Dans ce deuxième épisode, notre jeune étudiant est réclamé par sa voisine pour un service à domicile d'urgence. A peine le temps d'enfiler son peignoir au saut du lit, et en plain accès de trique matinale, il ne va pas faire défaut aux appétits d'une si bonne voisine dont le mari ne sait pas calmer les chaleurs.
Proposée le 19/09/2019 par Le Gourmandiseur
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Thème: Jeu érotique
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman
Deux jours plus tard, vers huit heures du matin, je suis réveillé par un message qu’elle m’envoie :
« Viens vite ! Mon mari m’a baisée avant de partir au boulot, mais c’était trop rapide, il m’a seulement mis le feu au cul. Je n’en peux plus ! Viens. C’est ouvert. »
Voilà qui coïncidait très bien avec la puissante raideur de ma trique matinale ! Et en lisant ça, ma queue s’est tellement durcie que j’en avais carrément mal ! On réclamait mes services et l’urgence était réciproque… J’ai répondu que j’arrivais immédiatement. Je me suis vite levé, l’étendard bien dressé. Et j’ai pu seulement m’habiller de mon peignoir (impossible d’emballer mon membre inflexible dans un pantalon). Par l’œilleton j’ai pu constater que sa porte était entrouverte. Une fois chez elle, je ne lai pas trouvée dans le salon : j’avais mon braquemard tout raide et bien droit sorti du peignoir. Il allait peut-être servir de radar pour trouver la cible ?
- Florence ? Tu es où ?
- Dans la chambre ! Viens !
Je ne connaissais pas encore la configuration des pièces, mais je me suis fié au son. En avançant dans un petit couloir, je sentais l’odeur fauve qu’exhalait ma bite ; j’étais en rut !
Je pousse une porte entrouverte et là je la vois, ou plus exactement je vois d’abord un cul, son sublime cul levé en l’air, un cul largement déployé, et totalement offert. A quatre pattes sur le lit, la jupe retroussée jusqu’à la taille, et pour couronner le tout, des bas noirs et un porte-jarretelles. J’étais fou ! Ce qu’elle faisait dans cette tenue dès le matin, je ne voulais pas y réfléchir, je me suis très vite approché de cette splendeur. Je m’apprêtais à l’enfiler - enfin. Mais elle voulait autre chose :
« Je suis en feu ! Il faut que tu me bouffes la moule ! »
Ses grandes lèvres corail étaient écartées, couvertes de cyprine qui suintait de l’orifice béant du vagin. Je me suis jeté là dessus, j’ai dévoré tout ça. Ma bouche et ma langue plongées entre ses fesses. Et je remontais, complètement ivre de son onctueuse liqueur, jusque sur sa jolie et large rondelle dont je léchais les plis salés. J’étais à genoux, je la tenais par les cordons de son porte-jarretelles, je me goinfrais littéralement et j’ai bien cru que j’allais tout de suite éjaculer.
Mais d’un seul coup une incroyable quantité de mouille se mit à sortir de sa conque et à couler dans ma bouche.
« Mange-moi tout ça ! Oui, c’est bon ! ». J’en avais partout sur la figure. Et puis j’ai compris de quoi cette chaude vicieuse me gâtait : « Tu vas tout avaler, tout nettoyer, tout ce qu’il m’a mis dans la chatte. » J’aurais pu avoir un mouvement instinctif de répulsion : mais non ; j’étais ensorcelé, complètement affamé de son sexe, subjugué par cette bestialité qui se défoulait en elle, quand elle était avec moi.
J’ai sucé son clito et au bout de quelques courtes minutes ma langue l’a fait hurler comme une folle.
J’en venais à me demander si elle n’avait pas pris je ne sais quel aphrodisiaque : « Ta queue ! Je veux ta queue dans ma bouche ! Donne ! Vite ! Il faut que je suce ! »
Dès que je me suis placé devant elle, qui restait à quatre pattes, les seins pendants et le cul en l’air, elle a entièrement enfoui ma queue dans sa bouche et m’a pompé avec un acharnement délirant ! C’était beaucoup trop fort pour mon endurance de jeune homme peu expérimenté ; j’ai senti les à-coups successifs de mon éjaculation dans sa bouche : elle a pris les premiers jets pour elle, puis elle a ressorti ma bite qui giclait toujours, l’a saisie entre les mains pour me faire arroser les draps. « C’est mon côté. Je dormirai sur ta semence pendant que mon mari ronflera. »
On est allé ensuite dans la cuisine. Elle tenait à nous faire un bon petit-déjeuner.
Je restais assis, mon peignoir encore sur moi, et je la regardais s’affairer, ses seins et ses fesses qui remuaient librement dans tous ses mouvements. Toute la beauté d’une femme dans la pleine maturité de ses formes. Ses cuisses luisaient des sécrétions qui coulaient encore de sa vulve. Et la voir comme ça m’a rapidement fait bander à nouveau. Si mon âge présentait des inconvénients, il me donnait cet avantage des érections répétées. Je commençais à me caresser le gland en ne quittant pas des yeux son splendide fessier. Quand elle a fini de préparer le plateau, elle m’a regardé dans les yeux et s’est approchée de moi. Elle s’est alors tournée, me présentant son cul, puis elle a saisi d’une main mon chibre et se l’est gentiment introduit dans son con en s’asseyant sur moi. Enfin ! Je pouvais la pénétrer...
Je me souviendrai toujours de cette sensation que rien ne peut imiter : entrer et remuer là-dedans, aller au plus profond, me laisser commander par le besoin impérieux (le devoir !) de parcourir et ramoner de mon épieu brûlant ce trou qui ne demande qu’à être rempli. Je la tenais par les hanches en accompagnant son mouvement – car c’est elle surtout qui remuait : il était clair que cette femme en voulait ! Sa chatte me trempait les couilles.
Puis elle s’est dégagée d’un coup et m’a demandé de la suivre en prenant le plateau de notre petit déjeuner. Mon état frôlait vraiment la folie : cette cochonne jouait avec mes nerfs ; mais justement elle savait bien comment faire durer le plaisir. Et c’est bien là aussi un de mes apprentissages avec elle.
Dans la chambre, le plateau posé sur sa table de nuit, elle s’est mise de nouveau à quatre pattes sur le lit : « Allez, vas-y ! Baise-moi ! Bourre-moi tant qu’tu veux ! ».
J’ai connu alors la fureur avec laquelle on peut se mettre à culbuter une femelle en chaleur. Je l’ai pilonné sans aucune retenue, le plus fort et le plus longtemps possible. Elle poussait des râles de bête et en redemandait à grands cris. J’aurais voulu que ça ne finisse jamais. Et quand j’ai soudain explosé au fond de cette femme j’ai poussé un hurlement digne d’un sauvage, saisi de spasmes qui me faisaient continuer à la tringler encore bien après avoir joui.
Je me suis effondré sur le lit.
Je lui avais empoigné tellement fort les fesses qu’on voyait les marques de mes doigts.
Elle m’a servi un café, puis elle a m’a dit : « Regarde bien ça, tu vas aimer… »
Elle s’est placée sur les genoux à côté de moi, elle a contracté son ventre en écartant les cuisses : sur le plateau elle a pris un toast et l’a placé juste sous sa fente pour y faire couler et se répandre mon sperme laiteux. Une fois le toast tout recouvert, elle l'a porté à sa bouche et l’a lentement mangé.
Elle ensuite trempé ses doigts dans le pot de miel et elle s’en est badigeonné la vulve. Elle a léché ses doigts très sensuellement puis elle s’est penchée un peu en arrière pour m’offrir son appétissante tartelette.
J’ai reposé ma tasse… je me suis glissé sous elle, ma tête entre ses genoux et elle a collé sa délicieuse cramouille toute poisseuse sur ma figure pour que je recommence à la brouter et à lui chauffer le clito. Dans ma bouche, le miel était de plus en plus dilué dans sa cyprine qui n’en finissait pas de couler. Elle s’est remise, quant à elle, à me sucer : nouvelle bandaison sous l’action vigoureuse (mais habile !) de sa bouche affamée. Elle a joui une nouvelle fois, et sa fente toute rouge et dilatée a carrément lancé des jets à tout va ! J’étais tellement ébahi que je me suis à peine senti éjaculer entre ses mains. C'est en m'asseyant près d'elle que j'ai vu alors qu'elle avait dirigé ma queue habilement : au fond de sa tasse s'était accumulé une bonne quantité de crème fleurette ! Elle a versé dessus du café, a pris une cuillère pour bien mélanger : « Merci mon petit chéri, pour ce nuage de sperme dans mon café ».
J’ai passé le reste de ma journée à dormir dans mon petit studio. Mais quand je me suis réveillé, dans la nuit, j’étais encore tellement halluciné par ces merveilles que je bandais raide en pensant à elle et qu’il m’a fallu à nouveau me soulager. Je me suis branlé frénétiquement et me suis arrosé joyeusement jusque sur le visage.
Dans l'obscurité, mon téléphone clignotait. Un nouveau message : « Demain, c’est dimanche, on a des invités. Mais je passerai te voir un petit moment. Je ne pourrai pas tenir la journée sans ta queue. Bonne nuit. » Son imagination allait se confirmer aussi ouverte et débordante que sa chatte.
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