Une jeune fille novice dans le sexe va se retrouver menotté au lit d'un dominant qui va prendre à cœur sa mission pour lui donner l'orgasme quelle mérite après tant d'abstinence involontaire.
Proposée le 24/07/2019 par Kerozen Monster
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Femme dominée
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman
STREET SPORT
Comme tous les soirs je vais passer la fin de soirée au terrain de basket en bas de chez moi pour y faire mon sport quotidien. Là-bas au moins il n'y a personne aux barres de tractions.
Le terrain de basket est souvent occupé ce qui me donne l'impression de ne pas être totalement seule.
Malgré un caractère et un mental d'acier, le fait de me retrouver le soir seul, dans le fond d'un terrain de basket, ambiancé par la faible lumière des réverbères qui grésillent ne me rassure pas spécialement.
J'arrive au terrain et pousse le grillage, ce soir il y a deux jeunes hommes qui dribblent. Sans leur faire signe je vais au spot de street sport, jette mon sac, et met mon casque de musique avec des oreilles de chats qui me donne un style de petite fille. Puis commence ma séance d’exercices.
1h plus tard, je sens mon front perler de sueur, les gouttes coulent au travers de ma poitrine et entre mes seins, je suis mouillée.
Les deux jeunes garçons eux discutent sur un banc abandonnant leur ballon.
Ils sont habitués et me croisent presque tous les soirs.
Mais ce soir n'est pas un soir comme les autres, je prends mon temps, garde ma musique et prend même le temps de m’étirer, ce qui ne m'arrive jamais. Ce soir je n'ai pas envie de rentrer.
Je fixe les hommes m’apercevant qu'ils ne sont pas si jeunes que ça, environ la trentaine. Bien sûr je n'ai que 20 ans. Mais tout de même je les trouve attirants. Il est très rare que je m’intéresse aux garçons en général ce sont plutôt eux qui s’intéressent à moi. A vrai dire je m'en fous, et je ne suis pas le genre de fille à mater et à fantasmer.
Je commence à entreprendre l'idée d'aller les voir. Le petit ange au-dessus de mon épaule me conseille de rentrer et de ne pas traîner tard le soir. Alors que le petit diable, lui me murmure bien autre chose.
Ce n'est pas prudent je ne connais pas ses hommes ils sont deux et je suis seule. Je ne suis pas très porté sur le sexe, ça ne m’intéresse que très peu. Pudique je n'en parle jamais avec mes amies, et je m'en passe bien.
Pourtant ce soir, ma chatte me parle, ma libido ressort de nulle part !
Je range mes affaires et attrape mon sac de sport. Quand je me retourne il ne reste qu'un mec assis sur le dossier du banc, coller à son téléphone. Il est temps de passer à l'attaque.
Je m'approche du banc et pose mon sac dessus faisant mine de chercher ma gourde.
« Bonsoir... »
« Bonsoir... »
Bon ce n'est pas vraiment ce que j'imaginais...(mais comment fait-on pour draguer?)
« Vous restez plus tard que d'habitude aujourd'hui » continue le trentenaire.
« Ah oui vous trouvez . J'avais sûrement envie de traîner un peu »
« AHA, ce n'est pas l'endroit le plus sécurisé pour traîner le soir quand on est une jeune fille ». Son ton de protecteur et provocateur ne me laisse pas indifférente, j'ai envie de jouer à qui sera le plus aguicheur avec cette armoire à glace. Sa carrure est impressionnante à coté de ma petite taille et de mes 45 kg.
« Vous vous inquiétez pour moi, ou vous essayez de me faire peur ?»
« À force de vous voir tous les soirs vous entraîner, je me pose des questions...et oui je m’inquiète forcément un minimum, je ne voudrais pas qu'un homme vous fasse de mal. »
Je n'entend pas ce qu'il me dit, il est tellement excitant, je commence à sentir mon bas-ventre me chatouiller, l'abstinence involontaire commence à me rendre dingue.
Je lui réponds d'un rire nerveux : « ah ! Faudrait déjà qu'un homme me touche ! »
Au moins c'est clair tout le terrain sait que je suis en manque !
« Je suis sur que vous exagériez quel homme ne voudrait pas d'un corps comme le vôtre. »
Ne sachant plus quoi répondre je prends la serviette de mon sac pour essuyer mon visage en descendant dans mon décolleté en prenant soin d'insister sur cette zone en le fixant du regard.
C'est décidé, ce soir il va s'occuper de mon cas.
Son regard s’assombrit dans le mien, je me sens attiré, et m'approche doucement pour me retrouver face à lui.
Le tigre se lève pour se mettre devant, je lève la tête comme pour mater un gratte-ciel, pas étonnant qu'il fasse du basket !
Mes petits papillons ont évolué pour ne faire qu'une énorme tornade, mes yeux ne quittent pas les siens, je ne peux lui répondre mon corps est bloqué devant lui, je n'arrive qu'à déglutir bruyamment.
Sans dire un mot il se rassoit mais continue de me fixer, impossible de savoir ce que cela signifie.
« Il se fait tard, et je commence à avoir froid, je vais rentrer ».
Je me penche vers lui pour récupérer ma serviette, je m'appuie sur l'intérieur de sa cuisse comme pour trouver mon point d'équilibre. Il tourne la tête vers moi armée d'un petit sourire en coin que je m'empresse de lui rendre. Il me tire le bras pour me coller à lui, il est assis, je suis debout et nos lèvres se retrouvent à la même hauteur.
Je dépose alors un baiser tendre, que je m'empresse de transformer, en preuve d'excitation, il entrouvre timidement la bouche, je commence alors subtilement à jouer avec le bout de sa langue qui ne semble pas timide.
Commence alors une danse folle dans nos bouches, je tente de prendre mon temps et de ne rien précipiter, même si je ne pense qu'à une chose.
Cela fait bientôt 1 an que je ne suis sortie avec aucun homme, et je ne sais plus comment m'y prendre pour le rendre fou.
Je commence alors à poser ma main entre sa joue et son oreille, nos baisers continuent et sont de plus en plus langoureux, je commence à me réchauffer, même si mon corps et plein de frissons à cause du vent.
Il pose sa main sur ma hanche sentant alors ma peau froide et vallonnée par les frissons d'automne.
Il s’arrête de m'embrasser nos langues se sépare, vient ensuite le tour de nos bouches et ma main glissent tristement vers moi en quittant son visage.
« Vous êtes frigorifié, venez on va chez moi, j'habite dans la résidence du parc »
Le square qui accueillait le terrain de basket, de street sport et un petit jardin était en fait l'espace vert d'un immeuble.
Il porte mes affaires, nous entrons et je me mets à courir dans les escaliers pour arriver le plus vite possible au chaud.
Une fois entré dans son appartement, mon corps ressent directement la chaleur ce qui me donne une petite série d’éternuements. Je le vois sourire, il m'invite à m’asseoir dans le salon disparaissant dans la cuisine.
Vous préférez un café ou un thé .
Un thé !, merci !
Je le vois revenir quelques minutes plus tard un plateau dans les mains avec nos deux tasses et un vêtement sur l'avant-bras.
Tenez mettez ça vous aurez moins froid.
Je me lève, prend l’énorme sweat et l'enfile, il m'arrive aux genoux ce qui me donne l'impression de ne rien porter en dessous.
Aha, il vous va parfaitement !
Oui ça tombe bien je voulais une nouvelle robe ! Où sont vos toilettes ?
Dans le fond du couloir à gauche.
Je m'empresse d'aller aux toilettes et discrètement je retire mes vêtements en dessous pour me retrouver complètement nue, je glisse mes affaires dans mon sac de sport, tire la chasse d'eau et part me laver les mains pour tromper l'ennemie.
C'est etrange, mais j'ai l'impression qu'il ne va rien se passer, comme si j'étais chez un ami.
Je retourne dans le salon, m'assoie à cote de lui et prend ma tasse, je me mets à l'aise et me couche légèrement sur lui, ce qui n'a pas l'air de le déranger.
Mon excitation est malgré tout toujours présente.
Je pose la tasse, et me retourne sur lui, nos corps sont alors collés, je le fixe et me mets à l'embrasser, pour reprendre là où nous en étions.
Il me prend par la nuque et me force à l'embrasser encore. Sa main se ressert autour du cou et je commence à avoir peur. Je commence à avoir des doutes, et ne peux m’empêcher de penser que ce n'était peut-être pas une si bonne idée que ça.
Il me retourne et du regard m'indique une porte fermée. Je comprends alors que je dois me lever y aller.
J'ouvre la porte, et me retrouve dans sa chambre.
Je peux le sentir derrière coller à moi. Ce n'est plus de la peur c'est du stress, il me porte et me jette sur son lit.
Il m'ordonne de me mettre sur le ventre, et j’obéis. Je l'entends chercher dans une boîte remplie d'objets métalliques, je n'ose même pas imaginer ce qui va en sortir, je me niche dans mes bras et attend.
Je repense alors aux peu d’expériences sexuelles que j'ai eues. Toutes très softs, jamais d'orgasme, au final rien qui me donne spécialement envie de recommencer.
Je le sens monter sur le lit, il est derrière moi à genoux, il prend mon bras le tend vers le mur et l'attache avec une menotte.
Je ne sais pas pourquoi mais mon excitation remonte d'un coup. La peur se transforme en méfiance.
Mon deuxième bras subit le même sort.
Je commence à onduler malgré moi, la méfiance se transforme en envie. Je sens ses mains froides masser le bas de mon dos, et ma croupe se lève, le massage est de plus en plus tonique et descend dans le creux de mes reins.
Ma mouille commence à couler le long de mes cuisses, et ses mains descendent de plus en plus jusqu' à enfin atteindre ma petite chatte.
Il découvre ma nudité, mon corps, et chacun de ses gestes se transforme par un mouvement de bassin et un petit gémissement. Mon excitation est de plus en plus forte. Instinctivement je tire sur mes bras, je veux me retourner pour le voir, mais je suis bloquée et j'aime ça.
Ses doigts jouent à l'entrée de ma fente, je gémis, et attend qu'ils rentrent en moi.
Mais un autre jeu semble plus l'amuser... il parvient à faire glisser ses doigts sur mon clitoris de haut en bas, de plus en plus fort, puis doucement, mes gémissements se transforment alors en petits cris, je n'ose pas crier. Je parviens à me contrôler, serre les dents, mais je suis au bord de l'explosion.Tout ce temps à attendre le plaisir.
Il se penche sur moi et je sens son odeur, sa respiration. Il me susurre à l'oreille : « laisse-toi aller, laisse-moi te dominer ».
Je n'en peux plus et décide de l’écouter. Mes muscles se relâchent, et je me concentre sur la sensation brûlante de mon clitoris en feu et gonflé de plaisir, il accélère le mouvement, mon corps se tend à nouveau, il me met des petites claques au niveau de la chatte, qui sont amortis par mon nectar toujours aussi perlant.
Je le supplie de me faire jouir, mais c'est lui qui décidera quand et de la durée de mon orgasme.
Il entre sans discrétion ses doigts dans ma chatte puis commence à la ramoner, alors que sa deuxième main s'active sur mon clitoris. Je n'en peux plus et sens un orgasme clitoridien arriver. Je hurle, mord dans sa couette, le supplie d’arrêter mais c'est trop bon, je n'ai plus la force de parler, et il continue, il m'épuise, il veut voir jusqu'où je peux aller, et mon orgasme n'en finit plus. Ma chatte est en feu, je mouille de plus en plus, et ses doigts font danser mon bassin à une allure folle. Sa main abandonne mon clitoris pour venir me claquer les fesses, la claque est si violente que je la ressens dans tout mon corps, une nouvelle fois mes bras sont retenus par ces menottes, et je ne peux que subir cette délicieuse violence.
Je découvre une nouvelle facette du sexe, où je suis face à un dominant. Je n'ai pas besoin de me soumettre, il ne me laisse pas le choix, et consacre sa soirée à mon bonheur sexuel.
Ses mains semblent s’arrêter, il me demande si j'aime. Mes joues rouges et la sueur qui perle sur mon front témoignent de l’intensité de ce qu'il vient de se passer.
Il prend la clef des menottes posée sur le meuble, et me libère enfin. Je me retourne et me retrouve sous lui, sous ses jambes.
Il se déshabille enfin et m'embrasse à nouveau comme pour me récompenser.
Je suis une petite chienne, et j'ai enfin trouvé mon maître.
Il prend mes poignets et commence à les masser, les embrasser, pour eux aussi les récompenser d'avoir souffert.
Il dirige alors ma main vers son entre-jambe, je commence à caresser sa queue triomphante devant moi. Ce geste ne m'est pas naturel et j'ai peur de mal faire, j’accélère de plus en plus, et abandonne mes doutes, je ferai tout ce qu'il me demande.
Il se met à genoux et son énorme chibre se retrouve face à moi, je comprends alors qu'il veut une fellation.
Je le regarde apeurée et lui explique que je n'ai jamais fait ça, et que je ne sais pas si j'y arriverai.
Je suis novice dans l'univers du sexe et je me retrouve dans le lit d'un dominant. Je veux qu'il m’apprenne tout, qu'il s'occupe de mon éducation.
Il met sa main derrière ma nuque en me caressant les cheveux, je me sens rassurer et reprend confiance.
Sa main se ressert à nouveau et guide ma tête vers cette gaule énorme, je commence à le sucer. C'est la première fois que je sens une queue si grosse et si chaude entrer dans ma bouche, je mouille toujours et encore. Je prends vite le coup et vais de plus en plus vite, et n'oubliant pas son gland, mes mains jouent avec ses testicules et je l'entend gémir, sa main toujours derrière ma tête m'oblige à lui faire une gorge profonde. Je me découvre une nouvelle passion de suceuse.
Ma bouche est si petite que cela me paraît impossible, il force et je sens son gland s'enfoncer de plus en plus. Cette pipe m'excite au plus haut point et même la bouche pleine j'arrive à lui faire comprendre j'aime ça. Mes yeux se mettent à pleurer, je le regarde les yeux remplis d'envie et de larmes. Je veux qu'il me félicite.
Je retire ma bouche en prenant soin de tout nettoyer avec ma langue par peur de vomir.
Mon maître protecteur, me glisse au coin de ses lèvres un sourire de satisfaction, et essuie tendrement les larmes qui coulent sur mes joues.
Il est temps de lui montrer la petite salope qui sommeille en moi. Je me tourne dos à lui, et m’accroupis, en prenant bien soins que mon petit cul encore marqué de sa main touche la pointe de sa lance. Je veux qu'il me prenne, et qu'il finisse en moi.
Je me venge de mes anciennes expériences si misérables. Je veux du cul, je veux qu'il me fasse mal, je veux le faire jouir à mon tour, je veux être sa petite chienne.
Sans dire un mot, ses mains entourent ma taille et rapproche ma croupe encore plus près de lui. Il baisse ma tête et m'attrape les cheveux pour mieux me diriger. Je suis encore toute lubrifiée et il n'a pas de mal à entrer en moi.
Je suis étonnée par la douceur de cette pénétration. Mais cela ne dur pas très longtemps.
Il me prend de plus en plus vite, de plus en plus fort, et je hurle au bonheur. Un mélange de douleurs causées par cette trique énorme dans mon corps si fin, et de plaisir que me provoque cet homme.
Ma tete se penche en arrière et je hurle encore plus. Je sens l'orgasme arriver, mais n'arrive pas à l'atteindre. Je le supplie d'aller encore plus fort et encore plus loin jusqu'à l'explosion. Mon corps brûle et se tend et un gémissement final se fait entendre dans tout l'appartement, impossible de me contrôler je suis prise de spasme mon petit cul se colle encore plus contre son corps, et les derniers coups de reins sont de plus en plus fort et me collent contre le matelas et me porte le coups fatal. Vient alors son tour de jouir en moi, ma mission est accomplie.
Je ne sais pas si je vais recoucher avec lui, mais une chose est sur, il a encore beaucoup à m'apprendre.
Je me relève, et rassemble mes affaires. Il met son manteau, me raccompagne devant mon immeuble.
Avant de partir, il prend mon téléphone et ajoute son numéro dedans.
En nouveau Contact : Monsieur.
« Envoie moi un message des que tu as envie, et le soir après l’entraînement, viens sonner. »
Je le regarde partir sans un mot, fixant mon téléphone, ne sachant pas son nom ni son prénom.
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