas celui qui fait peur américain.
"Entrez, entrez, clama-t-elle d'une voix plutôt perchée à celle que je connaissais.
Nous passâmes l'entrée et elle nous conduisit dans le salon à peine éclairée de 2 bougies. La pénombre emplissait toute la pièce occupée par 2 canapé et un fauteuil formant un U autour d'une table basse où trônaient des verres et des amuses-gueules.
"Un homme en déguisement de moine avec un masque noir de mime nous fit signe.
"Mon charmant compagnon préfère ne pas parler, question de discrétion si vous voyez ce que je veux dire.
"Oui, oui, cela... Ne nous dérange pas, avouais-je sans grande conviction.
L'ambiance générale n'était pas au beau fixe. Emilie se cramponnait à mon bras et elle prit place du bout des fesses sur le canapé face à eux.
Chloé nous servit à boire d'une bouteille déjà ouverte dans un seau de glace.
Emilie allait craquer je le sentais, elle tremblait. Je pris une coupe et lui tendit évitant de la fixer dans les yeux, déjà trop penaud de ma connerie.
Elle me l'arracha des mains et la bu goulûment d'une traite. Je le fixais avec le plus grand étonnement, mais après-tout qui étais-je pour la juger. Je trempais mes lèvres aussi à mon tour et du admettre que c'était un bon cru.
Chloé tenta de converser avec nous de tout est de rien, remplissant nos verres et proposant à manger. Je croquais dans quelques petits fours plus pour éviter de parler qu'autre chose, le goût était fort et épicé. Emilie faillit s'étrangler et bu un autre verre.
"C'est fort, murmura-t-elle
"Désolé, s'offusqua Chloé, j'avais commandé cela chez un traiteur sans goûter, je suis navré.
Elle en goûta une et se précipita sur son verre aussi, ce qui nous fit rire et dérida un peu l'assemblée.
L'homme se leva doucement, prit le plateau et alla le mettre en cuisine. Il revint avec un autre plateau rempli de fromages en cube, de charcuteries et de différentes tranches de pain. Il en proposa à Emilie qui en prit sans se faire prier, tout pour enlever ce goût épicé de la bouche. Chloé rempli à nouveau son verre et les autres aussi.
Lorsqu'Emilie rota après avoir terminé son troisième verre, un fou rire général éclata, même l'homme derrière son masque rit sous cape.
Elle se divisa en mille excuses accusant les bulles du champagne. Cela lui faisait toujours le même effet, de plus elle avoua ne pas bien tenir l'alcool.
Je compris tout de suite alors l'histoire des petits fours, c'était pour la faire boire, aucun de nous n'avions compris, mais au regard lubrique de Chloé derrière son masque, cela coulait de source.
"Emilie, est-ce que tu aimes les saucisses ? Demanda Chloé d'un ton neutre entre deux bouchées de fromage.
"En général oui, sauf celle à la peau dure, les alsaciennes je crois, répondit-elle à côté de la plaque.
"On va faire un jeu, je vais en ramener et tu pourras les goûter les yeux fermés. Oh, oh, je voyais le tableau arriver moi. Mais sous le regard de Chloé, je ne pipais mot. L'homme se leva, alla chercher un nouveau plateau avec effectivement plusieurs saucisses dessus.
Chloé vint s'asseoir à côté d'Emilie, elle lui caressa la main.
"Je vais te mettre se bandage sur les yeux, et on te fera toucher chaque saucisse, tu devras deviner sa provenance. Tu as compris ?
"Oui, oui c'est facile bafouilla ma femme un nouveau verre dans les mans.
Chloé ceignit le visage d'Emilie d'un foulard de soie noire, il ne faisait déjà pas très clair dans la pièce, mais maintenant elle n'y voyait rien du tout. Le dos droit, la bouche entre-ouverte, elle attendait. L'homme prit une saucisse knack et prenant sa main, la posa dedans.
Emilie la tata et trouva tout de suite à la forme et la texture.
L'homme en prit une autre, puis une autre plus grosse, finissant par un boudin blanc.
Emilie eu plus de mal, sauf pour le boudin, nous en mangions régulièrement.
Chloé lui mit son verre entre les mains et Emilie but une nouvelle fois.
Mon coeur battait fortement, j'avais la bouche sèche. Lorsque l'homme ouvrit son aube et sortit un sexe de belle taille bien dure, le su que le moment tant attendu par Chloé était arrivé.
A genoux, il plaça son sexe entre les doigts de ma femme, attendant qu'elle le tâte.
Curieuse, elle fronça les sourcils, glissant ses doigts fin sur la hampe, revenant au gland, cherchant ce que cela pouvait être sans comprendre, l'esprit embrumé par l'alcool.
Une jalousie me brula l'estomac comme cette impression ressenti avec avoir bu cul sec un verre de cognac ! Putain, il n'avait pas le droit, ma femme, Emile, je… Je serrai les point car je ne pouvais rien faire. C'était moi qui l'avait amené ici et je savais très bien pourquoi.
Emilie du comprendre enfin ce qu'elle tenait en main, ses doigts fins serrant le sexe de Christian, elle ouvrit la bouche de surprise. Chloé s'approcha de son oreille, je cru qu'elle lui chuchotait quelque chose mais je vis la poitrine d'Emilie se soulever plus rapidement et sa respiration gagner en puissance. Je me penchais et constatais que Chloé titillait le lobe de l'oreille de ma femme, glissant sa langue dans les recoin de son lobe, le léchant, le suçant, l'agaçant. C'était l'un des points sensibles de ma femme, une zone étrangement érogène qui fonctionnait presque à tous les coups lorsque je voulais un câlin et qu'elle n'avait pas trop envie.
Christian lui jubilait, il avait une de ses érections! Il avança son bassin dans la main d'Emilie puis se recula, avança de nouveau et se branla doucement entre ses doigts. Puis il cessa, repris, s'arrêta et je vis la main de ma femme reprendre le rythme, les yeux fermés, la bouche grand ouverte, couverte de frissons, ses tétons pointant le tissu fin de son déguisement
Dessus, elle ne portait qu'un débardeur blanc à fine bretelle et un shorti en dentelle qui lui moulait ses fesses. Elle c'était changé devant moi exprès car j'adorai ce genre de tenue, mais avait refusé catégoriquement que je la touche. C'était plus par provocation qu'autre chose.
Je me rendis compte alors que mon sexe était dur comme de la pierre. Merde, j'étais excité de voir ma femme dans les mains de ces deux vicieux. C'était pire que tout, j'étais bien bas pour m'exciter en regardant ma femme gémir entre les mains de deux pervers.
Chloré colla ses gros seins contre le corps d'Emilie, elle voulait qu'elle les sente, ses tétons pointus et gros tendait le tissu de son déguisement. Elle retira son masque, passa sa main sur la joue de ma femme et délaissant son oreille attira son visage vers elle. Elle approcha sa bouche de la sienne et y fourra sa langue directement.
Emilie fut surprise par cette intrusion plaquant sa main sur la poitrine de l'autre, se rendant compte où elle la posait et finalement glissa sa langue autour de celle qui l'astiquait, sans savoir d'où elle provenait. Cette scène me mit en émoi, voire deux femmes s'embrasser était un de mes fantasme, alors voir la mienne avec ma maîtresse, c'était encore pire.
Christian commença à lui caresser les chevilles puis remonta vers ses genoux retroussant le bas de son déguisement en même temps. Et moi je faisais quoi pendant ce temps là ? A part regarder et serrer les poings, rien du tout.
La main de Chloé se posa sur un des seins de ma femme. Elle arrêta son geste, se rendant compte qu'elle ne portait pas de soutien-gorge et qu'elle sentait sous le double tissu, la chair ferme de son sein et son téton tout dur. Elle se mit à l'embrasser encore plus furieusement et la peloter en même temps.
Emilie était dans un état second, elle ressentait les choses 100 fois plus qu'à l'accoutumée, toutes les zones de son corps étaient hyper sensibles, le moindre attouchement la rendait moite et lascive. Lorsque cette langue lui avait échauffé l'oreille elle n'en pouvait déjà plus. Les yeux bandés, et tant mieux d'ailleurs, elle se laissait faire, se donnant aux mains expertes de ce couple qu'elle avait crainte depuis ma demande de tenter une expérience avec d'autres .Qu'elle imbécile elle avait été de s'inquiéter des conséquences, de ce qu'elle aurait pu ressentir, de la honte, de la gêne, de la culpabilité, mais aussi de la colère envers moi de l'avoir obligé de faire cela. En fin de compte, après quelques verres d'alcool, son corps réagissait plus vite que son esprit le comprenait. Qu'avait-elle dans sa main ? Ce n'était pas une saucisse, quoi alors ? Un sexe, oui c'était cela, et elle le branlait en plus. Était-ce le mien ou cette homme mystérieux et silencieux ?
lorsqu'une langue vint l'embrasser elle n'y pensa plus et tenta de repousser cette attaque, mais rencontra quelque chose de gros et mou, puis, un truc céda et elle embrassa la femme, c'était bien cela, elle embrassait une femme.
Elle sentit des mains lui caressait les mollets, remontant doucement vers ses jambes puis ses cuisses. Quel petit pervers inquisiteur que cet homme. Il pensait quoi ? Qu'elle allait lui laisser le passage ? Et puis quoi encore. Embrasser oui, branler passe encore, mais pour le reste… Le reste ? Elle était venue faire quoi ici déjà ? Elle, non nous, voilà, nous étions venus faire l'amour avec un autre couple. Comment avais-je osé lui proposer cela. Il 'y avait même pas de japonais en plus.
Christian prenait son temps à caresser la peau d'Emilie, à travers son masque il me fixait d'un air triomphant.
"Regarde bien petit con, je vais baiser ta femme devant toi, et elle va hurler de plaisir, tu verras, elle va jouir avec ma queue en elle, et toi pendant ce temps ? Tu regardes comme un pauvre con sans rien faire de tes dix doigts ! Pensa-t-il.
Chloé lâcha la bouche d'Emilie laissant une traînée de salive entre leur lèvres. Elle lui caressa le bas du visage, le reste étant mangé par son masque et le bandeau sur les yeux. Elle me regarda et j'eu soudain froid dans le dos, qu'avais-je fait ? Ces deux loups allaient nous dévorer et je ne tentais rien pour les en empêcher.
La grosse main de Chloé passa dans le dos de ma femme et chercha la fermeture éclair de son déguisement. Elle tira dessus jusqu'en bas de ses reins. Puis doucement, sans gestes brusques, elle se mit en devoir de faire glisser le tissu qui s'affala autour de sa taille, laissant voir la poitrine de ma femme emprisonnée dans le tissu moulant.
Emilie sentait des mains partout sur elle. Elle ne savait pas la touchait et si je faisais parti du lot. Deux poignes puissantes écartèrent ses genoux, elle se laissa faire, deux autres mains venaient de passer sous son haut et avaient agrippé ses deux seins les malaxant avec envie.
Emilie gémit, elle du lâcher le sexe lorsqu'on lui tendit les bras vers le haut pour la déshabiller laissant voir sa poitrine nue aux lueurs des chandelles tremblotantes. Elle était si belle ainsi, sa peau cuivrée, ses seins parfait, tendus, ses tétons dur et pointus, son dos droit et puis la bouche de Chloé qui s'attaqua à un de ses seins.
Je n'en pouvais plus de regarder ça, mais au lieu de foncer dans le tas et fuir avec ma femme, les mains tremblantes, je dézippais mon pantalon pour sortir ma bite tellement dure qu'elle me faisait mal.
Christian fut amusé de me voir aussi excité qu'eux, ses mains maintenant exploraient l'intérieur des cuisses d'Emilie. Il rencontra le tissu de son shorti et le massa doucement du bout des doigts, elle était déjà humide ! il se calla entre ses jambes, son sexe cognant le tissu et passant ses mains de part et d'autres de ses cuisses, attrapa l'élastique de ses dessous et tira dessus.
Emilie se sentit tiré en avant lorsque Christian tenta de lui soustraire son shorti. Deux autres mains l'aidèrent à se soulever et son bas glissa plus facilement, arriva à ses jambes. Christian se recula et retira le sous-vêtement complètement. Puis me fixant, il me le jeta comme un trophée. Enfin, pour terminer, ils lui passèrent son déguisement par dessus la tête, la dénudant complètement.
Je reçu son shorti sur le visage comme un gifle. Le tissu glissa mollement sur ma bite tendue. Mais j'étais incapable de faire le moindre mouvement. J'assistais comme un étranger la dépravation de ma femme.
Chloé se leva et se déshabilla entièrement. Montrant son corps potelé et ses gros seins à qui le voulait. Elle n'était pas si belle que cela et je me demandais comment j'avais pu tomber en son pouvoir.
Elle s'approcha de moi et me parla d'une voix éraillée par l'excitation
"Je ne pensais pas que tu accepterai, ta femme est vraiment superbe, je crois qu'on va passer un bon moment ensemble.
Sur ce, elle m'embrassa, m'empêchant de voir la suite. Ses gros seins se collèrent contre mon torse, sa main glissant vers ma bite tendue.
Christian soufflait comme une forge, ce masque le torturait et se déguisement lui donnait chaud, mais il ne pouvait pas se permettre que je le reconnaisse. Il était superbement bien placé, sa bite contre le ventre de ma femme. Il passa ses doigts dans sa toison jouant avec ses poils, puis glissa plus bas, découvrant son clitoris qu'il sorti de son capuchon pour le torturer. Emilie se cramponna à lui et gémit aussitôt. Elle sentait la cyprine et l'odeur de femme en rut.
Chloé me retira ma chemise et se mit en devoir de me mettre tout nu. Je me laissais faire tout en regardant ma femme dans les griffes de l'autre homme. Ses mains d'activaient entre ses jambes et je ne pouvais qu'imaginer ce qu'il faisait. Maintenant il la pellotait, suçant ses tétons, léchant ses seins et attrapant sa bouche, l'embrassa goulument.
Christian frottait son gland entre les lèvres de ma femme complètement trempée. il profitait de son corps, s'enivrant de ses formes, goutait à sa bouche, sa peau, sa poitrine, ses hanches, caressant ses cuisses, la tirant vers le bord du canapé, et dans un geste doux qui m'échappa complètement, poussa son sexe dans sa vulve. Celui-ci disparu doucement dans le corps de ma femme. Lentement, il poussa son bassin jusqu'à ce que ses couilles frottes contre sa peau. Comme il l'embrassait à ce moment là, elle ne gémit pas plus mais son corps avait bien senti cette intrusion.
Lorsque Chloé arrêta de m'embrasser je fis deux yeux ronds. L'homme masqué claquait son bassin contre celui de ma femme ! Merde, il était en train de la baiser, non, je ne pouvais pas le laisser faire.
"C'est trop tard mon choux, tu es cocu à ton tour, et c'est toi le responsable. Elle prend son pied, regarde comment elle s'agite, comment il lui donne du plaisir...
Sur ce, elle m'enjamba et prenant mon sexe d'une main, elle s'empala dessus, m'empêchant par la-même de pourrir la soirée par ma jalousie.
"Tout est de ta faute grognais-je sentant ses seins frotter contre mon torse.
Elle ne bougea pas mais je sentis mon sexe être comprimer dans son ventre, mais comment était-ce possible ? Comme si elle me massait depuis l'intérieur. Devant mon visage surpris elle m’apostropha.
"Et ça, elle sait faire ta dulcinée ?
Je grognais.
"Et puis mon petit salop, je tenais à te préciser que je n'y suis pour rien.
"Tu m'as fait du chantage pour l'amener ici murmurais-je.
"Que nenni mon beau, tu as entendu ce que tu voulais entendre. Jamais je ne t'ai forcé !
"Tu m'as fait comprendre que ma femme pourrait savoir, que tu savais où j'habitais, la ville, tout.
"Où as-tu été chercher cela ? J'ai juste joué avec toi. C'est toi mon mignon qui m'a indiqué les détails de ta vie, pas moi, c'est toi qui a eu peur et c'est empressé d'accepter de vendre ta femme à un autre, pas moi.
"Mais ce n'est pas vrai, tu m'as obligé !
"Jamais de la vie, je ne sais même pas où tu habite, je n'ai aucune preuve de ta petite sortie à Paris, j'efface toujours toutes mes conversation privée, on n'est jamais trop prudente du sais.
"Mais tout ce que tu m'as fait comprendre.
"A aucun moment je ne t'ai obligé, tout est entièrement de ta faute. C'est bien toi qui m'a contacté pour parler de cul, c'est toi qui pensait à moi en baisant ta femme, c'est toi qui l'a trompé, c'est encore toi qui la voit se faire baiser et aimer cela en plus... Alors arrêtes ton char et laisse toi faire, on va passer une super soirée, tu verras !
Elle attrapa mon verre derrière et moi et me le mit au lèvres, la bouche amère je le vidais d'une traite et le coeur serré, je fixais ma femme se faire prendre par un inconnu pendant que la grosse Chloé sautait sur moi et ma bite pourtant bien tendue.
Christian était aux anges, il rêvait de pouvoir embrasser Emilie, de lécher ses seins, sucer ses tétons et sa chatte mais pour le moment il glissait sa queue entre les lèvres trempée de sa voisine. Il releva les jambes d'Emilie sur ses épaules et joua avec le rythme de son coït, des coups lents, des accélérations, restant parfois planté sans bouger
"Enlèves lui son bandeau cria Chloé pour se faire entendre des cris et gémissements d'Emilie.
Doucement, Christian retira le tissu soyeux puis son masque, à elle, pas à lui. Emilie cligna des yeux et l'air surpris de ne pas me trouver entre ses cuisses, fixa étrangement l'homme qui la baisait. Ensuite elle tourna la tête et me vit me faire chevaucher par Chloé, ses énormes seins dans mes mains. Je croisais son regard et y trouva un mélange étrange d'émotions. De la colère, de la honte, du plaisir, de la jalousie et une certaine culpabilité de s'être ainsi donné à un autre que moi, sans compter sûrement une belle dose de rancune que j'aurai le droit de goûter dans les jours à venir.
Christian fixait son sexe entrer et sortir magiquement de celui de ma femme, il frotta son bouton ce qui la fit gémir de plus belle. Il la caressait de partout, passant par ses fesses, remontant sur des cuisses, ses hanches, reprenant en main ses seins et passant ses doigts sur ses lèvres pour qu'elle les suce.
Je tentais d'éviter de regarder ma femme, mais c'était plus fort que moi. La voir ainsi se laisser faire et aimer cela me rongeait de l'intérieur. Mais je m'attendais à quoi bon sang ? Et l'autre qui me disait que tout cela était de ma faute ? Et si c'était vrai ? Si j'avais interprété faussement ses dires, alors j'étais bien responsable de la situation...
Chloé me tourna la tête vers elle et m'embrassa de force, elle se déchaînait sur ma queue raide et m'obligea ensuite à faire courir mes mains sur elle.
"Mets y un peu du tiens bon sang, j'ai l'impression de chevaucher un god !
"Je ne sais pas ce qui m'arrive, je ne suis pas dans mon assiette, répondis-je.
"C'est de voir ta petite femme jouir avec l'autre ?
Je ne répondis pas.
Elle se releva et me prit pas la main m'obligeant à regarder ma femme, les jambes écartées, sa chatte se faisant bien besogner.
"Est-ce qu'elle à l'air de se forcer ?
J'étais hypnotisé par ce que je voyais, jamais je ne l'aurai cru accepter cela. Bon j'avoue que l'alcool devait aider, mais tout de même.
"Fourre lui ta queue dans la bouche, m'ordonna Chloé
Elle me poussa et je me mis à genoux sur le canapé à côté d'Emilie, je pointais mon sexe vers ses lèvres et poussais.
Ma femme ouvrit plus grand sa bouche et accepta l’offrande, me fixant avec un regard vitreux. Elle tint ma bite et commença à me faire une fellation en bon et du forme.
"Tu vois, ta femme aime cela, elle est aussi salope que toi
Je voulais qu'elle cesse de jacasser, à force elle allait dire un truc qui ne fallait pas.
Christian jubilait encore plus, quel con je faisais la bite luisante de sécrétions vaginale.
Il se dégagea et laissa la place à Chloé qui se mit à genoux et entreprit de lécher et sucer le sexe d'Emilie.
Mon voisin hésita entre le gros postérieur offert et la bouche d'Emilie. N'ayant jamais pu l'avoir avant, il se mit de l'autre côté et offrit aussi son sexe à ma femme. Gémissant et se tortillant sous les coups de langues de Chloé, elle prit une bite dans chaque main et se mit en devoir de les sucer, les lécher ou les tûter à tour de rôle. Elle était devenue le centre d'attraction de cette soirée.
Elle tenta de les avaler en même temps mais sa bouche était trop petite, elle reprit donc sa double fellation de manière plus classique.
Tout à coup elle se cabra et envoya son bassin en avant, vers le visage de Chloé, ses caresses et sa langue devait lui faire un effet boeuf. Je ne voyais pas les détails, trop occupé à ma faire sucer, mais les doigts de Chloé s'agitait bien entre ses jambes.
Christian se dégagea, proche de juter, il préférait prendre un peu de repos. Il ne voulait arrêter en si bon chemin. Il avait trop chaud avec ce déguisement. Il alla vers la table basse et souffla sur les bougies. Le noir complet empli la pièce. Il pu se mettre à poil et retirer son casque. Une légère lueur provint du volet ajouré depuis la lune au dehors. C'était suffisant pour voir les formes des corps sans le reconnaître.
Il se plaça derrière Chloé, lui flatta les grosses fesses. Ce n'était pas son genre de femme, mais il ne pouvait refuser une telle offrande. Il planta son pieu en elle. Elle se mit à glapir tout en continuant à jouer avec le sexe de ma femme.
Chloé, après quelques réticences, avait fini par apprécier Christian. Il était aussi dévergondé qu'elle, sinon plus, et possédait pas mal de secrets bien intriguants. En plus il lui avait semblait être un assez bon casse croûte. Ils s'étaient vu deux fois en live, la seconde finissant au lit. Elle ne lui faisait pas totalement confiance, mais dans le cas présent, elle avouait que son aide avait été la bienvenue.
Je me mis en travers des cuisses de ma femmes et repris sa bouche. Par contre je la teint à deux mains et plantait mon chibre dans sa bouche en faisant aller et venir mon bassin d'avant en arrière.
Elle planta ses mains sur ma hanches soit pour me repousser, soit pour se tenir. Je l'entendais respirer avec difficulté par le nez son corps électrisé par toute cette attention. Je me défoulais entre ses lèvres lubrifiée par sa salive.
Emilie avait le corps en feu, et cela ne faisait que commencer. Elle avait du mal à respirer, elle ne savait pas à qui était cette bite qui lui baisait la bouche à grands coups.
Et cette langue, c'était celle d'une démone tellement c'était bon. Jamais je ne lui avais prodigué autant de sensation avec la mienne. Elle savait aussi jouer avec ses doigts, trouver les zones érogènes, lorsque deux d'entre eux glissèrent entre ses lèvres, elle s'arqua de plaisir, tenant de repousser l'homme devant elle afin de pouvoir crier son plaisir et ne pas mugir ainsi privé d'air.
Chloé lapait le clitoris d'Emilie par de petits coups de langues expertes, elle suça ensuite ses lèvres et lécha tout son sexe du haut en bas, écartant ses fesses pour titiller en même temps son petit trou fripé mais déjà bien humide du foutre qui coulait depuis son vagin.
Chloé eu une idée, elle se pencha et tata sur la table les tests gustatifs ayant provoqué cette soirée animée, l'alcool aidant pour décompresser. Elle trouva ce qu'elle voulait, une jolie saucisse de Morteau à la peau épaisse, aussi grosse qu'une bite et bien arrondi sur un des bouts.
Elle laissa échapper un râle, se tenant aux cuisses écartées d'Emilie, derrière Christian n'y allait pas de main morte, faisant glisser doucement et de toute sa longueur son membre en elle. Elle adorait ça, c'était immonde, mais elle devait repenser à son activité du moment.
Elle glissa la saucisse dans le ventre d'Emilie et le fit aller en elle comme avec un god. Tout de suite la jeune femme fut secouée de spasmes de plaisir et soufflait par le nez, tentant de repousser la bite qui occupait sa bouche, mais peine perdu.
Chloé continua à lécher les zones intimes d'Emilie insistant maintenant plus bas, entre ses fesses. Emilie était tellement mouillée qu'entre sa cyprine et la salive de sa tortionnaire, il y avait suffisamment de lubrifiant naturelle pour ramollir l'anus de la jeune femme. Avec une impatience mal contenu, tout en continuant à l'astiquer au-dessus, elle glissa une doigt épais entre ses fesses.
Christian avait envie de reprendre Emilie, mais pour le moment il prenait son mal en patience et son plaisir ailleurs. Il aurait encore le temps d'en profiter.
Ma femme ne savait pas ce qui allait et venait dans son ventre mais cela lui faisait un sacré effet. Et cette langue ! Fouineuse et inquisitrice. Elle se sentait trempée, ce qu'elle était vraiment, c'était impossible, comment pouvait-on être aussi ouverte ? Que faisait-elle maintenant ? Non, pas en bas ? Si, elle n'avait pas prévu de se laisser aller par là. Elle poussa pour me repousser, passant ses mains plus bas, trouvant la tête de Chloé et l'agrippant lorsqu'une vague de plaisir la traversa de part en part coupant son élan pour l'empêcher d'investir son cul. Trop tard un doigt glissait en elle et la pistonnait doucement.
Je commençais à me fatiguer, j'avais envie de baiser ma femme, après tout, c'était la mienne, non ? Lorsqu'elle s'agita tout à coup, me repoussant de force, et lorsque ma queue glissa hors de sa bouche, elle aspira goulûment l'air de la pièce. Ses jambes s'agitaient et ne pouvant me pousser, elle tenta de repousser à nouveau la tête de Chloé qui venait purement et simplement de déplacer la saucisse de morteau de son vagin à son cul.
La saucisse était gluante de mouille, glissante, Chloé avait eu du mal à la garder en main, elle avait retiré son doigt et sans attendre, fit glisser le god improvisé du vagin vers le petit trou humide. Elle avait poussé, pliant la saucisse et d'un coup celle-ci s'était empressé d'investir l'anus d'Emilie jusqu'à la moitié, la faisant réagir de surprise mais aussi un peu de douleur.
Chloé s'activa tout de suite à émoustiller son clitoris de manière experte et la sodomisa en même temps à grands coups de poignets.
Emilie gémit et glapit, se contractant, serrant la tête de Chloé.
"Elle me.. elle me.. derrière !
Je compris aussitôt que Chloé jouait avec son cul, mais jamais je n'aurai imaginé qu'elle l'enculait avec quelque chose d'aussi gros qu'une bite.
Je l'embrassais et lui murmurais à l'oreille
"Tu as déjà eu plus gros dans le derrière... Chut, chut, laisses toi faire, tu vas aimer tu verras.
Emilie agrippait à moi, j'en avais de bonne moi, plus gros que ça ? Oui certes, mais ce n'était pas juste un doigt qui la fouillait, elle sentait le mandrin épais et bien gros glisser entre ses fesses. Et cette langue, elle savait y faire cette femme, pour avoir de l'expérience, elle en avait avec les femmes. Tous ces attouchements faisait presque oublier ce qu'elle lui faisait plus bas. Mais merde, pourquoi tout le monde en avait après ça ? Ce n'était pas sa tasse de thé en plus...
Me pliant, je glissais mon sexe entre les seins de ma femme et les serrant avec me main, je me mis à me branler entre deux. Mon sexe cognait contre son menton à chaque fois et j'imaginais mon sperme fuser par surprise sur son visage, s'écrasant sur sa bouche et ses yeux. Je ne l'avais jamais fait ça, mais avant la fin de la soirée, je devrais tester.
Christian en avait un peu marre du gros cul de Chloé, même s'il était très accueillant, il se retira et fit comprendre à celle-ci qu'il voulait reprendre sa place entre ses jambes. Celle-ci retira la saucisse d'un coup sec de son cul et se releva. Elle glissa un rapide murmure à l'oreille de Christian "baise lui le cul, elle est prête"... Sans lui préciser qu'elle était passé juste avant dedans de manière improvisée et impromptue. C'était juste l'occasion qui avait fait le larron, rien de plus.
Elle me caressa la cuisse et remonta vers l'intérieur, agrippant mes couilles au passage pour me tirer vers l'arrière. Je descendis de mon poste, sa main toujours passée entre mes jambes me tenant par les couilles au sens propre du terme.
"Mon ami va s'occuper un peu de ta femme, jouons ensemble.
"
Mais je voudrais moi aussi...
"Tu l'as tout le temps dans ton lit, il faut savoir prêter, tu la baisera bien avant de partir, je te l'assure.
Frustré et toujours jaloux je me laissais faire. Chloé se mit à genoux devant moi et goba mon sexe tout en continuant à me triturer les couilles. Cela me fit penser à notre première rencontre à Paris, où elle m'avait pratiquement violé à l’insu de ma femme. Maintenant je me faisais sucer devant elle, enfin si elle pouvait le voir, sans qu'elle n'en redise quelque chose.
Christian s'attaqua de nouveau à Emilie. Il la caressa et avec envie l'embrassa avec fougue. Il avait rasé sa légère moustache et son éternelle barbe d'une semaine pour éviter de se faire reconnaître. Il la laisserait pousser avant de nous revoir. Emilie calmée, se laissa caresser et répondit au baiser. Ses mains trouvèrent rapidement le sexe de Christian qu'elle se mit à branler doucement. Il n'en demandait pas tant le bougre. Il s'assit à côté d'elle et lui fit comprendre de venir s'asseoir, enfin s'empaler sur sa queue.
Christian la teint pas la taille, elle était si fine et sa peau si lisse, trempée de sueur certes, mais de la bonne chaire fraîche. Elle passa au-dessus de lui, il sentit ses lèvres frotter sur son gland, mais lui voulait aller ailleurs. Tenant son sexe en main, il le pointa entre ses fesses. Emilie grogna un "non pas là" mais il trouva facilement l'anus d'Emilie déjà plus que préparé et d'un coup de rein vers le haut, la tenant par la taille, il poussa son gland buttant sur l'orifice gluant et s'y enfonça sans peine, les chairs s'écartant sous la pression.
"Non, non, pas là, gémit Emilie".
Mais Christian la tenait fermement et se mit à pousser encore plus loin.
"Aaaahhh ! Gémit-elle sous l'affront. Pas derrière, pas...
Mais c'était trop tard, notre cher voisin bien en place se mit purement et simplement à la sodomiser.
Emilie ne tenta plus de se soustraire, c'était trop tard et de toutes manières, elle doutait qu'elle y arriverait. Elle sentit les mains de l'homme s'en prendre à ses seins, il en abusait comme si sa vie en dépendait, lui faisant même mal à force de tirer sur ses tétons.
Chloé se releva, elle m'embrassa goulûment et me poussa vers le canapé où elle pouvait
discerner le couple en plein travail. Si son complice avait bien fait le boulot, il restait une place de libre.
Elle m'amena jusqu'au devant de ma femme et me murmura à l'oreille.
"Ta femme n'a jamais été prise en double ?
Je ne compris pas tout de suite et puis d'un coup la lumière se fit
"Non, il ne...
"Si il l'encule là, et bien profond, baise là, défoule toi, cette salope a besoin de savoir qui est la maître. Après-tout, elle jouit bien sous ses coups de bite, non ?
Mon sexe tendu, comme un automate, je me mis à genoux et tâtais du bout des doigts ce que je pouvais voir. La fente d'Emilie était trempée mais vide, et dessous, les coups de butoir de notre hôte s'enfonçait par grands coups entre ses fesses. Merde, il avait osé !
Je pris ma queue en main et glissant entre les lèvres d'Emilie, je trouvais son vagin et d'un grand coup je me glissais dedans. Celle-ci cria de surprise et je me mis à la baiser violemment. C'était la première fois qu'elle subissait cela, deux hommes en même temps, deux bites qui la bourraient. Mes mains rencontrèrent celle de Christian et nous nous mîmes à la peloter à deux.
Chloé alla prendre une coupe bu un peu et me fit boire le reste. J'avoue que tout cela me donnait soif. Mais à combien étais-je ? 4 ou 5ième verre ? Je ne savais plus, en tout cas tout ce que je savais c'était que ma petite femme en prenait pour son argent.
Chloé me caressait le dos, le torse, flattait mes muscles, elle m'embrassa puis embrassa ma femme. Elle se collait à nous, présentant ses énormes attributs à nos mains, collant ses seins sur ceux d'Emilie, frottant ses tétons sur les siens et nous embrassait de rechef.
Emilie fatiguait, elle avait besoin d'une petite pause, nous nous retirâmes et elle s'affala essoufflée et en sueur, après avoir jouis plusieurs fois, sur le canapé. Chloé tata sur la table et trouva la bouteille de champagne, elle la présenta à Emilie qui but directement au goulot, elle la fit passer à tout le monde et une fois vide, elle roula par terre.
après quelques minutes de caresses et d'embrassades, Chloé pris nos deux bites et nous branla en même temps, elle voulais qu'on s'occupe d'elle un peu. Elle se pencha et nous suça à tour de rôle. Moi je caressais me femme doucement. Elle trouva ma main et la serra avec une sorte d'amour et de rassurance très intime.
Elle invita Emelie à se mettre en levrette et fit de même à côté d'elle. Forcément, chacun se mit derrière le cul offert, je choisi ma femme, grillé le mec, tant pis Christian fourra sa bite dans l'intimité de Chloé, moi je me précipitait entre les fesses d'Emilie, je ne voulais pas être le dindon de la farce, autant l'enculer quand je le pouvais Etrangement, elle ne râla pas, disons qu'avec ce qu'elle avait déjà reçu dedans, il était un peu tard pour ça.
Je passais mes mains sur son dos, ses fesses, palpais ses seins par dessous, elle gémissait la tête dans un coussin, son cul était chaud et accueillant et la prenant par les hanches, je me mis à la sodomiser tout doucement pour mieux sentir ce moment de pure extase.
Ma tête me tournait un peu, je crois que j'avais trop bu je n'osai penser à notre état à notre réveil. Car il serait difficile de repartir comme cela après ça. Il devait surement y avoir une chambre d'amies pour nous loger. Mais à quoi je pensais là au lieu d'en profiter ?
J'entendis "plop" caractéristique et je compris qu'une nouvelle bouteille venait de s'ouvrir, Chloé et Christian n'étaient plus à côté de moi, je les entendis boire et rire. La bouteille me cogna l'épaule, Chloé s'excusa en riant toute seule. Puis je l'attrapais et en bu une nouvelle rasade. Le champagne n'avait pas le même gout que l'autre, c'était sûrement notre bouteille.
Chloé nous fit bouger, poussant Emilie, elle s'installa devant elle et tirant sa tête pas les cheveux, elle la força à se positionner entre ses cuisses. Emilie fut barbouillée de cyprine pendant que Chloé frottait sa vulve sur son visage. Elle aussi tenait un sacré bout.Pour finir elle lui ordonna de la sucer. Emilie prise au dépourvu, commença son apprentissage bisexuelle de manière un peu étrange, et surtout très archaïque. Elle ne voyait rien de ce qu'elle faisait et je doute que dans son état normal, elle aurait accepté de se faire traiter ainsi.
Christian me refila la bouteille, mais je la repoussai, il insista et je bu encore un peu avant de la lui rendre. J'avais la tête qui me tournait, j'avais du mal à aller et venir dans le fondement de ma propre femme. Je sentis des doigts caresser mo visage, mais je ne savais pas à qui ils appartenaient, puis un truc rond et doux se frotta à mes lèvres, s'insinua et poussa afin d'y prendre place. C'étais chaud et gros en même temps, je relevais ma main et trouvais un corps devant moi, je remontais et le temps que mon cerveau comprenne, la bite de Christian glissait entre mes lèvres vers l'arrière pour se réinstaller à nouveau.
Je me mis à glousser, moi avec un sexe d'homme dans la bouche… Ma main remonta les cuisses et toucha la hampe, je la remontais et trouvais mon visage, entres mes doigts le sexe allait et venait, je sentais le gland butter contre ma joue interne, glisser sur ma langue, pousser vers ma gorge. Merde, je suçais un homme ? Pas possible…
Christian profitait de moi, il n'y avait pas pensé au début, mais en me faisant bien boire, il avait tenté le coup. Il prit la main de Chloé et la tendit pour qu'elle rencontre mon visage et ce lien mobile qui m'unissait à Christian. "Merde, c'est pas vrai ! Rit-elle, et en plus tu suces les mecs !
Christian me força la bouche un petit moment comme cela avant de me lâcher, j'aspirai un grand coup et ma langue chercha l'intrus sans la retrouver. La sensation n'était pas désagréable, et ce va et vient m'avait rendu un peu somnolent, d'ailleurs je ne bougeais plus, coinçais dans les entrailles de ma femme et je crois même que je débandais.
Christian se pencha et murmura un truc à Chloé, elle répondit un "tu ne vas pas oser quand même !"
Christian se plaça derrière moi et se mit en devoir de me caresser le cou, les épaules, le dos, passa ses mains devant et titilla mes tétons, c'était la première fois qu'on me faisais cela et ma bite repris de la vigueur. Je sentais le corps chaud de l'homme dans mon dos et son sexe droit collé à ma peau.
Sa main caressa mes reins, mes fesses, mes cuisses et passant devant, joua avec mes burnes puis ma bites qui glissait à nouveau avec lenteur dans l'anus d'Emilie. Il me poussa en avant vers le dos de ma femme où je me collais. J'étais à la bonne hauteur pour profiter des énormes seins de Chloé et je les tutais l'un après l'autre.
Je sentis soudain une langue s'insinuer entre mes fesses, je voulu me relever mais Chloé me retins à ma place m'obligeant à continuer, elle gémissait sous les caresses d'Emilie à moitié écrasée sous mon poids.
Christian ne chercha pas longtemps, il saliva plusieurs fois sur ma rosette et se relevant, pris sa bite et la fit glisser dans mon sillon fessier. Il titilla mon anus, complètement saoul ou presque je remuais les fesses en signe d'indignation mais sans comprendre ce qui allait m'arriver.
C'est Chloé qui vendit la mèche
"Laisses toi faire, tu vas te faire sodomiser mon beau.
Emilie releva péniblement la tête et croassa un "quoi ?
"Il n'y a pas de raison, pourquoi toi et pas lui ?
Justement à ces mots je sentis une poussée entre mes fesses et je serrai mon cul par automatisme.
Je n'avais jamais eu ce genre de relation et j'avoue que je n'y étais pas du tout intéressé. Mais dans mon état actuel mon cul ne pouvait que finir par céder. Après de maintes pressions et poussées le sexe de mon voisin ouvrit de force mon anus et petit à petit, à force de coups de rein, le gland se fraya un chemin en moi.
Chloé comprit aux mouvement que je recevais que l'affaire était faite, elle me lâcha et repoussa Emilie, elle se dégagea et alla tâter mon cul.
"Punaise, tu l'as pas louper
Je râlais, l'intrusion était assez grosses et douloureuse en fin de compte. La sensation était étrange aussi, le truc entrait en moi puis repartait vers l'extérieur, s'insinuait encore et ressortait, ainsi de suite.
Les mouvements de Christian guidèrent les miens et pendant qu'il m'encula, je rendis la pareil à ma femme. Chloé me chuchotait des insanités dans mon oreille, j'étais poussé en avant et tiré en arrière, je sentais le sexe progresser de plus en plus en moi, c'était de plus en plus gros et je ne savais pas quand il arrêterait !
Christian m'encula pendant un long moment, sa bite glissait dans mes enrailles maintenant librement Cette soirée était riche en découverte en tout cas. Lorsqu'il se retira, Chloé me poussa sur le sol, sur le tapis et s'empala sur moi pour un coït très
énergique. Pendant ce temps Christian abusa de ma femme une nouvelle fois.
Chloé était déchaînée et rapidement je ne pu me retenir, et j'éjaculais en elle. Elle avait pris son plaisir aussi, se relevant, mon sperme coulant de sa chatte, elle chercha à tâtons sur le sol et retrouva ce avec quoi elle avait commencé la soirée. Elle m'écarta les jambes et avant même que je saisisse ce qu'elle voulait me faire, elle poussa la saucisse dans mon cul.
Christian baisa Emilie puis l'encula à nouveau, allant d'un orifice à l'autre. Comme il ce l'était promis, au dernier moment, il se retira et poussa sa bite dans la bouche de ma femme pour éjaculer.
Nous étions tous épuisés et fin saoul. La bouteille avait refait le tour mais le sexe c'était fini pour le moment. Enfin pour moi en tout cas. Chloé m'aida à me relever et avec difficulté me conduisit dans une chambre au rez-de-chaussée, je m'affalait sur le lit et ronflais quasi aussitôt, elle eu la gentillesse de me mettre une couette sur le dos tout de même.
Ils m'avaient fait boire plus qu'à Emilie et encore plus qu'à eux-même. Ils conduisirent ma femme dans leur propre chambre. Et là, en pleine lumière, ils s'occupèrent d'elle rien que tous les deux. Si Emilie avait cru en avoir terminé et aller ce coucher, ce n'était pas dans les projets de ce couple de pervers plutôt bien assorti au final.
Christian ne se priva pas de la prendre en photo et en vidéos dans les positions les plus salaces, la tête entre les cuisses de Chloé lui broutant le minou, Emilie lui faisant une fellation ou se faisant baiser.
Peu à peu elle reprenait ses esprits et tout à coup elle s'écria
"Christian !
Celui-ci avait le visage collé à elle et s'activait encore entre ses cuisses, Chloé allongée à côté jouait avec ses seins irrités à force d'être tripotés.
"Lui-même, chuchota-t-il en posant ses lèvres sur les siennes.
Emilie afficha un air affolé. Elle regarda autour d'elle tentant de comprendre où elle était et ce qu'elle faisait là. Les effets de la drogue s'estompaient, mais la mémoire était toujours là, noyées dans l'alcool et la fatigue.
"Je, je... Fit-elle tout en laissant échapper un gémissement lorsque Christian accéléra ses coups de butoir.
Elle le repoussa, il se releva mais ne se dégagea pas de son intimité.
"Que, pourquoi ? Toi ? Je...
Elle tourna la tête de droite et de gauche, rencontrant le visage de Chloé qui lui souriait mais pas le mien.
"Où est... ahhhhh, mon mari ? Arrêtes, je t'en...pris... Ahhhh
"Il dort, repu de sexe, mais toi tu en avais encore envie.
"Ahhh, tu... voisin... Arrêtes, s'il te plait.
Christian fit une pause mais voulu rester maître de la situation.
"Tout ceci est une simple coïncidence. Lança-t-il d'un air faussement navré. C'est ton mari qui a contacté mon amie. Il lui a expliqué votre fantasme, enfin le sien surtout, il lui a parlé de votre première fois avec un autre couple, de ta timidité à passer le cap, mais de votre envie commune...
"Je... n'avais pas trop envie, il a insisté, mais...
Elle avait l'air de plus en plus gênée et honteuse, elle ajouta "Retire toi s'il te plait. Tu es notre voisin...
"Nous ne savions pas que c'était vous, je t'assure, il n'a pas dit qui vous étiez ni envoyé de photos ! Lorsque je vous ai reconnu, j'ai failli tout annuler mais ton mari semblait si ... insistant, son regard tu vois, il bandait déjà, tu ne l'avais pas remarqué ?
"Ce n'est pas possible, pas possible, je...
Christian lui releva les jambes sur ses épaules, l'écrasant à moitié de son poids et se remit en devoir de remplir son ventre de son membre encore plus dur, excité qu'elle constate ce qui c'était passé.
"Ahhhh, arrêtes, je ne peux plus, arrêtes ! Souffla-t-elle en le poussant de ses mains fines.
"Ma petite, tu t'es offerte à mon ami depuis plusieurs heures, alors un peu plus ou un peu moins maintenant. Clama Chloé d'une voix autoritaire.
Emilie tourna sa tête vers la femme, les yeux brillants, le visage suppliant.
"Comment je vais faire... Elle ferma la bouche pour ne pas gémir. Je... Lorsqu'on te verra maintenant ? Ahhh
"Ton mari n'est pas au courant, il n'a jamais vu mon visage, j'ai éteins les bougies exprès. Ne t'inquiète pas.
"Je me sens pas bien, j'ai honte, je...
Chloé lui coupa la parole en l'embrassant de force, elle en avait assez de ses jérémiades.
Emilie se sentais coupable, elle ne pourrait plus voir son voisin de la même manière, il lui avait fait l'amour, ce n'était pas possible. Elle se rappela tout ce qui lui avait fait, et moi baisant l'autre femme. C'était au-delà de tout ce qu'elle avait imaginé de cette soirée, trop, trop de choses, trop de complications.
Christian se retira enfin mais força Emilie à s'asseoir sur lui, elle refusa mais finit par passer ses jambes par dessus les siennes. Elle s'assis sur lui qui s'était allongé sur le dos.
"Vas-y, lui ordonna-t-il
"Je ne peux pas, le supplia-t-elle.sentant le membre dur contre sa cuisse.
"Vas-y, répéta-t-il
Emilie se leva, pris le sexe de Christian et s'assis dessus. Empalé de nouveau, elle évita son regard mais commença à relever son cul et le rabaisser.
"Tu vois, c'est ce que tu as fait depuis ton arrivée ici. Tu as donné livre court à tes envies.
"Ce n'est pas normal, je...
"Laisses toi faire, oublie le reste, ce n'est que du sexe.
Emilie retint une larme et se mit à chevaucher Christian pendant que Chloé la caressait de partout et l'embrassait aussi.
Il l'a prit ensuite en levrette et fixant l'oeil brun entre ses fesses l'encula ensuite. Emilie geignit mais s'abstint de faire une remarque, le mal était fait, la situation la dépassait et elle subissait maintenant tant que ces deux là n'étaient pas épuisée. Chloé se remit en face d'elle et Emilie du à nouveau s'occuper de son intimité.
Enfin, elle senti le sperme glisser dans ses entrailles...
"Tu ne diras rien à mon mari, murmura-t-elle à Christian. j'aurai trop honte s'il savait que tu, toi, enfin...
Il lui caressa la joue et tenta le tout pour le tout.
"Cela dépendra de toi tu sais... Il n'y a pas de raison que lui s'amuse avec d'autres et que toi...
Emilie ouvrit de grands yeux, que voulait-il dire ? Refaire cela avec lui ? Moi qui la
trompait ou pourrait le faire ?
"Je ne comprends pas.. tu, lui ?
"Parce que tu crois qu'il va s'arrêter là maintenant qu'il a goûté à autre chose ? Lança
Chloé. Tu verras qu'il te redemandera de recommencer dans quelques temps, tous les hommes sont comme ça.
Emilie fut très troublée. Moi, son mari, infidèle ? Et que venait-elle de faire ce soir ? La fatigue la submergeait, l'alcool embrumait encore ses esprits. Elle avait mal partout, puait le sexe, la sueur et le champagne. Et Christian... Soudain elle se souvint de quelque chose.
"Tu, tu l'as... par derrière ? Lui ?
Elle paru encore plus choquée.
"J'avoue, répondit-il l'air indigné. Entre l'alcool et l'ambiance. Pourquoi ? Il ne l'avait jamais fait, enfin par là ? Car vu comment il se trémoussait lorsque je l'ai, enfin, sodomisé quoi.
"Non, jamais, enfin à ma connaissance, merde alors. Je n'aurai jamais cru cela de lui. Je, enfin, lui avec un homme.
"Et il l'a pompé sec aussi ! Ajouta Chloé en mimant une fellation.
"Hein ? Cela aussi ? Elle n'en revenait pas.
"Tu l'as bien fait aussi petite, tu les as accueilli de toutes les manières possibles, tu ne te souviens plus ?
"Si, si, enfin, oui, non.
Elle ramassa le draps du lit et s'entoura avec
"Tout es si compliqué maintenant, je suis troublé, je suis désorienté, lui, tout ça, je...
"Tout est simple au contraire,ajouta Christian. Vous avez appris à vous libérer du sexe
"classique", il y a tellement de façon de la faire, de prendre du plaisir.
"Non rien n'est simple, ma vie est bousculée... mon couple est bousillé parce qu'il a voulu tenter cette stupide expérience.
"Tss, tss ! La réprimanda Chloé. Vu comment tu as crié, je m'étonne que les voisins ne sont pas venus se plaindre. A aucun moment je ne t'ai vu refuser quoi que ce soit, au contraire, tu en redemandais !
Emilie rougit aussitôt évitant leurs regards. Elle avait fait ça ? Réellement ? L'alcool, c'était ça, elle avait trop bu et... Enfin, il était trop tard, le mal était fait.
"Je pense que ton mari à son réveil sera tout aussi troublé que toi. Surtout pour cet épisode où je l'ai, enfin tu vois quoi, marmonna-t-il. Ne lui en parle pas, ne lui dit rien pour moi, pour nous. Il a sa fierté d'homme après tout, surtout si c'était sa première fois et vu comment il a, enfin trémoussé son derrière, glapissant quand...
"Je crois qu'elle a compris la coupa Chloé. De plus, il aura sûrement peur que tout le
quartier sache.
Emilie accusa le coup sur cette nouvelle donnée, elle n'y avait pas pensé. Si les "autres" voisins savaient leurs secrets intimes ! Surtout la vieille pie à trois maisons de chez, toujours à colporter des ragots sur tout le monde, dont la moitié devait être vrai pour ce qu'elle en savait.
Christian s'approcha d'elle et l'embrassa. Elle se tendit et répondit au baiser brièvement sans conviction.
"Tout cela restera entre-nous...
Il lui caressa la visage, les cheveux, pour la rassurer;
"Tu sauras garder ta langue lorsque je viendrai te voir... Il n'y a pas de raison...
Emilie saisi la contenance de ses propos. Y avait-il une menace ? Les voisins au courant de leur dépravation ? Christian qui viendrait lui rendre "visite" ? Moi couchant avec d'autres femmes, voire même des hommes ?
Chloé repoussa Christian et vint enlacer Emilie. Elle la berça et celle-ci se mit à sangloter.
"Là, là doucement. Il y a pire tu sais. Mon premier, j'avais 16 ans, on est resté ensemble 10 ans. Il me cocufiait avec tout le quartier. Tout le monde le savait, sauf moi. Depuis, je me suis juré de faire la part des choses entre l'amour et le sexe ! Et pas question de passer à côté de l'un ou de l'autre. Et si l'amour n'est pas d'accord, il va voir ailleurs.
Cela ne rassura pas Emilie mais elle finit par se calmer.
Elle me rejoignit dans la chambre avec l'aide de Chloé, elle me regarda avec colère, pitié et aussi une légère envie de meurtre. Elle se roula en boule sur l'autre côté du lit sous les draps. Chloé la laissa là.
Christian et elle discutèrent longuement, il avait eu ce qu'il voulait et même plus encore.
Ils se promirent avec sincérité, de rester en contact, renouveler l'expérience avec de nouvelles oies blanches serait très excitant. Chloé en avait terminé avec moi, elle rompait le contact. Christian se doucha, il était bien fin aussi, s'habilla et appela un taxi pour rentrer chez lui.
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Commentaires de l'histoire :
BretonCool2200
Très, très chouette histoire, toute la série ! Bravo !
Posté le 28/05/2024
Anonyme
Super, j'espère qu'il y aura une suite ....
Posté le 17/12/2023
Anonyme
Pas de suite pour cette histoire ?
Posté le 30/01/2022
cocuforever
J'adore cette montée vers le cocufiage et la bisexualité. J'aimerais lire une suite où la douce Emilie se dévergonderait complètement en faisant son mari cocu bi soumis
Posté le 3/06/2020
Anonyme
Quand on est 1 mec normal on ne fait pas du chantage sinon le mec n’a pas de couilles Que va devenir le couple ?
Posté le 22/03/2020
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