Je suis masseur et il m'arrive de tomber sur des merveilles : une jolie rousse tout juste majeur se pointe pour un massage relaxant... je me suis promis de rester correct mais bon... là je n'ai pas su...
Proposée le 30/06/2019 par Gerbieleretour
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Jeu érotique
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie
Lorsque j'ai vu cette belle rousse sur le pas de la porte je me suis dit que j'avais énormément de chance : elle avait accepté de m'aider à m'améliorer en massothérapie.
Je l'ai fait entrer et lui ai proposé de quoi boire et manger pour la mettre à l'aise. j'avais tout prévu en plus de mon matériel de massage : des bougies parfumées, des essuies chauds et une ambiance cosy. Nous avons parlé de tout et de rien, histoire de faire un brin connaissance et nous sommes même trouvé à des points communs en littérature et en art ! A un moment je lui ai demandé d ôter un maximum de vêtements comme à mon habitude pour ne pas freiner la glisse des mains sur le corps... Cela peut entraîner des désagréables sensations pour moi et pour la massée car le fil du massage se rond.
Je me suis retournée alors qu'elle se changeait pour respecter son intimité et sa pudeur et je l'ai installé sur le ventre avant de la recouvrir d un essuie de plage chaud.
j'entendais les vêtements tomber sur le sol mais cette fois ils sonnaient différemment, je sentais une douce odeur d amande effleurer mes narines alors que je la recouvrais de l'essuie, ce parfum m'enivra.
Je commençai alors le massage en lui disant simplement de me dire d insister si elle voulait que certaines zones soient plus travailler et que j'allais lui demander systématiquement si je pouvais accéder à certaines zones pudiques.
Je commençais par la nuque, puis vint le dos que je sentais tendu et sur lequel je m'appliquai. Ensuite je fis les bras, les avant bras et les mains que je sentais douce et menues. Tout en massant me vint des images : je lui caressais le dos et je sentais mes doigts s enfoncer dans sa chair douce et souple, a présent chaude sous l'effet du massage et cela me faisait penser à l'étreinte d une femme sur mon propre dos lors de l'acte.... Je massais ses mains et en passant mon pouce à l'intérieur soudain j'imaginais en un éclair fugace que ce pouce s était transformé en turgescence honteuse.... Je souris à cette image...
J'approchais ma tête et lui demandai d une voix douce :
- est ce que tu m'autorises à travailler tes fessiers ?
- oui répondit elle d une voix endormie
Je passait sur ses lombaires sur cette partie du dos cambrée que les hommes aiment tant voir de derrière. Je lui demandai d ôter son string noir qui ne couvrait pas grand chose mais qui m'empêchait de passer des hanches aux fesses. Elle l'ôta rapidement et j'entre aperçu une merveille. Je commençai alors à travailler chaque muscle indépendamment pour les faire chauffer puis les drainer. Ses fesses étaient fermes et douces, comme deux monts dont je sentais en les malaxant que l'étreinte que j'y mettais plaisait. J’avais deux courbes douces et fières qui rebondissaient sous mes doigts dont je forçais la pression pour les saisir à pleines mains. J'y mis de la vigueur car c est un travail éprouvant mais j'entendis soudain comme un très léger clapotis à chaque mouvement d assouplissement. Je me demandai de quoi il s'agissait... Je m'imaginais bien des choses mais pas celle là...
Je descendis ensuite sur ses jambes et me forçai à ne pas apercevoir ce que je n aurais pas du regarder, connaissant mon métier, la source des clapotis, doux comme deux vagues qui s'entrechoquent... Je tentai de détacher mes yeux de cette crevasse surmonter de deux monts que formaient ses fesses... Remontant le long de la jambe je sentais la chaleur de cette intimité mais détournant le regard en bon professionnel je m'efforçai de continuer doucement mais avec fermeté cette fois... Je me rendis compte également qu’une bosse se formait chez moi. Je sentais la sève monter et mon gland gonfler doucement venant par moment me lancer des éclairs de désirs au fur et a mesure que le gonflement venait frotter contre mon caleçon.
Je m'amusais à cadencer mes mouvements pour rendre le clapotis de plus en plus fort... Je sentais sa respiration s'accélérer un peu et mon coeur battre plus vite. Ma bosse touchait mai tenant la table et je décidai de me calmer.
Je lui demandai alors de se retourner j'ajustai l'essuie, essayant de regarder autre part. Je sentais ma bosse re-diminuer alors que je lui massais le visage et j'entendis un doux
- insiste !
Je massais alors plus doucement et plus profondément ce visage légèrement écarlate et me vint une idée saugrenue : je passai alors un de mes doigts sur les lèvres pour les chauffer puis je glissai très légèrement entre les lèvres de cette femme... Dans ma tête sonnait un dilemme, soit elle prend mon doigt dans ses lèvres soit elle s en fout. Elle ne prit pas mon doigt mais lorsque j'en vins à lui demander si je pouvais passer sur son buste elle me répondit d une voix sèche :
- bha oui!
Un peu interloqué je passai mes mains doucement sur le sternum pour faire des cercles autour de ses seins puis n'y tenant plus je passais mes mains une seule fois sur ses seins pour les sentir dans ma paume... Mon dieu qu’ils étaient doux fermes et vallonnés... Comme deux belles pommes gourmandes...
À mon second passage j'écartai un peu mes doigts afin de piéger ses tétons durci d un coup entre mes doigts... Je me retenais de les titiller de les pincer et de jouer avec...
Je m’attardai beaucoup trop et remarquai que ses lèvres se pinçaient et se mordillaient l'une l'autre. Le balai incessant de mes doigts lourds sur ces douces montagnes les faisaient chauffer et je sentais leur poids et leur courbe s’arrondir et se galber sous mes caresses…
Je passai sur un ventre plat et musclé, je sentais chaque fibre musculaire se raidir puis s’adoucir et céder sous mes doigts. Je parcourais avec délice ce ventre si lisse et ne put m'empêcher de passer un doigt rapidement sur et dans son nombril pour en confirmer la profondeur. Je souris à l’idée de le remplir de miel ou de chocolat….
Arrivé aux hanches, je m'approchai une fois de plus et demandai :
- tu m'autorises à passer sur ton périnée ?
- oui dit elle d une voix plus douce que la dernière fois
Lorsque je franchis de mes doigts le bas ventre, je le senti brulant et lorsque j'atteignis le mont de vénus encore légèrement duveteux d un rasage récent, je ne pu m'empêcher de sentir de la sueur mêlée à de la cyprine... L'odeur de mer me fit légèrement gémir et soupirer et je passai mes doigts sur le pourtour de la fente pour en masser mes jointures musculaires. A chaque mouvement le clapotis devenait vague puis océan... Je sentais mes doigts brûler sous la fournaise et j'ôtai mes mains presque par réflexe... J'entendis alors une voix rêveuse :
-.. Sist...
- pardon ? murmurais je
- insiste steuplé
-... Tu veux que je te caresse ? Murmurais je très doucement, cherchant l'approbation et n osant y croire.
-... Oui... Dit elle dans un soupir
Je passai alors pour la première fois ma main le long de ses grandes lèvres bien écartées et généreuse puis le long des petites lèvres ouvertes et dégoulinantes... Je sentais de la cyprine perler sur mes doigts et je sentis son sexe onduler cherchant à tout prix cette caresse... Je m'amusai à remonter de mes frôlements de doigt le long de sa cuisse jusqu’au genou afin de redescendre lentement de plus en plus loin à chaque aller-retour vers sa magnifique petite chatte ouverte...
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J'étais un peu dans la brume, je sentais mon corps brûler : mon visage en feu devait être rouge et moite, je sentais mon bas ventre carbonisé... Depuis qu’il avait "travaillé" mes fesses une idée avait germé en moi : "et pourquoi pas..?"
Je sentais qu’il essayait de m’agacer à faire des aller-retours vers mon temple, j'avais déjà senti ses doigts me frôler et il avait par mégarde sûrement percuté mon clito et la décharge d éclair m'avait cambré le dos, cet éclair avait percé d’un coup mon ciel clair et avait tracé un trait électrique entre le bout de mon capuchon vers mon nombril... J'adorai cette position presque soumise, ouverte et offerte... J'avais besoin de plaisir là tout de suite !
Il approcha ses doigts de ma chatte et il frôla mes lèvres comme pour les dessiner... Je senti soudain qu’il passait un doigt de mon clito à mon vagin... Il en caressait le bord à présent... Il en faisait le tour sans toute fois y pénétrer, il passait au sein de mon papillon d’amour, hésitait et retournait dessus…
J'entendis une voix dans ma brume de plaisir :
- tu t es déjà goûté?
- non répondis je surprise
Il me tendis un doigt que je léchais cette fois goulument pour l'humecter afin qu’il puisse le rentrer facilement en moi mais à la place je senti sur ma langue un gout d eau de mer doucereuse et amer qui avait un goût de cerise... cette douceur me figea et je consentis à l’urgence du désir.
- j'adorais y gouter moi-même dit il dans un soupir
- vasy... Dis-je essoufflée
Je gémis à cette idée… je sens son souffle s'approcher doucement de ma fleur.. Il a les mains fermement sur l’intérieur de mes cuisses à hauteur des genoux pour les écarter… Je sens mes muscles s’étirer mais je tiens bon. Je sens un souffle froid qui contraste avec la chaleur liquide de mon corps fiévreux. Je m'attendais à sentir une langue rugueuse se faufiler entre mes lèvres mais je ne sens qu’un doigt humide me pénétrer doucement... Il tourne d abord autour de mon vagin et puis, je sens ce doigt forcer le passage en mon sein... Je gémis de surprise et d excitation… Je me caresse le sein et l'excitation de mon téton m'envoie un autre éclair vers mon nombril tandis qu’une main vigoureuse vient caresser puis malaxer doucement mon sein droit... Il le mesure le serre et l'étreint comme un oiseau blessé...
Les doigts sont au nombre de deux à présent dans mon intimité humide et je ne peux m'empêcher de gémir faiblement puis plus fort... Je sens qu’il arrive à quelque chose je gémis plus fort... Je chauffe de plus en plus et des éclairs de plaisirs viennent maintenant de mon clitoris et viennent marbré de secousse mon bas ventre… Mon bouton d’amour qui est gorgée de désir... Il se tend fièrement et est soudain happé par une langue vigoureuse... Le contact de cette langue me procure un bien fou... Il n y a que mon clito qui existe à ce moment là... Il a ses mains sur le bas de mon dos pour me cambrer et avoir accès à mon entre… Le souffle est chaud et humide et j’aime sentir cette langue chaude et grêlée tourner autour et le lécher... Ecarter son manchon et sucer mon bouton d amour... Ca doit être ça une pipe… Cela m’excite d’autant plus je ne sais pas pourquoi…
Je gémis plus fort et des contractions utérines se font sentir... La douleur et le plaisir...
Je sens qu’il essaye de pénétrer toute sa langue dans mon vagin tout en agaçant mon clito d un doigt... Je ne me contrôle plus trop... Des spasmes m’envahissent et mes yeux clos ne peuvent imaginer mon corps en transe… Je brûle…
Soudain la porte de la rue cloque tique... Sa colloc’ va arriver... C est trop gênant... Je lui enfonce mes ongles dans la chair de plaisir et de frayeur... Cette étreinte l'attire plus fort contre moi et décuple mon plaisir. Il maintient sa tête et cherche inlassablement à tourner sa langue autour de mon clito, à le sucer et à le caresser de gauche à droite et de haut en bas... Ses mains ont agrippé mon bassin, ses doigts s’enfoncent dans ma chair pour mieux me tenir et le tiennent fermement... Je ne sais rien faire mais j’aime trop ça…
J'essaye d écarter doucement sa tête mais il persévère... Il en vient à me tenir fermement mais doucement les mains... Cela me rend folle...
Je sens que je vais jouir… J'entend les pas dans l’escalier mais le plaisir est plus fort... Je saisi sa tête et la colle au plus proche de mon entre jambe... Deux doigts sont entièrement en moi et leurs va et vient incessant font vibrer mon corps... Je sens mes seins pointer, ma gorge se nouer et mon bas ventre hurler de foudre d intensité... Mon corps est transpercé de mille décharges de douceur... Je ne sais pas qui je suis ni où je suis et je m'en fous... Je ne suis que mon sexe à ce moment et je sens mon utérus battre la chamade et mon corps pulser... Mon corps retombe mollement après s’être cambré à l’extrême mais mon âme est déjà loin… ma sueur coule sur le bout de mes seins, la cyprine coule le long de mes lèvres…
Comme une droguée, je sens simplement un corps lisse, bombé, ferme, rond et chaud se coller timidement et écarter mes petites lèvres...
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