Dernier jour de notre week-end de débauche. Madame se lâche complètement pour mon grand plaisir. Encore du vécu, agrémenté d'une bonne dose de fantasme.
Proposée le 13/01/2020 par Hellion
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passion
Personnages: FHH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Fantasme
C’était notre dernier jour dans cette charmante ville et nous devions libérer la chambre avant 11 h.
Cela ne nous a pas empêchés de faire encore l’amour malgré la fatigue de la veille.
Son anus était un peu endolori suite au ramonage en règle que je lui avais fait subir avec le gode, aussi a-t-elle un peu hésité quand je me suis présenté à son arrière-train pour la sodomiser. Elle finit par céder et je pus profiter directement de ce superbe cul. Elle était en levrette, appuyée sur ses coudes, le cul en bombe. Je la sodomisais un moment, puis j’attrapais l’énorme gode « négocié » la veille, et lui enfonçait dans le vagin, avant de lui reprendre le cul. Elle se laissa faire et passa une main entre ses jambes pour saisir le gode et commença à le faire aller et venir au rythme de mes coups de reins. Elle haletait « Vas-y, c’est bon, défonce-moi... Encule-moi..." . Elle avait complètement oublié la douleur et se laissait emporter par cette double pénétration improvisée.
Nous avons laissé les bagages en dépôt à l’hôtel après avoir libéré la chambre puis nous sommes repartis pour manger en ville. Après une petite balade, on s’installe dans un petit restaurant, le serveur nous apporta les cartes... Et là ce fut le choc. C’était le grand Noir de l’autre soir! Ma femme le reconnut aussitôt et lui aussi nous reconnut?! On ne savait plus où se mettre. Il nous aborda avec un grand sourire chaleureux
— Bonjour, comment allez-vous depuis l’autre jour??
— Bien merci...
— Gérard, m’a dit que vous êtes repassé à sa boutique j’aurais bien aimé être là ...
Ma femme était rouge pivoine, je la sentais honteuse et pourtant elle répondit :
— oui, dommage j’aurais bien aimé aussi
Le serveur marqua un temps d’arrêt puis d’un ton professionnel
— vous prendrez un apéritif??
— Oui, une bière pour moi et un martini blanc pour ma femme.
— OK je vous amène ça tout de suite?!
Il quitta notre table et lança sa commande au bar...
Le reste du repas se déroula normalement, il était très consciencieux et s’occupait bien de nous sans délaisser les autres tables.
Puis il nous amena l’addition à laquelle il avait ajouté un petit mot à destination de ma femme « Va aux toilettes ». Je lus le mot et le lui tendit, elle me regarda, regarda le serveur et se leva sans un mot en direction des toilettes. Il attendit un peu puis se dirigea à son tour vers les toilettes.
Il frappa à la porte, « Madame ...?". Elle lui ouvrit doucement, et il posa directement une main sur son sein. Puis sur l’autre. Il lui baissa sa robe et lui retira son soutien-gorge pour profiter de ses mamelles à pleines mains. Au bout de quelques minutes il la poussa et l’obligea à s’asseoir sur les toilettes, sortit son sexe déjà bien bandé et lui enfonça dans la bouche. Elle s’appliqua à le sucer du mieux qu’elle put, en caressant ses couilles. Il finit par éjaculer dans sa bouche et la força à avaler.
— Tu suces trop bien?! Dommage que je n’ai pas le temps de te baiser... Vous faites quoi cet après-midi?? Ça te dit de repasser après mon service??
— Oui pourquoi pas?...
Une fois revenue à la table elle me raconta leur petit aparté et me fis part de sa proposition. Je l’avoue, je n’étais pas très chaud, mais elle avait l’air d’en avoir envie alors, ce que femme veut...
On quitta le restaurant et elle salua le serveur d’un « à plus tard » qui voulait tout dire... Après une petite balade digestive, nous nous sommes installés à la terrasse d’un bar proche du restaurant et avons attendu notre nouvel ami. Je m’envoyais deux verres de whisky pour calmer mon mélange d’anxiété et d’excitation.
Il sortit du restaurant vers 15 h, regarda un peu autour de lui et nous aperçus au bar. Il se dirigea vers nous en souriant
— Ah, vous êtes là, j’ai eu peur que vous ayez changé d’avis...
— Vous habitez loin??
— Non, c’est juste à côté ... on y va? ? Ah oui au fait, mon prénom c'est Anicet ...
Et c’est ainsi qu’on s’est retrouvés chez lui. Il avait déjà commencé à caresser les fesses de ma femme pendant qu’on montait les escaliers.
S’adressant moi :
— Il paraît qu’elle aime les gros calibres dans le cul??
— À ce qu’il semble, mais, elle a pas mal reçu de ce côté depuis deux jours, pas sûr qu’elle soit d’accord
Ma femme intervint :
— Les mecs, tous les mêmes, vous ne pensez qu’à nous enculer?! On verra comment je me sens!
Une fois dans le salon, il nous offrit à boire et s’installa dans le canapé à côté de ma femme, me laissant le fauteuil en face.
Sans perdre de temps, il la fit se lever devant lui et lui ordonna d’enlever sa robe, puis ses sous-vêtements. Elle était maintenant nue devant lui.
— Tu as des seins vraiment magnifiques?! Tu sais t’en servir??
— Bien sûr?!
— Alors, mets-toi à genou et montre-moi.
Elle se mit à genou entre ses cuisses, dégrafa son pantalon et sortit son sexe à moitié bandé...
— hum, on va le faire durcir un peu d’abord
Elle le prit en bouche avec un plaisir non dissimulé, et le suça quelques minutes. Quand il fut bien dur, elle lui retira complètement son pantalon et cala cette bite entre ses seins. Elle cracha un peu dessus pour lubrifier et commença les va-et-vient. Malgré sa poitrine généreuse, le gland dépassait, aussi elle s’amusait à le gober, le lécher, le mordiller. Le type était aux anges « la vache, c’est vrai que sait temps servir?! » J’ai cru un instant qu’il allait lui éjaculer sur la figure, mais non, il l’attrapa doucement par le bras et l'attira sur lui. Elle se mit en position pour le chevaucher, écrasant sa poitrine sur sa figure et attrapa elle-même cet énorme sexe pour s’empaler dessus. Il la basait en lui dévorant les seins, chose qu’elle adore, lui arrachant des cris à chaque coup de reins. N’en pouvant plus je me suis levé et je lui ai présenté ma bite à sucer. Elle m’emboucha d’un coup et me suça du mieux qu’elle put, mais elle était proche de l’orgasme et ne pouvait se concentrer sur la tâche.
Elle finit par jouir comme une furie, un des plus beaux orgasmes qu’elle a jamais eus. Je profitais de l’accalmie qui suivit pour lui murmurer à l’oreille :
— Donne lui ton cul, il en meurt d’envie.
Elle passa une main dans son dos sortit, le sexe de son vagin et le positionna sur son anus. Elle descendit doucement, contrôlant la pénétration à son rythme puis, après une pause, commença à onduler.
Mais notre hôte avait envie de quelque chose de plus bestial, aussi il la souleva et la positionna en levrette avant de reprendre la sodomie de façon plus « virile ». A ma grande surprise, elle commença à l’encourager :
— Ouais plus fort?! Pète-moi le cul?! Défonce-moi?!
— T’aimes ça salope hein??
— Ouais, j’adore?!
Elle était transfigurée, se donnait complètement à ce quasi inconnu qui la sodomisait. Et comme il était très endurant, il put la sodomiser dans de multiples positions, toujours de façons brutales, puis il se retira et lui éjacula sur la figure « Voilà, bien arrosée, comme dans un film de cul?! »
Elle était épuisée, couverte de sueur et de sperme, mais je ne voulais être en reste :
— hé, la salope, et si tu venais t’occuper de moi??
Elle me regarda bizarrement, presque choquée par le vocabulaire et le ton que j’avais utilisés, mais elle se dirigeât vers moi à quatre pattes, et entrepris de me faire une fellation.
— Bon maintenant c’est mon tour?!
Je me positionnais derrière elle et lui pris le cul d’un coup sans ménagement. Je la sodomisais à mon tour à grand coup de reins.
Anicet nous regardait en caressant sa demi-molle. Je l’invitais à nous rejoindre
— Tu crois que tu peux remettre ça??
— Ouais bien sûr
Il se mit devant elle et s’enfonça de nouveau dans sa bouche. Quand il fut de nouveau en érection, je lui annonçais le programme :
— Viens, on va lui faire une double?!
— Bonne idée?!
Ma femme ne dit rien, mais quand il s’allongeât par terre elle s’empala elle-même sur lui, et se pencha pour me laisser accéder à son cul.
Nous l’avons prise en sandwich pendant près d’une demi-heure, la faisant jouir à de multiples reprises, avant de jouir à notre tour, la laissant complément épuisé — et nous aussi.
Après une douche réparatrice, nous nous sommes rhabillés, sauf elle qui resta encore un moment les seins à l’air pour que notre ami puisse encore les caresser. Il semblait faire une fixation sur ses seins, aussi nous l’avons laissé faire quelques photos de sa poitrine. Puis nous avons pris congé, et la direction de la gare.
Une fois dans le train, j’ai lui ai demandé si elle avait apprécié son anniversaire, elle répondit :
— oh oui, j’adore souffler les bougies comme ça... d’ailleurs l’année prochaine il faudra tenir le compte, je suis sûre qu’il en manquait?!
L’année prochaine elle aura 41 ans. Il faudra plus qu’un long week-end pour souffler toutes ces bougies.
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