Mélanie veut savoir ce qui se trame dans la maison en travaux tout près de chez elle. Mais elle ne devrait pas...
Proposée le 8/06/2015 par LeFou
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Thème: Femme soumise
Personnages: Groupes
Lieu: Inclassable
Type: Roman
La Fouineuse
Chapitre 1
Le bruit recommence. Il n'est que 18 heure et c'est déjà probablement la 10ème fois aujourd'hui. La 50ème cette semaine. Depuis le début de la semaine, des travaux ont démarré tout près de chez elle, dans la maison abandonnée depuis longtemps déjà, dans le terrain vague quelques mètres derrière sa demeure. Mais elle semble être la seule à s'en plaindre : son voisin n'est pas là et les autres quelques habitants de la rue ne se soucie pas du vacarme incessant des marteaux piqueurs et compagnie. Mais Mélanie est du genre à se plaindre. C'est dans sa nature. Mélanie a à peine 22 ans. Elle vient de boucler ses études. C'est le début des vacances d'été, et elle n'a plus assez d'argent pour partir ne serais-ce que quelques jours à la plage. Tous ses ami(e)s sont partis. Sa famille aussi. Elle est seule et elle s'ennuie. Mélanie est une fille plus que jolie. Elle est métis, de beaux cheveux noirs brillants tombant jusqu'au côtes, un mignon petit minois avec de jolies petites joues, une poitrine plus qu'attrayante, de belles jambes un peu élancée, de bonnes cuisses et des fesses qui donne à tous les hommes des torticolis lorsqu'il la croise. Bref une fille magnifique. Pas pour autant qu'elle est en couple. En ce moment, les hommes ne l'intéresse pas. Elle veut se sentir libre. Plus pour longtemps.
Le bruit augmente de plus en plus fort. "S'en est trop cette insupportable, s'agace Mélanie, je suis sur les nerfs, il faut que j'aille les voir et leurs dires que ce n'est plus possible "!
En rage je sors donc claquant la porte, mais oubliant mon téléphone. "Pas grave, pensais-je, j'en ai pas pour longtemps". Par cette chaude journée d'été, je m'étais vêtue d'un débardeur rayé blanc et noir dessus mon soutif blanc, d'un mini short en jean, avec un string violet en dessous, et de tongs rose.
J'arrivais devant la maison en travaux. Elle n'était pas visible de là ou j'habitais, ni de nul part dans ma rue d'ailleurs, de grand tas de sable et galet empêchant son observation. Elle était à l'orée d'une forêt, ce qui la rendait en temps normal sinistre et peu fréquentable. Mais avec des gens à l'intérieur, elle ne m'inquiétait pas.
Je vis un ouvrier travaillant la façade de la maison. Je l'interpellais
-Hé, vous là !! Ouh ouh vous m'entendez !?
Mais le vacarme des travaux faisait qu'i ne m'entendait point. Je me rendais de ce fait dans la maison. J'avançais prudemment, faisant attention ou mettre les pieds, le sol étant jonchés de pierre, tuiles, détritus, etc.. J'arrivais dans une pièce où un ouvrier, assez gros et moustachu, semblait se reposer, tout en sueur. Je l'interrogeais :
-Bonjour monsieur, pardon de vous déranger dans votre travail mais j'habite tout près d'ici et...
-HOOOOO qu'est ce que vous foutez là !! Dégager d'ici, c'est interdit !!
-Pardon mais j'ai le droit de savoir ce qui se passe, le bruit de vos engins m'insupporte et..
-Non mais hé, connasse, tu comprends pas ce que je te dis !!
-Je vais savoir ce que vous faites ici, croyez-moi !
-Hein, tu continues ?? Viens ici j'vais t'apprendre à pas t'mêler de tes oignons !
La, je sue qu'il ne fallait pas rester ici. Sans réfléchir, je me mis à courir. Hélas, pas dans la direction de la sortie. Et vue que j'étais en tongs, je tombais rapidement, trébuchant. Prise de panique, je me relevais difficilement et je vis à ce moment un autre ouvrier surgit d'ailleurs brandissant un lasso. Il le lança et le lasso s'entoura et se serra autour de moi. "Maaiis" criai-je. Je tirais sur le lasso et il finit par céder, mais à ce moment là quatre autres tombèrent sur moi ! Mes agresseurs tirèrent en même temps dessus et vu qu'un étais autour de mes jambes, je tombais, sans toutefois me faire trop mal. Je me débattais
-Mais !! Laissez-moi ! A quoi jouait vous !
J'entendis mes agresseurs ricaner. Le gros moustachu s'accroupis face à moi.
-C'est pas bien de venir fouiner..
A ce moment là quelqu'un me bâillonna d'un foulard blanc. Je voulais protester, me le bâillon étouffais ma voix. Ils coupèrent les lassos mais me tenais fermement (il devait être nombreux) et m'attachèrent les coudes, les poignets, les chevilles et entourèrent une cordes autour de ma taille. Je tentais de me débattre mais ils tenaient solidement les cordes qui était reliées jusqu'à eux. L'un deux le releva et pris ses seins dans ses mains.
-Mmmmfffff !! vis-je, effrayée.
-Eh bien ma petite, ne t'inquiète pas, on va bien s'amuser tous ensemble ! Allez emmener-là !
-Mmmmmm
Je vis tous ses hommes autour de moi qui me tenais, ligotée et bâillonnée, assoiffé de sexe. J'étais à leurs merci. Qu'allais t'il faire de moi !
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Commentaires de l'histoire :
Anonyme
les correcteurs d'orthographe c'est pas pour les chiens, on croirait le récit écrit par un élève de CE1.
Posté le 16/09/2016
ben
excellent debut
Posté le 13/07/2016
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