Histoire Erotique

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Réconciliation

Une petite dispute en voiture entre un homme et sa femme, rien de plus banal! Mais l'homme va un peu trop loin et lui manque de respect. Un long silence s'ensuit. La femme, à la fois blessée et furieuse a soudain une idée audacieuse qui va transformer à jamais leur relation...

Proposée le 22/01/2020 par daboo7

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Thème: SM, bondage
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


Un silence glacial régnait dans la voiture. Nous venions tout juste de nous disputer pour une bagatelle. Irrité par la situation, j’avais fini par lui dire que son avis ne m’intéressait pas. Ce n’était pas ce que je voulais dire. C’était un peu sorti tout seul, mais j’étais encore trop en colère pour le reconnaître et encore plus pour m’en excuser. Cela faisait un bon 15 minutes que nous ne parlions plus. Parfois, je m’éclaircissais la gorge ou je chantonnais tout bas les chansons qui jouaient à la radio afin de détendre l’atmosphère, mais visiblement ça ne fonctionnait pas du tout. Elle avait le regard rivé vers l’avant, l’air sombre, blessée par la froideur de mes propos que je lui avais tenus un peu plus tôt. J’avais la gorge nouée et j’essayais tant bien que mal de me convaincre que ce n’était pas seulement ma faute, qu’elle aussi avait dépassée les bornes, mais au fond je savais que c’était faux. Elle s’était montrée obstinée et son ton était peut-être un peu sec, mais rien de plus. C’est moi qui avait tout fait déraper mais je ne voulais pas me l’avouer.
C’est elle qui, à mon grand soulagement, finit par briser le silence interminable :

- Je ne peux pas croire que tu me parles comme ça.
- Bien… t’es pas toute seule…
- Pourquoi? Qu’est-ce que j’ai dit moi? Je ne me rappelle pas t’avoir dit que ton avis ne m’intéressait pas?!
- Non, mais…
- Mais quoi? Qu’est-ce que j’ai dit de blessant?
- Rien de blessant, mais on se disputait! On était les deux en colère.
- Mais moi je l’ai contrôlée ma colère!
Elle était visiblement contrariée. Je me suis dit que puisqu’elle s’était efforcée pour parler et briser la glace, c’était à mon tour de faire un effort :
- T’as raison. C’est vrai que j’aurais pas du dire que ton avis ne m’intéressait pas. Je ne le pensais pas. C’était sur le coup de la colère. Excuse-moi.
- C’est pas une raison. C’est pas la première fois que ça arrive en plus.

À ma grande surprise, mon aveu ne semblait pas l’avoir beaucoup attendri. Elle avait toujours le regard rivé sur la route, ses lèvres étaient serrées et son air était toujours aussi sombre. Elle ajouta :

- Des fois je me dit que la meilleure solution pour régler des conflits comme ça… ah, laisse tomber.
- Dis-le, je t’écoute.
- Ah, mon avis t’intéresse tout d’un coup?
- Ah, ma belle, je me suis déjà excusé pour ça.
- Je sais, mais je suis encore fâchée.
- Tu ne veux pas terminer ce que tu avais commencé à dire?
- Non, laisse tomber.
- C’est comme tu veux.
- Écoute, si ça t’intéresse vraiment tu viendras me voir plus tard quand je serai dans un meilleur état et je t’en parlerai peut-être, mais je ne te garantis rien. C’est seulement quelque chose qui a croisé mon esprit. Ça ne fonctionnerait probablement pas.

Cette fois, elle avait vraiment piqué ma curiosité. Je me suis dit qu’elle voulait peut-être qu’on consulte un psy. Pourtant, je n’avais pas pas l’impression que notre situation le demandait. On ne se disputait pas si souvent. Au moins le reste du voyage était beaucoup moins pénible. On se parlait de nouveau. Je percevais toujours une petite froideur chez elle mais il y avait du progrès.
J’ai attendu quelques jours avant de lui reparler de cette histoire. Je voulais savoir ce qu’elle avait en tête mais, en même temps, si son idée était de consulter un psy, j’espérais que cette idée s’estompe et disparaisse complètement. Je n’avais aucune envie d’aller exposer nos histoires de couple à un inconnu! Je finis par prendre mon courage à deux mains et allai la retrouver dans la cuisine.

Tout en posant doucement mes mains sur ses épaules, je lui dit :

- Ça va?
- Ça va. Toi?
- Oui. As-tu envie de me parler?
- Oui.
- La dernière fois dans la voiture tu m’avais dit de revenir te voir si je voulais…
- Oui, oui… je sais. J’attendais que tu viennes me voir à ce sujet.
- Je pense que je sais ce que tu vas me dire.
- Oh, non, je ne pense pas!
- Tu veux qu’on consulte un psy pour qu’il nous aide à régler certains problèmes dans notre couple?

Elle éclata de rire, visiblement amusée et surprise.

- Mais qu’est-ce que tu vas chercher? Je n’ai pas envie d’exposer notre vie privée à des inconnus. On est capable de régler nos conflits nous-mêmes.

J’étais si heureux de l’entendre rire et si soulagé qu’elle me dise cela. L’idée d’un psy ne me plaisait pas du tout.

- Ah… bon! Tant mieux alors. Dans ce cas, je n’ai aucune idée de ce que tu as en tête.
- Euhm...par où commencer...

répondit-elle, et elle s’éclaircit la gorge :

- Ça fait quelques fois qu’on se dispute et que tes paroles dépassent les bornes. Je sais que ton but n’est jamais de me blesser, mais ce n’est pas une raison pour dire n’importe quoi. Il faut que tu te contrôles.
- Je sais. Je pensais que je m’étais déjà excusé à ce sujet…
- Mais ce n’est pas suffisant que tu t’excuses.
- Qu’est-ce que je peux faire de plus? Te préparer le dîner?
- Oui ça serait un bon début, mais ce n’est pas ce que j’ai en tête.
- Quoi, alors?
- Il faut qu’il y ait des conséquences quand tu agis comme ça.
- Quel genre de conséquences?
- Ah là vraiment, tu ne m’aides pas beaucoup. Je pensais que tu comprendrais où je veux en venir. Disons, des conséquences… corporelles?
- Euh… ?
- Je sais, ça peut-être l’air bizarre, mais je suis sûr que ça nous ferait le plus grand bien à tous les deux.
- C’est quoi, tu veux me frapper?
- Pas te frapper, voyons!

Elle me dévisagea quelques instants et ajouta d’un ton assuré:

- Seulement te donner une fessée.

J’étais sous le choc. Qu’est-ce qu’elle venait de dire? Sans trop comprendre pourquoi, mon cœur battait à 100 km/h. Je ne l’avais pas vu venir, celle-là.

- Tu as l’air surpris, c’est normal. Je savais que ça t’ébranlerait, pourtant c’est la meilleure solution que j’ai trouvée pour régler ce problème.

Elle disait tout cela d’un air étrangement confiant, comme si elle maîtrisait parfaitement la situation. De mon côté, j’étais déstabilisé et incapable de prononcer le moindre mot. Elle cessa de me dévisager et, tout en feignant de vaquer à ses occupations, ajouta :

- Écoute, disons que l’idée est lancée. Penses-y. Tu peux refuser, on trouvera un autre moyen. Maintenant, tu vas préparer le dîner? J’ai faim, j’espère que ce sera bon…!

J’étais toujours sans voix. Jamais je n’avais ressenti de telles émotions contradictoires. J’étais embarrassé, un peu humilié, beaucoup surpris mais aussi… étrangement émoustillé. Je préparai le souper au mieux de mes compétences culinaires limitées. Au menu, crevettes au cari rouge servi sur riz basmati et légumes sautés. Sans vouloir me vanter, c’était délicieux.

J’aurais aimé discuté de tout et de rien avec elle, comme on a l’habitude de le faire lors de nos repas en amoureux, mais mon esprit était pour le moins préoccupé. Comment pouvais-je accepter sa proposition? C’était trop humiliant. En même temps, je ne pouvais nier être fasciné par tout ce scénario que je m’imaginais. Des pensées de toute sorte s’entrechoquaient dans mon esprit: "Est-ce de l’excitation que je ressens? Non, ça ne peut pas être ça! C’est probablement juste de la curiosité. C’est normal d’être curieux, ça ne veut pas dire que ça m’intéresse pour autant..."

- À quoi tu penses?

Elle venait de briser le silence.

- À ton avis…?

Lui répondis-je d’un ton moqueur.

- Je sais, je te taquine, je me doute bien à quoi tu penses! Alors, qu’est-ce que tu penses de ma proposition?
- Disons que c’est... original!
- Je sais… j’ai toujours des idées originales moi… pourtant elles fonctionnent!

Je me tue durant une minute, perdu dans mes pensées. Je finis par dire :

- D’accord. La prochaine fois que j’agis comme j’ai agi dans la voiture, on va faire comme tu suggères.
- Pourquoi la prochaine fois? Qu’est-ce que tu fais de l’épisode qui vient d’arriver?
- Quoi? Mais je pensais que c’était réglé ça! Je me suis excusé et en plus ça fait déjà quelques jours que c’est arrivé. J’étais passé à autre chose.
- Pas moi! Je l’ai encore sur le cœur!

Après avoir prononcé ces mots, elle semblait de nouveau contrariée. Je réalisai qu’elle ne m’avait toujours pas pardonné mon comportement des derniers jours. Mais qu’avait-elle en tête exactement? Elle voulait me donner une fessée ici et maintenant? J’avais du mal à concevoir cette éventualité. Mon cœur se mit à accélérer la cadence de nouveau. Je me sentais vulnérable. Je ne savais ni quoi dire, ni quoi faire, ni quoi penser. Je finis par dire, étourdi par les pensées et émotions de toutes sortes qui m’envahissaient :

- D’accord, on y va comme ça. Mais comment ça se passe? Qu’est-ce que je dois faire au juste?

Je détectai un air de satisfaction sur son visage lorsqu’elle constata la vulnérabilité dans ma voix. Elle dit ensuite d’un ton qui n’invitait pas à la discussion :

- Ce ne sera pas compliqué tu vas voir. Rejoins-moi dans la chambre dans 15 minutes.

Elle se leva et quitta la pièce.

Il est difficile de décrire ce que j’ai ressenti durant ces 15 minutes. D’un côté j’avais envie de me sauver en courant ou encore de lui dire que je changeais d’idée, que tout cela était bien trop bizarre pour moi. D’un autre côté, nous étions si prêt d’une réconciliation qu’il aurait été mal avisé de lui faire faux bond maintenant. Il fallait que je mette mon orgueil en poche et que j’aille au bout de son idée, même si celle-ci me rendait intensément inconfortable. Après tout, il est vrai que j’étais le fautif dans cette histoire. Le mieux était de faire face à la musique.

Les 15 minutes étaient passées, j’entrai dans la chambre.

Elle était assise sur une chaise en bois. Aux côtés d’elle se trouvait une petite table sur laquelle était posée une cuillère de bois, une spatule en plastique ainsi qu’une ceinture. Elle ne plaisantait pas…

Elle me regarda sans rien dire pendant quelques secondes, comme si elle savait à quel point cette situation m’embarrassait. Elle se leva enfin et s’approcha de moi d’un pas lent et détendu. Tout en me fixant droit dans les yeux, elle déboutonna mon jeans, le glissa jusqu’à mes chevilles et m’ordonna de l’enlever complètement, ce que je fis.

La gêne et l’embarras m’envahissait, elle le savait. Cela semblait même faire partie de ma punition. Elle retourna s’asseoir sur la chaise en bois.

- Viens ici.

m’ordonna-t-elle. J’avançai jusqu’à elle. Tapant légèrement sur ses cuisses, elle ajouta :

- Penches-toi sur mes genoux.

Je n’arrivais pas à le croire. Allais-je réellement me trouver dans cette position humiliante et me faire donner une fessée par ma femme? J’obéis et m’installa sur ses genoux.

- Tu sais pourquoi tu te retrouves dans cette position?

Je ne répondis rien.

- Je t’ai posé une question.

Je devais dire quelque chose. D’une voix non assurée et rongée par la nervosité, je répondis :

- Euh… bien tu le sais. C’est par rapport à ce qui s’est passé dans la voiture la dernière fois.
- Que s’est-il passé exactement?
- On se disputait… et j’ai fini par te dire quelque chose de blessant mais que je ne pensais pas du tout.
- Qu’est-ce que tu m’as dit au juste?
- Que de toute façon, ton avis ne m’intéressait pas.
- Est-ce que c’est la première fois que tu me dis quelque chose dans le genre?
- Non. C’est rare, mais c’est déjà arrivé.
- Oui… et la dernière fois était de trop. Dans la voiture quand on était silencieux et que j’étais en colère contre toi, il y a une pensée qui m’est venue sans prévenir et que je pourrais résumer à une phrase : « Il mériterait une bonne leçon! ». Je ne sais pas pourquoi, mais au lieu de se dissiper, cette pensée est demeurée avec moi durant tout le trajet. C’est comme si je venais de trouver la solution idéale à appliquer lorsque tu dépasses les bornes. Donc c’est ce que je vais faire maintenant, plutôt que de laisser la colère se dissiper au fil des jours et des semaines comme d’habitude, je vais te donner une correction ici et maintenant et après on n’en parlera plus. Qu’est-ce que t’en penses?
- Bien… euh… oui c’est ce qui avait été prévu.

Un long silence s’ensuit. J’anticipais la première claque avec grande appréhension. En même temps, je me disais que ça ne durerait pas longtemps et qu’on pourrait vite oublier tout ça. Je n’avais pas idée à quel point je me trompais.

Je sursautai lorsque la première claque s’abattit sur moi. Pris de surprise, mon corps se raidit aussitôt. Elle y avait mis beaucoup plus de force que j’aurais cru. Heureusement, mon boxer m’offrait une petite protection. Vint une deuxième claque, puis une troisième et une quatrième. Le rythme était soutenu et intense. À mon grand désespoir, elle retira en un éclair et sans prévenir mon boxer et le fit glisser jusqu’à mes chevilles.

- J’aurais dû faire cela bien avant! Ça me fait un bien fou. C’est pratiquement thérapeutique...

dit-elle tout en continuant la fessée à un rythme effrénée. Je ne pouvais plus nier la sensation de chaleur qui s’intensifiait et, bien que j’avais initialement décider d’être silencieux tout au long de ce supplice, question de fierté masculine, j’en étais maintenant incapable. La douleur était telle que je commençai à gémir chaque fois que sa main s’abattait sur mes fesses. Elle m’administra de sa main une sévère correction qui dura au moins 10 minutes, le tout presque sans pause. Elle ne se gêna pas de passer quelques remarques de temps à autre.

- J’espère que tu vas t’en souvenir longtemps parce que tu l’as bien cherché… Il était temps que quelqu’un te remette à ta place.

Je me gardai bien de lui répondre quoique ce soit, ne désirant pas empirer mon sort. Elle s’arrêta soudain. Je croyais qu’elle en avait terminé, mais j’avais oublié les instruments que j’avais vu sur la petite table en entrant dans la chambre. Elle pris la cuillère en bois et sans hésiter m’administra un violent coup. Je poussai un cri de douleur et de surprise, mais elle ne s’arrêta pas pour autant. Elle continua la fessée avec cet instrument durant une bonne minute. La douleur était si vive que j’avais envie de la supplier d’arrêter, mais je ne le fis pas, question de fierté masculine!

Vint ensuite le tour de la spatule en plastique qu’elle abattit sur moi de toutes ses forces durant une autre interminable minute. Et ensuite ce fut la ceinture qu’elle plia en deux pour m’administrer une cuisante correction qui paru durer une éternité. À un certain moment, elle dû avoir pitié de moi car elle délaissa la ceinture pour me punir de nouveau avec sa main. La cadence était beaucoup plus lente mais l’intensité était toujours au rendez-vous.

Je pris tout d’un coup conscience que mon corps était détendu. Je ne résistais plus à la correction ni ne raidissait mon corps comme auparavant. J’accueillais chaque claque sans broncher, poussant un gémissement grave, discret et résigné de temps à autre. J’étais à présent dans un état de soumission totale. J’étais même en mesure, malgré la douleur intense que je ressentais, de penser à l’épisode dans la voiture et de pleinement reconnaître mes torts. J’en étais vraiment désolé et je me surpris même à me dire que j’avais bien mérité tout ce qui était en train de m’arriver. Je dus m’avouer à moi-même que la fessée avait eu le résultat escompté.

Comme si elle venait de lire dans mes pensées, elle me dit :

- J’ai l’impression que tu vas retenir la leçon, n’est-ce pas?
- Oui… j’en ai bien l’impression aussi.

Elle abattit une dernière fois sa main sur mes fesses brûlantes et dit :

- Ça devrait suffire pour cette fois.

Elle se mit ensuite à me caresser les fesses et à les prendre sensuellement. Elle leur donna une série de petites claques qui, à vrai dire, ressemblaient plutôt à un massage. Je dois admettre que je trouvai le tout loin d’être désagréable et fus surpris de constater que la situation devenait quelque peu érotique.

- C’est bon, tu peux te lever maintenant.

J’obéis aussitôt. J’eus l’impression que mes joues étaient aussi rouges que mes fesses et réalisai que mon membre était dur. Quelle humiliation tout de même! Que venait-il de se passer? C’était surréaliste. J’avais seulement envie de quitter la pièce et d’aller faire une promenade pour ne pas rougir de honte. Mais elle avait autre chose en tête.

- Attends-moi quelques secondes.

Elle revint aussitôt avec une petite corde.

- Tes mains, mets-les derrière ton dos.

Je m’exécutai. Elle me les ligota. Pour ajouter encore plus à mon embarras, elle me dit :

- Agenouille-toi et regarde-moi dans les yeux.

J’obéis sans discuter. Elle semblait se délecter de me voir dans cette posture. Après quelques secondes, elle retira sa robe et ses sous-vêtements. Elle avança sa chatte jusqu’à ma bouche et dit :

- Lèches-moi maintenant.

Je m’exécutai. Je lui léchai doucement le clitoris, les grandes et les petites lèvres. Je sentis mon membre se raidir encore plus en l’entendant gémir de plaisir. Après un moment, elle recula, m’ordonna de me lever et se mit à genoux à son tour. Elle me dit :

- Je suis contente de la façon dont tu t’es comporté pendant ta correction. Quand tu agis comme ça j’ai envie de te donner une petite récompense…

Sur ces paroles, elle prit ma queue dans une de ses mains et se mit à la sucer passionnément. Elle me léchait, me suçait… et semblait en retirer un plaisir inouï. Ce fut la plus longue fellation qu'elle m'avait jamais donnée. Je me demandais combien de temps je pouvais me retenir, c’était trop difficile. Encore une fois, elle semblait avoir lu dans mes pensées car elle s’arrêta finalement et me dit :

- T’as quand même pas mérité de me jouir dans la bouche…

Elle délia alors les liens derrière mon dos et m’ordonna de me coucher sur le dos. Elle embarqua sur moi, entra ma queue raide en elle et se mit à faire des mouvements de va-et-vient tout en poussant de délicieux gémissements. Elle vit ensuite que mon regard était rivé sur ses seins.

- Tu voudrais les voir, n’est-ce pas?

Et aussitôt elle sorti son sein gauche de son soutien-gorge et l’approcha à un cheveu de mon visage. Elle fit de même avec son sein droit.

- Je t’interdis d’y toucher pour le moment. Ni avec tes mains, ni avec ta bouche. Elle promena ses seins partout sur mon visage. C’était un vrai supplice de ne pouvoir leur toucher. Ils sentaient si bon. J’avais envie de les prendre à deux mains et de les enfoncer dans ma bouche. Elle empoigna ses deux seins, les serra l'un contre l'autre et les secoua sur mon visage, sachant pertinemment à quel point il devait être difficile pour moi de résister. Mais tant bien que mal, je réussis à ne pas faire usage de mes mains et de ma bouche. Elle me dit ensuite :

- Tu peux y aller maintenant. Prends-les, lèche-les, suce-les comme tu veux…

À l’écoute de ces mots, j’eus l’impression de me comporter en véritable homme des cavernes. Je me jetai à toute hâte et sans aucune délicatesse sur ses seins. Je les pris dans mes mains, les serrai l’un contre l’autre en les embrassant chacun à leur tour. Je lui léchai les mamelons, les suçai goulûment, les mordillai doucement. Elle ne s’en vexa pas. Au contraire, elle semblait s’en délecter.

Après un long moment, elle m’ordonna d’arrêter ce que je faisais. Elle me sourit d’un air satisfait et m’assena une petite gifle au visage.

Elle se coucha sur le ventre et m’invita à la pénétrer dans la position de la levrette, sa préférée. Je m’exécutai et tentai de la combler au maximum. Mes mouvements étaient lents et réguliers et je me délectai du son de sa voix qui tremblait de plaisir. J’accélérai la cadence graduellement. Au bout d’un moment, nos voix se marièrent en une délicieuse symphonie orgasmique. Nous approchions le point culminant. Sa respiration était forte, ses yeux étaient fermés et elle se léchait les lèvres de temps à autre. J’avais atteint ma cadence maximale et je parvins à la maintenir durant plusieurs secondes. J’entendis finalement sa voix produire une délicieuse et intense plainte de plaisir, puis une autre, et encore une autre. Je me laissai aller à mon tour et je jouis en elle. Nos orgasmes simultanés semblèrent se combiner et en décupler le plaisir.

Et puis c’était fini. Nous reprenions notre souffle tant bien que mal. Son corps en sueur tremblait encore. Elle m’avoua ne jamais avoir ressenti autant de plaisir de sa vie. Je lui dit qu’il en était de même pour moi. Nous nous sommes embrassé longuement et sommes restés blottis l’un sur l’autre durant de nombreuses minutes.

Dans les jours qui ont suivi, j’ai tenté de comprendre, à tête reposée, ce qui s’était passé cette journée-là. J’étais encore sous le choc, n’ayant jamais vécu une expérience de la sorte auparavant. Était-ce le début de quelque chose ou simplement un accident de parcours? Je l’ignorais, mais ce que je savais, c’est que jamais je n’oublierais le moindre détail de cet événement. Je constatai également que notre relation en fut immédiatement améliorée. Il faut admettre que j’en avais retenu quelque chose car depuis ce jour fatidique, je portais une grande attention à la façon dont je lui parlais, surtout lorsque j’étais contrarié. D’ailleurs, elle m’avait récemment mentionné, tout en m’adressant un clin d’œil complice, qu’elle l’avait remarqué et qu’elle en était ravie.

Elle avait eu raison. Ses idées étaient originales, mais force est d’admettre qu’elles fonctionnaient.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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Commentaires de l'histoire :

~Gaïa~
Je me suis laissée complètement happer par cette histoire originale :) Merci pour cette parenthèse ...rythmée !
Posté le 27/09/2023

Jacques du Canada
Je pense même que tu as le goût de l’insulter de nouveau.
Posté le 24/01/2020


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