Après sa première nuit avec son amant, elle se trouve chez lui. Après des préliminaires intenses, elle va vivre pour la première fois la sensation d'être prise par derrière. Elle avait toujours refusé l'accès à son mari, mais avec son amant elle est une femme différente, libérée de ses tabous.
Proposée le 25/04/2019 par Sanbun
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Thème: extra-conjugal
Personnages: FHH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
La dernière soirée passée avec son amant avait été intense. Elle s’était découverte plus libérée sexuellement qu’elle ne pensait l’être. Peut-être que le fait de réaliser le fantasme de son mari lui permettait d’être une autre personne. Une sorte de double, débarrassé de ses entraves et de ses tabous. Elle se prenait au jeu et cela l’amusait. Elle gagnait confiance en elle, se rendait compte qu’elle pouvait plaire à d'autres hommes et leur donner un plaisir intense. Cette révélation lui donnait envie de continuer à explorer encore plus le fantasme de son mari. Elle en faisait ce qu’elle voulait, selon sa volonté. Elle était curieuse de ce qu’elle allait pouvoir encore découvrir. Le récit qu’elle avait fait de sa première aventure avec son amant avait rendu littéralement fou de désir son mari. Elle était bien résolue à lui donner encore de quoi damner un saint.
Son amant l'invita chez lui. Une fois arrivée, il lui proposa un verre de champagne. Elle accepta et bu quelques gorgées. Elle fut prise d’une légère ivresse qui la mis plus à l’aise. Elle le remercia et pris une nouvelle gorgée avant de reposer le verre sur la table basse. A cet instant il lui dit de la suivre dans sa chambre. Il l’embrassa avant de la coucher sur le grand lit. Il l’embrassa à nouveau tout en caressant son corps. Il l’aida à se déshabiller et fit de même. Puis, il repris ses baisers, dans le cou d’abord, puis sur les seins, avant de descendre de plus en plus bas, jusqu’à son sexe. Il commença à lécher le clitoris, ce qui la fit cambrer instantanément. Elle se relâcha ensuite et se mit à respirer bruyamment. Il l’embrassa de plus en plus fort pendant de longues minutes. Soudain il s’arrêta, leva la tête et s’allongea sur le flan derrière elle. Il l’embrassa dans le cou. Elle tourna la tête pour atteindre ses lèvres et s’embrassèrent à pleine bouche. A ce moment il passa son bras par-dessus pour la caresser du bout des doigts. Il trouva son clitoris et le stimula. Elle décida alors de faire de même avec le sexe de son amant qui se trouvait à hauteur de ses fesses. Il était déjà dur et fort. Elle sentait dans sa main délicate les veines gonflées du membre dressé. Il se firent mutuellement du bien pendant un certain temps. Son envie d’être pénétrée par ce sexe était de plus en plus forte. Elle le frottait entre ses fesses pour stimuler son amant. Celui-ci répondait par des mouvements de hanches d’avant en arrière qui se faisaient de plus en plus précis, si bien qu'elle sentait le sexe de son amant pousser doucement son anus. Elle connaissait bien cette situation. Son mari avait déjà tenté d’y entrer d’innombrables fois. Elle jouait à chaque fois le jeu, mais usait d’artifices pour conserver son derrière inviolé tout en faisant croire à son mari qu’il était à l’intérieur. Elle tenta le même stratagème sur son amant avec sa main experte. Pourtant, elle réalisa rapidement que ce ne serait pas aussi facile qu’à l'accoutumée. Le membre en érection était cette fois plus autoritaire, et chaque charge plus précise que ce qu’elle avait connu jusqu’à présent. Elle avait de plus en plus de mal à maitriser les assauts à chaque fois plus intrusif du membre en érection. Celui-ci tentait de forcer l’entrée tel un bélier. Les caresses de son amant et les poussées répétées entre ses fesses la mettait dans un état d’excitation proche de la transe qui l’empêchait d’exprimer la moindre parole. Le peu de conscience qui lui restait lui faisait toutefois craindre d’être ainsi prise par derrière. Non seulement elle ne l’avait jamais fait, mais en plus, ce sexe résolu à entrer était d’une dimension qui lui paraissait démesurée pour pareil assaut. Les caresses reprenaient toutefois de plus belle et la verge tendue gagnait du terrain. Le liquide pré-séminal qui s’en échappait se mêlait à la cyprine et formaient un lubrifiant des plus efficace qui permettait au sexe gonflé de glisser toujours plus aisément entre ses fesses. La chaleur moite de ces frottements torrides annonçait une percée imminente. Elle sentait que ses derniers remparts étaient en train de céder face aux incursions toujours plus décidées de son assaillant. Son état d’excitation était maintenant à son comble, si bien qu’elle finit par baisser le armes et se résolut à accueillir en elle le sexe fier et déterminé qui maintenait sa pression. Elle resserra l’étreinte de sa main sur l’engin et lui facilita l’accès en le dirigeant vers son antre. En même temps, elle tourna son visage vers son amant et lui fit comprendre du regard qu’il avait sa bénédiction pour la pénétrer. Il pris appuis avec sa main droite sur son épaule et donna l’assaut final d’un lent et inexorable coup de rein. Elle sentit le membre dur comme un roc ouvrir son corps. Elle poussa un cri sourd à peine audible. Ils restèrent immobiles pendant quelques secondes. Elle était cambrée à son maximum, le souffle coupé, et agrippa d’une main les fesses de son bourreau comme dernier réflexe de protection avant de plonger dans l’abîme. Le sexe continua ensuite son incursion inexorable en elle, comme aspiré par une force intérieure. Elle se relâcha complètement et réalisa que son amant était tout entier dans son cul. Elle ne pensait pas la chose possible et pourtant elle le sentait tout entier en elle. C’était une sensation nouvelle et exaltante dont elle voulait profiter pleinement. Elle se sentait emplie comme jamais elle ne l’avait été auparavant par aucun homme avant lui. L’énorme intrus s’installait en elle et lui donnait un plaisir inédit, brut et douloureux. Son mâle alpha pris d’une main son menton avec autorité et tourna le visage de la femelle vers lui. Elle avait le regard fixe, à la fois implorant et amoureux, et la bouche légèrement ouverte d’où s’échappait son souffle rauque. Il mit son pouce dans cette bouche ouverte et elle commença à le lécher avec le bout de sa langue. Elle ferma légèrement les yeux tandis que son amant s’appliquait à s’engouffrer toujours plus loin en elle. Elle aimait sentir ce sexe tourmenter son cul et bougea d’elle-même ses hanches de telle sorte qu’elle fit reculer son assaillant de quelques centimètres, avant de s'empaler à nouveau sur lui d’un mouvement de rein vers l’arrière. Son amant saisit une fesse d’une main et se mit à faire l’amour à ce cul que lui seul était parvenu à vaincre. Elle avoua a son amant que c’était trop bon et l'implora de continuer à la besogner de la sorte. Elle accompagna chaque charge de son amant par son propre mouvement de hanche. L’énorme membre coulissait désormais harmonieusement et sans entrave entre ses fesses, lui procurant un plaisir toujours plus intense. La sensation nouvelle qu’elle éprouvait d’être pénétrée de la sorte par derrière redoublait son entrain et son plaisir. Elle ponctuait chaque assaut d’une complainte de plaisir et encourageait son amant en gémissant des « oui », « vas-y », « encore »…. Il continua de plus belle, toujours plus fort, toujours plus loin, à s’enfoncer en elle. Son amant parvint à tenir encore quelques instants et jouit de plusieurs jets au plus profond de son corps. Il se retira et s’écroula sur le dos. Elle sentit le nectar de son assaillant couler le long de ses fesses. Sans un mot, elle quitta le lit et pris une douche. Sous l’eau chaude, le cul en feu, elle refit le film de ce qui venait de se passer. Elle réalisa qu’elle venait de se faire sodomiser sans détour par son amant, chose qu’elle avait toujours refusé à son mari, son légitime. Elle savait que quand ce dernier apprendrait ça, il serait littéralement fou de jalousie. Cette prise de conscience l’excita terriblement. Elle commença à se caresser et voulu à nouveau cette énorme bite en elle. Mais avant, elle eu une pensée pour son mari, celui qui lui avait permis de connaître tant de plaisir avec un autre homme. Elle voulait se montrer reconnaissante et se décida à le récompenser en assouvissant son fantasme. Elle sortit de la douche, se sécha en toute hâte et pris son téléphone. Elle envoya un message à son mari trompé : « il vient de baiser mon cul et j’ai aimé ça… ne m’attends pas ce soir ! ». Elle savait que ce message tourmenterait son mari comme jamais, ce qui décupla son excitation. Son corps réclamait maintenant l’énorme membre en elle. Tout en elle hurlait de désir. Elle sortit de la salle de bain et se jeta sur son amant. Elle pris dans sa bouche le sexe qui était 5 minutes plus tôt dans son cul. Il avait le goût âcre et prononcé de son dernier fourreau mêlé au sperme qui en avait jaillit. Elle traita l’objet avec dévotion et entrain. Elle savait ce que son amant attendait d’elle en pareille circonstance. Elle répondit à son désir en l'engloutissant au plus profond de sa gorge. Elle voulait lui prouver qu’elle lui était dévouée et sa bouche était là pour l’exprimer. Ce faisant, l’appétit sexuel de son amant se réveilla de plus belle. Il se redressa et lui ordonna de se mettre à quatre pattes. Elle obéit doctement sans un mot à l’injonction et lui présenta sa croupe telle une offrande. Il s’enfonça en elle et la baisa avec force. Il dégageait une puissance animale qui l’a mit en émoi. Elle s’abandonnait à sa férocité. Il l’a fessa un première fois et lui demanda si elle aimait ça. Elle avoua que oui. Il accéléra son rythme, et la fessa une nouvelle fois de toute la surface de sa main, puis lui saisit les cheveux d’une main et les tira en arrière. Cela eu pour effet d’accentuer encore plus la courbe superbe de sa cambrure. Elle était désormais une lionne, s'accouplant au mâle dominant du groupe. Elle en était fière et comblée. Elle pris appuis sur ses mains pour remuer tout son corps avec énergie d’avant en arrière. Elle hurlait de plaisir à chaque coup de boutoir. Ce ballet bestial dura quelques minutes avant qu’il ne jouissent tout deux de concert. Ils se couchèrent sur le lit et elle se blottit contre lui. Elle l’embrassa tendrement puis admira son amant du regard. Elle se dit à part elle que jamais elle n’avait pris tant de plaisir avec un homme mais se garda bien de le lui avouer. Elle sombra rapidement dans un sommeil léger dans les bras de son amant qui lui caressait doucement le corps. Elle ne sut pas quelle heure il était quand elle se réveilla. Son amant dormait profondément. Elle quitta le lit discrètement et se rhabilla. Elle sortit de la chambre sans un mot et rentra chez elle. Une fois arrivée, elle rejoignit le lit conjugal, la chatte et le cul pleins du foutre de son amant. Son mari était dans le lit mais faisait semblant de dormir. Il n’avait pas fermé l’œil de la nuit, rongé par la jalousie de savoir qu’un autre que lui avait défloré le cul de sa femme. Cependant, cet état le rendait fou de désir pour elle. Il lui demanda de lui raconter tout dans les moindres détails. Elle lui répondit qu’elle était épuisée et qu’elle avait envie de dormir. Il prit ces paroles comme une trahison et en fut humilié, mais cela l’excitait toujours plus. Il n'avait pas d’autre choix qu’attendre que sa femme accepte de lui livrer le récit de ses aventures extra-conjugales...
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Commentaires de l'histoire :
Didier
Bonsoir et merci pour ce texte bien écrit ce qui ne gâche en rien le plaisir de vous lire. Didier
Posté le 24/02/2021
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