La vie en déplacement n'est pas drôle, mais il peut y avoir de divines et inattendues surprises ....
Proposée le 30/07/2019 par lover75017
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme
Elle n’est pas toujours drôle la vie de cadre commercial, j’étais une fois de plus en déplacement loin de chez moi. J’avais tenté de tuer un début de cafard en appelant ma chère et tendre, qui fut tout sauf tendre ce soir ! Elle ne cessa pas de se plaindre de tout et de rien et je raccrochai en proie à un spleen de poète maudit.
Je ne voyais que les mauvais cotés de ma vie avec elle, nos disputes, sa mauvaise humeur, son manque de goût pour le sexe qui était devenu tel que je ne me souvenais même plus de la dernière fois où nous avions fait l’amour.
Pour tenter de me changer les idées, je partis à la recherche d’une table sympa pour un dîner solitaire mais que j’espérai succulent.
Je jetai mon dévolu sur un restaurant au décor moderne et à la carte attirante.
Ma commande passée, je regardai autour de moi et je vis entrer une fille superbe, de taille moyenne, silhouette menue, jambes fines et musclées. Elle était brune, les cheveux mi longs. Sa robe, très simple mettait en valeur son teint mat. Elle était sexy, courte et décolletée avec juste ce qu’il faut pour attirer le regard de l’homme sans être vulgaire.
J’avais enregistré tout cela en une fraction de seconde et je me demandai comment je pourrai l’aborder. J’avais bien sur le secret espoir de la mettre dans mon lit, mais je savais que c’était pur fantasme ; qu’avais je pour l’intéresser ? 20 ans de plus au bas mot, une mine fatiguée de travailleur stressé … voilà qui ne la ferait pas rêver.
Elle s’installa à la table voisine, alors que la salle était presque vide. Elle me salua de façon polie avec un petit sourire. J’avais du mal à ne pas la fixer du regard, elle était terriblement attirante. Elle ne répondait pas aux canons de la beauté féminine des magazines, mais elle avait le charme de ces filles simples aux gestes gracieux. Ses yeux verts éclairaient son visage qui affichait la mine studieuse de l’étudiante qu’elle avait du être il y a encore peu de temps.
Je cherchai désespérément un mot original pour engager la conversation, a minima pour passer un moment à discuter de tout et de rien et pour pouvoir l’admirer sans indiscrétion.
Ce fut elle qui parla la première, je ne sais plus ce qu’elle a dit, ni ce que j’ai répondu ; sans doute était ce une banalité sur la fraîcheur de la salle ou sur le bel été ou encore sur la beauté de la ville. Toujours est il que de fil en aiguille, la conversation s’est amorcée. J’étais à mon avantage, je savais montrer mon intérêt, rebondir sur une anecdote, montrer une certaine culture sans être pédant, avoir un trait d’humour. Nous prîmes tous les deux plaisir à cette conversation et nous avions fait durer le repas.
Nous nous étions bien entendu peu dévoilés, je compris juste qu’elle était comme moi de passage pour des raisons professionnelles.
Nous nous décidâmes à partir lorsque le serveur vint bailler à nos cotés, puis lorsqu’il commença à ranger les chaises.
En sortant, elle parti à gauche et me proposa de faire quelque pas avec elle en direction de son hôtel pour profiter de la douceur de la nuit.
J’admirai son pas aérien et le balancement de ses hanches, imperceptiblement je me rapprochai jusqu’à effleurer son épaule. Elle ne dévia pas sa trajectoire pour éviter le contact, elle se tût simplement et nous continuâmes notre ballade jusque devant son hôtel.
Elle me dit d’une voix un peu rauque qu’elle apprécierait ma compagnie pour un dernier verre au bar. J’étais ébahi par ma chance, je n’osais pas croire que cela puisse aller plus loin mais je profitai de sa présence, de son parfum discret, du son de sa voix.
Nous nous sommes installés côte à côte dans un canapé et nous avons commandé à boire. Nos mains se sont touchées au moment de prendre nos consommations sur la table basse. Je me suis tourné vers elle, elle a fait de même et nous nous sommes embrassés. Je me suis perdu dans un long baiser à pleine bouche, nos langues se sont mêlées, j’ai passé une main dans son dos et j’ai caressé sa colonne vertébrale m’arrêtant un peu sur la boucle de son soutien gorge. Nous avons relâché notre étreinte et nous nous sommes souris un peu gêné.
Elle s’est levée, j’ai réglé la note à un garçon au sourire égrillard. Elle m’a précédée dans l’ascenseur. Le court voyage ne nous a pas permis de renouveler le baiser fougueux.
Nous sommes entrés dans sa chambre, elle s’est alors quasiment jetée sur moi pour m’embrasser à nouveau. Elle a frotté son pubis contre mon pantalon déformé par une érection douloureusement agréable. Ses mains ont défait ma chemise et elle a commencé à caresser ma peau nue.
Je m’acharnai à descendre la fermeture de sa robe et arrivée à mes fins, je vins à bout de la boucle de son soutien gorge. Mes mains allaient et venaient dans son dos. Je m’écartais un peu et je fis descendre sa robe, elle s’en dépêtra souplement et elle fut bientôt vêtue d’une petite culotte blanche d’où s’échappaient quelques poils noirs de sa toison pubienne. Je fis passer ma chemise par dessus tête pendant qu’elle déboutonnait mon pantalon. A l’aide de mon pied, je fis tomber mes mocassins. Heureusement, je n’avais pas mis de chaussettes qui sont comme chacun sait un « tue l’amour » sans faille !
De sa main gauche en coquille elle saisit à travers mon slip mon sexe durci, sa main droite glissait sur mes fesses et s’introduisit dans la raie de mes fesses. Elle m’avoua par la suite que ce contact avec mon cul humide d’excitation lui fit monter l’adrénaline.
Je n’étais pas en reste et ma bouche était passée de ses lèvres à ses pointes de sein. Je lui confessai ma passion pour les poitrines menues et dures aux longs tétons. Ma main caressait fesse et mont de vénus à travers l’étoffe arachnéenne de sa culotte.
Je la sentais humide et de plus en plus excitée.
Elle s’est étendue sur le lit et a fait glisser l’étoffe révélant ainsi une abondante toison noire formant un triangle parfait. Je me suis agenouillé à ses pieds et avec mes lèvres j’ai entrepris le long chemin qui mène des orteils au sexe, alternant pied gauche et cheville droite, intérieur de cuisse et genou, jusqu’à effleurer ses poils et me saouler de son odeur humide.
J’ai embrassé ses lèvres pourpres et passé ma langue sur sa fente, elle a gémi et a pris ma tête pour l’appuyer sur son clitoris. Je l’ai léché puis mordillé ; je l’ai abandonné pour mieux le reprendre. Ma bite était dure et tendait douloureusement mon slip devenu trop étroit pour accueillir mon érection.
Mon amante n’en avait cure, elle était abandonnée à mes caresses et jouissait sans retenue, concentrée sur son plaisir. Elle eu un spasme dans un cri rauque et déversa dans ma bouche son liquide amer et abondant, elle était de celles qui éjaculent comme un homme pour mon plus grand plaisir.
Elle me repoussa et me demanda de la prendre, j’enlevai enfin mon slip dévoilant une bite tendue sur laquelle perlait la goutte que procure l’excitation. Elle écarta largement ses cuisses et je la pénétrais avec lenteur pour sentir son sexe serrer ma verge épaisse. Je m’arrêtai longtemps une fois enfoncée en elle pour profiter de cette sensation toujours renouvelée et pour contempler son corps offert. Elle luisait de sueur, ses pointes de sein étaient toujours durcies, son ventre plat allait et venait au rythme de sa respiration accélérée. Elle me regardait avec ses yeux verts, elle allait de mon visage à ma queue et me dit qu’elle adorait voir l’homme qui la baisait et qu’elle fantasmait ensuite au souvenir des aller retour de la bite tendue.
Je me mis en devoir de lui créer les réminiscences nécessaires à l’alimentation de ses rêves. J’alternai les mouvements rapides et lents, brusques et doux, je la pénétrai quelquefois très profondément jusqu’à ce que mes couilles viennent heurter ses fesses rondes. A d’autres moments, seul mon gland allait et venait par petits mouvements pour solliciter l’entrée de sa fente.
Elle me demanda d’arrêter et de me retirer, elle se leva et se mit les mains en appui sur le bord du lit offrant son cul à mon regard. Elle avait choisi l’emplacement de telle sorte qu’elle se présentait de profil au miroir qui ornait le mur de la chambre. Elle me demanda de la reprendre par derrière, elle voulait jouir de la pénétration et de la vue de nos deux corps nus et amoureux dans le miroir.
Je repris sauvagement mes mouvements tant j’étais excité par cette belle femelle. Nous dégagions tous les deux cette puissante odeur de sexe. J’allais jouir quand, passant sa main sous elle, elle attrapa et serra brutalement mes couilles. La douleur légère mais fulgurante fit retomber mon excitation. Elle s’excusa d’une voix rauque de femme en plein délire sexuel, elle voulait conclure différemment et me demanda de prendre son cul. Elle me raconta par la suite qu’elle aussi était mariée et comme son mari était rebuté par la sodomie, elle avait le sentiment de ne pas le tromper en faisant jouir ses amants dans son anus.
Je m’exécutais avec plaisir, ma femme me refusait systématiquement cette entrée et j’assouvissais ainsi un fantasme.
Auparavant, je lui léchai son petit trou pour le lubrifier, elle était poilue à cet endroit et moite d’excitation. Le goût et l’odeur me firent bander encore plus fort.
Je mis mon gland sur le petit anneau foncé et je fis durer la pénétration pour profiter de cet orifice étroit. J’enfonçai lentement ma bite jusqu’à être en butée. Puis je me lançai dans un va et vient de plus en plus rapide et violent. Je continuai à lui pétrir ses seins durs, à m’accrocher à ses fesses et je finis par exploser en elle. Nous sommes tombés sur le lit, repu de sexe et de caresses, plein de sensation et d’odeurs..
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