Sophie et Eric ont déjà fait l’amour deux fois dans cette journée de samedi, mais aucun des deux ne semble encore rassasié. Revêtant une robe particulièrement sexy pour le soir, Sophie compte bien séduire à nouveau son amant. Quant à Eric, il cédera encore aux charmes de sa si séduisante doctoresse.
Proposée le 19/07/2019 par Rodolphe
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Depuis ce midi, Sophie m’avait épuisé. Cette femme, d’une beauté et d’une élégance rares, d’une sensualité à fleur de peau, m’amenait à des sommets de plaisirs et de volupté quand nous faisions l’amour. Une heure auparavant, après notre seconde baise de la journée, elle m’avait dit :
- Attend-moi au salon, mon chéri. Je vais m’habiller pour ce soir.
J’avais eu beau lui dire qu’elle était très belle avec sa petite robe courte, très sexy, et qu’il n’était pas nécessaire de se changer, mais elle avait insisté en me précisant qu’il était important pour elle de se faire encore plus belle pour son invité. J’en fus flatté.
Assis dans le canapé du salon, j’attendais donc que Sophie sorte de la salle de bains en feuilletant une revue de mode. Cette dernière montrait de très belles top-modèles dans de somptueuses robes moulantes. Je m’amusai à les comparer : « celle-là est aussi belle que Sophie », ou au contraire « celle-ci est bien plus moche, je préfère mille fois Sophie », ou encore « celle-là a des jambes affreuses, à côté celles de Sophie ! ».
Tout à coup, un bruit de talons claquant sur le carrelage me fit lever les yeux de ma revue. Sophie vint se planter devant moi, une main sur la hanche et une jambe en avant.
- Je te plais, demanda-t-elle en montrant son plus beau sourire ?
Je n’en crus pas mes yeux : toutes les plus belles top-modèles qui illustraient ma revue étaient balayées d’un revers de main, reléguées au niveau du concours « miss plage ». J’avais sous les yeux une véritable fille de rêve, tellement sexy, tellement attirante, tellement baisable, en un mot, une bombe sexuelle !
Sophie était vêtue d’une robe longue, mais quelle robe longue ! De couleur sombre, elle était fendue sur le devant au niveau de la jambe droite, presque jusqu’à hauteur de la ceinture. Sa jambe en avant avait largement ouvert la fente et dévoilait entièrement sa cuisse. La robe lui laissait le dos nu et devant, deux bandes triangulaires terminées par de fines brides sautant ses épaules, formaient un large et profond décolleté en vé descendant jusqu’à la ceinture. Autant le dire, ses seins étaient très mal cachés et semblaient vouloir surgir au moindre pli du tissu. En deux mots, cette robe longue la montrait plus déshabillée que si elle eût été complètement nue !
- Et bien, tu ne dis rien ?
- Je n’aurais qu’un mot, dit-je enfin remis de mes émotions : de ma vie je n’ai jamais vu plus délicieuse salope !
- Tu crois que ça fait pute ?
- En tout cas, ne sors pas comme ça dans la rue, ou tu vas te faire violer.
- Rassures-toi. Ce n’était pas mon intention. C’est juste une robe d’intérieur pour exciter mon invité.
- Et bien sur ce plan-là, c’est réussi à deux cent pour cent.
- J’ai acheté cette robe il y a déjà pas mal de temps. Elle m’avait beaucoup plu en magasin, mais une fois arrivée chez moi, je l’avais trouvais vraiment « too much ». Je n’ai donc jamais osé la porter, ni en famille, ni même entre amis.
Je me levai de mon canapé et m’approchai d’elle afin de voir l’ensemble de plus près. D’abord, je glissai un doigt dans la large ouverture du décolleté, doigt qui vint bientôt agacer un téton.
- Si je comprends bien, lui dis-je les yeux dans les yeux, cette robe n’a d’autre but que de… comment dire ?… D’exciter le mec pour te faire sauter !
- Tu as une drôle façon de présenter les choses, dit-elle en fronçant légèrement ses sourcils !... Je veux juste séduire mon invité. C’est tout !
- Bien sûr,… en t’habillant comme une pute, insistai-je pour la taquiner !
- Tu trouves vraiment que ça fait pute, reprit-elle soudain inquiète ?
Je la pris par les fesses et la collai à moi, puis je posai mes lèvres sur les siennes. Elle semblait réellement contrariée de ma remarque et je me devais de la rassurer.
- Mais je plaisante, Sophie ! Cette robe te va à ravir et tu la portes avec tant chic et d’élégance. C’est sûr que n’importe quelle femme paraîtrait pute avec, je te l’accorde, mais sur toi elle devient à la fois chic et sexy ; elle te sublime… Tu es merveilleusement belle ainsi !
Tout en lui parlant, je déposai de temps un temps un baiser sur ses lèvres ou sur sa joue.
- Je devrais me méfier de toi, Eric. Tu sais trop bien parler aux femmes, toi. Tu es un affreux séducteur, fit-elle avec une moue !
Puis elle se suspendit à mon cou et m’embrassa avec fougue, sa langue jouant avec la mienne comme un petit diable espiègle. Pour ma part, je posai mes deux mains sur ses fesses et les caressaient au travers du tissu soyeux de la robe à la recherche de la trace d’une culotte ou d’un string. Mais aucun relief du tissu ne trahissait la présence d’un quelconque sous-vêtement. Encore une fois, la sensuelle Sophie était nue sous sa robe. Quand enfin s’acheva notre étreinte passionnée, je lui en fis part. Elle eut une réaction mitigée :
- Ce n’est pas la première fois que tu me dis ça. Ça te choque ?... Tu sais moi, quand j’ai envie d’un homme, j’ai besoin d’être nue sous ma robe ; c’est-à-dire de me sentir vulnérable et fragile dans ses bras.
- Je plaisante, ma jolie. Il n’y a rien de plus excitant pour un homme que de savoir sa partenaire nue sous sa robe, de la sentir vulnérable, comme tu dis.
Je la serrai contre moi en la pelotant un peu sur tout le corps et continuai :
- Si tu savais à quel point j’ai envie de te baiser, jolie petite salope. Tu es si bandante que si je ne me retenais pas,... tu serais déjà violée !
Elle me fit un petit sourire vicieux et me dit :
- Mais ne te retiens pas mon chéri !
- Provocatrice !... Non fis-je. Pas maintenant. Je veux encore profiter de toi et de ta jolie robe de salope. Je veux encore saliver et te désirer comme un fou ! Je veux encore que tu me vampes comme une pute !
- Oooh ! Et tu es sûr de pouvoir tenir devant ta pute, mon chéri, ajouta-t-elle en plaquant sa main sur mon entrejambes ?
Ma bite affichait déjà une belle érection, ce qui amusa beaucoup la coquine. Elle me fit ce petit regard espiègle que je commençais à connaître et qui la rendait si mignonne et si désirable :
- A en juger par la taille de ta queue, mon chéri, je doute que tu ne résistes bien longtemps !
- Vicieuse, dis-je en déposant un baiser sur sa joue !
- Tu le sais, ce que je veux je l’obtiens toujours.
Elle se fit câline et s’approcha de mon oreille pour me chuchoter :
- Et ce que je veux ce soir, c’est me faire sauter par un grand et beau basketteur !
- Ça fera rien que la troisième fois de la journée. Tu es une insatiable nymphomane, ma jolie !
Après cet épisode très chaud, où mon excitation fut telle que je crus bien succomber dans ses bras, la libertine Sophie m’invita à la suivre dans la cuisine pour le dîner. En glissant un plat au micro-onde, elle me dit qu’elle avait fait au plus simple, qu’elle n’avait pas eu envie de se casser la tête pour être plus disponible pour son invité. Je lui pardonnai bien volontiers. Elle me demanda ensuite de mettre la table et d’ouvrir la bouteille de vin.
Sa cuisine était très confortable, à demi ouverte sur la salle de séjour, elle était pourvue d’un long comptoir devant lequel s’alignaient quatre hauts tabourets de bar. C’est sur ce comptoir qu’elle me demanda de dresser la table, ce que je fis.
Quand j’eus fini, je vins derrière elle, alors qu’elle était occupée à préparer quelque chose, je posai mes deux mains sur sa poitrine et l’embrassai dans le cou. Elle se coula contre moi en minaudant :
- Tu exagères, Eric…
- Tu es tellement bandante, dis-je à nouveau pris d’un désir intense.
Enfin, elle m’invita à m’asseoir et apporta le plat. J’avais hâte, à ce moment, de voir comment elle allait s’installer sur ce haut tabouret avec sa robe fendue. Je ne fus pas déçu : une fois assise, elle posa ses pieds sur la barre horizontale servant de repose pieds, ce qui eut pour conséquence, on s’en doute, d’ouvrir largement la fente, laissant émerger ses appétissantes cuisses nues. Quel spectacle sublime ! Je ne pus m’empêcher de les caresser d’une main fébrile. Elle y répondit par un sourire et un clin d’œil et me dit :
- Bon, moi j’ai faim. Je me sers.
Comme ma main remonta très haut sur sa cuisse, commençant à relever encore un peu plus la robe pourtant déjà bien ouverte, elle me dit :
- Tu ne manges pas, mon chéri !
Troublé par mon désir grandissant, je lui répondit :
- Si tu savais, délicieuse beauté,… mon appétit est plutôt sexuel en ce moment… !
- Mais il te faut pourtant prendre des forces si tu veux me violer, car je ne me laisserai pas faire, minauda-t-elle !
- Menteuse ! Je sais maintenant que la délicieuse petite salope que tu es aimes trop la queue pour se défendre !
- C’est ce qu’on verra, pérora-t-elle !
Pourtant, un peu plus tard, alors que j’avais enfin réussi à me calmer un peu et que je mangeai tranquillement en essayant de penser à autre chose qu’à la baise, elle me provoqua à nouveau. Elle venait de sortir une crème glacée du réfrigérateur, dans le but de préparer le dessert. Tout à coup, elle me dit :
- Je crois que ma robe m’irrite un peu la poitrine. Je vais la desserrer, si ça ne te dérange pas.
Elle passa les mains derrière son cou et je vis soudain les fines brides qui maintenaient le haut de la robe se relâcher, puis glisser de ses épaules. Les deux longs triangles de tissus, qui cachaient le haut retombèrent, découvrant deux jolis seins fièrement dressés.
Sans même un regard pour moi et comme si tout cela était naturel, elle continua à préparer les desserts sur le comptoir, debout en face de moi.
- J’ai rarement vu une fille aussi provocatrice que toi, dis-je étonné par son aplomb.
- Glace à la vanille, décorées de quelques cerises confites, fit-elle avec un grand sourire, ignorant mes propos. Cela conviendra-t-il à monsieur, me fit-elle ?
- Je vois deux autres jolies cerises que je dégusterais bien, répondis-je le regard rivé sur les aréoles de ses seins.
- Celles-là, il faudra que tu te lèves de bonne heure pour les déguster, mon chéri. En attendant, place au dessert !
Elle fit le tour du comptoir pour revenir s’asseoir près de moi. J’admirai sa beauté : sa robe donnait l’impression de ne plus rien cacher, si ce n’est son petit cul qu’elle faisait onduler de manière outrancière. Quand elle fut assise, je m’approchai d’elle, posai une main sur sa poitrine et l’embrassai sur la joue :
- On aura rarement vu plus délicieuse salope que toi, ma jolie.
- Bas les pattes, minauda-t-elle, trop heureuse de me voir dans cet état de mâle aux abois ?
Enfin arriva le moment du café.
- Vas t’asseoir au salon. Je te l’apporte, me dit-elle.
Je restai toutefois un petit moment à la regarder s’activer dans sa cuisine, les seins toujours à l’air. Puis j’allais m’installer dans le canapé du salon, le sexe déjà tendu et envahi de pensées brumeuses inspirées par la très érotique Sophie.
Je la vis bientôt arriver avec un plateau contenant deux tasses. Je n’eus alors d’yeux que pour ses seins fiers qui balançaient au rythme de ses pas et pour leurs tétons tout dressés. Quand elle se pencha pour déposer le plateau sur la table basse, ses seins pointèrent vers le bas, comme deux délicieuses petites mamelles. Quel sublime spectacle !
- Tu es la plus ravissante des femmes, Sophie !
Elle s’assit à mes côtés en me faisant un grand sourire et me dit :
- Tu as toujours envie de la sauter, ta Sophie ?
- De la sauter ? Non... Plutôt de la violer !
- Je suis certain qu’elle se laissera violer sans la moindre résistance, me chuchota-t-elle à l’oreille !
Assise à ma gauche, les jambes croisées et les cuisses dénudées, les seins nus et leurs jolis tétons dressés, elle m’attirait comme un aimant d’une puissance inouïe. Quand j’eus terminé mon café et reposé la tasse sur la table, je l’entourai de mon bras gauche, la main sur un sein et mes doigts faisant rouler son téton. Ma main droite, elle, commença d’abord à caresser l’autre sein. Elle se tourna vers moi et me montra ses beaux yeux noir énamourés, puis elle appuya sa tête sur mon bras, entrouvrit les lèvres et son regard tomba sur ma bouche. Ce que femme veut… quand une femme nous regarde avec ces yeux, nous les hommes, savons ce que nous avons à faire.
J’approchai mes lèvres, les posai d’abord délicatement sur les siennes, puis nous nous embrassâmes. Presque aussitôt, je sentis sa main s’emparer de ma verge. Alors que je bandai déjà comme un âne, elle me masturba à travers le pantalon. De mon côté, je continuai à lui masser les seins et surtout à rouler ses tétons entre mes doigts. On se connaissait depuis peu, mais je savais déjà qu’elle adorait ça.
Quand nos lèvres se séparèrent, elle entreprit de déboutonner ma chemise. Puis elle défit la ceinture du pantalon et ouvrir ma braguette. Là, elle dut s’interrompre, car je venais de glisser ma main entre ses cuisses et mes doigts balayaient déjà son intimité, ce qui la surprit. Elle poussa un petit cri et enleva sa main de mon entrejambes. Mes doigts exploraient alors ses lèvres brûlantes, déjà complètement inondées de son désir.
- Tu me rends folle, mon grand !
- Rassure-toi, ma jolie, je suis un peu dans le même état que toi !
Après un instant, elle me dit soudain :
- Arrête, me dit-elle, y a un truc que j’ai envie de faire. On ne l’a pas encore fait tous les deux.
- Je t’écoute.
- Tu vas te mettre nu et t’étendre sur le tapis.
- Ça, on l’a déjà fait tout à l’heure…
- Mais non, tu verras. Fais ce que je te dis !
Je me débarrassai donc de mes vêtements. Sophie en profita d’ailleurs pour éprouver la dureté de ma bite. Puis je me couchai sur le dos :
- Ça va comme ça ?
- Parfait !
Elle se leva et je la vis délacer une fine bride de sa robe située au niveau de son bas ventre et que je n’avais même pas remarquée auparavant. Cette bride devait être la dernière chose qui retenait encore le soyeux vêtement, car quand elle fut libérée, il glissa le long de son corps jusqu’à ses pieds. Je revis avec ravissement sa petite chatte taillée en trapèze. Je ne m’en lassai pas ! Elle se débarrassa de ses escarpins et vint au-dessus de moi, me faisant face.
- Comment me trouves-tu, mon chéri ? Est-ce que ta doctoresse est à ton goût ?
- Si tu savais, petite salope ! Ma doctoresse, je vais tellement la baiser qu’elle va en lâcher son stéthoscope, criai-je sentant mon excitation à son comble !
Elle se mir à rire.
Alors, elle se retourna, s’accroupit sur moi et se mit à quatre pattes au-dessus de mon corps, tête-bêche. Je voyais sa petite chatte suspendue à vingt centimètres à peine de ma bouche. Enfin, je la vis se rapprocher de moi tout doucement et bientôt, ses lèvres intimes trempées de sa cyprine vinrent en contact avec ma bouche. Une aubaine ! Ma langue sortit tout de suite de sa cachette pour venir lécher ce petit abricot aussi appétissant qu’un beau fruit mûr. Au même instant, je sentis ma verge englobée par quelque chose de chaud et mouillé : Sophie commençait une délicieuse fellation. Le soixante neuf est l’une de mes positions préférées ; elle procure des plaisirs variés et surtout réciproques, l’action de l’un stimulant l’autre et réciproquement. Et c’est ce qui se passa là.
Saisissant ses fesses à deux mains, ma langue s’activa tout de suite vivement sur les lèvres de ma partenaire et je crois même qu’elle parvint à la pénétrer. La réaction fut aussi immédiate que proportionnée, Sophie accéléra sa fellation, amplifiant le mouvement tout en faisant jouer sa langue autour de mon gland. Elle me suça avec une telle conviction que j’eus l’impression que ma queue allait exploser. Alors en réaction, à mon tour, ma langue balaya sa petite chatte avec plus de vivacité : j’aspirai ses chairs chaudes et trempées, les embrassai, les suçai, tout cela dans de grands bruits de succions, tout en la maintenant fermement par les fesses. Puis, mon index pénétra légèrement son petit trou. Là, je marquai le premier point. Elle lâcha ma bite pour hurler son plaisir :
- Aaaah ! Salaud, cria-t-elle ! Tu me paieras ça !
Elle repris sa fellation de plus belle, avec encore plus de vigueur, me massant fermement les testicules en même temps ; suçant, suçant et suçant encore. Bientôt, ce fut à mon tour de succomber à cette féminine attaque. Je tournai la tête pour me dégager de sa petite chatte, je lâchai ses fesses et je hurlai mon plaisir :
- Ah, la pute ! Quelle suceuse tu fais, ma salope !
Je n’en pouvais plus. Il fallait maintenant que je la prenne, que je la baise, que le la bourre !… « Elle m’a tellement excité cette petite pute, pensai-je ! »
- J’en ai assez, criai-je. Je te veux, jolie petite pute ! Offre-moi vite ta petite chatte ! Il me la faut !
Sans attendre, elle me libéra de son corps et vint s’allonger à mes côtés, sur le dos en écartant largement les cuisses. Puis elle me cria :
- Viens vite, mon chéri ! Ta petite pute a encore une envie folle de ta grosse queue !
Une demie seconde plus tard, je m’étendais sur ce corps nu, aussi gracieux que celui d’une déesse grecque. Une seconde plus tard encore, ma bite était à l’entrée de son vagin ; un quart de seconde de plus et je la pénétrai comme un sauvage, d’une pression virile et profonde. Elle soupira d’aise, accompagnant son plaisir de ces petits commentaires dont elle avait le secret. Sophie ne pouvait s’empêcher de dire son plaisir à son partenaire pendant l’acte sexuel :
- Comme tu es gros, mon chéri. Tu me remplis toute !… Vas-y, baise-moi de toute tes forces ! Je veux être ta pute soumise !
Moi je la besognai sans ralentir ; je me sentais une forme exceptionnelle, bien que ce fût déjà la troisième fois de la journée que je la baisais, et j’en profitai pour prolonger son plaisir et le mien. Cette femme avait vraiment quelque chose d’exceptionnel pour me donner tant de vigueur. Elle s’en étonna elle-même, puisqu’elle soupira :
- Quel homme tu fais mon chéri ! Tu es infatigable !
Enfin, ce furent bientôt des hurlements de jouissance. Son orgasme me parut intense et fulgurant et encore une fois, les voisins ont du croire à un assassinat dans l’immeuble ! « On va finir par avoir des ennuis avec la police, pensai-je en souriant ! »
Mon orgasme ne fut pas moins puissant que le sien et je me vidai bientôt en elle dans un délire de plaisirs, de volupté, de jouissance et de folie. Enfin, je m’écroulai à ses côtés, heureux et fourbu.
Quand nous eûmes repris nos esprits, comme d’habitude elle me fit son petit débriefing :
- Jamais un homme ne m’a baisée trois fois de suite dans la journée avec une telle énergie ! Comment fais-tu, mon chéri !
- Mais je n’sais pas, ma belle... Ou plutôt si : tu es une petite diablesse ensorcelante qui sais parfaitement et avec quel talent, attiser le désir d’un homme !
Épilogue
Après nous être lavés et m’être rhabillé (car Sophie préféra rester en tenue d’Eve), je m’apprêtai à regret à prendre congé.
- Bien. Je vais y aller, Sophie. J’ai passé une journée formidable, tu sais !
Elle garda un moment le silence, les yeux au sol, puis elle reprit timidement :
- Tu veux déjà partir ?
- Il est tard et je travaille demain…
- Et alors, moi aussi je travaille demain...
Elle eut une hésitation, puis elle reprit après un silence gêné :
- Ce serait mieux que tu dormes ici…
- Tu plaisantes, Sophie ! C’est gentil de ta part, mais je ne vais pas t’embêter plus longtemps. Déjà que je n’étais venu que pour le déjeuner ; il est maintenant plus de 23h00 et je suis toujours là. Non, je ne veux pas abuser de ton hospitalité.
Je vis son visage se décomposer. Elle me fit un regard ennuyé, malheureux même. Tout en se pinçant la lèvre, elle reprit, hésitante :
- Ce n’est pas une question d’hospitalité, Eric…
Elle hésita encore un long moment avant de continuer :
- Tu sais, Eric, ça fait plusieurs mois que… enfin qu’il y a une place libre dans mon lit et …
Que voulez-vous, il en faut du temps à un homme pour comprendre ! Je réalisai enfin que ce qu’elle ressentait pour moi était plus fort qu’un simple désir.
Je lui pris la main et déposai un baiser sur sa joue, toute chaude et rouge d’émotion et sur laquelle une petite larme avait coulé :
- En fait tu sais Sophie, mon lit aussi est bien vide en ce moment, repris-je le cœur soudain serré… Et ce serait un grand bonheur… enfin, j’veux dire,... je ne tiens pas à laisser la place dans ton lit à un autre. Voilà !
Elle sauta à mon cou, laissant exploser sa joie :
- Oh tu es gentil, mon chéri…
- Oh tu sais, la gentillesse n’y est pour rien. Je suis juste un gros obsédé sexuel qui veut se payer de bonne parties de jambes en l’air avec sa jolie doctoresse, dis-je en éclatant de rire !
- Tu sais, pour moi c’est un peu pareil, finalement, continua-t-elle en riant : je suis juste une petite salope qui veux continuer à profiter de la grosse queue de son beau basketteur !
Nous partîmes tous deux dans un grand éclat de rire et nous embrassâmes sur la bouche. Reprenant mon sérieux, je lui dit :
- Même si j’ai pu le dire durant nos ébats, sache que pour moi tu n’as rien d’une salope ni d’une pute, ma chérie… euh tu permets que je t’appelle « ma chérie » ?
Elle fit oui d’un signe de tête enthousiaste en me faisant ses plus beaux yeux.
- Tu es une jolie petite femme pleine d’humour, de joie et d’amour… Tu mérites plus que ça ! Je ne suis même pas sûr de te mériter.
- Idiot, fit-elle !
Elle m’embrassa sur les lèvres et reprit :
- Tu sais, mon chéri, je ne sais pas encore si c’est de l’amour que je ressens pour toi, mais une chose est sûre…
Elle suspendit sa phrase pour ménager son effet.
- … qu’est-ce qui est sûr, ma chérie ?
- Ce qui est sûr c’est que je n’arriverai jamais à me passer de ta queue ! Elle est tellement belle !
- Oh la vicieuse, dis-je en éclatant de rire… Finalement, t’es quand même une sacré pute !
Et nous éclatâmes de rire.
Ce soir-là, nous passâmes donc notre première nuit ensemble et bien d’autres nuits suivirent par la suite. Plus jamais le lit de Sophie ne resta vide, car je veillais à l’occuper toujours. Aujourd’hui, Sophie est mon épouse, elle est toujours aussi belle, elle m’aguiche toujours autant et me demande encore parfois de la baiser trois fois dans la même journée. Moi j’essaye d’assumer du mieux que je peux, mais il est vrai que depuis que nous sommes ensemble, je n’ai plus jamais connu la moindre panne.
Quant aux certificats médicaux pour mon basket, c’est toujours elle qui s’en occupe désormais. Mais avant de me fournir le précieux certificat, elle tient toujours à vérifier mon rythme cardiaque. En prenant ma tension, me direz-vous ? Non, pas du tout, mais en me demandant de la baiser pour me mettre à l’épreuve. Je dois dire que je mets toujours tout mon enthousiasme pour réussir cet examen médical !
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Commentaires de l'histoire :
Jacques du Canada
Voici une très belle histoire très bien écrite. Pas de débilité. Histoire pouvant être réel. Félicitation à l’auteur.
Posté le 23/07/2019
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